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Le parc Émilie-Gamelin


Déchet(s) recommandé(s)

LISE RAVARY - 25 JUILLET 2013

J’ai parlé à des policiers qui m’ont confirmé que le parc Berri est l’épicentre de la drogue au centre-ville. Un d’entre eux me racontait avoir arrêté un revendeur venu de l’Australie. Là-bas, on lui avait recommandé de s’installer au parc Berri, que les affaires y étaient bonnes. À certains endroits, et à certaines heures, le parc Émilie-Gamelin, ou Berri, prend des allures de carré Viger. Le problème des drogués, des paumés, des alcooliques ne va pas disparaître parce qu’on les repousse hors des zones touristiques et commerciales. Je comprends qu’on aime avoir l’air cool et ouverts mais se trouve la frontière entre la tolérance et la négligence ? Quel message cela envoie-t-il à la population ? Que Montréal est une ville où les lois ne sont appliquées ? Je ne suis ni sociologue, ni urbaniste, et encore moins policière, mais ce que j’ai vu aujourd’hui, ressemblait beaucoup plus au paysage urbain de Detroit.

accueilbonneau.jpg

Croyez-vous que les policiers ont peur de faire leur boulot vu qu'ils risquent de se faire piquer avec une seringue souillée et passer des mois à s'en remettre avec une trithérapie préventive ? Croyez-vous qu'il faudrait éloigner les itinérants du centre-ville et son trop plein de tentation en interdisant la mendicité et en déménageant/répartissant les centres pour l’itinérance dans différents quartiers quitte à leur offrir la navette ? Y-a-t-il un parti politique avec une vision claire du problème ?

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il y a déjà des policiers stationnés à ce Parc chaque jour, je ne me suis jamais sentie en danger en passant par là et ce n'est pas un endroit réputé pour être violent en plein jour, surtout pas compte tenu de la multiplicité des visages qui y circule, y compris des étudiants, des travailleurs, des touristes et des clubbeux du village.

je croyais que c'est un fait bien connu que les policiers concentrent leurs énergies à intervenir au stade de la production de la drogue, en ciblant les gros fournisseurs et les gros trafiquants, et non pas au stade de sa distribution par les petits revendeurs. et encore moins au stade de sa consommation par les particuliers, où ils sont, malgré la loi et à bon escient, extrêmement permissifs. et comparer le quartier latin de Montréal au quartier Dix 30, un centre commercial en plein milieu de la cossue banlieue de Brossard, ça n'a aucun sens. comparer ça à l'autre extrême limite, soit le Bronx ou Detroit, un quartier et une ville qui croulent sous le chômage et l'extrême pauvreté, you must be fucking kidding me Lise.

elle n'aime pas les squatteux du parc Émile Gamelin parce qu'elle trouve ça laid et que ça dérange ses doux yeux de brebis bourgeoise. pas parce que ça pose un problème en particulier. si elle veut voir des belles choses à Montréal, qu'elle aille se promener dans le Vieux-Montréal, à Place des Arts ou sur le overrated Plateau. les beaux spots propres et nets de son genre ne manquent pas. bref, qu'elle ferme sa gueule et laisse le monde vivre.

Y-a-t-il un parti politique avec une vision claire du problème ?

oui.

celui de Trudeau est définitivement sur la bonne voie.

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C'est une bonne chose que Émile-gamelin soit un marché de dope

tant que c'est pas légalisé faut bien que les touristes puissent se procurer de la drogue

J'arrive pas a dire si tu niaises ou pas et j'arrive pas a décider si je suis d'accord ou pas

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Je pense pas que les touriste sachent que c'est le spot pour avoir de la drogue... sachant que si tu demande ou aller a n'importe qui , tout le monde te deconseillera ce coin là...

Carré St-Louis c'est plus safe. Sinon, Hochelaga, à tout les coins de rues dans le sud. À chaque fois qu'on me quête un clope, je demande un numéro.... toujours concluant.

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Effectivement c'est un coin trash, et pas seulement le parc. Dans le quartier il y a pleins de salons de massage et d'hôtels cheaps, y'a beaucoup de misère et de violence.

Y'a environ trois semaines j'étais chez moi et j'ai entendu une femme hurler à l'aide. Je suis sortie (comme pleins d'autre gens, une maudite chance) et c'était une femme dans la cinquantaine accroupie par terre avec un espèce de taré dans la trentaine qui voulait la battre parce qu'elle lui devait 20$ et qu'elle refusait de faire une pipe pour lui rembourser. Il voulait forcer cette femme à se prostituer et parce qu'elle refusait il allait la battre. Elle a demandé qu'on appelle la police et quand ils sont arrivés, ils ont simplement posé quelques questions à la femme et à l'homme, ils ont demandé à la femme de quitter puis ils ont laissé partir le gars 5 minutes après. Ça ne prend pas la tête à papineau pour catcher que le gars a retrouvé la femme et lui a fouttue une sale raclée. Tout ça s'est déroulé en face d'un petit parc et dans la même semaine, une femme dans la trentaine y a été trouvée morte.

