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La diversité sexuelle enseigné dès le primaire au Quebec


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La diversité sexuelle, le viol, les agression les LGBT, etc.. enseigné dès le primaire au Quebec.. Bienvenu dans le Quebec dystopique. Je me rappelle il ya quelques années sur le dep on me traitait de parano et  on parlait de pante savonneuse quand je pointais ce sujet..

http://www.education.gouv.qc.ca/parents-et-tuteurs/education-a-la-sexualite/liste-des-contenus/primaire/

Les idéologues du genre on infiltré le réseau et lavent le cerveau des plus jeunes dès l'age de 5-7 ans..

  • nommer des représentations stéréotypées de la féminité et de la masculinité dans l’entourage et dans l’univers social et médiatique;
  • établir des liens entre les stéréotypes sexuels et le développement de son identité;
  • expliquer comment la discrimination basée sur l’identité et l’expression de genre ainsi que l’orientation sexuelle peuvent affecter les personnes;
  • discuter du rôle que chacun peut jouer dans le respect de la diversité sexuelle et de la différence.
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Nous, on a eu cette merde là :

https://fr.wikipedia.org/wiki/ABCD_de_l'égalité

Le problème, c'est pas tant qu'on enseigne les idées sur le genre. A partir du moment où des idées existent, elles ont leur place dans les programmes scolaires (pas en maternelle). Le problème, c'est qu'on présente comme vraies des choses qui n'ont jamais été prouvées et qui relèvent du combat politique.

Il faut pas non plus confondre ce qui relève de la théorie du genre (comme quoi tout ça ne serait que des constructions historiques) et de l'évolution de la société (il y a évidemment des carcans et des stéréotypes, c'est impossible à nier, l'admettre ne revenant pas à dire que TOUT est une construction).

Après, ce qui est hallucinant, c'est cet accent qu'on met sur le bien-être, la sociabilité, etc. On dirait qu'aller à l'école, c'est aller à une thérapie ou à un club de sport. Votre système scolaire semble en bien meilleur état que le nôtre mais par chez nous, les gamins savent plus lire, sont hyper mal placés dans les classements internationaux de math, etc. etc. mais on apprend l'épanouissement de soi. Histoire d'en faire de beaux gogoles pendant que les enfants des beaux quartiers, eux, apprennent à compter et à parler l'anglais. D'ailleurs, dans nos lycées, ces théories ne sont enseignées qu'aux étudiants en sciences humaines et arts. Les meilleurs élèves français allant traditionnellement en sciences, quelles que soient leurs préférences, on leur apprend des choses sérieuses.

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Je commence vraiment à en avoir ras-le-bol de faire de vraies réponses pour des gens qui se contentent de poster des vidéos youtube ou des oneliners.

Tu veux pas d'enfant Carlos, tu te sens pas concerné ?

Et @MattIsGoD qui plusse, tout comme il plusse dès que quelqu'un parle d'hétérocentrisme, après m'avoir dit ça dans le sujet sur la musulmanie :

« Les gens ont souvent de la difficulté à se sortir de leurs fausses certitudes. C'est normal, mais ça doit être combattu. Et ça, ça passe pas l'éducation, la vraie. Pas qu'apprendre des faits et les recracher, mais apprendre à réfléchir. Mais, ça, ce n'est pas souhaitable pour les puissants ;) »

oh lol quelle ironie

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Oui, excellent. C'est beaucoup plus essentiel de t'apprendre que ton zizi ne fait pas de toi un garçon qu'à mettre une majuscule en début de phrase et un point à la fin.

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il y a une heure, Daleko a dit :

Oui, excellent. C'est beaucoup plus essentiel de t'apprendre que ton zizi ne fait pas de toi un garçon qu'à mettre une majuscule en début de phrase et un point à la fin.

