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Déchet(s) recommandé(s)

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J'y vais à reculons. Mais c'est peu dire...

J'ai rendez-vous mardi midi prochain avec une thérapeute en relation d'aide.

Première rencontre. Ça faisait des années que j'avais pas entrepris une démarche sérieuse pour travailler sur moi.

Déjà que de reconnaître qu'on a un problème significatif dans une sphère ou l'autre de sa vie, c'est pas évident. Après, faire le chemin et avouer qu'on peut pas gérer tout seul et qu'on a besoin d'aide, je trouve ça encore plus dur.

Bon, j'ai réalisé que dans mon domaine d'emploi, on était bien plus que la moitié à consulter; que ce soit pour alléger notre conscience quand on gère plus la souffrance des clients au quotidien, que ce soit pour des problèmes de couple ou pour apprendre à tout simplement grandir pour ne pas pourrir, on est vraiment une majorité.

Eux, ils ont le programme d'aide aux employés, moi pas.

Donc obstacle de plus : où je trouve c'te cash?

Comment ça se fait que ça avance pas c't'idée là?

Rembourser les psychothérapies

6 décembre 2012 |La Presse canadienne | Santé

Québec — Le coût des visites chez le psychologue devrait être acquitté avec la carte d’assurance-maladie, selon le commissaire à la santé et au bien-être, Robert Salois. L’idée n’est pas farfelue et fera l’objet d’une analyse sérieuse, a promis le ministre de la Santé, Réjean Hébert, en réagissant au rapport annuel du commissaire déposé mercredi à l’Assemblée nationale et consacré exclusivement à la santé mentale. Malgré les coûts importants qu’elle engendrerait, la mesure s’autofinancerait, selon M. Salois, par la réduction des coûts médicaux associés aux troubles mentaux et par une augmentation de la productivité. De façon plus générale, les problèmes de santé mentale ont pris une telle ampleur qu’ils devraient être hissés au rang des priorités d’intervention du gouvernement en santé, conclut M. Salois, après avoir analysé la question sous tous ses angles dans un rapport de 180 pages. Quant aux différentes clientèles, M. Salois demande au gouvernement de mettre l’accent sur les services offerts aux jeunes, en matière de dépistage précoce et de traitement, puisque 80 % des troubles mentaux apparaissent avant l’âge de 25 ans, la moitié avant l’âge de 14 ans. Une personne sur cinq est susceptible d’être atteinte d’un trouble mental au cours de sa vie.

http://www.ledevoir....hotherapies

Parce que ça fait longtemps qu'on en jase, là:

La présidente de l'Ordre des psychologues du Québec, la Dre Christine Grou, accueille favorablement l'avis sur l'accès équitable aux services de psychothérapie de l'Institut national d'excellence en santé et en services sociaux (INESSS).

Cet avis de l'INESSS, commandé par le gouvernement libéral de Philippe Couillard et rendu public mercredi, préconise que les traitements de psychothérapie soient couverts par la Régie de l'assurance maladie du Québec (RAMQ). L'INESSS conclut que la psychothérapie est aussi efficace que la médication, que ses effets bénéfiques durent plus longtemps et que ses coûts sont moindres pour la société.

« Ça fait longtemps qu'on sait que la psychothérapie est efficace pour traiter les troubles mentaux, que c'est peu coûteux, et que les effets à long terme durent plus longtemps que ceux de la médication », explique la Dre Grou en entrevue à l'émission 24/60.

Selon elle, l'avantage de la psychothérapie est qu'elle introduit des changements quant aux façons de penser de la personne, de ses comportements et de sa gestion des émotions.

Un système à deux vitesses

Celle qui a oeuvré comme chef de discipline de psychologie à l'Institut universitaire en santé mentale de Montréal déplore l'accès aux services de psychothérapie à deux vitesses au Québec.