Nettoyer le parc Émilie-Gamelin ? Ça ne fait que changer le problème de place. Puis ce n'est pas tant ça le problème, le vrai problème, c'est la misère, la pauvreté. La toxicomanie, la prostitution, la violence, ce ne sont que les conséquences. Alors la police en pogne un (ou une) par-ci par-là, ils "contrôlent" la chose, mais ne pourront jamais la régler. Puis je crois que le fait que ce soit autant visible (à Élimilie), ça leur facilite sûrement la tâche.

Comme Ecce le dit, ce n'est pas comme si les petits junkies leur causait vraiment problème, en autant qu'ils se tiennent tranquilles. Ils se concentrent plus sur les gros vendeurs.

Mais bon, nouveau projet, t'as plutôt l'air de t'en fouttre du sort de ces gens-là. " Oh mon dieu, de la pauvreté, c'est ben trash, j'veux pô voir ça :'( Faut faire quelque chose! " Oui, t'as raison, faut faire quelque chose et y'a deux options : Soit on va à la source du problème, la pauvreté, et qu'on le règle. " Oui mais Maude, c'est impossible d'enrayer la pauvreté ". Okay, okay. L'autre option c'est la tolérance zéro et de nettoyer ces zones-là. Le problème ne sera plus visible mais ils sera toujours là, et la conséquence (une des conséquences) de ça, ce sera que la vie de ces gens sera encore plus précaire (difficulté à se procurer de la drogue/en vendre) donc une augmentation de la violence (pour ça et diverses autres raisons qu'il faudrait étudier). Balayer la place n'est pas profitable pour les pauvres et ça ne l'est pas non plus pour la police mais là, je ne pourrais pas dire pourquoi.

J'espère que t'es pas sérieuse quand tu dis te demander si la police a peur de se faire attaquer à coups de seringues souillées. Comme si ces gens-là étaient juste des vermines qui sauteraient sur n'importe qui.

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J'étais pris à Berri vu la panne de métro. J'ai parlé à une fille dans la gare qui me dit d'aller manger gratuitement dans le parc pour passer le temps. Je me suis dit que si elle mangeait là, moi aussi je pouvais, mais dans la file, avec mon assiette de styromousse, j'avais hâte de m'éloigner des visages étranges qui m'entouraient. Je me rappelle de deux gars qui se disaient que c'était seulement ceux qui ont un loyer à payer qui prennent la peine de venir chercher de la bouffe gratis.

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(modifié)

Mais bon, nouveau projet

Tout d'abord merci pour ton post. Ça l'air de venir du fond du coeur. Tk. Ça m'a inspiré un étron plus gros que je pensais.

Non je suis pas sérieuse quand je dis que les policiers ont peur quoi que les femmes policières sont réputés être vite sur la gâchette avec leur gun à eau. M'es d'avis que c'est un faux dilemme ton histoire de deux options. Tu oublies que le centre ville est un aimant à SDF toxico-mentalo disjoncté. L'exemple du vendeur de drogue australien est tiré par les cheveux certes, mais j'espère que tu n'es pas sans savoir qu'un grand nombre de clodo viennent de l'extérieur de Montréal -surtout les jeunes en coat de cuir noir avec des gros chiens et un fort accent anglais. Donc ce que je propose c'est dilution is the solution. Il faut répartir les centres d'aide un peu partout sur le territoire. Pour les éloigner du vice et surtout de la décrépitude.

Le centre ville de Mtl n'a pas à supporter toute la misère du monde - très Zemmourien comme approche- pour ainsi dire. Il faut arrêter d'être fataliste et dire ça toujours été comme ça. Il faut renverser le processus. Les gens d'Hochelaga -surtout le monde qui venait de s'acheter des condos- l'ont fait vla une couple d'année lorsqu'ils étaient tannés de retrouver des seringues dans les parcs pour enfant. Bien sûr ça donne rien aux policiers de donner une montagne de tickets aux clochards et ça donne rien aux juges de donner des sentences bonbons aux petits caïds. Mais il faut tout de même faire de quoi. j'imagine qu'il va suffire d'une tragédie bien médiatisé pour qu'il se passe de quoi comme quand les policiers avaient commencé à prendre aux sérieux les motards après la mort du jeune Daniel Desrochers.

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Tout d'abord merci pour ton post. Ça l'air de venir du fond du coeur. Tk. Ça m'a inspiré un étron plus gros que je pensais.

