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Quatre mois post-baccalauréat...


Déchet(s) recommandé(s)

Quatre mois post-baccalauréat et cette carrière professionnelle n'est toujours pas commencée.  Selon des données quelconques que j'avais lues sur le site de l'HEC, le taux de placement pour les finissants au B.A.A. serait de 96% après six mois.  Il me reste donc à peu près 60 jours pour me convaincre que je ne fais pas partie des pires losers du Québec.  Génial.

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Il y a 3 heures, Carlos Crasseux a dit :

J'avais déjà un retard sur mon cégep (trois ans plutôt que deux), puis quand je suis entré à l'Université, j'hésitais entre me diriger en psycho ou en communication, et donc j'ai perdu davantage de temps à niaiser le temps d'une première année à l'UdeM -- j'en garde un seul bon souvenir :  le petit gnome qu'est Thunder McFuck qui déambulait comme un pleutre égaré dans je-ne-sais-plus-quel pavillon.

Il me semble déjà l'avoir spotté deux fois en train de pleutrer à Jean-Brillant.

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Selon un sondage mené par le cabinet-conseil en ressources humaines Robert Half:

Qu’est-ce qui intéresse les employeurs chez les nouveaux diplômés ?

– Leur enthousiasme (34%) ;
– Leur créativité (27%) ;
– Leur facilité à s’adapter (24%) ;
– Leurs compétences (14%).

 

https://www.lesaffaires.com/blogues/l-economie-en-version-corsee/nouveaux-diplomes-quelles-sont-vos-chances-d-etre-embauches/609770

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(modifié)

En tout cas, les jobs qui demandent des années d’expériences c’est n’importe quoi. Tu appliques quand même sans t’en soucier.

En sortant de l’université, j’avais eu une offre pour une job qui demandais 8 ans d’expérience, alors que j’avais rien sauf un stage. En plus, avant, la fille des resources humaines m’avais conseillé de ne pas appliquer.

Modifié par e028182
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Le 2019-04-19 à 20:46, Ecce Homo a dit :

la vie est un marathon et non un relais.

Oui, ok. Ce n'est pas une excuse pour marcher les 10 premiers kilomètres.

25 ans, ce n'est pas "très jeune" pour entamer sa carrière. C'est, au contraire, légèrement sur le tard. C'est malheureux, mais la plupart des gens qui se réorientent le font parce qu'ils n'ont pas fait leurs devoirs quand ils auraient dû. Nommément, en secondaire 4-5, lorsque tu commences à avoir des cours d'orientation où ils te font faire des tests de personnalité et te montrent des sites comme Repères, etc...

Les gens avec lesquels tu te comparais ont certainement brûlé des étapes, mais ce ne sont pas celles que tu crois. Ça ne les empêchera pas d'avoir une carrière fructueuse, mais ils ont fait une erreur et tu ne devrais pas idéaliser leur situation. Dans les faits, le plus tôt tu peux te sortir de ta vie d'étudiant, le mieux c'est.

En passant, ça s'appelle un sprint. Un relais, c'est seulement pour les bouddhistes.

Le 2019-04-17 à 21:55, Carlos Crasseux a dit :

 

Cela dit, je ne crois pas que tu devrais te flageller si tu ne fais pas partie de la statistique publiée par ton école. Persévère dans ta recherche d'emploi et c'est quasiment certain que tu vas finir par trouver.

Désolé, @e028182, mais commencer une maitrise simplement parce que tu ne trouves rien est une idée terrible. Faire un bacc ne devrait déjà pas être un choix par défaut, alors faire une maitrise encore moins.

Une chose à laquelle tu n'as peut-être pas pensé: essaie-toi dans les incubateurs technologiques. Il y en a quelques-uns à Montréal, chacun regroupant une dizaine de "start-ups". En général, les "avantages sociaux" risquent d'être minimaux, voire inexistants. D'un autre côté, ce sont des environnements de travail qui vont probablement te pousser à "porter plusieurs chapeaux", être débrouillard, développer tes compétences dans plusieurs disciplines, etc...Ça pourrait éventuellement te permettre d'acquérir l'expérience nécessaire pour aller travailler dans une entreprise plus mature si tu souhaites avoir quelque chose d'un peu plus solide pour établir une famille, acheter une maison...

