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Le trouble du déficit de l'attention


TDA(H)  

20 membres ont voté

  1. 1. Souffrez-vous d'un TDA(H)?

    • Oui, diagnostiqué et médicamenté avec hyperactivité
      2
    • Oui, diagnostiqué et médicamenté sans hyperactivité
      7
    • Oui, mais je n'ai pas de prescription
      3
    • Non, mais je reconnais que c'est un problème réel
      4
    • Non car je ne crois pas que ça existe
      4
  2. 2. Quelle-est votre prescription? (posologie à préciser)

    • Adderall
      1
    • Biphentin
      1
    • Concerta
      1
    • Dexedrine
      0
    • Ritalin
      1
    • Vyvance
      4
    • Autre
      2
    • Aucun
      10


Déchet(s) recommandé(s)

Il y a 1 heure, D'Artagnan a dit :

de se forcer à adopter une discipline de vie ?

Ça prend de la discipline pour apprendre la discipline.  

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il y a 12 minutes, Gamin a dit :

Ça prend de la discipline pour apprendre la discipline.  

Hé ouais. C'est pour ça qu'il faut écouter attentivement les picadors et sortir une peu de son agneugneu c pa possibl je sui dicapé : ((( sinon vous allez continuer à financer longtemps les médecins juifs tout en stagnant

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Il y a 2 heures, D'Artagnan a dit :

de se forcer à adopter une discipline de vie ?

Ah, on n'y avait pas pensé. Une chance que t'es là !

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Je viens de me faire prescrire du Vyvanse pour le trouble du déficit de l'attention sans hyperactivité, à prendre avec de la mélatonine le soir pour contrer ma difficulté à m'endormir. Ma médecin m'a toutefois suggéré de commencer les premières doses après être revenue de voyage. Reste que ça me fait déjà l'effet d'une délivrance. 

À suivre?

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(modifié)
Il y a 23 heures, Gamin a dit :

Y'a une couple de djeule ici qui devraient se confronter à la rigide couverture d'un livre de neuroscience ou deux. 

La science, c'est déformer la réalité concrète et pratique (construire une maison) par des concepts incompréhensibles et non vérifiables sauf pour les initiés (boson de higgs). Il y a un langage scientifique au même titre qu'il y a un langage religieux.

Par son langage spécifique* (e=mc²), la science produit donc ses propres règles de fonctionnement et détermine elle-même ses priorités de recherche, et la façon dont ses recherches doivent être menées puis évaluées, et cela indépendamment des considérations économique, politique ou idéologique. La science est donc une bestiole incontrôlable qui n'agit que dans son intérêt et telle une hydre elle se régénére et se multiplie devant le regard admiratif de l'homme. C'est ce qu'on apelle le progrès.

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La science détruit toute subjectivité (çad le sujet, le lien social, les religions) pour laisser place à l'objectivation (l'objet) qui est le pilier des société marchandes et capitalistes. Ce qui pose en bout de course des problème d’éthique.

Bref, invoquer la science, c'est croire que construire des automobiles et des centrales nucléaires est nécessaire car la science peut le faire. Sauf que dans la réalité concrète et pratique, c'est évidement à cause tout ça que tout part en couille et que la fin est proche.

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*

Citation

il semble que le langage compliqué fascine les gens. Des études confirment que nous avons plus confiance dans une langue difficile. Les personnes tests devaient répondre à quelques questions. Mais elles devaient choisir parmi plusieurs réponses. Certaines réponses étaient formulées simplement, d'autres de façon très compliqué. La plupart des personnes tests choisissaient la réponse complexe. Mais celle-ci n'avait absolument aucun sens ! Les personnes tests étaient aveuglées par le langage.

________________________________________________________________________________________________________

Et puis il me semble que tout neurologue sérieux devrait admettre en introduction que personne ne comprend le fonctionnement du cerveau. Même pas eux. Mais je dois sans doute me tromper.

Modifié par el_picador
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Je dépose ça ici :

https://mobile.nytimes.com/2013/04/28/opinion/sunday/diagnosing-the-wrong-deficit.html?emc=eta1

——

Je dirais qu’au moins une  partie de « l’épidémie » de TDAH s’explique probablement par des troubles du sommeil non diagnostiqués.