« Toutes les personnes qui sont touchées par un problème de santé mentale, peu importe leur revenu, devraient pouvoir bénéficier de services de psychothérapie. »— Dre Christine Grou

Actuellement, certains psychologues oeuvrent dans des établissements publics et parapublics comme les CLSC, les hôpitaux ou les milieux scolaires. Mais tous n'ont pas accès à leurs services, couverts par le RAMQ, et les listes d'attentes peuvent parfois être longues. Les patients doivent donc se tourner vers le privé, et plusieurs n'en ont pas les moyens.

La Dre Grou croit que cet aspect financier freine l'accès à la psychothérapie pour beaucoup de personnes. « Il y a des gens qui ont des problèmes de santé qui n'y vont pas parce qu'ils n'ont simplement pas les moyens », dit-elle.

De surcroît, pour la présidente de l'Ordre des psychologues, inclure de tels services dans la couverture de la RAMQ permettrait, en fin de compte, à la société de faire des économies.

« Les problèmes de santé mentale sont un des premiers facteurs d'absentéisme au travail, par exemple. Et cela rend les personnes dysfonctionnelles, donc ça se répercute sur les familles, ça se répercute sur le système qui entoure la personne », souligne-t-elle.

Suivre l'exemple de l'Australie et du Royaume-Uni?

Ailleurs dans le monde, l'Australie et du Royaume-Uni proposent déjà des traitements psychologiques gratuits et accessibles à tous.

La Dre Christine Grou estime que ces programmes sont excellents, mais qu'ils ne sont peut-être pas entièrement applicables au Québec.

En Australie, par exemple, un patient doit dans un premier temps obtenir une référence d'un médecin. Or, comme ici, tous n'ont pas accès à un médecin de famille, d'autres solutions pourraient être privilégiées. « Peut-être qu'il y a une partie du modèle qui est importable, mais peut-être pas la totalité », conclut-elle.

http://ici.radio-can...chologues.shtml

Et qu'on ferait clairement des économies, hein.

Bref, ma super future T.R.A., elle travaille avec l'approche non-directive. J'fais pas confiance à c'te méthode là, ooooOOOoooh que non! J'ai l'impression que je m'en vais me faire exorciser. J'adhère pas à leur méthode. Et puis, bon, j'ai l'impression que j'ai plus besoin d'une approche "j'vais te dire quoi faire". Mais je vais essayer...

L'Approche non directive créatrice est une approche relationnelle, professionnelle, de nature affective. Elle favorise le développement de l’amour de soi, du respect de soi et de la confiance en soi. Elle favorise également l’épanouissement de la créativité, le cheminement vers l’autonomie et la liberté d’être, dans le respect du fonctionnement global de l’être humain et du rythme de progression des étapes de son évolution, de sa croissance et de son autocréation.

Non-directivité, pouvoir sur sa vie et liberté

Nous entendons, par non-directivité, la capacité d’abandonner le pouvoir que l’on prend sur la vie des autres et de récupérer le pouvoir sur sa propre vie. Pour ce faire, il importe que l’aidant assume la responsabilité de son vécu, de ses malaises, de ses choix, de ses succès, etc., et qu’il refuse de prendre la responsabilité des émotions et des difficultés des autres. Il développera un profond sentiment de liberté et pourra soutenir ses aidés dans le développement du leur.

Origine de l’approche

Créée par Colette Portelance en 1989 et développée dans ses ouvrages, l’ANDC est une approche globale qui, comme d’autres approches en relations humaines, est née d’une synthèse cohérente de certains apports du passé auxquels sont intégrés des éléments fondamentaux uniques et originaux. Centrée sur la personne de l’aidé et sur celle de l’aidant, elle se distingue surtout par le fait que l’accent est mis sur le processus relationnel.

L’importance de la relation

Colette Portelance considère que les plus grandes souffrances de l’être humain naissent de ses blessures et manques relationnels passés et présents, sur le plan affectif, et que ces souffrances se transforment en un mieux-être grâce à des expériences prolongées de relations profondes et authentiques. En ce sens, la relation thérapeutique utilisant l’Approche non directive créatrice est l’exemple par excellence de ce type de relation.

