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Postez vos poèmes, récits, nouvelles


Déchet(s) recommandé(s)

C'est simple.. Jeter vos mots sur l'écran, sur le papier chiffonné, gribouillis instantané, jeter vos déchets poétiques dans le dépotoir de mots.... Postez vos poèmes, récits, histoires, nouvelles, fictions ou autre qu'on les critique, les adorent ou qu'on les détestent:P Postez vos textes:P

Modifié par Darklua
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Tant qu'à faire, un de mes vieux truc qui truc:

Crasse

Alors que nous déchirons,

Pans de chairs,

Bouts de charognes,

Les dents mordent bon

L’esprit prolétaire

De l’homme ivrogne.

Ivre comme on se lasse,

S’humectant,

Inondé.

S’abreuvant de crasse,

Incandescent,

Mal ventrée.

Et je gicle des paroles,

Des mots,

Mes dents

Qui s’explose a un sol

Trop haut,

Trop grand.

Leurs limites me noient

Dans un chant

Que je ne saurai,

Étant encore une fois

Trop bruyant,

Identifier.

Il racle la cloison

Intérieur rouge

De mes soupirs,

M’enlevant tous frissons

Du fond d’où je

Récupère mes désirs.

Alors qu’ils répareront,

Pans de fer,

À bouts de rognes,

Leurs dents morderont

L’esprit prolétaire

Du bon ivrogne.

Si j'avais à expliquer ce poème simplement, aujourd'hui je dirais ceci:

"Alors que j'essaie de décortiquer, d'analyser, de comprendre, eux, bedonnant travailleurs de leurs mains, ne font que se borner, ne voulant point se forcer. Désespérant, je me tais. Qu'ils cherchent, alors, je ne serai plus là pour eux, trop occupé à me boire de la vie."

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J'ai instauré un certain rythme en ajoutant des traits d'union. Ce n'est pas pour lier mais bien pour séparer les syllables.

Il faut faire une lecture saccadée en séparant bien toutes les syllabes. J'ai mis les traits pour que vous sépariez les syllabes que je voulais que vous prononciez séparément. Donc, tout ce qui est séparé par des traits ou des espace se lit d'une traite de façon saccadée.

Right?

(Je veux être sûr que tout le monde le lise de la bonne façon hihi)

Je suis un pe-tit bon-homme

Qui ai-me man-ger les hommes

Je pré-fè-re les mol-lets

Ils sont plus ten-drou-li-nets.

J'aime aus-si les mar-gue-rites

Mais sur-tout les plus pe-tites

Qui font pa-ta-pon-ron-ron

Comme un pe-tit mai-gri-chon.

J'ai une car-te de ho-ckey

Qui vaut tout un tas de blé

Je la sors quand je m'en-nui

Dou-ce-ment sans qu'elle se plie.

Je suis un pe-tit bon-homme

Qui ai-me les phé-ro-mones

Mais sur-tout celles qui ac-tionnent

Son pe-tit du-o-dé-num!

---------------

Ce que je voulais dire?

Rien du tout. Ce poème n'a aucun sens!

C'est une boule de sons cocasses.

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  • J'ADORE! 1
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C'est simple.. Jeter vos mots sur l'écran, sur le papier chiffonné, gribouillis instantané, jeter vos déchets poétiques dans le dépotoir de mots.... Postez vos poèmes, récits, histoires, nouvelles, fictions ou autre qu'on les critique, les adorent ou qu'on les copie, publie sous notre nom, devienne idolâtré :P Postez vos textes:P

Chicken, qu'est-ce?

Modifié par Docteur G
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Voilà un petit texte que j'ai écrit l'an passé.

C’est dimanche. C’est dimanche, et j’ai du pain dans mes poches. Je me dirige d’un pas absent vers le lac situé derrière le chalet familial. Sous les arbres, j’aperçois deux bancs de bois grossièrement travaillés placés face à face, séparés par le lac. Mon grand-père les avait fabriqués pour reposer ses vieilles jambes lorsqu’il nourrissait les canards.

Lorsque j’étais jeune, mon père et moi venions à ce lac tous les dimanches. Nous prenions place, chacun sur un banc, armés de nos miettes de pain. Nous essayions d’attirer les canards loin de l’autre pour obtenir les quinze sous mis en jeu. Je gagnais toujours fièrement en pensant que j’avais une meilleure tactique que mon père. Je réfléchissais gravement à l’endroit où je devais lancer le prochain morceau de pain, et cela me faisait gagner en attirant tous les canards de mon côté. Pendant ce temps, à mon insu, de l’autre côté du lac, mon père mangeait le pain destiné aux canards et m’observait avec un sourire aux lèvres. C’est ainsi que nous passions nos dimanches après-midi, moi m’enrichissant dignement de quinze sous et lui d’un imperceptible surplus de poids.

