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Survivalisme


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Et je pense que dans une situation absolue comme celle-la, on retrouverait peut etre vite nos vieux réflexes primitifs de débrouillardise; je crois pas a 'je me flinguerais"; je pense que la mémoire génétique reprendrait un peu de power et nous ferait faire des trucs dont on ne se croyait absolument pas capable.

Les grands principes de base de la survie sont les mêmes depuis la nuit des temps. Et même à l'heure actuelle, ces principes nous sont utiles. Je ne vais JAMAIS en forêt sans emporter mon KIT de Survie.

Je connais plusieurs chasseurs qui vont en forêt avec un fusil, un 10 onces de Gin et un cell.

T’essaiera de faire du feu avec un cell...

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Ça doit pas être si facile que ça mais ouais.

C'était d'ailleurs la première technique d'"ingénierie" de feu des premiers peuples sédentaires si je ne me trompe.

10 000 ans d'efficacité ne trompe pas.

Edit:

Et je pense que dans une situation absolue comme celle-la, on retrouverait peut etre vite nos vieux réflexes primitifs de débrouillardise; je crois pas a 'je me flinguerais"; je pense que la mémoire génétique reprendrait un peu de power et nous ferait faire des trucs dont on ne se croyait absolument pas capable.

C'est pas 60 ans de larvisme qui peut tuer des dizaines de milliers d'années de débrouillardise et de survie, j'ose espérer.

Encore là tout dépends de la situation; si on manque de courant un hiver complet il va y avoir beaucoup de morts peu importe notre instict.

Sinon Dantes la batterie du cell peut faire des court-circuits quand tu mets de la laine d'acier au bout ;)

Sinon je ne recommande pas de venir piquer des armes à feu; en générale les propriétaires servent s'en servir ;)

Je vais dédier la batch de 9mm que je suis entrain de reloader à Vagabond :P

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Aux dépotoiriens intéressés à ce sujet, je recommande l'écoute de Doomsday Preppers, une émission documentaire sur des gens qui se préparent à leur fin du monde, que ce soit une crise économique mondiale, une épidémie mortelle, un environnement ultrapollué, le Z-day, une troisième guerre mondiale, etc. Les différentes façons qu'ils envisagent pour être prêts sont intéressantes et les commentateurs du National Geographic amènent leur point de vue. Parfois ridicule, mais souvent bien pertinant.

Je crois que c'est loin d'être fou d'avoir son sac à dos prêt avec un minikit de survie, de la bouffe, de l'eau et de quoi marchander; de quoi fuir pour se mettre à l'abri. Mais plus important encore sont les skills et la santé physique et mentale. Se joindre à des gens de confiance avec des skills complémentaires aux nôtres est certainement un plan gagnant. Tu peux pas courir cent mètres sans tousser et pogner une crampe ? Byebye. Tu CAPOTES dans l'obscurité ? Byebye.

Il sera capital dans de telles situations d'être maître de soi, une machine à survie qui sait user de toute sa débrouillardise et de son intelligence.

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Encore là tout dépends de la situation; si on manque de courant un hiver complet il va y avoir beaucoup de morts peu importe notre instict.

On a quand même fait quelques centaines d'années sans courant et dans des hivers a -40 au Québec.

Mais c'est clair que ça pourrait se jouer sur ça dans certains coins; si tu as déconné pendant l'été, t'es mort en hiver.

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Je préfère de loin le survivalisme style Jack Spirko qui apprends au gens comment jardiner et devenir indépendants des systèmes de la société tout en restant en contact avec sa communaté locale VS le survivalisme "nucléaire" comme James Wesley Rawles qui prône une isolation de la société, un bunker et des rations militaires dans un sous-sol.

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Le meilleur moyen reste encore de se mettre à l'epreuve : il existe des voyages fait pour cela en terres sauvages, tu pars avec des gens qui savent survivre en nature et ils te montrent comment chasser, préparer la nourriture et tout le reste...

C'est une des choses que je veux faire dans ma vie, aller passer un moment en pleine nature à apprendre la survie, puis rentrer chez moi ensuite et prendre une ptain de grosse douche et un vrai repas extra!

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  • 3 semaines plus tard...

J'suis très débrouillarde, et ma famille a un chalet dans l'Nord, pas trop loin de Montréal, donc facilement atteignable même sans possibilité de conduire.

Je sais tirer, prochainement j'aurais mon permis de port d'armes. Je sais très bien faire un feu et le garder vivant des jours et des semaines durant. J'suis aucunement dédaigneuse. Une très bonne connaissance en survie et orientation en forêt. Mon copain est un gars très manuel et débrouillard aussi. Les deux on est en bonne forme physique.

