Aller au contenu

Égalité des sexes : le paradoxe norvégien


DreD
 Partager

Déchet(s) recommandé(s)

Une chose cependant que je regrette au Québec, c'est la volonté de remplir artificiellement le quota dans certains ministères. Je crois que nous ne devrions pas exiger un ratio 50 % homme 50 % femme dans les métiers. Les métiers doivent être ouverts aux deux, sans discrimination, mais le résultat final doit refléter les valeurs des individus. Je préfère avoir les gens les plus compétents dans les postes.Si une compagnie met une femme à la tête, je veux que ce soit parce qu'elle est compétente, non parce que c'est rendu une "obligation". Même chose de l'autre côté, si l'homme est plus compétent, prenez-le. Si c'est la femme, prenez-la.

c'est bien joli ta façon de penser, mais la réalité du marché des emplois haut-qualifiés n'est pas aussi rose.

il y a plusieurs raisons qui peuvent expliquer l'écart salarial des genres: les femmes font davantage des choix privilégiant la famille au détriment de leur carrière; elles choisissent d'occuper des emplois dans des domaines qui, pour une raison ou une autre, paient moins que les emplois que les hommes ont tendance à choisir (soutien administratif, enseignement, aide aux personnes en difficulté versus sciences pures, construction, gestion).

ce sont quelques raisons qui expliquent probablement en grande partie l'écart salarial entre femmes et hommes. dans les pays très égalitaires comme le Canada ou la Norvège, je crois que ce sont des disparités qui résultent de choix personnels relativement libres (que la raison soit biologique, sociale/culturelle ou les deux), qui n'est pas particulièrement problématique (évidemment, étant une fervente défenseure de l'égalité sociale des genres, je considère que c'est un problème dans les pays non-égalitaires où la femme subit de la pression ou est amenée à croire que son "rôle" se borne à rester à la maison ou occuper des emplois traditionnels)

dans les pays égalitaires, le problème survient à la marge, lorsque des études démontrent que ces écarts sont à un certain niveau redevable à la discrimation des genres dans l'emploi. des études démontrent que les femmes font l'objet de discrimination, d'une part, en pré-emploi: préférence à engager un homme, jugement par rapport au physique (une belle femme a moins de chance d'obtenir l'emploi ou même de décrocher une entrevue qu'une femme ordinaire ou un homme). d'autre part, elles font face à de la discrimination dans l'emploi.

la discrimination dans l'emploi est particulièrement présente lorsqu'il s'agit d'emplois haut-qualifiés, où l'employée doit gravir les échelons pour occuper les emplois de leader les plus prestigieux et les plus payants. l'effet plafond de verre crée des barrières qui empêchent une femme d'occuper un poste de CEO, par exemple. le plafond peut prendre plusieurs formes, dont une culture d'entreprise axée sur les hommes (le fameux "boys club" dans les firmes d'avocats, de finance ou les CA, par exemple). la perception sociale plus sévère envers les femmes crée aussi des obstacles : une étude de David Hekam montre que les clients étaient à 19% plus satisfaits d'un service identique lorsqu'il était prodigué par un homme versus une femme. lorsqu'il s'agit de promotion, les employeurs vont davantage être axés sur les réalisations professionnelles d'un candidat féminin, tandis que pour un candidat masculin, ils vont beaucoup regarder son potentiel. pour avancer, les femmes devront donc davantage prouver leur compétence via des réalisations professionnelles quantifiables alors que les hommes pourront plutôt démontrer leur potentiel via, par exemple, une personnalité entregente et fonceuse. il y a beaucoup d'autres études sur le sujet que vous pourrez trouver dans la page Wikipédia ou en faisant une recherche rapide.

les politiques de discrimination positives ne sont pas juste là pour établir un équilibre statistique dans le marché de l'emploi mais aussi pour corriger une perception sociale traditionnellement défavorable envers les femmes en favorisant l'intégration graduelle des femmes dans des professions à dominance masculine. du coup, elles seront peut-être aussi à même de surmonter leur manque de confiance à occuper des postes de leader. en ce sens, je ne crois pas que les vidéos présentées dans ce sujet seraient de nature à invalider les politiques de discrimination positive, dans la mesure où leur objectif n'est pas de changer les préférences "naturelles" des femmes et des hommes dans certains domaines, mais de changer les perceptions négatives dans certains domaines qui empêchent certaines femmes d'avoir la carrière qu'elles veulent et d'y être heureuses. évidemment, ça peut autant s'appliquer dans des domaines à dominance féminine dans lequel les hommes subissent de la discrimination.

