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Lorsque le féminisme a fait le tour


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Il y a 1 heure, Insomniaque a dit :

Pas mal à fleur de peau les gens ici. Les arguments ont vite changé leur cible en allant du contenu vers les messagers hen.

Ça serait bien de continuer les arguments sans y aller par l'insulte guys.

Bah, en ce qui me concerne, je suis neutre sur les questions de genre (comme le gouvernement norvégien). Mais on dirait que tous le monde ne veut pas voir ce petit film fait par des norvégiens donnant les résultats d'une enquête sur une génération entière de politique sociale basé sur le fait que le genre n'existe pas chez l'humain. Les conclusions sont, pour le moins surprenantes. Mais, bon... Je ne peut pas les obliger à le visionner hein. ; )

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Le 1/21/2016à19:04, Insomniaque a dit :

Pas mal à fleur de peau les gens ici. Les arguments ont vite changé leur cible en allant du contenu vers les messagers hen.

Ça serait bien de continuer les arguments sans y aller par l'insulte guys.

Ouf....une chance qu'un modérateur est intervenu. C'est pour ça que les gens t'ont élu ou parce qu'ils voulaient que tu prennes de l'initiative et que tu créées des sujets intéressants? Honore donc ton poste au lieu de quêter des points de réputation faciles

J'ai fait ce thread-là parce que je trouve que c'est le genre de thèmes qui sont plus à même d'attirer des nouveaux membres ou de susciter une discussion avec les membres actuels. C'est bien beau, Vos derniers achats ou Le sujet dont tout le monde se calice, mais quand le 3/4 des posts vont là, faut pas s'étonner que le site soit désert. Je demande même pas que les gens soient d'accord avec ce que je dis, mais au moins qu'ils répliquent avec de la bonne foi. Comme vous pouvez voir après le 1er message de SSocial plus haut, je peux être poli quand je vois que l'autre fait un effort pour ne pas me prêter des mauvaises intentions.

Mais... en tout cas, on a fait le tour du sujet initial donc ça finit là

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Le 20/1/2016à16:39, Pedrosanchez a dit :

Ah oui? Quand je parlais de mes études en génie plus haut dans ce thread, ça faisait référence à l'école primaire à ton avis?

- Tu parles encore à travers ton cul

- Je ne sais pas pour Lux mais pour ma part, j'ai un diplôme universitaire en génie aéronautique

-  En fait, tu n'as même pas un calibre d'école secondaire quand tu écris ici (en fait tu écris comme une fillette de 14 ans) et ce, peu importe qu'on s'intéresse au contenu ou au contenant

- Tu es une conne

Non?? Tu choisis le métier que tu veux pratiquer, indépendamment de ton sexe. Pas besoin d'encourager l'un ou l'autre. Bienvenue dans le monde adulte; tu es libre de faire ce que tu veux si tu as la compétence pour le faire

Non, il y a encore un stigmate associé aux métiers non traditionnels (lorsqu'il y a moins de 33% d'un genre représenté) que ca te plaise ou non, il s'agit d'une réalité, et ce n'est pas tout le monde qui gère le stress sociale de la même manière, qui plus est quand tu es conditionné toute ta vie... 

Parce que oui, c'est du conditionnement. Le poids des traditions pèse pour beaucoup dans la balance.  

Je t'invite à lire et à écouter ce documentaire\article intéressant ainsi que les commentaires. 
http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/societe/2015/05/22/003-emploi-femmes-metiers-non-traditionnels.shtml

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Je crois que c'est difficile pour un français comme moi de saisir la question du féminisme, quand on sait que les revendications tumbleriennes SJW (et son antagoniste 4chan.org/pol/) sont avant tout américano-centrées. J'ai déjà parlé de l'opinion gangrénante des pédés et des frustrées sur les institutions locales dans un topic sur les Etats-Unis. En France on y est relativement préservés à cause/grâce (je sais pas) du conservatisme notoire de nos élites.

Une française de Madmoizelle.com ou bien son penchant Fedora de JVC et assimilés sont des crétins dont la lutte se résument à leurs échanges verbiaux masturbatoires par supports interposés.

 

Pour les billets de banque, je suis par exemple effectivement déçu de ne pas y voir de femmes, mais surtout parce que nos Euros sont assez moches, ne représentent des ponts à travers les époques et que c'est assez c'est assez chiant. Qu'on y mette Simone de Beauvoir ou Marie Curie ne me dérangerait pas le moins du monde. En plus elles sont françaises, et c'est évidemment là tout l'enjeu.

Le seul problème, c'est que pour ce qui est de la représentativité, mon opinion c'est que je m'en fous. D'un côté je ne vois aucune objection à vivre dans une rue Christine Boutin ou un Boulevard Enora Malagré, d'un autre côté je ne comprends pas trop à quel point il s'agit d'une préoccupation majeure pour certain(es).