Exemple, faire de l’apnée du sommeil. Tu dors TOUJOURS mal, tu atteint difficilement le sommeil profond réparateur. Éventuellement tu en viens à t’habituer mais au quotidien tu as de la misère à te concentrer... en fait au quotidien tu as pas mal tous les symptômes du TDA-H.

Personnellement le fait d’avoir découvert et être traité pour mon apnée du sommeil a changé ma vie et a « corrigé » certains traits de ma personnalité qui font que je pensais un peu à l’époque que j’avais peut être des caractéristiques TDAH.

Évidemment je prétend pas que le TDAH  existe pas et que tout est trouble de sommeil (quoi qu’il pourrait avoir un lien avec les enfants qui ont des troubles de sommeils très jeunes qui développent des séquelles à vie qui s’apparentent beaucoup au TDAH), mais qu’une partie des gens qui sont diagnostiqués ont probablement le « mauvais » diagnostique.

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Certaines problématiques demandent une telle mobilisation pour des tâches très simple que l'individu peut présenter tous les symptômes d'un TDA et pourtant ! 

J'ai qu'a penser à ma fille :  Tous les professeurs soupçonnaient fortement un TDA. Au final, c'est sa dyspraxie et son syndrome de dysfonction non-verbale (le petit frère du syndrome d'Asperger) qui lui causait ces limites au niveau de la concentration. Elle était tellement mobilisé par sa dyspraxie, ses difficultés au niveau des fonctions exécutives et son hypersensibilité que de se concentrer sur une tâche était impossible.

Tout ça pour dire que je suis bien d'accord avec VacPower.

Sans pour autant minimiser la prévalence réelle du TDA, à mon humble avis, y a un shitload de diagnostic posé à tort et à travers.

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J'ai commencé à soupçonner un TDA chez moi en discutant avec une amie, alors que celle-ci me disait être extrêmement sensible aux bruits ambiants, aux textures, aux odeurs, aux mouvements, à la luminosité d'une pièce, etc., comme si tous ses sens étaient constamment stimulés à leur paroxysme. Évidemment, sa qualité de vie en souffrait beaucoup. Par exemple, elle était bien souvent distraite et irritée par le simple bruit d'une personne qui appuie trop fort sur son crayon de plomb lors d'un examen, par un collègue qui se laisse tourner sur sa chaise ou qui mâche trop fort, par un mauvais éclairage ou encore par la texture de ses propres vêtements. Après quelques consultations chez une psychiatre, mon amie a reçu un diagnostic d'un trouble de modulation sensorielle

Quand je dis que son témoignage a éveillé mes soupçons, c'est que je vis sensiblement la même chose, mais de manière sans doute moins prononcée qu'elle. Tous les exemples mentionnés ci-haut m'irritent également au quotidien. En plus d'avoir constamment l'impression d'être submergée par un flot de pensées aléatoires, mon attention se tourne toujours vers des détails insignifiants de mon environnement, ce qui me rend irritable. C'est plutôt difficile à expliquer, mais j'ai l'impression de « tout voir » et de « tout entendre » sans relâche. Dès que je commence à lire une page d'un livre, par exemple, mon attention s'oriente rapidement vers le bruit du piéton à l'extérieur ou vers la petite mousse (!) que j'aperçois du coin de l’œil. Bref, il est difficile pour moi de rester concentrée à une tâche pour une longue période de temps. Ajoute à cela la difficulté à démarrer ladite tâche... Plus souvent qu'autrement, la motivation n'y est pas et je me sens comme une sale épave incapable de fonctionner normalement. J'ai aussi beaucoup de mal à être organisée, et les oublis sont fréquents. C'est devenu très problématique avec mes études.

Lors de ma rencontre avec ma médecin de famille cette semaine, celle-ci m'a signalé que je traînais ces symptômes depuis plus de 10 ans. C'est pourquoi elle n'a pas trop hésité à me prescrire du Vyvanse.

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il y a 37 minutes, 1984 a dit :

À la bonne heure ! Tu vas être aussi épanouie que Esch bientôt. 

Plus le dosage est élevé, plus vite on atteint un état de félicité, mais je ne veux pas en dire plus pour ne pas qu'elle brûle les étapes.

