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Debat sur les relations amoureuses


Déchet(s) recommandé(s)

(modifié)

J'pense pas que ça prend des rapports ambigus avec la mère pour désirer davantage qu'une suite d'aventures sans but et sans avenir.

À un moment donné, tout le monde a besoin d'être aimé de manière authentique.

Même les hommes!

M'semble.

Modifié par mouchouânipi
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Bandes de sombres merdes. Vous ne déciderez jamais de qui vous tomberez amoureux malgré tout vos critères esthétiques et psychologiques, seul le fait que la personne d'en face ait un patrimoine génétique suffisamment différent pour que vos gosses ne souffrent pas de déficience immunitaires.

En bref, vous n'êtes qu'une bande de primates dont l'instinct affectif est dicté par les phéromones humaines et vos putains de gènes.

DECRISSEZ

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(modifié)

Je quote du Pinker:

Quelque part, dans ce monde de cinq milliards d'habitants, vit la personne la plus belle, la plus riche, la plus intelligente, la plus drôle et la plus gentille qui serait prête à faire affaire avec vous, mais votre croisière de rêve est comme une aiguille dans une meule de foin et cous risquez fort bien de mourir célibataire si vous tenez à attendre qu'elle apparaisse.

Le célibat a des coûts...

À un certain moment il est payant de se caser avec la personne la meilleure que vous avez trouvée-là.

Selon les lois de la probabilité, vous rencontrerez un jour une personne plus désirable, et si vous passez votre temps à suivre la meilleure que vous trouvez vous abandonnerez votre partenaire rapidement.

Or cette partenaire a investi dans cette relation...

Si votre partenaire était la personne la plus désirable au monde, elle n'aurait rien à craindre...

Or ce n'est pas le cas...

Comment être sûr que le partenaire que vous avez en vue ne va pas partir dès qu'il sera rationnel de la faire ?

On peut répondre n'acceptez pas un partenaire qui vous a voulu pour des raisons rationnelles au départ.

Les gens qui sont raisonnables sur l'amour sont incapables d'aimer, écrivait Douglas Yates.

seul le fait que la personne d'en face ait un patrimoine génétique suffisamment différent pour que vos gosses ne souffrent pas de déficience immunitaires.

En bref, vous n'êtes qu'une bande de primates dont l'instinct affectif est dicté par les phéromones humaines et vos putains de gènes.

Beaucoup de gens pensent que selon la théorie du gène égoïste, les animaux essaient de répandre leurs gènes.

C'est déformer les faits et la théorie.

Si le gens veulent des enfants ce n'est pas parce qu'ils veulent répandre leurs gènes -consciemment ou inconsciemment - c'est parce que il ne peuvent s'en empêcher.

Cet *amour* fait qu'ils essaient de garder leurs enfants au chaud, bien nourris et en sécurité.

Ce qui est égoïste, ce ne sont pas pas les véritables motifs de l'individu, mais les motifs métaphoriques des gènes qui ont construit cet individu.

Les gènes *essaient* de se se répandre *eux-même* en installant le cerveau des animaux pour que ces animaux aiment leur parenté...

Les génes ne sont pas des montreurs de marionnettes; ils ont agi comme une recette pour faire le corps, puis ils ont quitté la scène. Ils vivent dans un univers parallèle, éparpillés dans le corps, avec leur propre agenda.

Modifié par BERNARDIUM
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Je suis certain qu'il y a un impact direct entre la façon d'être actuelle des hommes (et aussi des femmes) par rapport à la façon dont ils ont été élevés par leurs parents. Ils ont quand même, pour la plupart, passé une vingtaine d'années chez eux et y ont appris consciemment ou non des habitudes et façons de faire. Quand tu vies aussi longtemps dans un même milieu, c'est normal qu'il te façonne à la longue. Certains s'y conforment, d'autres se rebellent.

Par exemple, ça prend combien de temps au bureau avant de prendre les habitudes de la place?

Par contre, autant pour Eeudipe que pour presque tout ce que disait Freud, c'est rendu presque maladif de toujours les citer. Le fait d'avoir grandi dans un milieu familial précis peut aider à expliquer des comportements actuels, mais pas tout expliquer seul. C'est comme de dire que la totalité des habitudes politiques ou sociales de chaque individu sont façonnés entièrement par le type de gouvernement en place.

Pour revenir au sujet, c'est vrai que beaucoup se choisissent un partenaire ressemblant à ses parents. Est-ce normal? Probablement que oui, car c'est après tout le modèle qu'on a eu étant enfant. Est-ce le nerf de la guerre de toute relation amoureuse? Pas du tout! L'expérience personnelle finit par primer sur la façon de voir la vie.

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Je suis certain qu'il y a un impact direct entre la façon d'être actuelle des hommes (et aussi des femmes) par rapport à la façon dont ils ont été élevés par leurs parents. Ils ont quand même, pour la plupart, passé une vingtaine d'années chez eux et y ont appris consciemment ou non des habitudes et façons de faire. Quand tu vies aussi longtemps dans un même milieu, c'est normal qu'il te façonne à la longue. Certains s'y conforment, d'autres se rebellent.