Parce que le fait que les ministres soient hommes ou femmes ne change au fond pas grand chose à leur inutilité latente (et à leur place dans vos vies respectives). Quand à l'exemple de l'absence de Ginette Biron dans le Jury du Festival de la Saucisse de Morteau - et du retrait en fanfare de Jean-Pierre, le favori du concours, absolument scandalisé par cette absence - j'en parle même pas.

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J'ai l'impression qu'on ne voit le féminisme qu'à travers le prisme de Tumblr et de Buzzfeed. Et je ne pense pas que ce soient de bons exemples, après je n'en ai pas d'autres parce que cela m'intéresse moyennement.
En tous cas la transposition des revendications américaines en France j'ai pas l'impression que ça ne marche pas trop pour les militants, que ce soit pour le féminisme ou les Black Lives Matter. Il faut être plus original.

Baisser la taxe sur les tampax cela me paraît être une revendication raisonnable. L'argent n'a pas d'odeur, celui là vient de la chatte à ta mère.

Et ce serait pas mal que les euros aient de la personnalité.

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Canada considers changing national anthem to include country's women.

Citation

If passed, the third line of the anthem will change from “True patriot love in all thy sons command” – to “all of us command”.

“With my bill, I want to pay tribute to all the women who have worked and fought to build and shape the Canada that we know today,” Bélanger said in a statement. “I want to at long last honour their sacrifices and contribution.”

Il a raison le gars, ça exclue les femmes, nous sommes tous persuadés qu'aucune femme n'a participé à la construction du pays.

La première canadienne est apparue le 23 décembre 2014, à 17h03 précisément (c'était l'heure de faire à bouffer).

Pis c'est pas comme si les notions de mère-patrie, d'amour filiale, de fraternité était utilisées comme métaphore du patriotisme exprimé comme l'amour d'un fils à sa mère dans beaucoup de pays.

Non. C'est sexiste on t'a dit.

Voyons le Deutschlandlied :

Citation

Einigkeit und Recht und Freiheit
für das Deutsche Vaterland.
Danach lasst uns alle streben
brüderlich mit Herz und Hand.
Einigkeit und Recht und Freiheit
sind des Glückes Unterpfand.
Blüh im Glanze dieses Glückes,
blühe, Deutsches Vaterland !

J'appelle céans Frau Merkel pour qu'elle fasse quelque chose, en tant que femme, elle est exclue de la nation allemande. Elle ne peut participer à la construction du pays et encore moins à de hautes fonctions politiques.

Il faut d'urgence corriger et écrire « brüderlich und schwesterlich » sinon c'est sexiste et aucune femme ne pourra accéder à des fonctions prestigieuses en Allemagne, brimée qu'elle est par la « pression sociale » jusque dans son hymne !

 

Je remarque que dans l'hymne canadien, la phrase :

Citation

May stalwart sons and gentle maidens rise,

 ne semble embêter personne.

Un canadien est forcément un garçon vaillant et une canadienne absolument une douce pucelle (servante).

Si vous êtes vieux, déjà perforée ou que vous pensez que la fuite est souvent un bon moyen de survie, vous n'avez plus qu'à vous barrer de ce pays,(et aller en France pour la troisième proposition), vous êtes inutile à la construction de ce pays.

Si vous trouvez que c'est n'importe quoi, vous êtes un immonde porc sexiste comme moi.

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  • 3 semaines plus tard...

Snif snif, les femmes prennent beaucoup de douches dans les publicités, snif. 1984, t'es pas correcte de me faire brailler de même!

Moi je passe ma vie devant la télé à écouter le hockey, une bière à la main, un bol de chips dans l'autre. Sinon, j'aime bien passer mes étés à laver mon F150, à me raser de près ou encore à me mettre du déodorant pour chasser mes mauvaises odeurs. Je suis absolument nul en cuisine et incapable d'assumer toute responsabilité. Lorsque ma femme que j'aime tant m'abandonne pour aller faire l'épicerie, elle ne me fait pas confiance pour changer la couche du bébé, car trop absorbé par mes jeux vidéo. Pas très intelligent et même limite colon, c'est ma femme, le cerveau du couple. Moi, mon cerveau est dans ma bite, que je dois absolument stimuler avec du Cialis, car j'ai passé 40 ans.

Les clichés ne sont pas à sens unique. Si ton vidéo prouve quoi que ce soit, c'est que les féministes n'ont aucun humour.

Et à part de ça, le titre "No more clichés"....jésus marie joseph, est-ce que c'était trop compliqué de trouver un nom entièrement en français? C'est pas assez de chier l'accent circonflexe, il faut aussi remplacer des mots qui existent déjà en français pour des mots anglais? Brrrr...

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Aucun humour ? Parce que c'est de l'humour de vendre ? 

