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Dexter planifie d'avance ses homicides, il a de la facilité à se conformer aux lois dans une certaine mesure et ne se fait jamais arrêter comme les pauvres cloches dont le dossier criminel est gigantesque et infini. Je ne crois pas que Dexter Morgan puisse se classifier comme étant un individu psychopathe. Il est très intelligent, méticuleux et organisé.

Nevermore, j'aimerais que tu me dises quel serait le profil de Dexter Morgan, bien qu'il ait un côté sociopathe il le contrôle relativement bien.

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Je ne crois pas que Dexter Morgan puisse se classifier comme étant un individu psychopathe. Il est très intelligent, méticuleux et organisé.

Et donc ? Un psychopathe c'est pas forcément un débile fini qui laisse libre court à ses pulsions dès qu'il en a envie. Dans Dexter, il a justement appris à libérer ses pulsions tout en ne se laissant pas faire attraper.

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Dexter est un personnage de roman.

Il a vécu un traumatisme intense dans son enfance, a eu des troubles de la conduite à l'adolescence, ne démontre pas d'empathie, fait preuve de machiavélisme, est sadique, est narcissique... Ben... Oui... Dexter est un personnage qui m'apparaît clairement comme psychopathe.

Le truc avec plusieurs psychopathes, dans la "vraie vie", c'est qu'ils sont très charmants, en contrôle donc difficilement repérables.

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Dexter planifie d'avance ses homicides, il a de la facilité à se conformer aux lois dans une certaine mesure et ne se fait jamais arrêter comme les pauvres cloches dont le dossier criminel est gigantesque et infini. Je ne crois pas que Dexter Morgan puisse se classifier comme étant un individu psychopathe. Il est très intelligent, méticuleux et organisé.

Nevermore, j'aimerais que tu me dises quel serait le profil de Dexter Morgan, bien qu'il ait un côté sociopathe il le contrôle relativement bien.

Il y a une différence entre "se conformer aux lois" et "ne pas se faire pogner."

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Dexter est un personnage de roman.

Imagine tu croises quelqu'un d'aussi charismatique qu'un psychopathe à la Dexter.

Je connais des personnes charismatiques.

J'imagine facilement leur vices.

Difficile de trouver un psycho qui ne soit pas clairement identifié.

Quand j'étais plus jeune j'en ai croisé une ou deux.

L'une c'était Dahut, dans le délire Lars Von Tiers ( rien de si psycho au final)

Et une autre qui se douchait toute habillée et invitait des SDF à dormir dans son lit.

Mais bon, un fucké à la Dexter, c'est rare

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Psychologiquement parlant, comment pourrait on dissocier les tueurs de masse et les tueurs en série ?

Quels sont les points qui diffèrent dans leur personnalité ? Le sujet me fascine. Si quelqu'un connaît la réponse j'en serait ravi.

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Imagine tu croises quelqu'un d'aussi charismatique qu'un psychopathe à la Dexter.

Je connais des personnes charismatiques.

J'imagine facilement leur vices.

Difficile de trouver un psycho qui ne soit pas clairement identifié.

Quand j'étais plus jeune j'en ai croisé une ou deux.

L'une c'était Dahut, dans le délire Lars Von Tiers ( rien de si psycho au final)

Et une autre qui se douchait toute habillée et invitait des SDF à dormir dans son lit.

Mais bon, un fucké à la Dexter, c'est rare

Peux-tu me dire en quoi ces comportements sont typiquement ceux d'un psychopathe?

Et de mon avis Dexter n'a pas le charisme que vous lui trouvez.

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Source: http://www.tueursenserie.org/spip.php?article35

J'ai pas vérifié la véracité de cette source mais ça peut faire une petite lecture intéressante , Behemoth.

Les différences entre les Tueurs de masse et les Tueurs en série

Aussi bien dans les affaires de meurtres de masse que de meurtres en série, les victimes meurent lorsque l’agresseur obtient momentanément le contrôle de leur vie en les dominant. Mais, en dehors de cette similarité, il existe de très nombreuses différences entre ces deux types d’assassin.

 Premièrement, le tueur de masse tue un groupe de personne en une seule fois (en quelques minutes ou quelques heures) dans la même zone géographique, alors que le tueur en série "individualise" ses meurtres et peut tuer dans des villes, des états ou des pays différents. Il ou elle continue à blesser et assassiner durant des mois ou des années, alors que le tueur de masse, d’une certaine manière, "fait sa dernière déclaration concernant la vie" en utilisant une violence ultime.

Nous n’avons jamais entendu parler d’un tueur de masse qui a eu l’occasion d’accomplir un second meurtre de masse ou de devenir un tueur en série. De la même manière, nous avons rarement vu un tueur en série qui agissait également comme un tueur de masse (une ou deux fois, seulement, alors qu’il était acculé par la police...).