Théorie, méthodes et expériences pratiques

Pour favoriser cet apprentissage de la relation profonde par la communication authentique et pour faciliter la création de relations satisfaisantes sur les plans personnel et professionnel, la seule connaissance rationnelle de tous les mécanismes qui régissent la communication et la relation n’est pas suffisante. C’est pourquoi le programme de formation à l’Approche non directive créatrice, offert par l’école, fonde l’apprentissage de la relation intime avec soi-même et avec les autres sur l’expérience relationnelle,et non pas seulement sur des théories, des méthodes et des techniques.

L’aidant et l’attitude non directive créatrice

Nous considérons la non-directivité créatrice comme une attitude à acquérir et non seulement comme une théorie ou une méthode à apprendre. Cette attitude de respect total de la nature profonde de l’être humain suppose, de la part de l’aidant, un travail permanent sur lui-même, un travail d’autocréation. Dans notre conception de la relation d’aide, cette attitude fait partie intégrante de la personnalité du thérapeute, de sorte qu’il devient non directif créateur, tant dans sa vie personnelle et relationnelle que dans sa vie professionnelle.

La connaissance de soi

L’Approche non directive créatrice, issue de l’intégration d’une attitude, n’est possible que si l’aidant a d’abord et avant tout une bonne connaissance de lui-même et de la nature de l’homme. C’est pourquoi le CRAM inscrit à la base de toutes ses formations une année de travail sur soi intitulée : Connaissance de soi et de la personne humaine par la relation.

Le climat et le travail

La démarche non directive créatrice n’obtient pas de succès dans un climat de provocation ni de confrontation, mais dans une atmosphère de respect de soi et de respect des autres, d’écoute empathique et d’authenticité, qui se caractérise par la présence chaleureuse de l’intervenant. Cette approche non directive permet à l’étudiant de prendre sa vie en main et de ne plus laisser la barre aux autres et de ne plus se laisser ballotter par les événements.

TRA, Thérapeute en relation d'aide®

Le TRA, Thérapeute en relation d'aide®, est formé à cette approche unique et intervient avec l'ANDC.

https://www.cramform...-creatrice-andc

Y en a parmi vous qui ont déjà eu des thérapies (peu importe la raison, pas besoin d'y aller dans les détails)?

Des anecdotes, mauvaises expériences, conseils?

Vous êtes en mesure de me dire ce qui marche pour vous en terme de thérapeute et ce qui ne marche pas?

(Je disais à un client cette semaine : " Pour moi, ton mécanicien peut ben être ton thérapeute, tant qu'y a un lien de confiance, qu'il t'écoute... C'pas le diplôme qui fait le thérapeute. C'pas la connaissance en psy qui fait l'intervenant; c'est la confiance et le lien qui se créé et ce sentiment précieux que quelqu'un d'objectif est là pour toi, en cas de besoin." - Bon, à noter que je lui disais ça pour le motiver à aller voir un travailleur social parce qu'il était intimidé à l'idée d'aller voir un psy

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Moi c'est à venir, j'ai le plan d'appeler la semaine prochaine à une clinique de psycho près de chez moi pour prendre rendez-vous dans les prochaines semaines. Inutile de vous dire qu'il est temps que je me donne les moyens de régler mes troubles d'humeur et mon problème perpétuel d'estime de soi. Je vais vous en glisser un mot le cas échéant.

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Je n'ai jamais vu de "vrai" thérapeute. Que des psy du réseau scolaire, mais ça m'a fait le plus grand bien. J'aimerais y retourner et en profiter, pendant que c'est gratuit.