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L'hyperactivité (TDHA) serait liée à l'ensoleillement et à la lumière bleue des écrans

 
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Le trouble de déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) serait en lien avec l'ensoleillement, selon une étude publiée dans la revue Biological Psychiatry.

Martjin Arns du Research Institute Brainclinics (Pays-Bas) et ses collègues ont comparé la carte de prévalence du TDHA et celle de l’intensité solaire (quantité de lumière du soleil que reçoit une région) sur le territoire des États-Unis.

La prévalence de TDAH est moins grande dans les régions les plus ensoleillées. Cet effet protecteur apparent de l'ensoleillement pourrait expliquer de 34 à 57% de la variation de prévalence entre les régions.

Les chercheurs expliquent ce lien par le fait que la lumière prévient les perturbations des rythmes circadiens (horloge biologique).

Plusieurs personnes atteintes du TDAH souffrent de problèmes de sommeil, particulièrement d'une difficulté à s'endormir. Dans un sous-groupe de personnes atteintes de TDAH, les perturbations du sommeil pourraient expliquer les problèmes d'attention. Les difficultés à s'endormir ont été liées aux perturbation des rythmes circadiens et à un délai dans la réponse de l'hormone mélatonine. La lumière du soleil est le facteur qui exerce la plus grande influence sur l'horloge biologique.

Ce délai dans le rythme circadien et la difficulté de s'endormir pourrait être amplifié par une utilisation croissante, en soirée, des écrans qui sont une source de lumière bleue. Les écrans des tablettes électroniques et des téléphones intelligents en particulier émettent une plus grande quantité de lumière bleue. L'exposition à une lumière du soleil de forte intensité durant la journée pourrait corriger les perturbations de l'horloge biologique et agir comme antidote à l'exposition en soirée à la lumière bleue artificielle qui cause des délais de sommeil.

Ces résultats suggèrent que, pour un sous-groupe de personnes atteintes de TDAH, augmenter l'exposition à la lumière naturelle dans la journée pourrait améliorer ou prévenir les symptômes de TDAH, soulignent les chercheurs.

 

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Les enfants et le Ritalin, un problème québécois?

Citation

C’est le temps des vacances, et pour plusieurs enfants et adolescents, c’est aussi le moment de l’année où ils prendront une pause de petites pilules. Une pause de Ritalin, Concerta ou Adderall, ces médicaments qui traitent leur TDAH, le Trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité.

Et il semble que les jeunes Québécois soient atteints de TDAH à un niveau bien supérieur à la moyenne canadienne. En fait, selon une étude canadienne qui vient tout juste d’être publiée, près de la moitié des prescriptions reliées au TDAH au pays le sont au Québec! Wow!

En effet, dès l’implantation, en 1997, de l’assurance médicaments au Québec, les prescriptions de Ritalin et de médicaments connexes ont explosé.

Une décennie après son implantation, note-t-on dans l’étude publiée par The National Bureau of Economic Research (et passée complètement inaperçue au Québec), les enfants québécois utilisaient le Ritalin à un taux deux fois plus élevé qu’ailleurs au Canada, où cette assurance n’existe pas.

Les jeunes Québécois sont-ils plus atteints de TDAH? Ou bien la gratuité de la médication a «facilité» certains diagnostics?

Le Ritalin est-il réellement efficace?

Puisque les Québécois semblent mieux détecter et soigner le TDAH, leurs jeunes devraient en retirer des avantages, n’est-ce pas? Cette drogue doit bien les aider à mieux performer à l’école? À y rester plus longtemps que les autres Canadiens?

La réponse est malheureusement non, comme le confiait au Globe and Mail l’un des auteurs de cette étude, Mark Stabile, professeur d’économie et politique publique à l’Université de Toronto.
Si le Ritalin était si efficace, dit-il, les résultats scolaires de cette cohorte qui en bénéficie depuis dix ou vingt ans auraient augmenté, le taux de décrochage scolaire aurait significativement diminué.

Mais non. Au contraire, Mark Stabile et ses deux coauteurs ont trouvé «une augmentation de problèmes émotionnels chez les filles, et une réduction du niveau de scolarité chez les garçons». Rien ne laisse croire que l’utilisation de médicaments pour le TDAH donne des résultats. Mais leur utilisation banalisée peut au contraire avoir des conséquences négatives, écrivent-ils.