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Le plus ridicule dans tout ça, c'est que la majorité des emplois affichés sur les sites que je consulte demandent une combinaison de compétences que je possède réellement :  le bacc. en marketing, oui, mais aussi une certaine maîtrise de la suite Adobe -- notamment Photoshop, que j'utilise personnellement à chaque jour --,  de bonnes capacités rédactionnelles, une maîtrise de la suite Office, un fort esprit d'analyse, parfois même un intérêt pour la photographie, etc.

J'ai eu à travailler avec à peu près 25 équipes différentes au cours de ce baccalauréat.  J'ai croisé suffisamment d'étudiants pour savoir que les gens ne sont généralement que des débiles illettrés dans ce domaine.  Trois hypothèses :  1.  Même après trois reprises, mon curriculum vitae est toujours en dehors de la track et est rejeté au bout de huit secondes de survol par ceux chargés de faire une pré-sélection.    2.  Il y a beaucoup de pushing qui s'opère, et certains candidats sont appelés plus facilement simplement parce qu'ils ont un contact dans l'entreprise.    3.  Il y a un tas de candidats avec de l'expérience de travail intimement liée au poste à pourvoir, et donc ceux qui n'ont au c.v. que les qualités sont rejetés du revers de la main en un rien de temps.

Ou vraisemblablement aussi un mélange de tout ça.

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C'est le temps de sortir les tactiques ridicules extravagantes, du genre cibler une compagnie en particulier et stalker les employés afin d'établir des "contacts" et te faire connaître - le fameux truc de "l'autobus" (prendre l'autobus qui se rend à un emploi, repérer les employé(e)s qui utilisent l'autobus, faire la conversation avec eux de façon candide, répéter sur plusieurs semaines).

Si tu peux trouver le compte Facebook d'une pornstar, tu peux surement trouver les activités hebdomadaires du Directeur ou Directrice des Ressources Humaines pis "forcer le destin".

C'est farfelu, mais c'est une autre façon de transférer une autre de tes compétences afin d'aider tes chances.

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  • 3 semaines plus tard...
Le 2019-04-19 à 13:25, MattIsGoD a dit :

Si t'es une brute sur WordPress pis en CSS/HTML/Java.. dis-le-moi lol

Lentement mais sûrement, comme on dit...

Screen Shot 2019-05-22 at 9.03.27 PM.png

J'ai eu une entrevue téléphonique la semaine passée pour un poste de gestion de projet dans une grosse entreprise québécoise.  On m'a rappelé cet après-midi pour me convoquer à une entrevue en personne.  Celle-là c'est la bonne lol.

Je me suis aussi pris rendez-vous avec une conseillère au Centre de gestion de carrière de l'ESG-UQÀM.  Je vais ben finir par pouvoir décalisser du bercail un jour ou l'autre.

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  • 2 semaines plus tard...
Le 2019-05-03 à 23:10, Carlos Crasseux a dit :

a scale of creepiness

Une recherche sur le phénomène m’a amené à cela:

  • Révélation

     

    • Unpredictability is an important component of perceived creepiness.

     

    • A variety of non-normative physical characteristics and nonverbal behaviors contribute to perceptions of creepiness.

     

    • The most frequently mentioned creepy hobbies involved collecting things, such as dolls, insects, or body parts such as teeth. Bones or fingernails were considered especially creepy;

     

    • The second most frequently mentioned creepy hobby involved some variation of "watching," such as taking pictures of people, watching children, pornography, and even bird watching.

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    • Creepiness may be related to the “agency-detection” mechanisms proposed by evolutionary psychologists. 

     

    • These mechanisms evolved to protect us from harm at the hands of predators and enemies.