Non je suis pas sérieuse quand je dis que les policiers ont peur quoi que les femmes policières sont réputés être vite sur la gâchette avec leur gun à eau. M'es d'avis que c'est un faux dilemme ton histoire de deux options. Tu oublies que le centre ville est un aimant à SDF toxico-mentalo disjoncté. L'exemple du vendeur de drogue australien est tiré par les cheveux certes, mais j'espère que tu n'es pas sans savoir qu'un grand nombre de clodo viennent de l'extérieur de Montréal -surtout les jeunes en coat de cuir noir avec des gros chiens et un fort accent anglais. Donc ce que je propose c'est dilution is the solution. Il faut répartir les centres d'aide un peu partout sur le territoire. Pour les éloigner du vice et surtout de la décrépitude.

Tu crois sincèrement que ce serait efficace ? C'est très peu comprendre le problème que de croire que ceci fonctionnerait. Premièrement, qui te dit qu'ils y vont dans les centres d'aide ? S'ils y allaient ne seraient-ils pas en train de faire autre chose que de se péter la face et quêter ? Les personnes qui y vont sont plutôt des personnes qui ne sont pas aux prises avec la toxicomanie.

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C'que j'aime, du centre-ville de Québec, c'est que je connais de visage tous les itinérants et paumés qui y vivent. On se salue du regard quand on se croise et on ne se fait pas achaler. À la limite, j'pourrais me donner comme éthique de leur donner quelques sous chaque fois que je les croise.

Au cours des dernières semaines, j'ai eu à "passer le temps" au centre-ville de Montréal. J'ai trouvé très difficile de me trouver un p'tit coin où il fait bon lire tranquilos. C'est pas parce que c'est le centre-ville que ça doit être pourri. Le centre-ville doit être à tout le monde, pas juste aux paumés. La mixité sociale, ça va dans les deux sens.

J'comprends que c'est pas efficace de repousser la pauvreté à d'autres endroits. Quand même : y'a clairement un tas de petits punks pseudo révolutionnaires qui se ramassent au centre-ville pour faire le party tout l'été.

http://www.lapresse....e-sans-abri.php

À mon avis, c'est irresponsable de laisser aller ça. Pour les résidents, mais surtout pour les jeunes. Je proviens aussi d'un milieu familial difficile et ça m'aurait sûrement pas aidée qu'on me laisse faire un "trip de rue" avec tout ce que ça implique. J'pense que d'agir à ce niveau là serait un bon point de départ. Ça changerait le climat un peu.

Parce que de ce que j'ai vu, ce ne sont pas les "vrais" itinérants qui dérangent le plus. Ils en ont vu d'autres et se tiennent tranquille.

http://www.lapresse.ca/debats/votre-opinion/cyberpresse/200907/29/01-888249-des-crevettes-insupportables.php

J'habite un quartier populaire, je vais souvent lire sur le parvis de l'église Saint Roch, qui accueille des jeunes marginaux. On jase et c'est agréable. Et sérieusement, moi aussi, le centre-ville de Montréal, je le trouve insupportable.

Modifié par mouchouânipi
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Moi je trouve ça cool ces gens là. Je les respecte d'être game de faire ce qu'ils font. Ça doit être toute une expérience partir de chez vous et vivre loin, dans la rue pendant 3-4 mois. Malgré le facteur party et abus durant ce trip là, je pense que quelqu'un qui fait ça en sort grandi.

Et si on veut garder Montréal fun avec toujours de quoi à faire, que ce soit aller dans un festival, voir un show dans un bar ou ben bummer dans un spot chill-cool et que ce soit touristiquement reconnu comme vraiment l'fun à visiter et à partyer, ben les ''crevettes'' ça vient avec. Et je les comprend de pas vouloir faire ça dans une ville où les gens préfèrent dormir comme Calgary ou Edmonton.

Et pour avoir parlé à quelques ''crevettes'', il est souvent intéressant d'avoir une discussion avec eux. Ils ont des choses à raconter et une tête sur les shoulders.

Tk, moi je les aime ben.

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Tu crois sincèrement que ce serait efficace ? C'est très peu comprendre le problème que de croire que ceci fonctionnerait. Premièrement, qui te dit qu'ils y vont dans les centres d'aide ? S'ils y allaient ne seraient-ils pas en train de faire autre chose que de se péter la face et quêter ? Les personnes qui y vont sont plutôt des personnes qui ne sont pas aux prises avec la toxicomanie.

Certains y vont le soir pour dormir à la Mission Old Brewery lorsqu'il fait très froid.

Regarde en face de l’accueil Bonneau le party permanent qui se déroule dans le vieux port.

Quand c'est rendu que POPS se déplace à Émilie Gamilin en cantine mobile me semble qu'il y a un problème.

