Aller au contenu

Morsi des Frères Musulmans est élu Président d'Égypte


Déchet(s) recommandé(s)

J'attends vos analyses de merde concernant la « Révolution Égyptienne » et le « soulèvement du peuple Égyptien contre la tyrannie Moubarak par l'élection de l'islamiste Morsi ».

P.S.: Le taux de participation a été de 46% 51%.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

On sait tous que t'es un Antisémite notoire Pomo, anyway.

Communiste. La pire race d'être humain qu'il reste à exterminer.

Pour enfin laisser le libéral-libéralisme-libertaliste-liberaliste-libertaire-et-libertineux être totalement libre !

what-is-this-i-dont-even-spiderman.jpg

  • J'aime! 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Communiste. La pire race d'être humain qu'il reste à exterminer.

j'te ferais un ménage dans les chinois avant

les indiens aussi peut-être j'pas sûr

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

j'te ferais un ménage dans les chinois avant

les indiens aussi peut-être j'pas sûr

En français ça donne quoi ?

"faire un ménage dans un chinois/indien", moi pas comprendre.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

(modifié)

Remplacer la peste par le choléra.

Remplacer une droite économique par une droite sociale.

Remplacer une dictature militaire corrompu par une Théocratie patriarcale.

Ça pas été si pire que ça en Turquie. ETK

...

La stabilité et la paix sont mieux garanties par des gouvernements représentatifs des citoyens que par des régimes autocratiques. Le président démocrate Woodrow Wilson était arrivé à cette conclusion en 1917, bien avant les néoconservateurs. George W. Bush prônait la démocratisation du Moyen-Orient à marche forcée tout en gardant de bonnes relations avec des régimes autoritaires. Dans son discours du Caire, Barack Obama a vanté avec lyrisme les valeurs universelles de la démocratie et de la liberté, en renonçant à les imposer par la force.

Il reste à espérer que le nouveau pouvoir égyptien ne fera pas le choix de la répression contre le mouvement populaire et ne le placera pas dans la situation de George Bush père après Tien Anmen en 1989. le président américain avait alors publiquement condamné l’intervention de l’armée et assuré discrètement les dirigeants chinois que les relations entre les deux pays ne seraient pas durablement affectées.

#

...

Tunisie

...

Exporter le modèle marocain ?

#

...

Le «Printemps arabe» permettra-t-il l'émergence de gouvernements stables et relativement légitimes, ne serait-ce que dans quelques pays (notamment en Égypte et en Syrie)? Ne donnera-t-il naissance qu'à de longues luttes pour le pouvoir, à de nouvelles formes d'autoritarisme, ou à quelque chose de plus terrible encore? Et puis il y a l'Iran, dont l'importance et le pouvoir sont systématiquement exagérés, mais qui demeure un sujet potentiel d'inquiétude pour la quasi-totalité de la planète.

En un mot, la situation est pour le moins explosive, et il est difficile d'être optimiste sur le court terme. Ceci dit, les signes positifs ne manquent pas. Je pense notamment à la faible popularité d'al-Qaida (qui ne parvient pas à recruter en masse), et aux populations d'un grand nombre de pays du monde arabe, qui appellent de leurs vœux des gouvernements plus efficaces et plus représentatifs.

Comment ne pas y répéter les erreurs commises ces dernières années, en huit étapes (pas si) simples.

#

Comment rester au pouvoir indéfiniment en maintenant des apparences de démocratie.

#

Derrière sa façade de piété, l’Iran est l’un des pays du monde les plus touchés par la drogue.

#

L'un des signes du sous-développement de l'Iran est sa culture de la rumeur et de la paranoïa, qui impute tous ses maux aux actes maléfiques de divers diables et démons. Et, naturellement, la longue et riche histoire de l'intervention impériale britannique en Perse a de quoi apporter de l'eau à ce moulin. Mais vous n'imaginez pas à quel point est ancrée la croyance primitive selon laquelle ce sont les Anglo-saxons-plus que la CIA, plus même que les juifs, qui tirent les ficelles du moindre événement survenant en Iran.