Mon pauvre garçon, les clichés publicitaires te concernent beaucoup moins que les femmes, et je vais te dire pourquoi : un homme, ça fait pas vendre. En revanche, le corps d'une femme, ça fait vendre. Concernant les publicités pré 80, on peut noter que l'électroménager et la périculture sont des secteurs un peu plus diversifiés que ceux des voitures et des tondeuses électriques. Il va sans dire que c'est lié au fait que la femme était reliée à la maison et l'homme au travail. Force est de constater que la cible corresponds à une norme socio professionnelle évidente : l'homme se rase pour être présentable au travail et affiche son pouvoir social au volant d'une voiture qui lui donnera l'apparence d'en avoir dans le pantalon, quand la femme s'évertuera à etre une bonne maîtresse de maison, à faire les tâches ménagéres et la popote. Voila pour les clichés avant libéralisation de la femme.

Après les années 70 donc, la femme obtient son émancipation sexuelle financière et sociale, et c'est ainsi qu'elle devient un objet de désir. Pour l'analyse je m'abstiendrai. Néanmoins le sexe est déjà suintant dans les clips des années 80, et les spots publicitaires de cette période trahissent déjà une certaine espièglerie sexualisante sur la forme. C'est un fait : nous sommes en 2016 et le principe à tout bonnement dégénéré. Le corps féminin n'est plus qu'un objet de désir. Le rapport féminin est abaissé à la plastique, comme si désormais c'était tout ce que nous avions à offrir au monde. 

Donc Pedro, ici on parle de publicité, pas de beauferie ( ah oui pardon, j'ai pas traduit beauf en anglais pour pas que tu chiales de n'avoir rien compris, c'est plus drôle ainsi)

Aucun des pseudo diktat que tu as listé n'est une pression sociale liée à ton sexe, il suffit de regarder les habitudes évoluer et d'en tirer les bonnes conclusions :

- Par exemple : est-ce qu'on te pousse vraiment à te raser ? Pourquoi alors les hommes n'ont ils jamais autant porté la barbe, la moustache ? Pourquoi les poils restent un apparat de virilité alors que l'absence de poil reste une soumission forcée ? Vous avez toujours le choix. Pas nous. 

- On te mets la pression pour que tu boives ta BreW ? Je ne pense pas, ca, tu le fais de toi meme. Tu sais des fois, y a des clichés qui se créent d'eux mêmes (;

La question par contre c'est : est ce que tu te formalises pour le bide que ca te donne ? Si y a bien un point qui touche tout le monde en ce moment, c'est le fitness pour tous. La, je dois avouer, vous devez également vous soumettre. Ca vous apprendra. 

- Le déodorant : généralement, la publicité t'explique que AXE fait avant toute chose tomber les femmes folles de désir pour toi ( hum), alors tu dois en mettre mon chéri si tu veux attirer des jolies filles. C'est pas tes vieilles aisselles poilues qu'il vont motiver les autres à en acheter...

- où sont les pubs qui te disent que tu es un homme donc tu es irresponsable ? Hum ? C'est plutôt l'inverse. Notamment avec la voiture, car dans ta voiture, tu as un gros zizi. 

- où sont celles où ils ne savent pas cuisiner ? On voit que tu connais moyennement la publicité. Ce genre de message est improbable car si tu véhicules un cliché en pub, il faut qu'il soit pseudo positif. Tu sais en pub, la discrimination c'est pas un très bon argument de vente. Surtout en 2016.

- idem pour le bébé : autant on montrera effectivement la mere, autant le père ne subira pas de discrimination à ce point. Impossible. Au pire il est juste absent du spot.

Bref tous tes exemples sont issus des mêmes clichés que ceux des femmes mais ils sont beaucoup moins représentés dans la publicité ou dans l'imagerie de marque car ces clichés sont incompatibles avec la marchandisation des corps et des idées... L'émancipation de la femme n'a fait qu'encourager le rapport au corps, à sa sexualisation et à son objectivation... on peut dire que la libération de la femme a joué en sa défaveur. Aujourd'hui la femme est considérée et se considère comme un objet. Rien de plus logique quand on observe le monde et sa marchandisation de l'humain. Ma grande Sanchez, vous vivez dans un monde de bisounours mâles. It's a woman Word in à Man world.

 

concernant le titre NO MORE clichés, on va régler ça une bonne fois pour toute : NOUS en FRANCE on est pas très bon en anglais et on en a honte. Tout ce qui devient donc viral doit comporter une dose d'anglais car l'anglais ajoute POUR NOUS un style international que nous n'avons pas dans la vie de tout les jours. Bref, l'anglais c'est pour faire GENRE, comme si on gérait alors qu'en fait on est des quiches infernales. Capish le myso ?

VOUS vous complexez en tabarnak sur votre français déjà attaqué par l'anglais oral, vous complexez d'être trop bilingue et ca vous cree cette espèce de fixette absolument ridicule sur l'anglais. Juste : fuck you avec vos frustrations linguistiques ridicules. C'est pas notre problème si ca vous obsède, c'est votre gangrène, pas la notre. 