Puis, j’ai vieilli et quitté la maison familiale : la vie a changé, mais pas les dimanches. J’ai continué à m’enrichir de quinze sous par semaine malgré la futilité de ce montant pour un adulte. C’était la tradition.

Aujourd’hui, c’est dimanche. Je suis assis sur mon banc de bois, le même depuis vingt-trois ans. J’ai les poches pleines de pain sec. Je lance rapidement les miettes dans le lac, l’une à la suite de l’autre, puis j’observe les canards se les arracher. Finies les tactiques. Aujourd’hui, le banc d’en face est vide. Rien ne change pour les canards.

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J'ai quelques nouvelles et des tentatives de poèmes... j'vais en poster une fois de temps en temps.

Il tenait sa tête dans ses mains... Il l'écoutait tousser.. Il l'écoutait se battre pour respirer. Ce p'tit criss de con qui avait pris la vie de sa fille ne se moquera plus jamais de lui. Ce con avait osé se retourner vers lui en souriant alors que le jury l'a déclaré non-coupable de meurtre sur sa fille. Son criss de sourire... il ne le verra plus jamais car c'est ses dernières secondes qui s'écoulent en même temps que sa vie. Comment aurait-il pu croire que de tuer un homme serait aussi... amusant ? Il lui avait donné un coup sur l'épaule pour qu'il se retourne et lui avait tiré en pleine poitrine. Il savait que le coup de feu qu'il venait de lui donner servirait bien à le tuer mais le ferait souffrir avant. Il regardait le sang sortir de la plaie et son bonheur était équivalent au nombre de litre qui s'écoule de se trou béant qui avait dû lui brûler l'intérieur de son corps, briser ses os et déchirer toutes fibres humaines que la balle avait du transpercer. Et cela lui procurait une joie intense. Il se ferait une joie d'admirer ses mains recouvertes de sang avant de les laver. Les mêmes mains qui avaient nettoyées le visage de sa fille recouverte de merde. Il ne l'avait pas simplement tué, ce criss de junkie avait vidé sa merde de coke dans le visage de ma fille.

Elle était allée le voir pour le laisser et il avait disjoncté. C'était sûr... il l'avait frappé avec un objet indéfini que les inspecteurs n'ont pas retrouvé et à cause de cela il a été innocenté. Il l'avait battu à mort... il l'avait entendu gémir comme je l'entends maintenant. Il avait son sang sur ses mains comme il a maintenant. Il avait une satisfaction comme il a maintenant. Il avait toujours considéré les criminels qui vont en prison comme des imbéciles. Des rejets d'une société qui n'est pas adaptée à leurs besoins démentielles. Il avait toujours grogné sur sa partie de l'impôt qui servait à les nourrir. Bientôt, il mangerait ses propres impôts et les côtoierais. Mais il est différent... il n'avait pas tué sur une impulsion. Il avait tout calculé. Où, quand et comment. Et surtout, il n'avait pas fait ça pour lui même. Il avait fait ça pour sa fille. Il est sûr que c'est ce qu'elle aurait voulu. C'était écrit dans le ciel. Si elle avait vu toutes ces larmes qui avaient coulées alors qu'il portait son cercueil pour aller l'enterrer, toutes ces larmes qui avaient coulées alors qu'il nettoyait son visage, toutes ces larmes qui avaient coulées alors qu'il avait enlacé sa femme, toutes ces larmes... Elle lui aurait demandé faire ça... Bien sûr... Ils l'aimaient tant... et c'était réciproque... comment la vie pouvait-elle nous faire ça ! Comment la mort peut-elle décider de qui doit partir !! Ma fille était une bonne fille, elle travaillait pour les drogués ayant elle-même passé à travers... Pourquoi prendre la vie d'une jeune fille dans la fleur de l'âge alors que son vieux père est encore en vie ! C'est si injuste... tant de personnes l'aimaient alors que moi je ne suis plus qu'un boulet pour cette société. Elle... si jeune...