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J'ai vu quelques thérapeutes dans ma vie. Les premiers c'était évidemment quand je suis allée en dtox; c'était pas des gens qui avaient un diplôme là dedans, plutôt d'anciens toxicomanes qui étaient sobres depuis plusieurs années. J'avais des rencontre "one-on-one" et aussi des thérapie de groupe, du genre "on s'assoit en rond et on parle de nos sentiments". J'ai apprécié les deux, surtout pour le sentiment de ne pas être le seul à vivre certaines situations difficiles, et le lien d'appartenance qui se crée dans le groupe. Et juste le fait d'exprimer ce qu'on ressent et ne pas se sentir jugé, sentir qu'on t'accepte comme tu es, c'est quelque chose qui fait beaucop de bien, pas besoin d'avoir un diplome là dedans pour aider quelqu'un.

Après être sortie de dtox j'ai rencontré des "vrais" intervenants. Un premier pour continuer mon suivi en toxicomanie à l'externe, j'ai eu quelques rencontres mais j'ai arrêté après 5, j'avais plus du tout envie de consommer et j'ai jugé que je pouvais arrêter de le voir.

Ensuite j'ai voulu consulter pour d'autres problèmes. J'ai rencontré la psychologue de l'université mais ça n'a pas été très concluant, elle était spécialisée dans des domaines comme l'anxiété liée aux études et au travail et ce genre de choses. Elle me trouvait peut-être trop deep avec mes histoires de toxicomanie et de daddy issues lol. Bref, après 3 ou 4 rencontres elle m'a référée à quelqu'un d'autre, avec qui j'ai eu 5 séances (j'ai pas d'assurances ni les moyens de me payer un psy à 100$ de l'heure). Ça a été utile et j'ai appris des choses sur moi, elle m'a réalisé à prendre conscience de certains comportements que j'avais qui me nuisaient dans mon cheminement et dans ma vie personnelle.

Je ne vois plus de psy ni rien parce que présentement ma vie va très bien; je suis beaucoup moins anxieuse, je suis capable de faire confiance à mes proches, j'ai plus de facilité à communiquer mes émotions, l'estime de moi, bref toutes des choses avec lesquelles j'avais de la difficulté. Mais éventuellement j'aimerais ça consulter encore, parce qu'on se sent vraiment bien quand on sort du bureau du psy je trouve, on se sent libéré. Je pense que tout le monde sans exceptions - même les gens qui n'ont pas de "problèmes" - aurait avantage à consulter un psy, ne serais-ce que pour apprendre à se connaitre un peu plus.

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Des fois je me construis des dialogues dans ma tête qui se déroulent dans un bureau de psy. C'est une façon de s'introspecter bien particulière. Je fais le parcours de mon passé et ensuite je me demande qu'est-ce que je peux améliorer chez moi.

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Y'a tellement de psychothérapies que s'en est confus, évidemment qu'elles ont toutes leurs particularités mais comment savoir lesquels manquent d'efficacité par rapport aux autres ? D'autant plus que bien souvent le but final reste le même.

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Psychothérapie

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Y a plusieurs thérapies qui peuvent être pratiquées en simultanées avec d'autres, que ce soit par le même thérapeute ou par une équipe traitante. Je crois personnellement que c'est là-dessus qu'il faut miser.

Ça dépend, et on me corrigera si je me trompe, de la problématique visée, en ce qui attrait à la thérapie à privilégiée.

On ne traitera pas de la même façon un individu vivant avec la schizophrénie qu'un dépressif, ou encore un anxieux et un trouble de la personnalité.

Ça dépend aussi du champ d'étude de l'intervenant, évidement.

Ça à l'air vaste comme ça, mais en réalité, y a vraiment un nombre restreint de courant en psychologie et donc, en psychothérapie.

Les nombreux termes cités ci-haut sont comme des branches d'un même arbre.

On peut facilement s'y perdre.