Tu veux des preuves ? Le sujet est la >> 

 

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Effectivement y'a pleinnnn de clichés qui représentent l'homme comme un demeuré dans la publicité. Moi j'attends rienque que les hommes se lèvent pour dénoncer ça au lieu de brailler et rester assis sur leur derrière, je les appuierais de tout coeur. Même combat. 

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(modifié)

1984

C'est pas nécessairement de l'humour de vendre, mais l'humour est une stratégie publicitaire dont l'efficacité n'est plus à prouver

C'est faux de dire que les hommes ne font pas vendre. À titre de preuve, j'en appelle à la publicité grosse comme un écran de cinéma à Berri-UQAM où on voit un gars en chest porter des boxers Calvin Klein. Les déodorants Old Spice aussi utilisent le gars en chest et sûrement une couple d'autres qui ne me viennent pas à l'esprit en ce moment.

Les exemples que j'ai cités ne sont pas des diktats, mais des généralisations. Des choses qu'on assume être vraies. Et les femmes aussi, boivent de la bière, pourtant c'est toujours les hommes qu'on voit en train de boire de la bière. Parce qu'ils en boivent plus? Sûrement, je serais prêt à te le concéder. Mais moi, quand j'achète un shampooing, je me contrecrisse de si c'est un revitalisant 3-en-1 ou si ça me donne du volume. J'en ai rien à chier. Rien à chier. Alors excuse-moi si les femmes prennent beaucoup de douches, mais ce sont, pour la plupart, les seules qui se soucient que leur savon ait du beurre de karité dedans. Et là je te vois venir à me brailler le "Oui, mais pourquoi s'en soucient-elles?? HEIN??". Nononon, je m'embarquerai pas là-dedans. Tout le monde est libre de choix. Une députée de QS portant la moustache a réussi à remporter des élections provinciales dans sa circonscription. Je suis pas mal sûr que tu peux réussir dans ton métier de photographe même si ton shampooing a pas de parfum d'ananas, ok?

Tu as raison, je connais moyennement la publicité. Je ne suis même pas sûr si j'ai écouté pour 10 heures de télévision l'an passé. Remarque, je prends ça pour un compliment, de connaitre peu la publicité. MAIS, je sais que lorsque j'ai écouté le ByeBye au Nouvel An 2016, j'ai vu l'une des pubs auxquelles je faisais référence :

Est-ce qu'il faut connaitre les publicités pour savoir les analyser? Non.

Logiquement, je vois cela ainsi:

Le but des compagnies est de maximiser leur profit. Les compagnies paient de l'argent depuis longtemps pour faire de la publicité. La publicité, en moyenne, doit donc rapporter plus d'argent qu'elle n'en coûte, que ce soit directement ou indirectement. On fait donc l'hypothèse que c'est une technique qui fonctionne et on peut déduire qu'une bonne publicité aide à maximiser les profits d'une entreprise.

Et j'ai tendance à dire que la bonne publicité n'est pas celle dont le message est pseudo-positif, comme tu dis, mais celle où le public cible peut s'identifier.

OK, maintenant, s'il te fallait investir 1 million de dollars dans une publicité pour ta brasserie, que ferais-tu? Montrer des femmes en train de boire une bonne bière froide? Ça, c'est plutôt ce que tu ferais si l'industrie de la bière toute entière s'était mise d'accord pour changer la perception des femmes vis-à-vis la bière. Toi, pour ta simple compagnie, tu voudrais plutôt parler à ton public cible, la gang de "chums" qui écoutent une partie de hockey en buvant une bière qui descend bien.

Moi, pour ma compagnie Garnier Fructis, je n'ai pas envie de perdre 1 M$ sur une publicité qui dit "Hey les boys, avez-vous essayé notre nouveau shampooing saveur de noix de coco? Il donne une excellente odeur aux cheveux tout en les revitalisant et leur donne même des frisottis!". Alors je vais investir mon argent pour parler à une clientèle qui est plus à même de s'intéresser à ma publicité. CELLE QUI S'INTÉRESSE À SES OSTI DE CHEVEUX

Ce n'est pas sorcier, la publicité. Tu vois les gens de marketing à l'université et tu comprends que ça peut pas être de l'astrophysique des particules quantiques, la pub. Tu cibles une clientèle et tu t'arranges pour que ton message passe à eux, pour qu'ils puissent se reconnaitre le mieux possible. Le reste, c'est du comment faire. Point.

Par rapport à la langue

J'apprécie l'attention de ne pas avoir traduit "beauferie" même si c'est du vocabulaire de Français. On parle une langue ou on ne la parle pas. Ici, on parle français, donc tu parles français. Si je veux parler anglais, je vais aller sur un forum anglophone. Pour le dire en Québécois, la prochaine fois, tu peux dire "colon", mais "beauferie" ça passe.