En fait, comme le dit Mark Stabile, les stimulants ne rendent pas les enfants plus ou moins brillants. Mais comme ils deviennent plus tranquilles, moins dérangeants, on croit leur problème réglé.

Entendons-nous: ce n’est ni l’assurance médicaments québécoise, ni l’industrie pharmaceutique qui a créé le problème de TDAH. Des millions d’enfants, sévèrement atteints, n’ont jamais pu terminer leur scolarité dans le passé, car on comprenait fort mal leur problème et on ne savait pas comment le traiter.

On les appelait des cancres, des rêveurs, des impulsifs. Plusieurs ont bien réussi dans leur vie, comme en font foi les témoignages de TDAH devenus des entrepreneurs célèbres. Mais d’autres n’ont jamais pu compléter une formation qui leur aurait permis de bien gagner leur vie.

Un problème complexe

Ainsi, lorsque la médicamentation est arrivée, on l’a vu comme une solution à un réel, et très complexe problème. Mais cette étude du National Bureau of Economic Research vient remettre toute cette certitude en question. Et elle mérite notre réflexion.

Est-ce réellement utile? À tout le moins, à cette échelle? On ne connaît pas à long terme les effets du Ritalin ou du Concerta. Certains échos provenant des États-Unis ne sont guère rassurants. On parle de dépressions majeures et dans certains cas, extrêmes mais tragiques, de suicide. Les effets secondaires plus «bénins» sont bien connus: perte d’appétit, du sommeil, maux de tête, baisse de l’estime de soi.

Bien des parents me disent comment le Ritalin ou le Concerta a aidé leur enfant à passer à travers le complexe cheminement scolaire, où l’uniformisation est de mise. Mais d’autres m’ont aussi parlé de ces profs qui leur téléphonent le soir, à la maison, pour leur ordonner de médicamenter leur enfant, alors qu’aucun diagnostic officiel n’est tombé. «Faites-lui prendre du Ritalin ou bien, cherchez-lui une autre école», disent des directeurs d’école.

Et on parle maintenant de TDAH à la garderie!

Au lieu de s’arrêter un peu et de se questionner, il semble qu’on est davantage dans une logique d’accélération de la médication. À l’heure actuelle, 11% des jeunes Américains, et près d’un garçon sur cinq au secondaire, sont diagnostiqués avec un TDAH et les deux tiers sont médicamentés.

Plus l’enfant est jeune par rapport à son groupe d’âge (né en été, voire en septembre) plus il risque d’être diagnostiqué avec un TDAH. Et plus il est blanc aussi! Les jeunes blancs américains sont deux fois plus nombreux que les jeunes noirs ou hispaniques à être diagnostiqués et traités.

Meilleur dépistage? Peut-être. Mais n’y a-t-il pas là des signes d’une société ultra-performante qui ne tolère tout simplement plus que certains enfants réussissent moins bien à l’école, ou soient plus dissipés?

Sans jeter le bébé avec l’eau du bain –et le Ritalin dans la poubelle- il est peut-être temps de se poser des questions.

Par ailleurs, le TDAH est aussi devenu une affaire d’adultes.

 

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C'est marrant qu'en France on parle moins de ce bordel. Mon frangin a toujours eu une attention selective, notamment à l'école où il pipait rien à quasiment toutes les matières, mais le pedopsychiatre qui l'a suivi plus jeune pour son côté autiste bulleux n'a jamais évoqué l'ombre d'un TDAH. 

Si ça se trouve c'est dans la bouffe.

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(modifié)

Mais non c'est juste qu'en France on est dans le pays de Francoise Dolto et de l'enfant roi.

Les lobbys pharmaceutiques inonderont notre marché de Ritaline probablement dans quelques années ....

 

Citation

le lancement en 2004, par le président Bush, d’un plan de santé mentale, conçu pour remercier le large soutien financier dont il avait bénéficié de la part des puissants trusts pharmaceutiques américains. Depuis, le diagnostic d’hyperactivité est passé d’un million d’enfants concernés en 1990 à cinq millions aujourd’hui, les ventes de psycho stimulants bondissant dans le même temps de 387 millions de dollars à deux milliards.