Mais il l'avait vengé. Sa mémoire pourrait finalement se graver en nos têtes. Cette femme si belle... si jeune dont la vie avait été injustement volé par un connard de la pire espèce... une racaille... une merde dans le visage de la société. Il ne méritait même pas le titre de criminel, c'était qu'une merde... Il adorait comme le temps de verbe passé résonnait dans sa tête. Il adorait comment ce temps de verbe résonnait dans sa tête. Était... car cet homme ne sera plus bientôt, gracieuseté à sa vieille main habituellement tremblotante mais maintenant stimulé par l'adrénaline et son propre cœur qui battait la chamade dû à l'émotion débordante. Il ne savait pas que c'était possible d'être si heureux... si soulagé. Si... si... Il se serra la poitrine et se demandait si c'était pas son cœur qui lâchait sur le surplus d'émotions...Mais... une crise cardiaque ne produit pas de plaie... mais une lame plantée par l'homme que l'on vient de tuer oui. Il se laissa tomber vers l'arrière... complètement détruit... lui qui avait tué pour justice venait de se faire prendre sa propre vie comme un justicier déchu... Le junkie releva la tête pour prononcer ses ultimes paroles...

Junkie : Comme ça... tu vas rejoindre ta criss de pute...

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Écrit il y a quelques semaines/mois pour mon ex-copine.

Je n'ai jamais cherché à lui trouver un titre, le fichier word se nomme: 870tr5087

Et si tu disparaissais en un triste temps

Auditionnant pour un héro sans pouvoir

Et si, ensuite, les scènes se succédant

Tu découvrais, peut-être, une lueur d’espoir

Et ce, sans précédent

De jour comme de soir

Tu serais fasciné par cet éclat

Si dérangeant, qui nous obsède

Si différent, qui porte une âme sans plat

Mais si attrayant que vite on cède

À ses charmes saillants

Mais bien trop distant

Simplement, par le temps qui s’écoule, ici bas

Voyant, au fil de l’encre qui coule, ici et là

L’impénétrable façade qui t’as façonné

Tu t’astreins d’oublier, et de vagabonder

Par la suite, tu comprends

Ses sobres sentiments

Derrière toi, tu laisses toutes ces flasques illusions

Devant toi, tu conçois déjà cette unique vision

Cependant, tu crains cet obstacle, le doute

Embûche de taille qui sera vite dissoute

Parce que l’amour prime

T’oublies la déprime

Et tu l’aimes, tu aimes cette lueur qui tremble

Qui tremble d’amour pour toi, il te semble

Que vous serez vraiment plus heureux ensemble

Et dans l’adulation, tu réalises

Que tu as bien raison, quoi qu’on en dise

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Endorphyne,

Ton permier vers est puissant. Cependant, c'est la seule partie de ton poème que j'apprécie réellement. Je trouve que le reste est truqué pour la rime. Je trouve qu'il manque un peu de lyrisme aussi. Je crois que tu as des sensations poétiques à exprimer. Je crois qu'il s'agit du plus fondamental. Je trouve, disons, que tu as l'os de la poésie dans la bouche, mais que la chair des mots est encore à venir, régurgitée de ton estomac, et à fixer, prémâchée, sur la moelle calcifiée de ton art.

Cependant que Tzara enfourche le bidet

A l'auberge dada la crotte est littéraire

Le vers est libre enfin et la rime en congé

On va pouvoir poétiser[...]

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Endorphyne,

Ton permier vers est puissant. Cependant, c'est la seule partie de ton poème que j'apprécie réellement. Je trouve que le reste est truqué pour la rime. Je trouve qu'il manque un peu de lyrisme aussi. Je crois que tu as des sensations poétiques à exprimer. Je crois qu'il s'agit du plus fondamental. Je trouve, disons, que tu as l'os de la poésie dans la bouche, mais que la chair des mots est encore à venir, régurgitée de ton estomac, et à fixer, prémâchée, sur la moelle calcifiée de ton art.

Je suis conscient que la première strophe est de loin la meilleur (Enfin, je crois que tu parlais de la première strophe et non du premier vers), puisque c'est elle qui est venu d'elle-même dans ma tête. C'est comme ça la plupart du temps, une inspiration soudaine, puis je développe autours, etc.

Merci beaucoup pour la critique, j'apprécie.

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Comment te démontrer,sans trop de mot compliquée,

Ton sourire me fait craquer,ton charme m'a fait chavirer,

Comment pourrais-je lui resister ?

Je défierai l'impossible, pour que de ton coeur je soit la cible,

Mais à quoi bon m'attacher à la fille rêver,si c'est pour jamais rien donner ?

Apart juste me blesser,et me faire des fausses idées ?!?

L'amour une chose qui me fait tant complexée,

Pourquoi ce sentiment peut tant me stressée ?