Il me manquerait juste quelques connaissances sur le jardinage, et un cheval.

J'me donne un bon 7-8/10. Mais bon, on peut jamais vraiment savoir sans le vivre.

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En tuant un animal, on a 45 minutes pour le dépecer et le faire cuire avant qu'il ne devienne que bon pour la charogne. (si quelques intéressés à la tentative)

Je survivrais, je suis une vraie, adaptable en tout milieu sociétal, solitaire ravageuse et équipée; vu ma connaissance poussée des matériaux et de leur utilité. Je courrais les champs comme une vraie viet-kong, couper les talons au haut-possible.

Me masturber? Un bout de bois couvert de vers pour la sensation délicieuse du remous vaginal.

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En tuant un animal, on a 45 minutes pour le dépecer et le faire cuire avant qu'il ne devienne que bon pour la charogne. (si quelques intéressés à la tentative)

Je ne sais pas d'ou viennent tes sources, mais elles sont plutôt sévère avec ton 45 minutes.

Je donne pour exemple un orignal. Il doit être saigné (incision à la gorge pour écouler le sang), préférablement, dans les 30 minutes suivant sa mort. Suite à cela, dépendemment de ou il a été abattu, il est quasi impossible qu'il soit vider et couper en quartier d'ici les 45 minutes suivant sa mort. Le temps d'allé chercher l'équipement, de s'installer et de tout faire, on peut facilement se rendre à 2h plus tard. Je vais éviter de commenter la parties ou tu dis qu'il faut le faire cuire immédiatement.

En période de canicule, je dois avouer qu'on peut avoir un problème. Il faut éviter de tuer un orignal. Vaut mieux s'attaquer à un lièvre ou autre animal qui sera bon que pour un repas.

Le meilleur animal pour la survis en forêt est le porc-épic. Il est facile à pister et une fois que tu l'as trouver, tu n'as qu'à l'assomé avec un bout de bois. De plus, c'est un des rares animaux que l'on peut manger crue sans soucis.

Si jamais une catastrophe nous poussait au survivalisme, j'essaierais de me sauver le plus loin possible de la vie humaine.

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Ça dépend des "règles" entourant le contexte.

Parce que bon, il y a une différence entre un apocalypse nucléaire, une maladie qui tue presque tous les humains mais où je fais partie des quelques chanceux immunisés et un monde avec des zombies.

Au fond, ça dépend du niveau de "danger" que représente le monde extérieur.

Parce que si demain matin je me lève et je constate que les humains ont disparu, j'vais probablement survivre un certain temps à trainer des guns pour me défendre des animaux sauvages, ramasser des conserves pour pas mourir de faim dans les débuts pour me trouver un coin relativement éloigné pour me constuire un ptit jardin à partir des graines que j'aurai trouvé dans des magasins abandonnés et des connaissances en jardinage et survie que j'aurai trouvé dans des livres qui trainent dans des librairies.

Plus t'ajoute de la pression, comme par exemple une nécessité d'entrer en compétition avec d'autres pour obtenir l'accès à des ressources très limités, c'est clair que je fais pas long feu (à moins d'être crissement chanceux)

Encore moins si en plus quand je met le pied dehors je cours la chance de me faire manger par un zombie.

Dans un contexte "grande île déserte et sauvage pas envahie d'animaux particulièrement dangereux", je dirais que mes chances de survies seraient moyenne.

Et dans le contexte de l'île de Gilligan où je peux essentiellement reproduire mon mode de vie nord-américain si j'arrive à produire des objets suffisamment ressemblant avec des morceau de bambou et des lianes, alors là mes chances de survie sont très élevée. (je vous écrit de mon iPad en bambou).

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7,5 de mon coté; j'ai un physique mais j'ai peu de connaissances satellites; mais je saurais m'entourer et apprendre.

Je pense pouvoir être sans pitié dans certaines situations pour pas que des connards me survivent.

Et ça se joue un peu la dessus non ? Jusqu’où peut-on dépasser notre 'bon' pour survivre.

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L'humain occidental moderne est tellement fragilisé par son confort et sa technologie qu'il sera probablement le premier à y passer en cas de catastrophe majeure, malgré toutes ses machines et son kit de survie de La Cordée. Le gros taupin armé jusqu'aux dents, qui s'entraîne 6 fois semaine et qui se met du Purrell chaque fois qu'il touche une poignée de porte, va peut-être bien crever deux semaines après en chopant un virus. Ou bien il va faire une dépression et se tirer une balle parce qu'il peut pas supporter de vivre dans un monde sans shampoing, sans hockey et sans Tim Hortons.