 Deuxièmement, les tueurs de masse sont généralement appréhendés ou tués par la police, se suicident ou se livrent aux autorités. Les tueurs en série, au contraire, font tout leur possible pour ne pas être repérés. Ils peuvent ainsi continuer à tuer durant des semaines, des mois, et souvent des années, avant d’être arrêtés - si jamais ils le sont.

Dans l’affaire du "Tueur du Zodiac" (en Californie), les meurtres ont cessé, mais le tueur n’a jamais été arrêté. Il se peut qu’il soit incarcéré pour un seul meurtre sans être relié aux autres, ou qu’il ait été emprisonné pour un autre crime. Il peut même avoir eu un accident qui l’a immobilisé ou une maladie a provoqué sa mort sans que l’on sache qu’il était le coupable. Son cas n’est qu’un exemple de meurtres en série irrésolus... et qui le resteront sans doute.

Martin Bryant

Martin Bryant, un débile léger de 31 ans, a tué 35 personnes et en a blessées 37 autres, en Tasmanie, le 28 avril 1996, en seulement quelques heures.

Il était solitaire, ayant perdu sa meilleure amie dans un accident de la route et son père après son suicide.

Bryant était détaché de la réalité et semblait ne pas ressentir d’émotions. Il était fasciné par la pornographie et les films violents mais possédait plus de 200 ours en peluche.

Troisièmement, bien que ces deux types de tueurs provoquent la peur et l’inquiétude dans la communauté, la réaction à un meurtre de masse sera bien plus focalisée et limitée localement que pour des meurtres en série. Les gens perçoivent généralement le tueur de masse comme un homme souffrant d’une maladie mentale. Cela créer immédiatement une dichotomie "lui/nous" dans laquelle "lui" est différent de "nous" à cause de ses problèmes mentaux. Nous pouvons accepter le fait que des personnes "pètent un câble" et tirent sur des gens.

Mais il est bien plus déconcertant d’apprendre que certaines des personnes les plus gentilles que l’on connaisse mènent en fait des vies à la "Docteur Jekyll et Mister Hyde" : un étudiant le jour, tueur d’étudiantes le soir ; une infirmière attentive et douce qui assassine secrètement des enfants, des handicapés ou des personnes âgées ; un entrepreneur et politicien qui torture et tue des jeunes hommes puis les entèrent sous sa maison... etc. Lorsque nous découvrons qu’il existe des gens qui ne sont absolument pas fous et qui, pourtant, aiment tuer les autres "pour le plaisir", cela donne un nouveau sens au mot "étranger".

Alors que le tueur de masse est considéré comme un "dérangé", le produit d’un environnement extrêmement stressant qui finit par "exploser", le tueur en série, lui, est perçu comme plus sinistre et capable de provoquer bien plus de peur.

 Quatrièmement, le tueur de masse utilise presque toujours une arme à feu, souvent une mitraillette, pour tuer le plus grand nombre de personnes possibles. Le tueur en série préfère très souvent utiliser une arme blanche ou ses propres mains, afin d’avoir un contact physique très proche avec sa victime.

Le tueur de masse et le tueur en série sont quantitativement et qualitativement différents, et des désaccords existent toujours concernant leurs caractéristiques. Le plus grand désaccord, aujourd’hui, repose dans la manière de comprendre le meurtre en série : les "chercheurs" et les policiers définissent le phénomène différemment.

Psychologiquement parlant, comment pourrait on dissocier les tueurs de masse et les tueurs en série ?

Quels sont les points qui diffèrent dans leur personnalité ? Le sujet me fascine. Si quelqu'un connaît la réponse j'en serait ravi.

Oh, et dans mon intro, je parle de Dexter à titre d'exemple. Ce serait intéressant de se pencher sur les cas plus "réel".

Attention aussi de ne pas faire l'addition automatique : psychopathe = tueur en série.

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Je rajoute une couche par simple plaisir, dernière du soir. J'sens que je vais me sentir obligée d'aller faire un tour à la librairie.

Voici un concept qui m'était jusqu'alors inconnu:

La triade noire de la personnalité

Quels seraient les traits qui permettraient de décrire les différentes personnalités des personnes aversives (toxiques) dans les relations interpersonnelles ou sociales ? Des chercheurs tentent de répondre à cette question depuis quelques années.

Les psychologues Delroy L. Paulhus et Kevin M. Williams ont proposé en 2002 qu'une "triade noire" constituée de trois traits distincts, mais ayant des points en commun, pouvaient décrire ces personnalités: le narcissisme, le machiavélisme et la psychopathie (1).