 

 

en effet , il faut mettre les priorités aux bonnes place

 

c'est pas mal plus devastateur pour un humain d'avoir des doutes, de la honte, des questionnements sur sa propre personne au sujet de la sexualité ou tout autre sujet qui sont sensible qui peuvent faire toute la difference pendant sont cheminement quil va prendre au cours de sa vie, que de savoir comment bien écrire

 

 

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Donc on en est à tirer vers le bas toute une classe parce qu'il y aura peut-être un élève dans le tas qui aura des difficultés sur son identité ? On pénalise la majorité, la normalité pour un cas pathologique (et c'est bien là tout le problème avec cette théorie foireuse, on part de l'anormal pour décider qu'il faut transformer le normal).

Je connais des gens qui déscolarisent leurs enfants pour éviter ce genre de connerie (et je serai très tentée de faire la même chose).

Ce qui est bien avec la Chine (bah oui, encore), c'est que quand un enfant saoule avec ses questionnements existentiels, on le vire et les autres continuent à progresser plutôt que d'être pollués par des questionnements qu'ils ne se seraient jamais posés autrement (parce que, eux, sont sains).

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Vomi si tu veux mais ce n'est pas à l'école de s'occuper de ça. Pour tes questionnements, t'as une famille, des amis ou une infirmière/psychologue scolaire. Les heures de cours servent pas à te demander si ta confiture préférée c'est vraiment celle aux framboises.

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Il y a 6 heures, Daleko a dit :

Je commence vraiment à en avoir ras-le-bol de faire de vraies réponses pour des gens qui se contentent de poster des vidéos youtube ou des oneliners.

Tu veux pas d'enfant Carlos, tu te sens pas concerné ?

Et @MattIsGoD qui plusse, tout comme il plusse dès que quelqu'un parle d'hétérocentrisme, après m'avoir dit ça dans le sujet sur la musulmanie :

« Les gens ont souvent de la difficulté à se sortir de leurs fausses certitudes. C'est normal, mais ça doit être combattu. Et ça, ça passe pas l'éducation, la vraie. Pas qu'apprendre des faits et les recracher, mais apprendre à réfléchir. Mais, ça, ce n'est pas souhaitable pour les puissants ;) »

oh lol quelle ironie

En plus de ne rien y comprendre à la théorie des genres, tu ne sais pas non plus ce qu'est de l'ironie.

T'sais, quand je parle de vraie éducation, je ne veux pas dire enseigner TES valeurs, TES certitudes. Je veux dire apprendre à réfléchir. Je ne dis pas qu'il faille faire un acte de foi (yark) par rapport à une position où à une autre, mais plutôt qu'il est impératif d'apprendre à analyser. Pas apprendre des faits, mais plutôt apprendre à analyser ces faits. 

Après tout, la théorie des genres, c'est juste comprendre la différence entre le sexe biologique et le comportement social associé au genre. C'est ça que le programme sur lequel tu pleures essaie d'expliquer. Le but c'est de montrer aux gens que les comportements genrées, ce n'est pas de l'absolu et qu'une personne ne devrait pas se sentir inférieure parce qu'elle ne se sent pas à l'aise dans un rôle X que des traditions sociales voudraient lui imposer comme foncièrement naturel.

Parce que si c'était natruel, il te faudrait fermer ta gueule et faire des toasts à ton mari. T'es une femme, ton opinion, on s'en crisse. Ce n'est pas acceptable? Pourquoi? C'est naturel! C'est ton rôle! Soit belle et tais-toi! Une maison propre et une graine bien sucée. Ah pis ta carrière? Oublie ça! Ce n'est pas ton rôle. Ah pis criss, si t'as une fille et qu'elle veut jouer au foot, oublie ça, le sport, c'est pour les garçons. Achète-lui un dés à coudre et des poupées; ça la préparera à son futur de bourgeoise bon marché...

En somme, les rôles de genre se sont bâtis dans l'histoire et ils ont évolué au fur et à mesure que les sociétés ont évolué et... ils continuent de le faire. Ce n'est pas statique et c'est tout là le point central. Un construit social, c'est vivant. Ça se métamorphose. C'est comme la langue. Le français d'il y a 500 ans n'est pas le même qu'aujourd'hui qui lui ne sera pas le même dans 500 autres années. Il y a certes des influences biologiques (je veux dire, un mec ne peut pas porter un bébé), mais il y a une TRÈS GROSSE PARTIE d'acquis et c'est cette partie qui ne faut pas négliger quand on s'évertue à aposer des étiquettes aux gens.