Par exemple, ça prend combien de temps au bureau avant de prendre les habitudes de la place?

Par contre, autant pour Eeudipe que pour presque tout ce que disait Freud, c'est rendu presque maladif de toujours les citer. Le fait d'avoir grandi dans un milieu familial précis peut aider à expliquer des comportements actuels, mais pas tout expliquer seul. C'est comme de dire que la totalité des habitudes politiques ou sociales de chaque individu sont façonnés entièrement par le type de gouvernement en place.

Pour revenir au sujet, c'est vrai que beaucoup se choisissent un partenaire ressemblant à ses parents. Est-ce normal? Probablement que oui, car c'est après tout le modèle qu'on a eu étant enfant. Est-ce le nerf de la guerre de toute relation amoureuse? Pas du tout! L'expérience personnelle finit par primer sur la façon de voir la vie.

Donc, c'est notre capacité de filtrer qui fait que nous puissions occulter l'environnement dans lequel on a vécu? C'est ça qui fait que nous puissions faire la différence entre nos expériences personnelles afin de faire primer notre façon de voir la vie? Finalement, si je comprends bien, la façon dont nous avons été élevés n'a aucune importance tant qu'on en retient que ce qui nous convient et qu'on l'applique dans notre vie?

Je crois que je ne saisis pas très bien ton commentaire, je le trouve plein de contradictions....

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Donc, chers membres, que pensez vous de cette idée en apparence bête et méchante ?

Suffit de fouiller un peu sur internet pour se rendre compte qu'il y a des dizaines de milliers de vidéos, textes érotiques, forums etc. qui traitent du phénomène "mom-son"

C'est encore plus populaire au États-Unis je crois où beaucoup de rednecks passent à l'acte avec leur mère.

Dans le passé à l’adolescence j'ai déjà eu une "aventure" avec une cousine (lointaine) et je m'étais inscrit sur le forum incesttaboo.com pour en discuter. C'est INCROYABLE le nombre de mecs là dessus qui demandent conseils comment faire pour séduire leur mère... Y'en avait de tous les âges (gars de 15 ans - mère de 35 ans, jusqu'à gars de 40 ans mère de 70 ans)

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Suffit de fouiller un peu sur internet pour se rendre compte qu'il y a des dizaines de milliers de vidéos, textes érotiques, forums etc. qui traitent du phénomène "mom-son"

C'est encore plus populaire au États-Unis je crois où beaucoup de rednecks passent à l'acte avec leur mère.

Dans le passé à l’adolescence j'ai déjà eu une "aventure" avec une cousine (lointaine) et je m'étais inscrit sur le forum incesttaboo.com pour en discuter. C'est INCROYABLE le nombre de mecs là dessus qui demandent conseils comment faire pour séduire leur mère... Y'en avait de tous les âges (gars de 15 ans - mère de 35 ans, jusqu'à gars de 40 ans mère de 70 ans)

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Nous savons tous aujourd'hui que si l'approche dans l'exploration de nouvelles avenues de Freud était valable dans son fondement, il était complètement dans le champs dans les deux tiers de ses conclusions (surtout en qui concerne la femme). Je reconnais toutefois la valeur de ses travaux qui à cette époque, étaient plutôt avant-gardistes, c'est évident.

Je ne me lancerai pas ici sur une pseudo théorie explicative des mécanismes qui régissent notre façon de choisir nos partenaires et encore moins sur notre façon de les aimer. C'est beaucoup plus complexe (et personnel) qu'on voudrait bien le croire.

Je m'en tiendrai donc à la portion qui a été abordée dans le sujet en vous rappelant simplement (puisque vous le savez déjà) que nous évoluons tout au long de notre vie et que nos valeurs et intérêts évoluent, elles aussi, en même temps que nous. Ça s'applique également dans notre façon de choisir nos partenaires et de les aimer.

-À 15 ans, on n'a aucune idée de ce qu'on veut.

-À 20 ans, on croit savoir ce qu'on veut.

-À 25 ans, on commence à douter de ce qu'on voulait.

-À 30 ans, on n'est plus sur de ce qu'on voulait, mais on sait très bien ce qu'on ne veut plus.

-À 35 ans, les doutes s'estompent, un à un, pour faire place à des valeurs plus personnelles et mieux définies.

-Et à 40 ans, là, on sait parfaitement ce qu'on veut et sommes prêts à mettre de côté des choses moins importantes pour favoriser une relation.

Est-ce que ça signifie que ça serait normal de changer de partenaire à tout les cinq ans? Bien sur que non!

Par contre ce qui est sur, c'est qu'on évolue pas de la même façon, ni à la même vitesse. C'est pas facile pour un couple de s'ajuster à tout ça en cour de route. Certains y parviennent, d'autres non.