  • Le narcissisme est caractérisé notamment par une tendance à avoir une vision grandiose de soi-même, à rechercher l'attention et l'admiration et à penser que les choses sont dues.
  • Le machiavélisme est caractérisé par une tendance à être manipulateur, trompeur, cynique, immoral et stratégique pour arriver à ses fins.
  • La psychopathie est caractérisée, entre autres, par un manque d'émotion, d'empathie et de remord, une impulsivité et une irresponsabilité.

Ce test, La vilaine douzaine de la triade noire ("Dark Triad Dirty Dozen"), publié en 2010 par les psychologuesPeter K. Jonason and Gregory D. Webster (2), a été développé pour mesurer ces trois traits.

Les personnes qui obtiennent des scores élevés pour ces traits ne sont pas toujours faciles à identifier. Elles paraissent souvent charmantes et flatteuses de premier abord mais les interactions avec celles-ci peuvent s'avérer "toxiques" car elles ont tendance à avoir des comportements exploiteurs dans les situations interpersonnelles.

Source: http://www.psychomed...la-personnalite

Passez le test pour voir: http://www.psychomed...re-personnalite

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Peux-tu me dire en quoi ces comportements sont typiquement ceux d'un psychopathe?

Et de mon avis Dexter n'a pas le charisme que vous lui trouvez.

J'ai donné deux détails dont je me souvenais.

La fille était folle, c'est tout

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Mouais...

C'est dommage que le sujet glisse sur la pente du môme qui criait au loup, en dépit du fait que tout ça soit passionant. Et de surcroît, initié par une passionée.

Je vous propose de regarder ensemble l'histoire d'un homme bien réel et plutôt attachant, auteur du célébre :

« Si j’avais eu un congélateur, vous ne m’auriez pas retrouvé. »

Je veux bien sûr parler d'Issei Sagawa.

Il est évident qu'on ne reviendra pas sur son statut clinique, mais j'aurais voulu connaitre vos opinions sur le traitement de faveur dont cet homme a bénéficié, de la notoriété dont il dispose encore aujourd'hui, et pourquoi pas, de l'impact que des faits divers de ce type (de Jack the reaper aux Bobbit) ont sur notre imaginaire.

Si quelqu'un a exemple plus croustillant/pertinent, qu'il ne se gêne pas.

Yo ! Au passage:

  • Machiavélisme
    Vous avez obtenu 5.5 sur 7. Le groupe cité plus haut a obtenu une moyenne de 2.7 (3.0 pour les hommes; 2.6 pour les femmes).
  • Psychopathie (sous-clinique)
    Vous avez obtenu 3.0 sur 7 comparativement à une moyenne de 2.4 (2.9 pour les hommes et 2.4 pour les femmes) dans le groupe d'étudiants.
  • Narcissisme
    Vous avez obtenu 5.5 sur 7 comparativement à 3.5 (3.9 pour les hommes et 3.3 pour les femmes).

Intéressant tout ça... Mais ça n'explique pas les traces de sang sur mes bottes.

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Ah! Le cannibalisme!

Pour l'histoire de ce japonnais, ce qui m'a fait réagir en lisant certains articles à son sujet, c'est que certains individus l'expliquent en sortant la carte "culturelle". Et donc, font un parallèle entre ce meurtre et le besoin de l'homme de consommer la femme, la posséder dans son entièreté. C'est vrai que son cas est assez étrange. En m'amusant à lire quelques textes, on a vraiment l'impression qu'on l'excuse! Limite, on le déresponsabilise, quoi!

On peut lire dans l'article suivant:

http://bibliobs.nouv...it-mon-ami.html (Interview avec Nicole Caligaris) ce qui suit:

Vous n’interprétez pas, mais vous commentez. Vous faites le parallèle entre le crime de Sagawa et le désir masculin de «possession sexuelle». Vous écrivez: «Les jeunes filles apprennent très tôt à être consommées.»

Il aurait donc été libéré et renvoyé au Japon, pays où le cannibalisme n'est pas illégal, d'ailleurs.

Donc 4 ans d'emprisonnement (1981-1985) et déclaré pénalement irresponsable! Mais libéré sous quel motif? La folie? L'injustice financière pour la France?

En vingt-cinq ans, il publie une quinzaine de livres aussi subtilement intitulés que J’aimerais être mangé ou Ceux que j’ai envie de tuer. Il vit aussi des recettes des nombreux produits « artistiques » dérivés de son meurtre anthropophage : peintures de femmes nues, publicités pour des restaurants de viande, films pornographiques, chroniques dans des magazines spécialisés, etc.

Le cannibale se revendique en tant que tel et veut rester la bête de foire qu’il est devenue. Il se livre donc volontiers à l’exercice de l’entretien, où il donne complaisamment tous les détails du meurtre de Renée Hartevelt, et son propre cheminement intellectuel et affectif avant et après son passage à l’acte.

15 livres!

Il dit clairement lors d'un interview qu'il veut recommencer au moins une fois dans sa vie. Et ce, peut-importe les répercussions.