T'sais, on parlait de la définition du mot "réactionnaire" plus tôt cette semaine... et bien être réactionnaire c'est se vautrer dans le conservatisme et avoir peur de l'évolution des choses. C'est se réconforter dans le "c'est comme ça et c'est tout". Des fois, face aux gens rétrogrades, la meilleure réponse demeure le "zzz" de Carlos. "ZZZ" qui s'adressait probablement plus aux positions ridiculement mal articulées de W00t W00t qu'à ton message. C'est ça que je "plussais". 

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il y a une heure, MattIsGoD a dit :

Après tout, la théorie des genres, c'est juste comprendre la différence entre le sexe biologique et le comportement social associé au genre

Non, justement, ce n’est pas ça la théorie du genre. Ce n’est pas simplement faire preuve d’ouverture aux autres et comprendre que certains comportements sont sociaux et culturels plus que naturels. Si ce n’était que ça, ce serait normal, ça serait une énième évolution de la société. En plus, les exemples que tu utilises datent d’un féminisme antérieur à la théorie du genre. C’est d’ailleurs extrêmement dérangeant et troublant cette propension à résumer l’opposition à cette théorie à une volonté de retour en arrière. L’égalité est là (ou, pour ceux qui estiment qu’elle n’est pas atteinte, l’idée de l’égalité) et personne ne veut la supprimer.

La théorie du genre ne vise pas à abolir une hiérarchie sexuée mais à rendre interchangeables l’homme et la femme (entre autres genres). À la racine, il y a le postulat que l’identité sexuelle n’est aucunement biologique. C’est un concept qui est né (Money, Stoller) dans le cadre du traitement d’enfants hermaphrodites ou de transsexuels et qui se base donc sur des exceptions pour fonder une règle, et c’est ce qu’on continue à faire (Fausto-Sterling). C’est comme si on te disait que puisque certains naissent avec huit doigts, c’est peut-être injuste de considérer qu’il est normal d’en avoir dix.

Ça fait belle lurette qu’il ne s’agit plus de laisser les filles qui le veulent jouer au foot mais qu’on est dans un délire d'un tout autre niveau comme lutter pour bannir les notions d’hommes et de femmes, par ex. du vocabulaire, parce que trop liée à l’hétérosexualité (voir les écoles suédoises qui n’utilisent plus de pronom personnel genré). On se retrouve avec des folles comme Butler, qui avoue souffrir d’avoir à dire qu’elle est une femme parce qu’au fond elle est certaine que les femmes n’existent pas. Ou comme Wittig, qui dit que les lesbiennes ne peuvent pas exister parce que les femmes n’existent pas hors du monde hétérosexuel.

C’est tout simplement une vision de l’humain et de son rapport au monde qui se retrouve enseignée comme vérité. On considère que l’humain est plastique et peut tout faire mais que la société se charge d’entraver, d’imposer ses règles, de punir, etc. Sauf que quand tu commences à mettre ça dans des manuels de sciences (comme c’est le cas pour les programmes de sciences humaines et d’art en France), t’as intérêt à baser ça sur autre chose que des anomalies ou de la philosophie (et c’est pour ça que ces conneries ne figurent pas dans les manuels des élèves scientifiques).

Peut-être qu’un jour on sera tous des robots asexués mais c’est pas encore le cas. On a un corps biologique dont le fonctionnement ne dépend pas de nous et dont on ignore encore beaucoup de choses. La réalité existe et on ne peut pas l’ignorer juste parce qu’on l’a décidé, elle ne se résume pas à la volonté de l’humain. On ne peut pas par exemple décider que si 50 % des mécaniciens ne sont pas des femmes, c’est simplement pour des raisons sociales et culturelles. Ça ne se résume sans doute pas à ça. Si encore ces gens disaient « peut-être que », ce serait acceptable et défendable, sauf que c'est très rarement le cas, comme l'ont montré plusieurs scandales autour des publications scientifiques dans les journaux d'études sur les genres : on a une idéologie et on valide tout ce qui va dans ce sens. 

