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Commissaire Laviolette

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  1. Ouin mais tes post se lisent comme une entrée de journal intime. C'est pas nécessairement négatif lala. Et Apple a lancé une App native pour les gens qui aiment le journaling. Au pire on s'en fout. Au mieux je viens de trouver un outil vraiment intéressant pour toi qui aime répertorier les moments de ta vie ici en t'adressant à toi-même : https://www.apple.com/uk/newsroom/2023/12/apple-launches-journal-app-a-new-app-for-reflecting-on-everyday-moments/ Cibouèèèère.
  2. Tabarslak Arri, t'es vraiment le public cible pour la nouvelle application iOS de Apple, Journal. Il m'offre souvent de documenter mes émotions leur de ma visite du Métro Charest, ou lorsque j'ai marché sur le chemin Ste-Foy pendant 1h.
  3. Ton nouveau personna de troll sent quand même un peu le ranci mon brave. Mais tu as raison, mon allusion est un peu facile et usée. Merci de me garder alerte.
  4. J'adore quand Woot se défend d'être le plus grand licheux du gars qui nous fait vivre littéralement le film Idiocracy.
  5. La science ne vient pas avec une garantie de neutralité pour ceux qui la font et ceux qui la citent. Peu importe le résultats des études, ce sont plutôt les causalités que tu en tires qui sont abrutissantes. Tout ce que tu cites, toutes les réflexions que tu nous partages ne constituent rien d'autres qu'une compilation logorrhéique de ta tentative de dédouaner ton mépris des classes et ton racisme.
  6. Ce qui me tient à coeur s'est de ridiculiser tes parallèles douteux, ta désinformation rampante et par le fait même prouver, hors de tout doute par l'exemple, qu'avoir un QI de 120 et être un imbécile n'est pas mutuellement incompatible.
  7. Es-tu en train de dire que Israel s'est laissé faire pour pouvoir justifier une guerre ouverte?
  8. Je suis d'accord avec ta vision du ressenti. Au final, il y a une jonction avec ma vision de l'artiste. Ceci dit, j'ai de la misère avec le "adapt or die". Je pense que le choix de ne PAS s'adapter, s'il est motivé, peut être puissant et transcendant. Et je ne parle pas d'un refus instinctif et primaire, mais d'un refus posé et réfléchi. En art. Mais déjà tu parles d'artisans. Et les avancées de l'industrialisation ont permis la grande échelle, surtout. On pourrait argumenter que le travail direct de la matière est un contact positif avec notre monde, avec nos ressources. Est-ce que tu dis que les changements qu'apporte le progrès sont inéluctablement bons? La déconnexion qu'il a provoqué, par exemple, est dommageable. On pourrait choisir de s'adapter, puis de faire marche arrière. C'est aussi un bon choix, non? Si on était capable d'auto-critique, comme communauté, on éviterait peut-être beaucoup d'écueils qui nous amènent trop loin. @1984 la facilité incommode ton égo. Et je suis pareil. Ceci dit, je ne crois pas que la facilité à produire des résultats soit très pérenne comme fondation. Je crois que la maîtrise technique des bases apporte beaucoup plus de profondeur à un travail que la simple maîtrise technique d'un outil. Puisqu'elle est transposable. L'évolution pour moi est de lier intimement ce qu'on veut dire à comment on le dit.
  9. Perso, je crois que le réflexe défensif face à une nouveauté qui pourrait menacer notre pratique/vie/etc. ne devrait pas nécessairement être associer à du purisme et de l'élitisme. Je pense que c'est une réaction saine. Le progrès et la technologie ne sont jamais neutre. Après, si certains persistent à prôner le bûcher par jalousie et peur, c'est autre chose. Je crois que de toute époque, les artistes et les courants de pensées coexistent, qu'elle soit motivée par une avancée technologique ou un changement social. C'est tout à fait possible de continuer à prospérer avec une approche qui ne se nourrit pas des derniers balbutiements techno-sociaux et de rester dans une démarche fluide, mais personnelle. Ce sera à la prochaine génération, celle qui naît dans le bain, pour le meilleure ou pour le pire, d'être de son époque. Et quand je dis d'être de son époque, je le pense de façon superficielle (les outils, les moyens). La première chose qui chute, c'est le travail purement esthétique basé sur une technologie/technique. L'itération actuelle de l'IA, pour ce qui est de son rôle dans l'art, est une banque d'image dynamique. On peut être impressionné par la qualité, la précision et les possibilités, mais ce ne sont pas des directions, des visions, des propos (le vrai pain de l'artiste). Avec 15k$, je peux m'équiper pour faire les meilleures photos techniques d'oiseaux qui existent et utiliser l'IA pour enlever tout bruit numérique et obtenir une netteté parfaite. Ce n'est pas plus pertinent ou valable que des photos de corneilles en noir et blanc pellicule. D'un point de vue de démarche. Je pense aussi qu'il faut faire attention avec la banalisation de Photoshop et l'associer seulement à une façon moderne de faire des caches sur un agrandisseur. Il y a eu et il y a encore des enjeux éthiques sur la représentation de la réalité et la distorsion que permet Photoshop pré-IA. Il y a même des balises qui sont établies et qui font barrières a un usage abusif quand vient le temps de montrer quelque chose. Mais c'est surtout une réflexion qui est pertinente en dehors de l'art, selon moi, puisque ça soulève très légitimement des enjeux sociaux importants.
  10. Moi je tiens juste à défendre le plan fixe en disant ceci : Roy Andersson, Yasujiro Ozu et Aki Kaurismaki.
  11. Les artistes ont au moins trouvé une façon de canaliser l'égo qui dévore chaque humain par en dedans. Pour les autres, ils restent le vide et le mépris.
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