J'ai compris que le titre du vidéo a été trouvé pour devenir viral. Je les visualise bien, les 10 autour d'une table avec un café Starbucks, en train de brainstormer pour trouver un bon nom qui ferait en même temps bon hashtag.... quand on parle du monde de marketing, hein...

70 millions de Français, c'est pas suffisant pour devenir viral? De toute façon, ça vous sert à quoi d'avoir 2 mots d'anglais dans le titre si la vidéo est en français? Penses-tu qu'un British va se mettre à partager ça sur le mur de ses amis? "hey bro, gotta check this out: 'No more clichés'!.... I didn't understand anything, it's in French, but it's hella good!!" NON. Alors arrêtez d'essayer d'avoir l'air international quand vous êtes même pas capable de garder vos propres langue et culture dans votre foutue capitale.

En plus, tu as écrit "It's a woman Word in à Man world. ". Hahahah mais quel échec...si tu veux tant parler anglais, assure-toi donc de le faire comme du monde. wow, u so cool, LOL #lol #cool #yolo #greatMindsDiscussIdeas

Et je suis misogyne pourquoi? Parce que je suis pas un bisounours? hahah elle est bonne. Allez, retourne jouer à ta citoyenne du monde, là

Kennie

Je choisis mes combats. C'est vrai que c'est plate avoir l'air soit d'un cave, soit d'un hipster faible dans les publicités, mais après 30 secondes passées en ma compagnie, n'importe qui peut se rendre compte que je suis ni l'un ni l'autre. Pour moi, il y a des enjeux sociaux beaucoup plus importants que la représentation hommes-femmes dans la publicité et avec une quantité finie d'énergie que je peux donner dans une journée, je préfère choisir sur quoi je la concentre. C'est sûr que ça doit être pareillement plate de se faire traiter comme un objet de désir, mais rendu là, à toi de prouver aux gens qui te croisent dans la rue que tu as une tête sur les épaules, aussi.

Modifié par Pedrosanchez
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Beau pavé mon Pedro, je trouve que tu as le mérite d'être de bonne volonté niveau contenu et constructivité. 

Ceci dit : je dois te concéder un point, et pas des moindres. J'ai longuement hésité entre défendre l'extrémisme de certaines féministes car je ne voyais pas, comme toi, l'intérêt d'en faire une cause supreme pour nous autres, les gens de l'Occident en string ficelle. MAIS j'ai tout de même dû me ranger du côté de mes collègues les femmes, pour la simple raison qu'il y a sans le nier, beaucoup de problème à gérer le fait d'être une femme aujourd'hui. Tant que tu es belle et jeune, tu n'as pas à te plaindre. Mais sinon... Les codes visuels de cette société te toucherons bien plus profondément qu'un homme. Tu culpabiliseras plus facilement pour ta ligne, ta façon de te mettre en valeur, ect.

Un petit article supplémentaire pour enrichir mon point :

"Thérèse Hargot : «La libération sexuelle a asservi les femmes»

FIGAROVOX/ENTRETIEN - Nous croyions avoir été libérés par la révolution sexuelle. Pourtant, pour Thérèse Hargot, entre le culte de la performance imposé par l'industrie pornographique et l'anxiété distillée par une morale hygiéniste, jamais la sexualité n'a été autant normée.

Diplômée d'un DEA de philosophie et société à la Sorbonne puis d'un master en Sciences de la Famille et de la Sexualité, Thérèse Hargot est sexologue. Elle tient un blog et publie Une jeunesse sexuellement libérée (ou presque)chez Albin Michel. 

FIGAROVOX: Dans votre livre Une jeunesse sexuellement libérée, vous vous interrogez sur l'impact de la libération sexuelle sur notre rapport au sexe. Qu'est-ce qui a changé, fondamentalement?

THERESE HARGOT: Fondamentalement, rien. Si la norme a changé, notre rapport à la norme lui est le même: nous restons dans un rapport de devoir. Nous sommes simplement passés du devoir de procréer à celui de jouir. Du «il ne faut pas avoir de relations sexuelles avant le mariage» à «il faut avoir des relations sexuelles le plus tôt possible». Autrefois, la norme était donnée par une institution, principalement religieuse, aujourd'hui, elle est donnée par l'industrie pornographique. La pornographie est le nouveau vecteur des normes en matière de vie sexuelle.

Enfin, alors qu'autrefois les normes étaient extérieures, et explicites, aujourd'hui elles sont intériorisées et implicites. Nous n'avons plus besoin d'une institution qui nous dise ce que nous devons faire, nous l'avons très bien intégré par nous-mêmes. On ne nous dit plus explicitement quand est-ce que nous devons avoir un enfant, mais nous avons toutes très bien intégré le «bon moment» pour être mères: surtout pas trop tôt, et lorsque les conditions financières sont confortables. C'est presque pire: comme nous nous croyons libérés, nous n'avons plus conscience d'être soumis à des normes.