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Il y a 2 heures, Daleko a dit :

Non, justement, ce n’est pas ça la théorie du genre. Ce n’est pas simplement faire preuve d’ouverture aux autres et comprendre que certains comportements sont sociaux et culturels plus que naturels. Si ce n’était que ça, ce serait normal, ça serait une énième évolution de la société. En plus, les exemples que tu utilises datent d’un féminisme antérieur à la théorie du genre. C’est d’ailleurs extrêmement dérangeant et troublant cette propension à résumer l’opposition à cette théorie à une volonté de retour en arrière. L’égalité est là (ou, pour ceux qui estiment qu’elle n’est pas atteinte, l’idée de l’égalité) et personne ne veut la supprimer.

La théorie du genre ne vise pas à abolir une hiérarchie sexuée mais à rendre interchangeables l’homme et la femme (entre autres genres). À la racine, il y a le postulat que l’identité sexuelle n’est aucunement biologique. C’est un concept qui est né (Money, Stoller) dans le cadre du traitement d’enfants hermaphrodites ou de transsexuels et qui se base donc sur des exceptions pour fonder une règle, et c’est ce qu’on continue à faire (Fausto-Sterling). C’est comme si on te disait que puisque certains naissent avec huit doigts, c’est peut-être injuste de considérer qu’il est normal d’en avoir dix.

Ça fait belle lurette qu’il ne s’agit plus de laisser les filles qui le veulent jouer au foot mais qu’on est dans un délire d'un tout autre niveau comme lutter pour bannir les notions d’hommes et de femmes, par ex. du vocabulaire, parce que trop liée à l’hétérosexualité (voir les écoles suédoises qui n’utilisent plus de pronom personnel genré). On se retrouve avec des folles comme Butler, qui avoue souffrir d’avoir à dire qu’elle est une femme parce qu’au fond elle est certaine que les femmes n’existent pas. Ou comme Wittig, qui dit que les lesbiennes ne peuvent pas exister parce que les femmes n’existent pas hors du monde hétérosexuel.

C’est tout simplement une vision de l’humain et de son rapport au monde qui se retrouve enseignée comme vérité. On considère que l’humain est plastique et peut tout faire mais que la société se charge d’entraver, d’imposer ses règles, de punir, etc. Sauf que quand tu commences à mettre ça dans des manuels de sciences (comme c’est le cas pour les programmes de sciences humaines et d’art en France), t’as intérêt à baser ça sur autre chose que des anomalies ou de la philosophie (et c’est pour ça que ces conneries ne figurent pas dans les manuels des élèves scientifiques).

Peut-être qu’un jour on sera tous des robots asexués mais c’est pas encore le cas. On a un corps biologique dont le fonctionnement ne dépend pas de nous et dont on ignore encore beaucoup de choses. La réalité existe et on ne peut pas l’ignorer juste parce qu’on l’a décidé, elle ne se résume pas à la volonté de l’humain. On ne peut pas par exemple décider que si 50 % des mécaniciens ne sont pas des femmes, c’est simplement pour des raisons sociales et culturelles. Ça ne se résume sans doute pas à ça. Si encore ces gens disaient « peut-être que », ce serait acceptable et défendable, sauf que c'est très rarement le cas, comme l'ont montré plusieurs scandales autour des publications scientifiques dans les journaux d'études sur les genres : on a une idéologie et on valide tout ce qui va dans ce sens. 

Lis donc le programme avant de partir en peur. Il n'est aucunement question d'abolir la dimension biologique de la sexualité dans les contenus obligatoires du gouvernement. L'idée ici, c'est entre autres d'enseigner aux enfants comment reconnaitre et accepter la diversité sexuelle et (tiens-toi bien sur ta chaise) de comprendre et d'accepter notre corps et ses transformations biologiques. Pas facile de vivre dans un état totalitaire comme le nôtre.

Après, le débat en parallèle que tu entretiens dans ta tête reste pertinent, mais pas ici.