je suis persuadée que notre société est encore sclérosée par des opinions négatives sur les femmes en emploi, même si elles se manifestent de façon beaucoup plus subtiles (ton opinion sur les femmes dans les professions stressantes, par exemple). combien de fois j'ai senti qu'on remettait en question l'intelligence ou la crédibilité d'une femme en s'appuyant sur des critères stéréotypés comme son apparence ou une phrase mal placée, que j'ai vu des milieux d'emploi qui ressemblaient à des petits boys club restreints. c'est aussi difficile d'empêcher un employeur de considérer l'éventualité que la jeune diplômée qu'il reçoit en entrevue puisse tomber enceinte.

Et que propose le féminisme?

D'entrer sur le terrain du conflit et d'accroître les rapports de pouvoir en espérant en retirer quelque chose.

s'agit-il d'une blague ou d'une méconnaissance du féminisme?

  • J'aime! 2
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Première fois que je vois un débat intéressant à On est pas couché. Le sujet est passionnant. Ty!

Je trouve cette vidéo nulle a chier, mon cher Vacpower. Comme il ne s'agit pas vraiment du débat, je réponds à cela en mode spoiler; en revanche, je ne sais pas ce qui te permets d'affirmer qu'en France ou en Europe on est moins capable de reconnaître l'importance biologique dans la question du genre. Si c'est ton prof qui dit ça, soit prêt à lui imposer ton légendaire scepticisme, cela ne lui ferait pas de mal je crois.

Reportage à l'appui, il passait justement ce matin sur TV5 monde (gros hasard drôle): http://www.mytivi.fr...-du-181012.html > 51m40 : Une expérience significative (de Gerianne Alexander) avec des singes, des poupées et des camions, un constat forçé sur la nature biologique des différences de genre, et cette phrase qui m'a fait sourire: "Un courant de pensée qui a été adopté aux EU, mais aussi en France".

r-GENDER-TOYS-large570.jpg

Ma foi...

Ce qui est systématique, d'ailleurs, c'est qu'avec Freud tout le monde s'acharne sur la psychanalyse dans son total absolu et c'est dans la vie personnelle de l'homme qu'on va chercher de quoi renier le contenu, ce que je trouve ridicule; en réalité c'est tout le travail d'un médecin (et des nuances qu'il faisait, parce qu'on lui fait dire tout un tas de choses sur lesquelles lui même mettait des réserves strictes) qu'on jette a la poubelle sans respect ni scrupules.

Dire que "Cela ne marche pas", c'est une attitude "négationniste" stérile et désinformée. C'est tellement vide d'argument que ça devrait réveiller ta suspicion, mais bon.

Le complexe d'oedipe est observable chez tous les enfants ou presque, c'est le rapport empirique que j'en ai et que d'autres plus expérimentés que moi en ont eu: tu te foutais de Dolto l'autre fois, mais comment oublier qu'elle a consacré une bonne partie sa vie à étudier sur le terrain les différents stades du développement infantile? Que l'Oedipe soit une invention de Freud en rapport à sa propre vie, oui, mais ce n'est pas faux pour autant: le complexe d'Oedipe repose sur le tabou fondamental de l'inceste , commun à toutes les sociétés; il existe des résultats concrets d'après les observations de ses successeurs (Jung développe le complexe d'Electre sous la tutelle de Freud, Dolto évoque la notion de castrations symboligènes, Lacan fait évoluer la théorie en disant que l'Oedipe est à comprendre comme une structure qui permet l'accès au symbolique, où la nature du père et sa représentation devient une structure pour l’individu; même Levi Strauss dans son livre "Structures de la parenté" confirme que le tabou de l'inceste existe dans toutes les sociétés, ce qui supplée le point de vue de Lacan dans son évolution d'Oedipe freudien), qu'on les occulte montre qu'on préfère diaboliser Sigmund Freud dans ce qu'il a de plus humain, je dirais, plutôt que de faire soit même les mises a jour sur la psychanalyse depuis sa création. C'est une "technique" perfectible qui a surtout amené notre manière d'appréhender le conscient par l'inconscient, elle est donc soumise a la qualité des gens qui l'exercent, l'étudient et la font évoluer; elle a parfaitement lieu d'être, d'autant que le transfert, la projection, le refoulement, la sublimation, la dénégation, l'identification, ou les actes manqués sont d'incroyables trouvailles freudiennes qui n'ont rien perdu de leur réalité empirique un siècle plus tard... Je te défis de me trouver de quoi qui le contredise sérieusement, Vacpower.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je trouve cette vidéo nulle a chier, mon cher Vacpower. Comme il ne s'agit pas vraiment du débat, je réponds à cela en mode spoiler; en revanche, je ne sais pas ce qui te permets d'affirmer qu'en France ou en Europe on est moins capable de reconnaître l'importance biologique dans la question du genre. Si c'est ton prof qui dit ça, soit prêt à lui imposer ton légendaire scepticisme, cela ne lui ferait pas de mal je crois.