Il est erroné d'imaginer que les ayatollahs, si cyniques et corrompus qu'ils soient, agissent de façon rationnelle. Ils sont fréquemment prisonniers de croyances et de terreurs archaïques qui feraient passer un paysan européen médiéval abruti pour un intellectuel plein de ressources.

#

Appuyé par l’armée et les services secrets anglo-américains qui renversèrent Mossadegh, Mohammad Reza Pahlavi fut restauré sur le trône après un bref exil en Italie. Évoluant ensuite vers une conception plus nationale, réformiste et autoritaire de la politique intérieure, le chah d’Iran entreprit, par référendum, un vaste programme de progrès social et de développement économique (la Révolution blanche) associé à une répression des mouvements d’opposition incarnée par la Savak. À l’extérieur, tout en demeurant un allié de premier plan pour les Américains et les chancelleries occidentales, Mohammad Reza Pahlavi se rapprocha progressivement de l’Union soviétique puis de la Chine, traduisant ainsi un désir d’émancipation et de neutralisme.

Même si sa politique volontariste a amélioré le niveau de vie des Iraniens et permis au pays une modernisation rapide dans les années 60 et 70, elle a élargi le fossé économique, social et culturel entre une élite occidentalisée et une classe populaire sensible au conservatisme religieux.

Le puissant clergé chiite est mécontent de voir que les réformes du Shah leur enlèvent la plupart de leurs pouvoirs traditionnels dans les domaines de l'éducation et des lois familiales, mais aussi que leur forte influence dans le milieu rural se trouve diminuée.

Mistake of the Shah:

Failure to prepare and train security forces for dealing with protest and demonstration, failure to use crowd control without excessive violence

Successes of other Iranian political:

The Ayatollah Khomeini's self-confidence, charisma, and most importantly his ability to grip the imagination of the masses

L’ayatollah Rouhollah Khomeyni a pris la tête de la révolution de 1979 en mêlant fanatisme religieux et activisme révolutionnaire de gauche, avec l’idée de fomenter une lutte des classes à la sauce islamique. L’État islamique dont il rêvait consistait en une dictature du prolétariat dominée par le clergé.

Après sa mort en 1989, les composants islamiques et progressistes du khomeynisme passent à la trappe. Exsangue après la guerre et la révolution, l’Iran fait le choix de la normalité. Les partisans de l’aspect islamique de la révolution, les soi-disant conservateurs, se regroupent autour de Khamenei. Ils mettent un terme à l’activisme révolutionnaire, ouvrent l’économie au secteur privé et érigent une théocratie autoritaire menée par le guide suprême.

Parallèlement, la faction gauchiste la plus radicale, qui se nourrit d’activisme révolutionnaire et prône une économie socialiste, se trouve marginalisée. Elle ne refait surface qu’à la fin des années 1990, sous l’appellation de «réformateurs». C’est ainsi que Mir Hossein Moussavi, ancien premier ministre de gauche des années 1980, est devenu l’incarnation du Mouvement vert.

Les conservateurs et les réformateurs-gauchistes se disputent le pouvoir depuis deux décennies. Les réformateurs ont placé tous leurs espoirs dans des élections et une évolution à la Vatican II de la théologie chiite. Les conservateurs, eux, se sont interdits de toucher à la religion et à l’idéologie, et se sont maintenus au pouvoir par la force. Résultat, l’idéologie fondamentaliste chiite iranienne, dépouillée de son héritage progressiste, est devenue froide et impopulaire, et le régime ne doit sa survie qu’à la répression.

Ahmadinejad est arrivé sur le devant de la scène en 2005. Il proposait de redonner vie à la révolution agonisante en alliant fondamentalisme religieux, nationalisme iranien et populisme économique. Cette formule (identique à celle de Khomeyni pour prendre la tête de la révolution en 1979) se révéla être une manœuvre politique habile, qui lui permit d’emporter la présidence. Mais la promesse d’une révolution éternelle prit fin abruptement lors des élections de 2009, lorsque les réformateurs, après une campagne victorieuse, firent descendre des millions de personnes dans la rue pour manifester contre les résultats truqués.