 

Modifié par el_picador
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Nan mais tfaçons vous pouvez pas comprendre ce qu'on ressent donc évitez de vous exprimer hein. Franchement je suis dépressif SSP au deuxième stade et pour m'aider à surmonter ça la science m'offre l'alcool et c'est quand je suis bourré que je me sens mieux. Pour le reste au lieu de me faire la morale ouvrez un gros bouquin sur la neuropsy et vous verrez bien que l'alcool ça permet de recadrer les connexions synapsiales et ça guérit temporairement.

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il y a 21 minutes, 1984 a dit :

C'est marrant qu'en France on parle moins de ce bordel. Mon frangin a toujours eu une attention selective, notamment à l'école où il pipait rien à quasiment toutes les matières, mais le pedopsychiatre qui l'a suivi plus jeune pour son côté autiste bulleux n'a jamais évoqué l'ombre d'un TDAH. 

Si ça se trouve c'est dans la bouffe.

Je pense déjà que TDAH dans les 3/4 c'est les symptômes plus que la maladie. Comme évoqué par Vacpower et Sikaneba, t'as déjà des sources à traiter comme l'alimentation, le sommeil, le rythme de vie et tout ce qui tient de la santé humaine la plus basique.
Dans la neuro, t'as énormément de physio. Faut s'appeler Gamin pour ne pas comprendre ça et rabâcher le contenu d'un bouquin.

 

il y a 2 minutes, el_picador a dit :

Mais non c'est juste qu'en France on est dans le pays de Francoise Dolto et de l'enfant roi.

Les lobbys pharmaceutiques inonderont notre marché de Ritaline probablement dans quelques années ....

Ça y est maintenant le monde scientifique, en réaction à l'internet complotiste des années 2000-2010, se met à faire la chasse aux dogmes. On en est déjà au stade où t'as des gens qui te font des leçons de sophisme tout en te traitant de terre plate ou d'antivax dès que tu les bouges un peu.
Il y a des membres de ce forum, vraiment j'espère qu'ils n'auront jamais de gosses.
 

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il y a 21 minutes, el_picador a dit :

C'est devenu le mal du siècle au Québec, effectivement. C'est à un point tel, que pratiquement toutes les familles possèdent son (ou ses) TDA(H), et que toutes les classes en possèdent plusieurs. Une de mes amies est enseignante au primaire, et dans sa classe de 22 élèves, il y en a huit qui sont sous médication. Et sur les huit, un seul a été diagnostiqué (à travers des tests élaborés) par un neuropsychologue. 

Encore une fois, ici au Québec, il s'agit de voir un médecin et d'expliquer sommairement les symptômes qui t'affligent et tu repars avec une prescription signée en bonne et due forme, sans aucun test, sans aucun examen, il suffit de dire que bla bla bla. C'est du gros n'importe quoi! Et c'est maintenant de plus en plus fréquent chez les adultes de supposément souffrir de ce mal presque devenu une mode. Cela étant dit, je suis loin de nier que ce mal existe et que certaines personnes ont véritablement besoin d'être médicamentées pour mieux fonctionner dans leur quotidien.  

 

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il y a une heure, D'Artagnan a dit :

Faut s'appeler Gamin pour ne pas comprendre ça et rabâcher le contenu d'un bouquin.

Je suis pas en désaccord avec rien de tout ça, tu sais. 

Soit on se comprend mal, soit t'es trop pressé de vouloir m'antagoniser pour aucune raison. Je sais que tu m'apprécie pas, mais fait au moins l'effort de considérer que je suis peut être pas autant l'image distortionné de moi que tu t'es fait dans ta tête.  

Je vais être franc avec toi, et je pense que j'ai mal compris ton intervention dans le thread, surtout à relire tes autres messages après. Le flot de la conversation jusqu'à mon commentaire sur la neuro était vraiment dû au fait qu'y'avait comme un aura de "faut vraiment être con pour être médicamenté" (message d'El_picador) et le TDAH n'existe pas (message de Kapouchet) ce qui est quand même un peu extrême comme prise de position. Y'a une différence entre remettre en doute les chiffres, et à nier le problème ou insulter les gens qui souffrent des symptômes (peu importe les causes précises). 

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