Reportage à l'appui, il passait justement ce matin sur TV5 monde (gros hasard drôle): http://www.mytivi.fr...-du-181012.html > 51m40 : Une expérience significative (de Gerianne Alexander) avec des singes, des poupées et des camions, un constat forçé sur la nature biologique des différences de genre, et cette phrase qui m'a fait sourire: "Un courant de pensée qui a été adopté aux EU, mais aussi en France".

r-GENDER-TOYS-large570.jpg

Ma foi...

Ce qui est systématique, d'ailleurs, c'est qu'avec Freud tout le monde s'acharne sur la psychanalyse dans son total absolu et c'est dans la vie personnelle de l'homme qu'on va chercher de quoi renier le contenu, ce que je trouve ridicule; en réalité c'est tout le travail d'un médecin (et des nuances qu'il faisait, parce qu'on lui fait dire tout un tas de choses sur lesquelles lui même mettait des réserves strictes) qu'on jette a la poubelle sans respect ni scrupules.

Dire que "Cela ne marche pas", c'est une attitude "négationniste" stérile et désinformée. C'est tellement vide d'argument que ça devrait réveiller ta suspicion, mais bon.

Le complexe d'oedipe est observable chez tous les enfants ou presque, c'est le rapport empirique que j'en ai et que d'autres plus expérimentés que moi en ont eu: tu te foutais de Dolto l'autre fois, mais comment oublier qu'elle a consacré une bonne partie sa vie à étudier sur le terrain les différents stades du développement infantile? Que l'Oedipe soit une invention de Freud en rapport à sa propre vie, oui, mais ce n'est pas faux pour autant: le complexe d'Oedipe repose sur le tabou fondamental de l'inceste , commun à toutes les sociétés; il existe des résultats concrets d'après les observations de ses successeurs (Jung développe le complexe d'Electre sous la tutelle de Freud, Dolto évoque la notion de castrations symboligènes, Lacan fait évoluer la théorie en disant que l'Oedipe est à comprendre comme une structure qui permet l'accès au symbolique, où la nature du père et sa représentation devient une structure pour l’individu; même Levi Strauss dans son livre "Structures de la parenté" confirme que le tabou de l'inceste existe dans toutes les sociétés, ce qui supplée le point de vue de Lacan dans son évolution d'Oedipe freudien), qu'on les occulte montre qu'on préfère diaboliser Sigmund Freud dans ce qu'il a de plus humain, je dirais, plutôt que de faire soit même les mises a jour sur la psychanalyse depuis sa création. C'est une "technique" perfectible qui a surtout amené notre manière d'appréhender le conscient par l'inconscient, elle est donc soumise a la qualité des gens qui l'exercent, l'étudient et la font évoluer; elle a parfaitement lieu d'être, d'autant que le transfert, la projection, le refoulement, la sublimation, la dénégation, l'identification, ou les actes manqués sont d'incroyables trouvailles freudiennes qui n'ont rien perdu de leur réalité empirique un siècle plus tard... Je te défis de me trouver de quoi qui le contredise sérieusement, Vacpower.

T'a beau avoir toutes les spécialistes que tu veux, si leurs techniques est pas scientifique, désolé, mais oui ils sont aussi dans le tort.

Oui, on enseigne des faussetée constamment, et tout ce qui est autour de la psychanalise et freud en font partie, beaucoup trop en France d'ailleurs. Parce qu'ailleurs justement on passe pus notre temps à s'astiner sur Oedipe, parce que ya tellement rien pour l'appuyer que c'est évident que c'est à rejeter.