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C'est vrai, on panique pour rien. La preuve dans le manuel de biologie Bordas, utilisé en France dans les lycées et dans lequel on a déjà zappé tout rôle naturel :

"L'identité sexuelle dépend, d'une part, du genre conféré à la naissance, d'autre part, du conditionnement social"

De plus, parler de ce merdier à des enfants trop jeunes pour le comprendre (comme l'a dit Esch plus haut), ça va peut-être aider des jeunes troublés mais ça va surtout mettre de la confusion dans la tête de ceux qui n'ont pas lieu d'en avoir. C'est comme à l'adolescence, quand on s'interroge tous un peu sur notre orientation, comme sur tout le reste de notre identité et qu'on est beaucoup trop influençable. Y'a eu la mode des bis, là y'a celle des trans, vivement que ça finisse.

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Il y a 5 heures, IRON a dit :

 

 

en effet , il faut mettre les priorités aux bonnes place

 

c'est pas mal plus devastateur pour un humain d'avoir des doutes, de la honte, des questionnements sur sa propre personne au sujet de la sexualité ou tout autre sujet qui sont sensible qui peuvent faire toute la difference pendant sont cheminement quil va prendre au cours de sa vie, que de savoir comment bien écrire

 

 

Je ne suis pas forcément pleinement d'accord, mais je te donne de la rep parce que j'ai compris ton message pas bourré de slang pour une fois 

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En fait, un des problèmes est que les pedagogues sous influence d’intellectuel militants veulent pousser l'identité de genre (le sexe que vous pensez posséder) et l'expression de genre (le sexe que vous présenter au monde),  et cela ouvre la porte à toute sorte d’excès. 

Les lobbys LGBT on pris le control des écoles primaires avec ces cours et le gouvernement n'a aucun controle sur ce qui arrive, c'est ca qui est encore plus grave, car ce sont des «intellectuels et chercheurs»  militants qui ont fini par faire accepter que le genre est un construction sociale aux décideurs, quand il n'y a rien de prouver et que cela fait plus partie de l'idéologie politique que de la réalité. Le genre n'est pas une construction sociale, c'est lié à la biologie et c'est en grande partie INNÉ, ironiquement, les transsexuels sont là pour le prouver. Les transexuel M/F sont certain d'être femme, et portent des robes, du maquillage, veulent être coquette.. Si le genre était un simple construit, et bien ce sentiment de vouloir devenir l'autre sexe ne serait pas si fort.

 

 

Avec les concept d’identité et d'expression de genre, ce sont seulement des concept et rien d'autre, et un homme de 40 ans avec une barbe peut exprimer son genre comme étant féminin et aller dans le vestiaire des filles et femmes. Aussi, dans ces concept, qui sont tirés des théories LGBT et intersectionnelles, et bien, il est haineux et inadmissible de dire qu'un homme a un pénis et une femme un vagin. Pire dans leur tête, un homme peut être menstrué et une femme peut produire du sperms. Ce qui fait qu'un homme comme Jessica yaniv qui se défini comme femme a réussi a faire fermer  des salon dépilage féminin, alors que les femmes ne voulaient pas lui épiler les couilles, alors il les a poursuivi. Il a perdu sa cause devant les tribunaux, mais sans causer d'immense dégât. Maintenant , il est entrain de tester le système car il veut poursuivre des gynécologues qui ne veulent pas l'examiner.....

https://www.lapresse.ca/actualites/national/201910/22/01-5246509-epilation-intime-la-cour-deboute-une-transgenre.php

https://www.lifesitenews.com/news/trans-activist-jonathan-jessica-yaniv-shocked...confused-gynaecologist-wont-see-him

 

 

ah et tout ceux qui disent que ce n,est pas grave, que c’est même souhaitable, désolé, mais vous êtes juste débile, il est question de manipuler idéologiquement des enfants en bas âge et non de jeunes à l'université ou au CEGEP..

 

Une amie transexuel sur Facebook, Avril Spartan a écrit ceci sur la construction du genre: 

Citation

 

Beau ramassis de vomi.