Est-ce qu'on pourrait considérer ça comme un crime passionnel? ^^

"Belle à croquer", disent-ils.

Pour ce qui est de l'impact sur l'imaginaire individuel et collectif: pourquoi une telle fascination? Serait-ce parce que ces actes nous rappellent la présence de prédateurs et donc d'individus ayant un clair avantage sur la masse? Cela nous ramène par la même occasion à notre statut d'animal, à nos instincts les plus primitifs, notre vulnérabilité évidente et à l'inquiétant constat: nous sommes tous, dans une certaine mesure, des proies potentielles.

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  • 3 semaines plus tard...

Plutôt intéressant! Voici une étude dont un membre du forum m'a parlé. (Merci ;-))

Sadiques et psychopathes : les trolls du Web au coeur d'une étude

http://www.clubic.co...oeur-etude.html

Trois chercheurs de l'université de Manitoba au Canada se sont penchés sur le cas des trolls du Web, pour en dresser le profil type. Ce dernier n'est pas des plus flatteurs.

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Problem? Dans une étude publiée le 8 février dernier, trois chercheurs du département de psychologie de l'université de Manitoba, à Winnipeg au Canada, se sont intéressés aux trolls du Web. Ils ont interrogé plus de 1200 internautes autour de leur comportement sur Internet et leurs caractéristiques personnelles, en vue de répondre à la question « qu'est-ce qu'un troll ? »

L'étude, nommée « Trolls just want to have fun » - « Les trolls veulent juste s'amuser », apporte des conclusions plutôt effrayantes concernant le profil du troll moyen. Ainsi, selon les chercheurs, les trolls se comportent « de façon trompeuse, destructrice ou perturbatrice dans le cadre social du Net, sans raisons intéressées apparentes ». En somme, les attaques sont gratuites et les trolls sont présentés comme de véritables « agents du chaos » à tendances sadiques, mais pas seulement.

De joyeux psychopathes

« Dans l'analyse finale de la deuxième étude, nous avons trouvé des preuves claires qui indiquent que les sadiques ont tendance à troller parce qu'ils aiment ça. En limitant cette jouissance, l'impact du sadisme sur le troll a été divisé par deux; et l'effet indirect du sadisme à travers le plaisir était substantiel, significatif » commente l'étude.

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Dans un tableau récapitulatif des différents types d'usages sur le Web, les chercheurs ont dressé un constat effrayant. Ainsi, si débattre de problème engage très faiblement des comportements machiavéliques et sadiques en mettant totalement de côté la dimension narcissique, le troll pur et dur crève les plafonds de ces trois comportements, ajoutant au passage une dimension psychopathe.

En bons sadiques, les trolls prennent du plaisir à troller et sont donc bien joyeux lorsqu'ils s'adonnent à leur activité préférée. « De toutes les mesures de personnalité, le sadisme est celle qui s'est montré le plus compatible avec le troll et, surtout, la relation est spécifique à la pratique du troll » explique l'étude. « La prise de plaisir dans d'autres activités en ligne, comme la discussion simple ou le débat, ne sont pas liées au sadisme. Ainsi, le troll est une manifestation du sadisme dans la vie de tous les jours sur Internet. Les sadiques veulent juste s'amuser et Internet est un formidable terrain de jeu. »

Internet sans les trolls, serait-ce encore Internet ?

Ce constat signifie que lorsqu'on « nourrit les trolls », c'est-à-dire qu'on leur répond, on contribue à leur faire prendre du plaisir. La contre-attaque semble évidente : en ne leur répondant pas, on fait preuve de sadisme à leur égard.

Mais ignorer le troll pour le faire disparaître, est-ce une bonne initiative ? En 2010, le sociologue Antonio Casilli nous expliquait que « le troll a ses bons côtés : est là pour enrichir l'expérience et la qualité du Web. » Selon lui, « Un troll ne doit être défini selon un individu mais selon un processus social. Un commentaire peut-être anodin dans un contexte donné mais pas dans un autre. Tout est question de code et de contexte. »

Les limites de l'étude

Soulignons enfin que l'étude canadienne présente d'importantes limites : les chercheurs ont recruté leur panel par le biais de Mechanical Turk, une plateforme appartenant à Amazon dans laquelle les internautes peuvent effectuer des tâches simples contre rémunération. Ainsi, une partie des participants ont été payés 50 centimes pour répondre à un questionnaire, ce qu'ils ont pu faire sans forcément y prêter attention, voire faire exprès de répondre n'importe quoi… et ainsi, troller l'étude elle-même. Reste que l'analyse des chercheurs s'avère rassurante sur un point : si le profil du troll est alarmant, seulement 5,6% des sondés rentrent dans cette catégorie d'internautes. Comme quoi, il y a encore de l'espoir !

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