Certes, Ahmadinejad menace la suprématie cléricale, mais, sans lui, le khomeynisme devra faire face aux attaques des réformateurs. L’autre solution serait un État soumis à une idéologie d’extrême droite: nationaliste, fondamentaliste, populiste et militariste, une sorte de Japon des années 1930. Bref, une solution non viable. Dans cet affrontement des élites iraniennes, le monde devrait soutenir le clergé —car sa victoire précipitera la fin de la République islamique.

/duel-a-teheran"]#

Pendant la révolution qui a renversé le Shah, les rues étaient emplies, la nuit, de cris venus des toits: «Allah akbar» («Dieu est grand»). Lors des récentes nuits, les mêmes cris résonnaient à travers la capitale. La formule a également été adoptée par les manifestants en guise de protection (il serait choquant de voir la police ou la milice d'un Etat dit islamique tirer sur une foule clamant sa dévotion). De plus, ce respect affiché pour la religion a peut-être pour but de convaincre un clergé divisé de s'opposer à Ahmadinejad.

Une autre formule récupérée par les opposants, tirée cette fois de la profession de foi musulmane: «il n'y a pas d'autre dieu que Dieu». C'est là une pique subtile, qui vise l'autorité du guide suprême et chef de l'Etat, l'Ayatollah Ali Khamenei. En Iran, le guide suprême a un pouvoir immense: il peut même interpréter ou ne pas tenir compte de la loi de la Charia. En conséquence, certains croyants s'opposent à l'Etat théocratique, rejetant ce qu'ils considèrent comme une usurpation de l'autorité divine. D'autres, laïcs et libéraux, utilisent les mêmes formules pour atteindre leurs propres objectifs. En restant vagues et inoffensifs en parole, les opposants ne risquent pas de froisser un futur allié potentiel.

#

Modifié par BERNARDIUM
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

(modifié)

Henry Kissinger a sûrement écrit de quoi là-dessus.

Selon lui, « seuls la Turquie, l’Egypte, et l’Iran ont une histoire.

#

...

Mais cela ressemble fort, comme l'écrit Charles Krauthammer dans le Washington Post, à une tactique déjà suivie avec succès lors de la révolution iranienne de 1979 par l'ayatollah Khomeini et le mouvement islamiste chiite iranien.

#

Modifié par BERNARDIUM
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

(modifié)

la turquie, pour leur loukoum?

la révolution qui a menée au départ du Chah a été la brèche vers l'intégrisme religieux en Iran?

la révolution qui a menée au départ de Moubarak a été la brèche vers les frères musulmans?

éclairez-moi

Modifié par neglisse
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

''-C'est tout de même incroyable. La révolution est une révolution de gauche et la république veut s'appeler Islamique!

-Ce n'est pas grave. Tout ira bien. Dans un pays à moitié illettré, on ne peut pas regrouper les gens autour de Marx. La seule chose qui puisse les rassembler c'est le nationalisme ou la morale religieuse...

Mais les religieux n'ont pas la science pour gouverner. Ils retourneront à leurs mosquées. Le prolétariat règnera! C'est d'ailleurs ce qu'explique Lénine dans l'État et la révolution''

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Salut Pomo!

Je crois que tu te trompes quand tu parles de NOS analyses;

mon texte provient d'un livre traitant de la révolution Iranienne;

écrit par une Iranienne qui a vécu la révolution Iranienne.

Bonne journée Insurgence!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

C'est ce que je me disais. Toutes vos analyses c'est de la merde.

Merci de confirmer.

Pour résumer, mon analyse, je paraphraserai Dieudo:

"Cette élection; c'est une dans la gueule, et une dans le cul".

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Veuillez vous connecter pour commenter

Vous pourrez laisser un commentaire après vous êtes connecté.



Je veux revenir!
 Partager

×
×
  • Créer...