C'est sur que si tu veux y croire, tu vas être capable d'interpréter tout ce que tu observe comme si c'était une preuve de ça. De la même manière que quelqu'un va interpréter sa réalité en fonction d'une croyance en Dieu ou encore dans l'astrologie.

La psychanalise marche. Un placebot aussi pour certaines personnes. La religion aussi pour d'autres. (Tous des mensonges, soit dit en passant).

Cependant, même si les mensonges et illusions peuvent avoir un effet sur le mental de l'être humain, il n'en demeure pas moins qu'on peut quand même arriver à de biens meilleurs résultats si à la base on connait mieux l'humain et qu'on base une théorie sur des faits. Mais ça on y arrivera jamais tant qu'on va continuer de refuser de tasser les fabulations de Freud du chemin.

D'autre part, j'ai jamais dit que tous les universitaires français étaient dans le déni. Mais que ya un pan bien trop important qui l'est encore, qui a beaucoup trop d'influence par rapport à ce qu'ils devraient.

  • J'aime! 2
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Franchement, cher ami, je crois qu'être une mule au nom d'une autre sainte science, sans nom ni visage, ne permets aucun doute dans la vie, c'est pourquoi je conçois donc ta position. J'espère te lire à nouveau t'énerver sur les bons tons scientifiques à écouter, sans d'autant plus participer au débat ci présent. Si je juge que cela ne m'apportera rien de plus de bon à croire à d'autres éventuels mensonges, c'est que ma condition de femme avait sans doute génétiquement prédéfini ce choix #thread

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

La fameuse méthode scientifique, celle qui oblige à bien mener les observation, à bien documenter, à bien contre vérifier absolument tout ce qu'on affirme et à toujours être ouverts à toute nouvelles données vérifiables qui viendrait nous contredire.

Dans quelle secte me suis-je embarqué !?

  • J'aime! 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

La fameuse méthode scientifique, celle qui oblige à bien mener les observation, à bien documenter, à bien contre vérifier absolument tout ce qu'on affirme et à toujours être ouverts à toute nouvelles données vérifiables qui viendrait nous contredire.

Dans quelle secte me suis-je embarqué !?

la-structure-des-revolutions-scientifiques_couv.jpg

Ce livre pourrait t'aider à mieux cerner et nuancer l'axiome que tu sacralises depuis le début.

  • J'aime! 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Axiome: proposition évidente impossible à démontrer, à prouver par un argument. Exemple: Réflexivité de l'égalité -» Si a est égal à b, alors b est égal à a. Évident, mais impossible à prouver par un argument.

Théorie: construction intellectuelle expliquant tous les faits connus d'un domaine et permettant de prévoir des faits nouveaux qui se sont révélés vrais. Par exemple, l'hypothèse de la relativité est devenue une théorie quand on a constaté durant une éclipse, que la position apparente de la planète Mercure était fausse quand la planète passait derrière le soleil, parce que tel que le prévoyait la relativité, sa lumière était déviée par la masse du soleil. C'est alors que l'hypothèse de la relativité est devenue la Théorie de la Relativité Générale. Remarquez que cette théorie ne rendait pas fausse la théorie de la Gravité Universelle qui prévalait jusqu'alors, mais qu'elle la complétait et l'englobait. Une théorie ne peut pas devenir fausse, selon la méthode scientifique. Elle ne peut qu'être englobée par une théorie plus générale. À l'ultime, la méthode scientifique vise à une Théorie Universelle qui explique tout à partir d'un très petit nombre de lois.

Modifié par Doupirate1
  • J'aime! 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

la-structure-des-revolutions-scientifiques_couv.jpg

Ce livre pourrait t'aider à mieux cerner et nuancer l'axiome que tu sacralises depuis le début.

En quoi Kuhn est une critique pertinente à ce que j'ai affirmé et ce que je critique et défend ? Explique le, parce qu'en ce moment on a l'impression que t'es dans le secret des dieux et que tu refuse de le partager parce qu'on est tellement pas prêt. Tu colle des -1 à tout le monde parce que t'aime pas ça débattre ?

Parce que justement, c'est un signe que ton paradigme commence à crissement être usé et va devoir bientôt partir quand t'arrive même plus à trouver une façon d'intégrer les données empiriques avec les bases de la théorie paradigmatique.