Quelle sont les nouveaux critères de cette normativité sexuelle? 

La nouveauté, ce sont les notions de performance et de réussite, qui se sont introduites au cœur de la sexualité. Que ce soit pour la jouissance, mais aussi dans notre rapport à la maternité: il faut être une bonne mère, réussir son bébé, son couple. Et qui dit performance, efficacité, dit angoisse de ne pas y arriver. Cette angoisse crée des dysfonctions sexuelles (perte d'érection, etc..). Nous avons un rapport très angoissé à la sexualité, car nous sommes sommés de la réussir.

Cela touche autant les hommes que les femmes?

Les deux, mais de manière différente. On reste dans les stéréotypes: l'homme doit être performant dans sa réussite sexuelle, et la femme dans les canons esthétiques.

La norme semble aussi passer par un discours hygiéniste, qui a remplacé les morales d'antan…

Le sida, les MST, les grossesses non désirées: nous avons grandi, nous, petits enfants de la révolution sexuelle, dans l'idée que la sexualité était un danger. A la fois on nous dit que nous sommes libres et en même temps que nous sommes en danger. On parle de «safe-sex» de sexe propre, on a remplacé la morale par l'hygiène. Culture du risque et illusion de liberté, tel est le cocktail libéral qui règne désormais, aussi, dans la sexualité. Ce discours hygiéniste est très anxiogène, et inefficace: de nombreuses MST sont toujours transmises. 

Vous êtes sexologue au collège. Qu'est-ce qui vous frappe le plus chez les adolescents que vous fréquentez? 

La chose la plus marquante, c'est l'impact de la pornographie sur leur manière de concevoir la sexualité. Avec le développement des technologies et d'internet, la pornographie est rendu extrêmement accessible, et individualisée. Dès le plus jeune âge, elle conditionne leur curiosité sexuelle: à 13 ans, des jeunes filles me demandent ce que je pense des plans à trois. Plus largement, au-delà des sites internet pornographiques, on peut parler d'une «culture porno», présente dans les clips, les émissions de téléréalité, la musique, la publicité, etc..

Quel impact a la pornographie sur les enfants? 

Comment est-ce qu'un enfant reçoit ces images? Est-il capable de faire la distinction entre le réel et les images? La pornographie prend en otage l'imaginaire de l'enfant sans lui laisser le temps de développer ses propres images, ses propres fantasmes. Elle crée une grande culpabilité d'éprouver une excitation sexuelle au travers de ces images et une dépendance, car l'imaginaire n'a pas eu le temps de se former.

«Etre libre sexuellement au XXIème siècle, c'est donc avoir le droit de faire des fellations à 12 ans». La libération sexuelle s'est-elle retournée contre la femme? 

Tout à fait. La promesse «mon corps m'appartient» s'est transformé en «mon corps est disponible»: disponible pour la pulsion sexuelle masculine qui n'est en rien entravée. La contraception, l'avortement, la «maitrise» de la procréation, ne pèsent que sur la femme. La libération sexuelle n'a modifié que le corps de la femme, pas celui de l'homme. Soit disant pour la libérer. Le féminisme égalitariste, qui traque les machos, veut imposer un respect désincarné des femmes dans l'espace public. Mais c'est dans l'intimité et notamment l'intimité sexuelle que vont se rejouer les rapports de violence. Dans la sphère publique, on affiche un respect des femmes, dans le privé, on regarde des films porno où les femmes sont traitées comme des objets. En instaurant la guerre des sexes, où les femmes se sont mis en concurrence directe avec les hommes, le féminisme a déstabilisé les hommes, qui rejouent la domination dans l'intimité sexuelle. Le succès de la pornographie, qui représente souvent des actes violents à l'égard des femmes, du revenge-porn, et de Cinquante nuances de Grey, roman sadomasochiste, sont là pour en témoigner.

Vous critiquez une «morale du consentement» qui fait de tout acte sexuel un acte libre pourvu qu'il soit «voulu»…

Avec nos yeux d'adultes, nous avons parfois tendance à regarder de façon attendrie la libération sexuelle des plus jeunes, émerveillés par leur absence de tabous. En réalité ils subissent d'énormes pressions, ils ne sont pas du tout libres. La morale du consentement est au départ quelque chose de très juste: il s'agit de dire qu'on est libre lorsqu'on est d'accord. Mais on a étendu ce principe aux enfants, leur demandant de se comporter comme des adultes, capables de dire oui ou non. Or les enfants ne sont pas capables de dire non. On a tendance à oublier dans notre société la notion de majorité sexuelle. Elle est très importante. En dessous d'un certain âge, on estime qu'il y a une immaturité affective qui ne rend pas capable de dire «non». Il n'y a pas de consentement. Il faut vraiment protéger l'enfance.

