Aller au contenu

Martineau a du bon à dire sur la jeunesse!


Déchet(s) recommandé(s)

Le 2016-05-26 à 02:50, BMO a dit :

Qu’est-ce qui se dit ? Qu’est-ce qui ne se dit pas ? La question se pose à notre ère où toutes les communications quelque soit leur origine ou leur type se transfèrent à une vitesse fulgurante sur les bases de données, les réseaux sociaux arrangés en architectures qui s’entre-coupent et se rejoignent entre-elles kudos à l’internet 2.0.

Nos gazouillis, nos textos, nos micro blogues regorgent des opinions diverses et divergentes pour certaines, nous avons notre mot à dire surmille et un sujets, on s’égosille devant le dernier jeu vidéo ou la transmission du plus récent combat de UFC, de la dernière édition du gala des Oliviers ou de la prochaine série sur Netflix tout en se prêtant les impressions d’être un critique à ses heures mais dans les faits il y a autant de critiques différentes que de spectateurs.

Les quelques irréductibles qui sont encore scotchés sur des forums de discussion et chattent par l’entremise du réseau IRC s’obstinent encore sur la couleur des pâquerettes quand on met en terre leurs médiums les uns après les autres faute de financement pour héberger leurs plate-formes issues de cette première vague de l’internet que la majorité d’entre-nous avons déjà tôt fait d’oublier dans les méandres de l’informatique moderne.

À défaut d’orienter nos conversations envers les idées on ne débat que de ce qui crée du drama. On espère attirer le maximum de street cred en jouant des joutes verbales sur le clavier 108 touches comme de véritables keyboard warriors, en oubliant l’essentiel c’est-à-dire le contenu de notre argumentation. À savoir si les vieux pays auraient d’avantage acquis l’art ancestral de la conversation ? Il semblerait selon mes observations que dans ces lieux pas si lointains on cherche à faire avancer notre discours en se basant sur des faits et des propositions.

Revenons si vous le voulez-bien à la question initiale. Qu’est-ce qui a la légitimité universelle d’être exprimé ouvertement et publiquement ? À cette question je répondrai ceci : tout ce qui peut faire avancer une cause ou une idée dans la mesure ou celle-ci est le fruit d’une avancée soit technologique, soit philosophique, soit humanitaire. Tout le reste n’est que du white noise.

Richard Martineau est un piètre polémiste à la plume médiocre et aux opinions formatées. Si c'était un grand columniste il écrirait dans La Presse et pas dans le Journal de Montréal. Il est au journalisme ce que Nickelback est à la chanson.

 

C'est quand même assez fascinant de savoir reproduire à la perfection le ton «texte argumentatif pour l'examen de français de secondaire 5». Avec tout ce que ça a de beige, de phrases à rallonge et de tournures impersonnelles.

Je te lève sincèrement mon chapeau pour ça, BMO. Les gens ne se rendent pas compte de l'effort immense derrière tout ça. Moi, je le vois. C'est un talent rare.

  • J'aime! 7
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Si un étudiant de secondaire 5 remet un texte comme celui-ci il à la direction de Quebecor média il obtient la job de Richard Martineau. Si on compare ce texte à ce que Richard Martineau écrit, il ne passe même pas son secondaire 3. 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ce ne sont pas des louanges mais bien des attaques déguisées. Avant toute critique essaie d'abord d'en faire autant ensuite nous verrons. Mais qu'est-ce que je dis là ? Rien n'est plus facile que de se moquer de ce qu'on est pas en mesure d'accomplir soi-même !

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

C'est drôle, une fois qu'il fait un éditorial "pour nous" au lieu de contre nous, tout à coup c'est bon et juste. Moi je trouve quand même que son article n'a pas de sens.

Les jeunes n'aiment pas le second degré,wtf?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Martineau est un cancre et sa femme a toujours les mêmes lignes éditoriales. Ils font ce que Québécor leur demande de faire. Ont les opinions qu'on leur demande d'avoir. Vont critiquer ouvertement Julie Snyder car elle est désormais sortie de l'empire médiatique appartenant à PKP mais n'ôseraient jamais le faire si elle était encore sa conjointe. Je n'ai aucun respect pour les exécutants sans colonne vertébrale.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il est vrai que j'ai grandi en écoutant la radio parlée de Québec. Elle m'a permis de développer mon esprit critique. Ce n'est pas parce qu'on écoute une émission d'actualités que nécessairement on partage les mêmes idées. J'ai envoyé hier un tweet au FM93 et à CHOI 98.1 qui résume assez bien ma pensée sur le sujet : @CHOIRadioX @fm93quebec Until 1987, broadcasters in the US were legally required by the FCC to present both sides of whatever issue. 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

(modifié)
Le 2016-05-28 à 01:20, BMO a dit :

Ce ne sont pas des louanges mais bien des attaques déguisées. Avant toute critique essaie d'abord d'en faire autant ensuite nous verrons. Mais qu'est-ce que je dis là ? Rien n'est plus facile que de se moquer de ce qu'on est pas en mesure d'accomplir soi-même !

C'est dommage que tu le prennes sur ce ton. Je t'assure que je te complimentais, BMO. Je pense que peu de personnes arriveraient à reproduire avec autant d'adresse ce ton que j'évoquais.