  • J'aime! 3
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

En quoi Kuhn est une critique pertinente à ce que j'ai affirmé et ce que je critique et défend ? Explique le, parce qu'en ce moment on a l'impression que t'es dans le secret des dieux et que tu refuse de le partager parce qu'on est tellement pas prêt. Tu colle des -1 à tout le monde parce que t'aime pas ça débattre ?

Parce que justement, c'est un signe que ton paradigme commence à crissement être usé et va devoir bientôt partir quand t'arrive même plus à trouver une façon d'intégrer les données empiriques avec les bases de la théorie paradigmatique.

Les verves du premier groupe prennes un «s» à la deuxième parsonne du sein gulier de l'indicatif.

«Théorie paradigmique»: oxymoron

Squoiça? Depuis quand, un paradigme ( exemple: la terre est plate comme tout le monde le savait, il y a à peine 300 ans) est une théorie? Un peu de rigueur et un peu moins de démagogie et de n'importe-quoi SVP

Modifié par Doupirate1
  • J'aime! 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il n'y a qu'une seule théorie scientifique.

C'est toi qui t'en es réclâmé, pas moi.

Y'a pas mal de monde qui nivellent par le bas dans le domaine des «sciences» humaines. Si vous vous réclâmez de la science, ben, conformez-vous à sa méthode et cessez de pérorer en vous réclamant de faux-fuyants pour excuser votre paresse.

J'espère que ton rouge a soulagé ta peur de ta propre turpitude.

,

Modifié par Doupirate1
  • J'aime! 3
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Et aussi, la théorie scientifique (disons la méthode scientifique empirique moderne) est une chose en soi complètement différente et non-relié au langage utilisé pour la décrire.

Peux-tu étayer ce point? Je ne saisis pas du premier coup ce que tu veux dire et je suis curieux.

  • J'aime! 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je veux dire, la méthode scientifique est un concept indépendamment du langage pour la décrire. Une façon simple d'exemplifier ça serait de dire qu'elle reste "la même chose" même si on l'explique en français, en anglais, en allemand, etc. Au fond, une façon de dire que l'utilisation du mot théorie ne soit pas fixé de façon parfaite n'influence en rien le point en lui-même sur la méthode scientifique.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

La méthode scientifique serait indépendante du langage? Voilà qui est surprenant. Attention aussi de ne pas confondre langage et langue. Mais, il me semble plutôt que la méthode scientifique soit, en soi, un langage, non?

(Désolé de faire dévier le sujet.)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je veux dire, la méthode scientifique est un concept indépendamment indépendent du langage pour la décrire. ( C'est comme dire que le concept de crétin est indépendant du protagoniste) Une façon simple d'exemplifier ça serait de dire qu'elle reste "la même chose" même si on l'explique en français, en anglais, en allemand, etc. Au fond, une façon de dire que l'utilisation du mot théorie ne soit pas fixé de façon parfaite n'influence en rien le point en lui-même sur la méthode scientifique. Woot?

Moi, je crois que la synthèse de l'amalgame des différents points de vue tous aussi valides dépendamment du point de vue permettant d'en venir à un point de vue unanime partagé d'un concensensus minioritaire de conformité à l'opinion que vous aurez. Voilà!

Modifié par Doupirate1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

La méthode scientifique serait indépendante du langage? Voilà qui est surprenant. Attention aussi de ne pas confondre langage et langue. Mais, il me semble plutôt que la méthode scientifique soit, en soi, unlangage, non?

(Désolé de faire dévier le sujet.)

J'utilise "langage" dans sa définition courante, je crois que c'est quand même clair.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Moi, je crois que la synthèse de l'amalgame des différents points de vue tous aussi valides dépendamment du point de vue permettant d'en venir à un point de vue unanime partagé d'un concensensus minioritaire de conformité à l'opinion que vous aurez. Voilà!

Oui j'écris vite (je cuisine en même temps). J'ai changé ma phrase en cours de route, au départ j'allais dire " est un concept "en soit", indépendamment ... ". Je me suis mélangé.

Peux-tu en revenir ?

  • J'aime! 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Veuillez vous connecter pour commenter

Vous pourrez laisser un commentaire après vous êtes connecté.



Je veux revenir!
 Partager

×
×
  • Créer...