Donc, oui, nous sommes fortement influencés par les valeurs transmises par notre entourage immédiat lorsqu'on est plus jeunes. Mais ça va changer avec le temps pour faire place à un système de valeurs plus personnalisé et c'est parfaitement normal.

N.B. : Tout ce que je viens d'écrire vient d'une réflexion strictement personnelle. Que se soit bien clair.

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La question que je soulève, c'est : si certains des processus qui permet à l'individu de se former sentimentalement étaient rompus ou mal vécus pendant la jeunesse (enfance- préadolescence- adolescence), cela ne bloquerait-il pas l'individu justement au point de modifier l'objet de son désir amoureux étant adulte ?

De ce fait on peut rebondir sur la question : Jusqu'à quel point certains de ces processus d'évolution peuvent-il bloquer l'individu dans sa phase adulte ? Ce dont Freud faisait avant tout mention, avant de parler de complexe d'Oedipe (qu'au passage, il n'a jamais vraiment développé dans un ouvrage unique, mais seulement par mentions) c'est de psychogenèse: l'étude des origines des processus psychiques. Si vous ne croyez pas au complexe d'Oedipe, c'est une chose. Mais ne démentez pas l'influence primordiale de nos parents sur nos existences. Je ne dresse aucune étiquette, chacun a sa propre manière de réagir a cela. En revanche, l'explication Freudienne, bien qu'il ne faille pas la systématiser, est la piste la plus intéressante à observer.

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Si vous ne croyez pas au complexe d'Oedipe, c'est une chose. Mais ne démentez pas l'influence primordiale de nos parents sur nos existences.

Un enfant est, comme il a été fait. Ça c'est clair.

Et il évoluera en fonction de l'héritage reçu au dépars. (à moins qu'un évènement MAJEUR ne vienne changer ça au cour d'une vie)

Et, oui, un blocage est possible et peut parfaitement détourner et corrompre le processus d'évolution, voir même, aller jusqu'à le stopper complètement. J'en ai l'intime conviction.

EDIT: Je serais très intéressé de lire ce qu'Et caetera aurait à dire là dessus.

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Mais ne démentez pas l'influence primordiale de nos parents sur nos existences. Je ne dresse aucune étiquette, chacun a sa propre manière de réagir a cela. En revanche, l'explication Freudienne, bien qu'il ne faille pas la systématiser, est la piste la plus intéressante à observer.

Non, c'est une manière complètement antiscientifique d'aborder une putain d'évidence.

Oui je vais sûrement être influencé par mes parents, mais le complexe d'oedipe brouille complètement les cartes du ''comment'' et du ''pourquoi'' cela se fait.

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C'est du blabla là, c'est aussi argumenté que si je t'envoyais en pleine poire que ta mère est aussi ta soeur. Tu vois, ça brouillerait aussi les cartes du "pourquoi" et du "comment" aussi et ... C'est bon reviens en.

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  • 2 ans plus tard...

Curieusement j'ai fini par totalement assumer le fait d'avoir des goûts en matière de gent féminine qui sont très proches de ceux de Dame Ma Mère.

Soit des codes génétiques très méditerranéens. Ma mère est une ukrainienne du sud, grande et brune et un peu tatare/turque sur les bords.

Ce qui explique probablement ma fascination pour les beurettes et les françaises-random-jolies-brunes. Ces filles banales qu'on croise en soirée mais qui sont relativment stylées et ça fait toute la différence.

Pour ce qui est de mon autre passion, c-a-d les rousses je n'ai strictement aucune explication. Le côté celte, c'est plus mon père (un blondinet/rouquin qui s'est bruni avec le temps).

Et sentimentalement je dirais que j'ai toujours vécu dans la construction par l'opposition saine de ma mère, qui a une mentalité pas mal étroite et qui tire chacune de ses expériences comme un acquis de vie. Ce qui a toujours été contraire à ma logique, même si elle m'a élevé.

Notre relation est clairement oedipienne amicale. Son autorité maternelle s'est fait de plus en plus superficielle, laissant place à une confiance qu'on s'échange mutuellement.

Alors que dans mes relations amoureuses, je suis au contraire à la recherche d'une personne me ressemblant en un maximum de pooints.

Je considérerais les filles que j'ai fréquenté comme de belles filles, avec toujours un truc qui cloche. Souvent des problèmes personnels, concernant la confiance en elles, leur entourage, leur famille etc.

Je ne sais pas comment interpréter ça. Soit je recherche inconsciemment des filles qui me ressemblent, soit j'attire des filles qui me ressemblent. Entre les deux je me vois comme une espèce de cynique dépourvu d'honneur qui prend ce qui lui passe sous la main, et, c'est bien connu, les filles à problèmes sont les plus engagées dans les relations amoureuses.

Bref.

Je ne sais franchement pas quoi penser de ce débat oedipien parce que je pourrais partir avec les certitudes de ce-que-j'ai-vu, et ça n'a pas plus de sens que de deviser entre les chicaneries de profs d'université sur la viabilité de la psychanalyse freudienne.

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