A contre-courant, vous prônez la contraception naturelle, et critiquez la pilule. Pourquoi?

Je critique moins la pilule que le discours féministe et médical qui entoure la contraception. On en a fait un emblème du féminisme, un emblème de la cause des femmes. Quand on voit les effets sur leur santé, leur sexualité, il y a de quoi douter! Ce sont elles qui vont modifier leurs corps, et jamais l'homme. C'est complètement inégalitaire. C'est dans cette perspective que les méthodes naturelles m'intéressent, car elles sont les seules à impliquer équitablement l'homme et la femme. Elles sont basées sur la connaissance qu'ont les femmes de leurs corps, sur la confiance que l'homme doit avoir dans la femme, sur respect du rythme et de la réalité féminines. Je trouve cela beaucoup plus féministe en effet que de distribuer un médicament à des femmes en parfaite santé! En faisant de la contraception une seule affaire de femme, on a déresponsabilisé l'homme.

Vous parlez de la question de l'homosexualité, qui taraude les adolescents….

«Etre homosexuel», c'est d'abord un combat politique. Au nom de la défense de droits, on a réuni sous un même drapeau arc-en-ciel des réalités diverses qui n'ont rien à voir. Chaque personne qui dit «être homosexuelle» a un vécu différent, qui s'inscrit dans une histoire différente. C'est une question de désirs, de fantasmes, mais en rien une «identité» à part entière. Il ne faut pas poser la question en termes d'être, mais en termes d'avoir. La question obsède désormais les adolescents, sommés de choisir leur sexualité. L'affichage du «coming out» interroge beaucoup les adolescents qui se demandent «comment fait-il pour savoir s'il est homosexuel, comment savoir si je le suis?» L'homosexualité fait peur, car les jeunes gens se disent «si je le suis, je ne pourrais jamais revenir en arrière». Définir les gens comme «homosexuels», c'est créer de l'homophobie. La sexualité n'est pas une identité. Ma vie sexuelle ne détermine pas qui je suis.

Que faire selon vous pour aider la jeunesse à s'épanouir sexuellement? Est-ce un but en soi? Les cours d'éducation sexuelle sont-ils vraiment indispensables? 

Il ne faut pas apprendre aux adolescents à s'épanouir sexuellement. Il faut apprendre aux jeunes à devenir des hommes et des femmes, les aider à épanouir leur personnalité. La sexualité est secondaire par rapport à la personnalité. Plutôt de parler de capotes, de contraception et d'avortement aux enfants, il faut les aider à se construire, à développer une estime de soi. Il faut créer des hommes et des femmes qui puissent être capables d'être en relation les uns avec les autres. Il ne faut pas des cours d'éducation sexuelle, mais des cours de philosophie!"

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Pour le franglais : jamais je ne me laisserai donner des leçons par quelqu'un qui appelle une pastèque un melon d'eau (;

Je t'ai déjà expliqué que l'anglais pour nous c'est juste pour se la raconter alors qu'en vrai on est mauvais. D'ailleurs le mot cliché est utilisé chez les anglophone, alors pourquoi pas un "no more clichés"? C'est si dur à vivre que ca ? Ahah.

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C'est dommage que par manque de lucidité, la doxa féministe en vient à considérer que le problème vient de la patriarchie (et toujours sous entendu comme une espèce de complot masculin qui se réuniraient dans des cachettes secrètes à boire des bières, regarder du foot et choisir le mannequin qu'on désapera pour la prochaine pub Ushuaïa), quand 1984 feede un excellent article sur les méfaits logiques de la libération sexuelle. Techniquement il me semble que c'est deux valeurs opposées, puisque d'un côté Saint-Louis et le Maréchal Pétain n'étaient probablement pas des grands fans de Xvideos.com, tout comme les couillons qui jetaient des pavés à la Sorbonne et s'envoyaient des bisous à poil à Woodstock n'étaient pas vraiment dans une optique de libération féminine.

Mais personnellement, j'ai également du mal à marcher dans Paris devant les kiosques à regarder les unes de Lui avec de parfaits mannequins (la fouf rasée comme Arlequine les aime), le tout avec une autre prise de vue de GQ, faisant la promotion des mêmes mannequins ainsi que de la montre Omega à 2000€ et du costume Ermenegildo Znegna comme des objectifs à atteindre pour être cool.
J'ai aussi beaucoup de mal avec le concept de pornographie, banalisant les rapports entre une bite et une chatte ne se connaissant pas comme si elles se disaient bonjour tous les matins. Ce truc et son essor a complètement bouleversé les concepts du rapport sexuel, en plus d'abrutir des millions d'hommes sur Terre et de les faire céder au pêché de mollesse quotidiennement, pour tenir la forme.