Juste à y songer,m'imaginer ma destinée,

Avec un être aimée,c'en est assez pour me faire bad-tripper,

Ma seul contrainte,c'est la crainte,

De ne pas être à la hauteur,et la peur,

Que se ne soit juste éphémère,mais quoi faire,

À quoi bon me demener dans cet vie remplit d'cruauté,

Quand la seul chose espérer, c'est d'être à tes cotés,

Sauras-tu me laisser une chance de conquerir ton coeur,

Car de toi j'ai une dépendance, sans toi j'me meurt,

C'est indéniable,comment pourrais-je le nier,

Ta beauté vient troublée mes pensées à chaque fucking journée,

Impossible d'exprimer de façon plus détaillé, le sentiment éprouvée,

D'un esti d'fucker,comme moi,

Qui essaye juste de donner un sens à sa vie,

Qui présentement se vie à demi .......Je t'aime Sally,

Tcharley,de toi est fou à mourir,

À chaque jour sans toi, je sens mon coeur dépérir

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Endorphyne

Je parlais particulièrement du premier vers. Mais la première strophe est clairement la meilleure. Tu dis que c'est celle-là qui t'es venue d'abord. Donc, voilà ce à quoi je pense.

En poséie, le senti est important. Je te suggère donc de te procurer un petit carnet que tu traîneras sur toi en tout temps. Ainsi, dès qu'un peu d'inspiration poindra en toi, tu inscrits les mots dans le carnet. Avec quelques inspirations de file (sur le même thème), tu as le contenu pour faire un poème. Je trouve que cette technique donne des poèmes qui engage le lecteur à s'aventurer plus profondément dans le monde de tes représentaions.

Phencyclidyne

Je trouve ton poème un peu bâclé. Il est peu original et ne possède pas beaucoup de lyrisme. À retravailler sérieusement.

Modifié par Docteur G
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Endorphyne

Je parlais particulièrement du premier vers. Mais la première strophe est clairement la meilleure. Tu dis que c'est celle-là qui t'es venue d'abord. Donc, voilà ce à quoi je pense.

En poséie, le senti est important. Je te suggère donc de te procurer un petit carnet que tu traîneras sur toi en tout temps. Ainsi, dès qu'un peu d'inspiration poindra en toi, tu inscrits les mots dans le carnet. Avec quelques inspirations de file (sur le même thème), tu as le contenu pour faire un poème. Je trouve que cette technique donne des poèmes qui engage le lecteur à s'aventurer plus profondément dans le monde de tes représentaions.

C'est ironique que tu en parle, puisque je m'en suis justement procurer un hier.

Pour ne pas trop s'éloigner du sujet, voici quelques strophes qui datent de la même époque, mais qui ont été écrite sous l'influence de quelques grammes de Mush.

« Pensez à nous deux, c’est très beau! »

Les rideaux bougent, seuls, derrière mon lit

Et moi, je te salue ma jolie

C’est bien ma parce que tu n’aimes pas la

De toute façon, je ne suis pas du tout là

Bon matin Flora,

Les murs me fixent, l’armoire me domine;

Penser à toi éteint mon angoisse

Même si derrière moi, les regards louchent

Même si demain, tu ne viens pas

Et je t’assure que les murs ruissellent

Car demain, je t’attendrai là

Puisque de demain, nous serons les rois

Les images qui sortent de l’écran

Et les affiches, mouvantes, qui s’enlignent

Ma ramènent vers toi, Jolie Flora

Car tu es, tu sais, bien plus qu’une endorphyne

Puisque demain, nous serons rois

Et puisqu’hier, tu n’étais pas là

Saches que je t’attendrai, moi

Parce que, du monde, je n’attendais que toi

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Dernier texte pondu....

J'aimerais porter un masque à gaz sur ce monde, tu vois, j'ai peur le reste du temps j'élabore mon passé au fil du manque de temps hein, faites chiez ouais, ça vous plait tant que ça je me sens SO BROKEN comme dans Bjork quand j'écoute des chansons tristes dans mon sous-sol sous le son de la corde des étrangers... j'aimerais mettre un masque à gaz sur mon cœur, pour effacer les vapeurs toxiques de ton amour, impudique, chastement chieux... tu vois, hein j'ai peur, tu me fais tellement mal, amour bipolaire, borderline, comme tu veux, tout ce que tu veux WOW j'me sens tellement bien dans ta présence, entre mes cuisses, j'aimerais porter un masque à gaz sur mon coeur, pour toujours.....