Maintenant, une précision : ton texte ne permettrait d'aucune façon à un élève de 16 ans de prendre le job de Richard Martineau. Pour la simple raison qu'il n'a strictement rien du journalisme d'opinion que pratique (ou est censé pratiquer) Martineau. Le texte n'est même pas bon pour la section lettres des lecteurs. C'est à cause de ce ton, vois-tu. Purement scolaire. C'est pas mal en soi, juste mauvais pour un journal.

Modifié par Anacharsis
  • J'aime! 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je ne suis pas le seul à penser que Richard Martineau est intellectuellement paresseux et ne se force plus depuis des années pour écrire de bons textes malgré ses aptitudes. Il surf sur sa notoriété comme le fait si fréquemment Réjean Tremblay dans les médias sportifs. À l'opposé Paul Houde a toujours été pertinent et éloquent dans ses interventions.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

J'hais Martineau. Mais il est moins chiant à lire que toi, sérieusement. Tu déblatères des termes et des expressions dont tu ne sembles même pas comprendre le sens, en plus d'avoir un ton vantard et prétentieux. 

  • J'aime! 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le 30/5/2016 à 10:50, Anacharsis a dit :

C'est dommage que tu le prennes sur ce ton. Je t'assure que je te complimentais, BMO. Je pense que peu de personnes arriveraient à reproduire avec autant d'adresse ce ton que j'évoquais.

Maintenant, une précision : ton texte ne permettrait d'aucune façon à un élève de 16 ans de prendre le job de Richard Martineau. Pour la simple raison qu'il n'a strictement rien du journalisme d'opinion que pratique (ou est censé pratiquer) Martineau. Le texte n'est même pas bon pour la section lettres des lecteurs. C'est à cause de ce ton, vois-tu. Purement scolaire. C'est pas mal en soi, juste mauvais pour un journal.

J'ai étudié à l'université. Les comparatifs de niveau secondaire ça va aller merci.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a une heure, BMO a dit :

J'ai étudié à l'université. Les comparatifs de niveau secondaire ça va aller merci.

Il n'y a pas de lien entre le niveau d'études et la qualité de sa plume. Je suis désolé, BMO. Ça ne marche pas comme ça.

J'ai révisé le travail de quantité d'universitaires (des profs j'entends, pas des étudiants) et je t'assure que certains ne savent pas écrire pour autant. Doctorat ou pas.

  • J'aime! 4
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a une heure, BMO a dit :

J'ai étudié à l'université. Les comparatifs de niveau secondaire ça va aller merci.

T'as étudié quel domaine? Je suis curieux.

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 11 minutes, MrRambouc a dit :

T'as étudié quel domaine? Je suis curieux.

Il s'est inscrit comme auditeur, c'est donc dire qu'il a étudié le domaine de l'audition.

  • J'aime! 3
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

J'ai commencé un baccalauréat en histoire contemporaine pour obtenir un diplôme universitaire dans l'optique de retourner dans les forces armées canadiennes en tant qu'officier du renseignement entre les années 2005 et 2007. Lors de mes études universitaires j'ai changé d'idée. J'ai fait un retour aux études entre les années 2012 à 2013 et j'ai obtenu un diplôme d'études collégiales en conception de jeu vidéo. Le temps passé sur les bancs d'école compte qu'on obtienne le diplòme ou pas. 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 11 minutes, BMO a dit :

J'ai commencé un baccalauréat en histoire contemporaine pour obtenir un diplôme universitaire dans l'optique de retourner dans les forces armées canadiennes en tant qu'officier du renseignement entre les années 2005 et 2007. Lors de mes études universitaires j'ai changé d'idée. J'ai fait un retour aux études entre les années 2012 à 2013 et j'ai obtenu un diplôme d'études collégiales en conception de jeu vidéo. Le temps passé sur les bancs d'école compte qu'on obtienne le diplòme ou pas. 

Et comment tu t'y prends pour que tes études comptent vraiment ? Parce que, vois-tu, moi je ne parviens pas à valoriser mes 3 ans de cégep vu que je n'ai pas de diplôme. Alors, j'aimerais bien savoir comment tu fais.

  • J'aime! 2
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

N'as tu rien appris pendant tes études ? Je tiens à préciser que lors de mes études collégiales j'ai vu des étudiants faire la java et ne pas se concentrer sur leurs études. J'ai vécu dans des appartements avec des colocataires qui buvaient de la bière tous les soirs et qui fumaient des joints sur les balcons. Moi et un de mes amis avons respectivement été assez sérieux et studieux dans nos programmes respectifs. J'ai fait pas mal de travail supplémentaire après les heures de cours car j'étais président de classe et j'avais les clés pour entrer dans la salle de cours. Je suis resté souvent jusqu'à 23 heures pour terminer des travaux de session auxquels d'autres étudiants ont mis moins d'heures de travail pour différentes causes : travail à temps partiel, enfants, certains habitaient en Beauce. J'ai obtenu mon diplòme d'études au Cégep mais même à l'université (que j'ai fréquentée des années plus tôt contrairement au cursus normal) j'ai beaucoup appris comme citoyen et je me suis ouvert sur la société. J'ai toujours voulu étudier à l'université pour élargir mes horizons et devenir plus curieux intellectuellement. Le diplôme pour moi était un objectif bien secondaire. 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Veuillez vous connecter pour commenter

Vous pourrez laisser un commentaire après vous êtes connecté.



Je veux revenir!
 Partager

×
×
  • Créer...