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Qu'en est-il de la persévérance des étudiants jusqu'au diplôme ?


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(modifié)

Vox Pop:

Les frais de scolarité bas du Québec favorisent-ils la déresponsabilisation et l’abandon, plutôt que l’accès à l’université?

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edit: Remplacer quand par Qu'en dans le titre

Modifié par Bernhard Bernhardt
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Avec un sujet comme celui-la, tu vas te mettre a dos tous les petits fifs qui portent des carrés rouges.

La société de consommation dans laquelle on vit nous envoie le message que quand c'est gratuit ou peu cher, ça veut dire que c'est de la marde. Alors des écoles qui ne couptent pas chers, c'est associé dans l'esprit des gens a quelquechose de cheap.

C'est spécial de constater qu'en anglais, le mot cheap veut dire bas prix et qu'en français, lorsqu'on utilise le cheap, on veut dire de mauvaise qualité. On associe le prix et la qualité.

Au Québec, on croit que les écoles pupliques sont de moins bonnes qualité que les écoles privées parce que les gens du privé paient pour leur école. En fait, ce n'est pas l'école privée qui est meilleurs, mais les élèves qui la fréquentent qui sont triés à l'aide d'un examen d'entrée qui écarte tous les épais qui finissent par aller au public.

Dans les écoles publiques, on ne veut pas décourager les épais et on doit les faire passer parce que le redoublement coute trop cher à l'état. Résultat: on se retrouve avec tout un tas d'épais qui ont un diplôme d'étude secondaire et qui ne savent pas qu'ils sont épais parce que le Québec est une société trop moumoune pour dire en pleine face de quelqu'un qu'il est épais. Alors ces épais s'inscrivent dans des programmes d'études post-secondaires parce que c'est vraiment pas cher.

Le cout des études n'a aucun rapport avec la diplomation. Aux USA, ça cout vraiment cher pour aller a l'Université et ceux qui y vont sont, en général, a leur place.

Quand tu envisage une très grosse dépense, tu ne le fais pas a la légère.

Qui n'a jamais acheté une bébelle chez Dollarama en se disant : Je sais que j'en ai pas besoin, mais c'est juste une piastre. C,est pas grave si je le jète dans deux jours, ça m'a pas couté cher .

est la même chose pourt les études secondaires.

Tout un tas d'épais s'inscrivent dans un programme d'études post-secondaires parcer que c'est pas cher.

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Wat?

Est-ce que tu voulais dire What, espèce d'illetré. On lit parfois des post dans lesquels il y a quelques fautes mais une faute dans un seul mot, c'est moron rare ça. Bravo fillette.

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C'est sur que quand tu t'es saigné à blanc pour pouvoir aller étudier, tu vas y réfléchir à deux fois avant d'abandonner.

Cela dit, je pense que le salut de nos sociétés (face aux émergents) se trouve principalement dans l'éducation. Il me parait donc que l'accès à tous, même aux pauvres, à l'éducation est primordiale. C'est un investissement sur l'avenir.

Après, encore faut il conserver ses cerveaux. Mais ça c'est autre chose, d'abord il faut en produire. Et ce n'est pas en haussant les frais de scolarité que l'on permettra cela.

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Je crois que plusieurs militants de la gratuité scolaire font parti des étudiants qui font perdre le temps de tout le monde et l'argent des contribuables en ne foutant absoluemnt rien et en passant leurs cours sur la peau des fesses.

Des frais de scolarité bas ou la gratuité très accesible attire ce genre d'étudiants, ce qui contribue à un taux de diplômation plus faible quand on se compare au reste du Canada.

Si nous sommes pour l'éducation gratuite au Québec, il faut absolument copier le système Scandinave qui ne laisse pas rentrer n'importe quel clown qui veut juste avoir accès au campus pour faire la fête.

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Source du tableau, please.

"Avant toute chose, les chiffres utilisés sur le « décrochage » universitaire mentionnent les étudiants qui quittent leur programme sans obtenir leur diplôme. Pas l’université.

Beaucoup d’étudiants changent de programme durant leur parcours (jusqu’à 32,4%, visiblement!)."

Est-ce vrai? Parce que si oui, lol.

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Est-ce que tu voulais dire «illettré»?

Ça s'appelle une faute de frappe. C'est moins pire qu'une faute dans un texte d'un seul mot. Qu'est-ce que ça donne de poster un seul mot. Ça veut dire quoi. Après un mot, le gars est épuisé. Son cerveau bloque.