J'me sens so BROKEN dans mon scaphandre encadré dans votre salon, celui oublié comme un bibelot familiale pourrissant au fond d'un vieux tiroir à chaussettes sales....j'me sens comme rien tu vois, comme dans un silence, de la brume à papa, des brioches pourites des fraises pleines de pommes vertes, ma colère a des épines qui jouissent entre mes cuisses. J'manque d'oxygène de vivre, voyez-vous comme ça me fait mal quand je pleure en calvaire, quand vous voyez rien, tu vois, j'ai tellement peur, j'suis tellement bien sur le trottoir de la Sainte-Tristesse, j'ai un scaphandre autour du cerveau, un silence ou deux, pas en arrière, j'ai peur j'ai un masque à gaz sur le coeur

Lunaire, j'me sens un pas en avant sur la lune sur les chaussures empoisonnées, Joseph qui hoche la tête, sur réalistement, tristement, Cocteau au chapeau mamelon, moi qui profite du temps perdu pour le perdre encore TU VOIS J'AIME ÇA la double douleur qui s'écoule dans mes veines comme une chaste et pur inconvenance, tu vois comment mon cerveau aime cuire sur le barbecue, comme s'il avait besoin de faire parti des grands brulés, osti que j'bullshit de la merde, dans mon scaphandre, plein de merde boulimique mangeuse de chair, mangeuse d'hommes, elle s'amuse à faire mal tu vois, Et toi aussi, eux aussi...le reste du temps j'essaie d'oublier et d'avoir un masque à gaz à place du cœur-.-

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J'aime bien le "punch" du "j'essaie d'avoir un masque à gaz à la place du coeur" à la fin qui remplace le "j'voudrais un masque à gaz sur le coeur". J'aimerais cependant que le texte soit plus articulé autour de ce thème et de ce processus. "Masque à gaz", "scaphandre", tu as un thème que tu pourrais amener à mieux se tramer pour venir échoir dans ta phrase choc. Il y a quelques bouts qui font un peu rengaines sur l'amour et c'est pas 100% original.

C'est à suivre: je reste à l'affût d'une deuxième version.

P.S. Tous les textes méritent une petite attention orthographique et grammaticale.

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Vitrine Fortuite

Par une fenêtre perdue dans les méandres urbains,

J'eus aperçu deux femmes semblant sortir du bain :

Des serviettes détouraient le galbe de leurs poitrines.

Je m'accroupis, curieux, au seuil de leur vitrine.

Sans se savoir épiées, leurs regards se lorgnèrent.

Un frôlement de lèvres, et leurs bras s'enlacèrent,

Laissant glisser par terre les verrous de leur chair

Dévoilant la douceur de leurs chastes vachères.

Tumescent, je maudit leurs vitrines léchées

Que ma vision seulement parvient à pénétrer.

Je les voudrais béantes, a implorer l'emplâtre :

Toutes malséantes, mouchetées blanchâtre.

Je rêve avidement pouvoir prendre mon pied

À cet endroit où l'homme n'a jamais mis le pied.

Je voudrais souiller leur entrailles interdites,

J'ai cette infâme dent pour les choses inédites.

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J'aime bien le "punch" du "j'essaie d'avoir un masque à gaz à la place du coeur" à la fin qui remplace le "j'voudrais un masque à gaz sur le coeur". J'aimerais cependant que le texte soit plus articulé autour de ce thème et de ce processus. "Masque à gaz", "scaphandre", tu as un thème que tu pourrais amener à mieux se tramer pour venir échoir dans ta phrase choc. Il y a quelques bouts qui font un peu rengaines sur l'amour et c'est pas 100% original.

C'est à suivre: je reste à l'affût d'une deuxième version.

P.S. Tous les textes méritent une petite attention orthographique et grammaticale.

Hm...souvent c'est que ce sont des sentiments bruts... le fait que ça tourne sur l'amour c'est parce que c'est le sentiment qui en est la source...j'écris pas ramdom comme ça sur un sujet ok je me met à écrire sur l'amour...Le sentiment était brut là il a juste servi de moteur pour écrire ce texte...mais bon j'avoue à la limite il aurait pu être exploiter autrement...mais l'inconscient cherche à évacuer...donc je sais que c'est un peu amour cucul rupture etc...c'est juste à ce moment là je me sentais comme ça mais je vais essayer de pondre d'une autre manière...de reprendre l'image du scaphandre et du masque à gaz..:P J'écris souvent autour d'une frustration, une sensation....je suis plus poétiquement émotionnelle... Je jette sur le clavier ce que je ressens.. Peut-être que je défile trop aussi dans le texte sans virgule, sans barrière...mais bon :P je vais y remédier

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