Le petit maigrichon du Bengladesh qui vit le cul dans l'eau contaminée à l'E-coli 6 mois par année et qui mange un bol de riz aux deux jours a plus de chances de survivre. Il vit déjà dans un environnement sinistré anyways.

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Survivre à court terme oui, mais dans ces pays-là ceux qui vivent dans ces conditions meurent en moyenne à 30 ans aussi.

Il y a du bon dans les deux.

C'est vrai que vivre dans les maladies et les microbes ça forge le système mais jusqu'à un certain point seulement. C'est pas toutes les maladies qui peuvent avoir un immune. Et au contraire, nos règles sanitaires évitent bien des problèmes inutiles et bien des morts stupides, mais l'excès de propreté n'est pas mieux car il rend le système immunitaire trop fragile et allergique à tout.

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  • 3 semaines plus tard...

J'ai passé proche de faire un choc anaphylactique suite à 2 piqûres de guêpes.

Avant j'étais plutôt passive en compagnie de guêpes. Maintenant, dès que j'en vois une, je m'éloigne le plus rapidement possible et j'attend qu'elle soit partie.

Je suis aussi allergique aux fruits de mer, et intolérante à l'huile d'olive, alors chaque sortie au restaurant, ou chaque souper chez quelqu'un, c'est automatique que je vérifie avec la personne chaque ingrédient un par un.

Je ne sais pas qu'est-ce qui m'a traumatisé à ce point, mais j'ai une phobie de la noirceur.

J'ai une phobie d'avoir de quoi qui me rentre dans l'oeil. Faut vraiment pas que je m'assoie trop proche d'un feu, sinon je passe la soirée à cacher mes yeux à chaque étincelle. Ça non plus je ne sais pas d'où ça vient.

Je me suis pris le doigt (oui LE, car c'est toujours le même maudit) à tellement de places. Foulé, tordu, cassé, ongle qui tombe, ... Je fais extrêmement attention quand je manipule quelque chose de lourd, j'ai trop peur de me pogner les doigts tout l'temps.

J'suis très débrouillarde, et ma famille a un chalet dans l'Nord, pas trop loin de Montréal, donc facilement atteignable même sans possibilité de conduire.

Je sais tirer, prochainement j'aurais mon permis de port d'armes. Je sais très bien faire un feu et le garder vivant des jours et des semaines durant. J'suis aucunement dédaigneuse. Une très bonne connaissance en survie et orientation en forêt. Mon copain est un gars très manuel et débrouillard aussi. Les deux on est en bonne forme physique.

Il me manquerait juste quelques connaissances sur le jardinage, et un cheval.

J'me donne un bon 7-8/10. Mais bon, on peut jamais vraiment savoir sans le vivre.

dora-images-8.jpg

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Le meilleur animal pour la survis en forêt est le porc-épic. Il est facile à pister et une fois que tu l'as trouver, tu n'as qu'à l'assomé avec un bout de bois. De plus, c'est un des rares animaux que l'on peut manger crue sans soucis.

J'ai souvent entendu ça mais c'est un mythe.

Que de fois ai-je entendu dire sur un ton d'enseignant féru de savoirs rares que la chair du porc-épic est la seule viande sauvage que l'on peut manger crue. C'est faux. Le porc-épic est tout simplement facile à attraper. Il n'est pas de chairs sauvages qui ne puissent être mangées crues!

Source

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J'ai souvent entendu ça mais c'est un mythe.

Que de fois ai-je entendu dire sur un ton d'enseignant féru de savoirs rares que la chair du porc-épic est la seule viande sauvage que l'on peut manger crue. C'est faux. Le porc-épic est tout simplement facile à attraper. Il n'est pas de chairs sauvages qui ne puissent être mangées crues!

Source

Facile à attraper sûrement, mais have fun à le dépecer pas de gants.

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Facile à attraper sûrement, mais have fun à le dépecer pas de gants.

Ah mais je prendrais soin de m'en gosser une paire avec de la couenne de cochon.

Sinon, question de survie, je ne vois pas ce que je ferais de bien différent de ce que je fais déjà. À part pour les commodités comme l'électricité et l'eau courante, j'ai déjà ma maison à la campagne, je suis entourée de boisé, je suis près de plusieurs cours d'eau, je chauffe déjà au bois et je cultive mon potager. En plus de tout ce que je possède, je m'organiserais pour avoir quelques animaux, de l'huile à lampe, des allumettes et de la bonne compagnie avec qui tricoter toute la journée.

Je pense que je réussirais à m'en sortir pas trop mal mais clairement pas toute seule. J'offrirais le gîte à quelques personnes dont les skills pourraient être utiles au groupe. Bref, chacun aurait sa force dans un domaine précis.

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