Tk je vais pas me répéter, mais d'autres grandes villes font mieux que Montréal à ce chapitre.

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Et pour avoir parlé à quelques ''crevettes'', il est souvent intéressant d'avoir une discussion avec eux. Ils ont des choses à raconter et une tête sur les shoulders.

Tk, moi je les aime ben.

Boaf, si t'es un dude qu'y'a rien vu, rien vécu. Quand j'étais au secondaire, j'ai fait mon projet personnel de fin d'études sur les punks de Québec. Ça s'appelait "ces prophètes d'aujourd"hui". J'étais fascinée par la marginalité. Je croyais vraiment qu'ils résistaient au système et tout ça. Ben non. Ils font juste fuir dans un espèce de paradis artificiels où ils se croient plus libres que les autres. Dans l'fond, ils veulent juste pas faire face à leurs bibittes.

J'ai jamais été tentée par le trip de rue et l'esthétique punk. Mais quand j'allais dans les raves me péter la face, je pensais vraiii-ment que là se trouvaient les bonnes valeurs (Peace, Love, Unity, Respect). Les crevettes veulent pas d'aide : ils veulent se pêter la face sur le dos du monde. Ça, c'est inacceptable.

Je pense que si des gens avaient eu à intervenir, le mieux qu'ils auraient pu faire, c'est de ne pas m'aider à me complaire là dedans. Deux jeunes du collège où je bossais (le plus dispendieux en ville) s'amusent à se déguiser en punk et à trainer au centre-ville de Québec avec des gens d'autres milieux. Quand je les croise, on jase. J'les juge pas, mais je pense que c'est de mon devoir de les mettre en garde contre certains écueils. Si moi, en tant qu'adulte, je ne le fais pas, qui le fera?

Un reportage d'enjeux, qui date de 1991, qui traite des jeunes de la rue à Montréal. Sérieux, ce sont de mauvais plans, justifiés par une détresse certaine, des lacunes familiales, un manque d'amour et de soins. Rien de bien joli.

Faut arrêter de "romantiser" la misère humaine, bazwell.

Modifié par mouchouânipi
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Pas besoin d'avoir fait le tour du monde et être aller sur la lune pour avoir du vécu et avoir des choses intéressantes à dire. Toute réalité que je ne connais pas parce que je l'ai pas vécue, ça peut être intéressant à entendre parler. Mais tk, toi t'as l'air d'être au-dessus d'eux vu ton impressionnant vécu, étant donné qu'ils n'ont rien d'intéressant à t'apporter.

Mais bon je ne faisais que dire que ces personnes pouvaient être intéressantes et c'est pas tous des fauteurs de trouble, sans plus.

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Mais bon je ne faisais que dire que ces personnes pouvaient être intéressantes et c'est pas tous des fauteurs de trouble, sans plus.

Justement.

Sont pas plus ou moins intéressantes que n'importe qui d'autres.

Ils me font penser un peu aux backpackers qui se sentent teelllement différents et supérieurs aux autres touristes.

Faut pas succomber à l'aura de supériorité qu'ils essaient de se donner en "refusant le système".

Ils vivent quand même à ses dépends. Comme le backpacker reste un touriste, mais un touriste fauché.

Modifié par mouchouânipi
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  • 2 mois plus tard...
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...

Ciboire ils étaient tolérants les policier avec les jeunes fugueurs. Le policier Alain Lacoursière est maintenant un spécialiste des fraudes dans le monde de l'art. Il y avait une série d'émissions à télé Québec à propos de son métier.

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Ciboire Peter Sergakis c'est un THUG

Le tenancier de bars bien connu à Montréal, Peter Sergakis, s'en serait pris mercredi matin à des itinérants qui auraient fait dugrabuge sur l'une de ses terrasses.

http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/faitsdivers/archives/2012/08/20120802-125810.html

Si Richard Bergeron, chef de Projet Montréal, est élu maire de Montréal en 2013, il entend prendre des mesures pour empêcher ces itinérants estivaux de

«Vis-à-vis de ceux-là, moi, maire de Montréal, il n'y aura pas de discussions. Je vais faire ce qu'on a fait à Toronto, ce qui a été fait à New York, c'est-à-dire , [on leur donne] un billet d'autobus. Vous retournez chez vous, on ne veut plus vous accueillir à Montréal, été après été. Montréal n'est pas une colonie de vacances», tranche-t-il.

472352-bianca-jeune-femme-vingt-ans.jpg

Bianca, un jeune femme de vingt ans enceinte de cinq mois, est itinérante depuis plus de deux mois. Elle vient demander de l'argent aux passants dans le métro McGill.

472360-groupe-itinerants-metro-bonaventure.jpg

Un groupe d'itinérants dans le métro Bonaventure

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