     

     

 

 

 

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C'est un sujet qui m'interpelle, parce que je suis moi-même passé par là il n'y a pas si longtemps. Comme mentionné précédemment dans le sujet et comme on te le répète sans doute dans ton entourage @Carlos Crasseux: les débuts dans le marché du travail est la période la plus difficile pour un travailleur. On se sent comme une merde et bien seul au monde. Mais mon dieu, crois-moi, ça va s'arranger. Bientôt, tu vas avoir bien d'autres soucis avec ta job que ceux que tu as présentement. Même, mon seul conseil, profite de ces quelques semaines de chômeur pour t'amuser à fond de train. Une fois sur le marché du travail, cette liberté ne se retrouvera peut-être jamais. 2-3 semaines de congé par année, ça ne te mène pas bien, bien loin.

On dit souvent qu'il faut 10 CV pour se trouver 1 entrevue, et 10 entrevues pour se trouver une job: ne te décourage pas. La réalité aussi est que tu as étudié dans un domaine où il y a beaucoup de candidats. La compétition est féroce. Un jour, ça sera ton tour.

Relativement à la possibilité de faire un MBA: je ne sais pas, ça m'apparaît comme une perte de temps. Le plus important, c'est l'expérience de travail. De plus, il ne me semble pas nécessaire de faire des études de 2e cycle spécialisées en administration lorsque tu as déjà un BAC en administration. Le MBA, c'est d'abord utile pour les autres types de professionnels qui veulent développer des connaissances en administration en vue de devenir gestionnaire dans domaine (ingénieur, avocat, actuaire, etc.). Et même là, c'est de plus en plus de la merde un MBA, tout le monde a ça, il n'y a plus rien de distinctif là-dedans. Ils vont bientôt en vendre dans les boîtes de céréales.

À moins que tu veuilles opter pour des gros programmes de MBA qui coûtent plusieurs dizaine de milliers de dollars à suivre et qui peuvent potentiellement te faire bénéficier d'un important réseau de contact (ex: Queen's je pense qu'il en offre un de ce genre-là, Harvard aussi, etc.), les autres programmes ne servent pas à grand chose. L'université, on peut pratiquement dire que sa seule utilité est d'être un tremplin pour une bonne opportunité. Par moment, elle ne remplit même pas ce rôle à merveille comme tu sembles le constater présentement. T'acharner avec elle peut s'avérer une perte de temps. Ne va pas t'imaginer que ces trois lettres vont t'offrir des opportunités d'emploi comme par magie. De toute façon, tu pourras réévaluer cette option lorsque tu auras quelques années d'expérience de travail sous la cravate.

 

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Le 2019-04-25 à 22:27, Génération Erasmus a dit :

Selon un sondage mené par le cabinet-conseil en ressources humaines Robert Half:

Qu’est-ce qui intéresse les employeurs chez les nouveaux diplômés ?

– Leur enthousiasme (34%) ;
– Leur créativité (27%) ;
– Leur facilité à s’adapter (24%) ;
– Leurs compétences (14%).

 

https://www.lesaffaires.com/blogues/l-economie-en-version-corsee/nouveaux-diplomes-quelles-sont-vos-chances-d-etre-embauches/609770

Dans presque toutes les entrevues d’embauche, note M. Burnison, vous pouvez vous attendre à répondre à des questions récurrentes. Et puis, il y a les questions inattendues. Je ne cherche pas alors la bonne réponse. Ce qui m’intéresse, c’est comment les gens s'adaptent à l'inattendu. Comment bien réagir face à de telles questions ? Pour y parvenir, il faut avoir en tête les 10 principales choses que recherchent les recruteurs lors d’un entretien.

 

1.Fit culturel. Les valeurs du candidat doivent correspondre avec celles de l’entreprise si bien qu’il lui sera aisé de s’intégrer au sein de celle-ci, et en particulier de sa future équipe.

2. Motivation. Les recruteurs veulent découvrir ce qui vous pousse à donner votre 110%, jour après jour, semaine après semaine, mois après mois.