Manque de pot, socialement c'est difficile de pouvoir assumer derrière quand on conçoit, après une grosse purge d'un an de la société de consommation, que la vraie vie ce n'est pas ça.
J'entends totalement quand une Solange te Parle se lamente de voir ses congénaires féminins adopter des postures sensées créer le désir et se pointer en talons aiguille, s'amuser à se faire les ongles chez Kiko. Mais que dire des hommes alors ? Qui se jouent perpétuellement la concurrence à savoir qui se tapera la plus bonne ou qui l'aura mise dans le cul, qui aura la carte de visite la plus swag et qui se comportent parfois comme les pires des ordures pour la simple obtention du con tant recherché.
Et sans ces merdes, je peux vous assurer que la plupart des hommes n'auraient pas ces logiques, ne considéreraient pas non plus les chattes rasées et le sexe anal comme un impératif social.

 

Aujourd'hui l'encule est totale puisqu'elle touche les plus jeunes. Déjà que la génération des prétrentenaires actuels n'arrive pas à envisager la question familiale puisque tout le monde utilise le sexe comme moyen de valorisation et personne ne trouve à redire à l'idée qu'une fille ait trois copains en même temps. L'inverse est sans doute moins vrai, sauf rares cas d'accord tacite, mais que voulez-vous, quand on génère une génération de cucks, on est cucks jusqu'au bout.
Alors maintenant on en arrive à considérer que se dépuceler à 13 ans c'est tout à fait normal. D'ailleurs c'est encore plus normal quand c'est buccal et anal. Si t'as 14 ans et que t'as encore ton hymen, c'est que t'es un cul coincé. Si à 14 ans t'es encore puceau t'es un loser.

Les futurs propriétaires de ma maison (on déménage) ont vérifié si il y avait de la place pour un lit deux places dans ma future-ex chambre en expliquant que c'était pour leur fille. J'ai souri avant qu'ils ne m'expliquent un peu dépitée qu'elle avait 13 ans. J'étais vraiment peinés pour eux. D'autant plus qu'ils ne pourront pas y redire grand chose au risque de passer pour des parents relous et de ne rien pouvoir empêcher techniquement à moins de lui mettre une ceinture de chasteté, vu qu'elle ira chez l'autre ou qu'ils baiseront fatalement dans les chiottes du collège. Et avec un peu de chance, le garçon en question doit déjà avoir la vingtaine, comme c'est arrivé à quelques unes de mes connaissances.

 

La société de dégénérés qu'on a engendré et l'objetisation de la femme me semblent véritablement liés. Si c'est ça que les féministes combattent, alors je soutiens totalement, au discrédit de voir les tétons de Rihanna sur les kiosques français, ça je saurai largement m'en passer si ça peut éviter à mon hypothétique future fille d'être une pute qui passe bien en société ou à mon hypothétique futur fils d'être un produit lobotomisé de l'hypersexualisation.

 

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Non, bravo à toi pour te présenter sur un forum de discussion et relancer un sujet vieux d'une semaine avec un "TLDR". C'est amusant, on dirait que tu n'as pas digéré de t'être fait replacer sur ta déplaisante tentative de poésie (voir ci-dessous) avec un "bel essai" et tu t'es senti obligé de venir te venger avec la même réplique sur un autre sujet. Je te vois bien en train de fouiller à travers tous les sujets récents dans l'espoir de pouvoir venir plugger ton "bel effort". Finalement, on dirait que ton choix s'est arrêté sur celui-ci. Et c'est pour cet effort, BMO, à mon tour de te lever mon chapeau.

Le 2/21/2016à18:35, BMO a dit :

Il fut un temps. Je dis bien un temps, une époque, un contexte où tous les personnages circulaient dans une grande farandole, dansant par de là les vents, l'air hagard et le regard bovin les yeux irrigués de sang et l'iris, l'iris gorgé de flammes étincelant mais plutôt vide et opaque celà signifiait un apex, un moment figé dans l'espace et les années où tout semblait pourtant si génial et légendaire, d'une beauté effarante mais en même temps touché par le sordide et l'affreuse monstruosité qui habitait les âmes tristes des tristes sires les larmes larmoyantes qui coulaient et coulaient sans pouvoir s'arrêter pendant qu'ils recevaient des témoignages viscéraux, grossiers, brutaux les brutalisant dans leurs os comme des crêpes croustillant sous un sirop lourd et boiteux tel du sucre crystallin qui s'effondre en de grandes pochetées mercuriennes d'où le talc s'échappait dans une fumée blanche fantômatique dont ils avaient tous les mains imprégnées.

 

Le 2/22/2016à19:23, Vie a dit :

Bel essai, mais tu devrais investir dans un dictionnaire parce que t'as clairement beaucoup de difficulté avec le sens des mots. Fait également attention aux redondances. F+

Ta participation à ce sujet te mérite un total de 0 point et une invitation à la compétition de breakdance qui se tiendra dans 30 minutes sur l'autoroute métropolitaine

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