Ça paraît qu'elle ne connaît rien aux transgenres. Ce ne sont pas tout(e)s les transgenres qui adhèrent aux dérapes des idéologues post-modernistes anti-bLaNtRiaRcAt anti-occident anti-capitalisme anti-tout, surtout en ce qui concerne la langue et ce qu'ils appellent la "théorie du genre".

Non, le genre n'est pas une construction sociale. Si ça l'était, on pourrait simplement se refaire une nouvelle construction pour ne plus être transgenre et s'éviter la transition et tous les sacrifices, souffrances et efforts qui viennent avec! Cela dit, détrompez-vous il y a aussi le bien-être immense de devenir soi au bout du chemin, de vivre dans l'authenticité et l'acceptation de soi la plus absolue, car accepter que l'on est réellement un/e transgenre et l'incarner relève quasiment de l'impossible. J'étais lui, je suis devenue elle. Simple. Le genre est inné, immuable. Je le sais, j'ai tout essayé avant.

Les adeptes de la théorie du genre, pour la plupart, ne se rendent malheureuement pas compte qu'ils sont simplement les pions de gens avec un agenda caché. Oui, il existe bien un spectrum: celui de la masculinité et de la féminité. Il y a des femmes plus ou moins féminines, plus ou moins masculines; il y a des hommes plus ou moins masculins, plus ou moins féminins. Il n'en demeure pas moins que ce sont des hommes, ou des femmes, à divers degrés de féminité et masculinité.

Le corps possède deux blueprints d'expression des gènes, verrouillés dans deux coffres. Celui de base, le féminin: les personnes avec XX possèdent seulement la clef X, et donc ont accès au blueprint féminin, qui fait développer à leur corps les caractéristiques sexuelles primaires et secondaires femelle. Ensuite y il a le blueprint masculin: les personnes avec XY possèdent aussi la clef Y, et donc ont accès au blueprint masculin, qui fait développer à leur corps les caractéristiques sexuelles primaires et secondaires mâle. Deux possibilités d'expression des gènes, il ou elle.

C'est tout à fait correct de se situer quelque part entre les deux sur le spectrum masculin ou féminin, mais reste que le corps se développe d'un sens, ou de l'autre. Le reste, c'est la présentation, la mode, les goûts, ce qu'ils appellent le "genre". Mais le genre, ce n'est pas ça. Le genre est ancré en soi, et il découle des deux sexes. Il arrive qu'au cours de la conception, il n'y ait pas adéquation entre l'activation hormonale du corps, autour du premier trimestre, et celle du cerveau au deuxième. C'est là qu'une personne transgenre est née.

Cette personne, peu importe ce qu'elle fait, sera toujours transgenre, et si elle a la chance de naître dans une société avancée, ouverte et sécuritaire comme la nôtre (merci à tous ceux qui la rendent possible), elle pourra entamer ce qu'on appelle une transition. Gràce à divers outils disponibles par la science, cette personne pourra refermer le mauvais coffre et obtenir la clef de celui contenant le blueprint que correspond à son cerveau (et parfois même, certaines parties physiques, comme moi qui avait un profil endocrinien féminin, comme j'ai découvert lors de mes premiers test sanguins), passant ainsi de l'un à l'autre. Transition, d'où "trans".

Rien de cela ne suppose que le genre est une construction sociale, ou que les trans veulent "dégenrer". Loin de là, c'est même diamétralement opposé: la transition est l'expression même de la nature ancrée et immuable du genre, qui lorsqu'il n'y a pas adéquation, crée une dysphorie énormément souffrante, laquelle ne peut être mitigée que par la transition. Une transition, ce n'est pas changer de coupe de cheveux, se peindre les ongles, mettre des foulards roses, chialer sur des pronoms, ou encoreavoir des intérêts plus typiques au sexe opposé. C'est un besoin profondément ancré de créer une adéquation entre le corps et l'esprit, l'incarner dans notre corps, devenir lui ou elle. C'est le contraire absolu de la théorie du genre. L'expression la plus primale de la nature intrinsèque du genre. Un cri de l'âme suivi d'une mise en action concrète. Pas de retour en arrière. Je suis ELLE.

 

 

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