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Je commence demain une psychothérapie dans une clinique spécialisée en stress post-traumatique. Je redonnerai des nouvelles, mais j'y vais un peu à reculons. J'ai parlé deux fois à la psychothérapeute au téléphone et je n'ai pas eu un bon contact avec elle. Ça commence mal, mais je lui laisse le bénéfice du doute et j'attend de la rencontrer en personne avant de me faire une opinion définitive. Je sais que c'est un champ d'expertise très spécialisé et que les cliniques qui se spécialisent dans le domaine à Montréal ne sont pas très nombreuses, alors j'espère vraiment que ça va bien se passer et que je n'aurai pas besoin de chercher quelqu'un d'autre.

Edit : Je viens de la googler et c'est une psychologue spécialisée en deuil pour les maisons funéraires Alfred Dallaire. I've been lied to. Wtf, mon stress post-traumatique n'a rien à voir avec le deuil et j'ai été référée à elle spécifiquement pour ça...

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J'ai eu à consulter, et j'ai essayé plusieurs psychothérapeutes (plusieurs séances chaque), des hommes, des femmes. Je ne me sentais pas du tout à l'aise avec aucune de ces personnes, j'ai donc laissé tombé à chaque fois.

Manque de confiance envers l'autre ça c'est certain, mais le lien ne se faisait pas vraiment non plus, je me sentais plus comme une étrange que d'autre chose. Et puis je connais très bien mes faiblesses, ce pourquoi je consultais, je m'en foutais de me faire dire que ça venait de mon cordon ombilical enroulé autour du cou dans le ventre de ma mère, je voulais avoir des outils pour m'améliorer moi, là, pas y'a 35 ans...

Je me suis trouvé de meilleurs amis avec qui je parle beaucoup, je partage plus mes expérience avec les autres et juste le fait d'en parler ça aide énormément dans mon cas. Surtout qu'on finit par rencontrer des gens qui ont vécu les mêmes trucs, et qui peuvent au moins nous donner des pistes de solutions à essayer. Tant mieux si ça marche, sinon hop j'essaie autre chose.

Faut surtout réussir à se trouver soi je crois, sa zone de confort face à la personne qu'on consulte (qu'il soit un professionnel ou pas) et trouver soi-même des solutions (parce qu'avec les professionnels ça finit toujours comme ça anyway, la réflexion et l'action) et les mettre en pratique en ayant conscience que ça ne fonctionnera peut-être pas mais qu'il existe toujours autre chose.

Faut se prendre en main et se botter les fesses, quoi... Avec un diplomé ou pas...

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Oui, donne lui une chance.

J'ai débuté aujourd'hui avec des appréhensions dégueulasses.

Première phrase qui est sorti de sa bouche m'a donné envie de vomir tant c'était pas sincère et pré-mâché mais au final, cette heure aura été le meilleur investissement depuis longtemps. Faut pas oublier que c'est nos outils et que c'est nous qui faisons le gros du travail.

Par ailleurs, pour ta psy spécialisée, elle peut avoir plusieurs spécialisations et en mettre qu'une seule de l'avant pour sa "pub".

Va voir, en face à face, ça peut cliquer et au téléphone pas.

Je commence demain une psychothérapie dans une clinique spécialisée en stress post-traumatique. Je redonnerai des nouvelles, mais j'y vais un peu à reculons. J'ai parlé deux fois à la psychothérapeute au téléphone et je n'ai pas eu un bon contact avec elle. Ça commence mal, mais je lui laisse le bénéfice du doute et j'attend de la rencontrer en personne avant de me faire une opinion définitive. Je sais que c'est un champ d'expertise très spécialisé et que les cliniques qui se spécialisent dans le domaine à Montréal ne sont pas très nombreuses, alors j'espère vraiment que ça va bien se passer et que je n'aurai pas besoin de chercher quelqu'un d'autre.

Edit : Je viens de la googler et c'est une psychologue spécialisée en deuil pour les maisons funéraires Alfred Dallaire. I've been lied to. Wtf, mon stress post-traumatique n'a rien à voir avec le deuil et j'ai été référée à elle spécifiquement pour ça...

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