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Source du tableau, please.

"Avant toute chose, les chiffres utilisés sur le « décrochage » universitaire mentionnent les étudiants qui quittent leur programme sans obtenir leur diplôme. Pas l’université.

Beaucoup d’étudiants changent de programme durant leur parcours (jusqu’à 32,4%, visiblement!)."

Est-ce vrai? Parce que si oui, lol.

-Le proportion des étudiants du premier cycle qui quittent l’université avant d’avoir obtenu leur diplôme est deux fois plus élevée au Québec qu’au Canada. LE DOUBLE! Dans les universités québécoises, 32,4 % des étudiants décrochent avant la fin, contre 14,8% dans le reste du pays.

Dans un autre ordre d'idée, est-ce que le décrochage universitaire pourrait aussi s'expliquer par le fait que le "step" entre le cégep et l'université au Québec est plus grand que ce qui existe ailleurs au Canada (du High School au College)? Pour ma part, je n'ai jamais travaillé très fort au secondaire et probablement moins encore au cégep. La claque dans la face a été assez raide quand je suis arrivé à l'université et que les profs ne voulaient plus rallonger les délais de remise des travaux, que les travaux d'équipes demandent réellement du travail en équipe et que quand c'est écrit 3h de cours et 6 heures de travail personnel, c'est réellement ça. Bref, même si je suis pour une hausse des frais, je pense qu'une partie de la solution se trouve aussi dans ce qui est fait comme travail avec les jeunes avant qu'ils arrivent à l'université

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Ça s'appelle une faute de frappe. C'est moins pire qu'une faute dans un texte d'un seul mot. Qu'est-ce que ça donne de poster un seul mot. Ça veut dire quoi. Après un mot, le gars est épuisé. Son cerveau bloque.

On est sur internet man si un débile décérébré veut traiter Charest d'Hitler et Khadir de dictateur raciste, tu es qui exactement pour leur faire la morale. Si t'es pas content, décrisse câlisse. C'est internet man. Je peux te dire de manger de la marde et tu peux pas m'en empêcher. So va chier tappette.

Yo, c'est internet man

Troll boring, sacrez moi ça dans la fosse.

On passe à un autre appel.

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Est-ce que tu voulais dire What, espèce d'illetré. On lit parfois des post dans lesquels il y a quelques fautes mais une faute dans un seul mot, c'est moron rare ça. Bravo fillette.

12. Ne pas utiliser comme contre-argument une erreur de frappe, de grammaire ou d'orthographe d'un interlocuteur à moins que les erreurs soient trop nombreuses et démontrent le manque de volonté du dit posteur.

Tu peux faire mieux : )

Est-ce que tu voulais dire «illettré»?

Bitch, please. Pouvons nous passer plus de temps à discuter du sujet?

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Ces données sont démagogiques puisque elles projètent un rapport de "performance" entre les 2 dimensions (accessibilité/diplômés). D'autant plus que l'abandon ne peut être considéré comme un échec du point de vue "participation à la société" et "épanouissement de l'individu". Surtout si on ne connaît pas la raison, la cause et la suite.

Je vois clair à travers ce pathétique écran de chiffres.

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Il faudrait aussi regarder parmi les décrocheurs universitaires la proportion de ceux-ci qui vont faire un DEC technique par la suite. C'est plus un mystère pour personne que plusieurs DEC se donnant au Cegep au Québec se donnent dans les universités au ROC.

C'est peut-être là aussi que se situe l'explication face à ces données.

Aussi, ça semble être les sciences sociales qui sont le plus touchées par ces abandons. Or, c'est dans ces domaines ou la formation d'un étudiant est la moins élevée. Donc, un étudiant en sciences sociales, qui sait d'avance que son salaire futur ne sera pas substantiellement élevé, est peut-être plus enclin à dropper out, car son retour sur investissement est moins intéressant qu'un étudiant en génie disons. Et une baisse des frais de scolarité pourrait, au contraire, faire diminuer ces types de drop out.

Bref, on nous présente seulement une partie des chiffres, avec une analyse partielle, confortant la position déjà établie des deux chroniqueurs. Un beau manque de rigueur.

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Nous devons nous débarrasser des CEGEP et ajouter une année secondaire. Je suis allé au Cegep j'ai dropé, mais avoir été à l'université direct après le secondaire, j'aurais probablement continué.

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