 

https://www.lesaffaires.com/blogues/olivier-schmouker/voici-le-top-10-de-ce-que-recherchent-les-recruteurs/610774

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Le 2019-06-10 à 08:23, Kalias a dit :

C'est un sujet qui m'interpelle, parce que je suis moi-même passé par là il n'y a pas si longtemps. Comme mentionné précédemment dans le sujet et comme on te le répète sans doute dans ton entourage @Carlos Crasseux: les débuts dans le marché du travail est la période la plus difficile pour un travailleur. On se sent comme une merde et bien seul au monde. Mais mon dieu, crois-moi, ça va s'arranger. Bientôt, tu vas avoir bien d'autres soucis avec ta job que ceux que tu as présentement. Même, mon seul conseil, profite de ces quelques semaines de chômeur pour t'amuser à fond de train. Une fois sur le marché du travail, cette liberté ne se retrouvera peut-être jamais. 2-3 semaines de congé par année, ça ne te mène pas bien, bien loin.

On dit souvent qu'il faut 10 CV pour se trouver 1 entrevue, et 10 entrevues pour se trouver une job: ne te décourage pas. La réalité aussi est que tu as étudié dans un domaine où il y a beaucoup de candidats. La compétition est féroce. Un jour, ça sera ton tour.

Relativement à la possibilité de faire un MBA: je ne sais pas, ça m'apparaît comme une perte de temps. Le plus important, c'est l'expérience de travail. De plus, il ne me semble pas nécessaire de faire des études de 2e cycle spécialisées en administration lorsque tu as déjà un BAC en administration. Le MBA, c'est d'abord utile pour les autres types de professionnels qui veulent développer des connaissances en administration en vue de devenir gestionnaire dans domaine (ingénieur, avocat, actuaire, etc.). Et même là, c'est de plus en plus de la merde un MBA, tout le monde a ça, il n'y a plus rien de distinctif là-dedans. Ils vont bientôt en vendre dans les boîtes de céréales.

À moins que tu veuilles opter pour des gros programmes de MBA qui coûtent plusieurs dizaine de milliers de dollars à suivre et qui peuvent potentiellement te faire bénéficier d'un important réseau de contact (ex: Queen's je pense qu'il en offre un de ce genre-là, Harvard aussi, etc.), les autres programmes ne servent pas à grand chose. L'université, on peut pratiquement dire que sa seule utilité est d'être un tremplin pour une bonne opportunité. Par moment, elle ne remplit même pas ce rôle à merveille comme tu sembles le constater présentement. T'acharner avec elle peut s'avérer une perte de temps. Ne va pas t'imaginer que ces trois lettres vont t'offrir des opportunités d'emploi comme par magie. De toute façon, tu pourras réévaluer cette option lorsque tu auras quelques années d'expérience de travail sous la cravate.

 

Comment tu peux t'amuser sur le chômage ? T'as pas une crisse de cenne. 

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De toute façon, comme je l'ai mentionné en début de discussion, je ne suis pas au chômage mais derrière le comptoir d'une institution financière à raison de 35 heures par semaine.

Cela dit, je me suis retrouvé particulièrement démotivé ces derniers temps.  C'est de peine et de misère que je me suis résolu à appliquer sur six ou sept postes mardi passé sans trop y mettre les efforts nécessaires, en laissant la lettre de présentation intacte, sans rien y changer.  Résultat :  trois entrevues différentes la semaine prochaine.  Eh ben.

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Bonne chance. Je pense qu’on est plusieurs à avoir passé par là après l’université. Moi aussi ça m’a pris plusieurs mois de désespoir avant de trouver quelque chose. 

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Merci @e028182.

 

@Ecce Homo :  Pour être franc, non.  Les deux dernières semaines ont été très dures niveau motivation à tous les niveaux, a fortiori après avoir lu le courriel du 3 juin m'annonçant que je n'avais pas été retenu pour le poste duquel j'avais eu une entrevue le lundi d'avant.  Je n'ai fait aucune application depuis jusqu'à mardi dernier.  Je me rappelle toutefois que le salaire était effectivement un peu trop bas considérant que je suis déjà à 32k$ là où je travaille... à 2 min d'auto de chez moi.  

Donc disons qu'une job plus ou moins au même salaire, impliquant un pénible trajet Mirabel-Montréal et qui au final ne me paraît pas stimulante en soi non plus...  rien pour me sortir de la déprime qui m'a habité dernièrement.  Merci tout de même pour la suggestion !

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