Aller au contenu

Postez vos poèmes, récits, nouvelles


Déchet(s) recommandé(s)

Le 2016-08-03 à 20:43, Aura a dit :

C'est sensé être péjoratif?

Chicken: naoon lààà je disais ça paske c'tait gay que t'écrives ça c'est tute.

Prends ta médication, lâche tes selfies dégueulasses pis va courir, je te dis ça pour notre survie à toutes.

Aussi: T'es encore laitte et sans substance, même si t'arrives désormais à t'apprécier. DES COMMENTS SUR LE GAYNESS WOW

:)

Je disais juste que je trouvais ton poème poche et le ''gay'' relevait plus de la joke qu'autre chose.

Pour ce qui est de ma substance, tout va bien, j'ai confiance en mes capacités.

J'suis pas la plus jolie, mais j'suis pas laide et j'suis certainement très loin de vous inonder de selfies dégueulasses. Come on là.

En plus je sais même pas t'es qui. Sorry de t'avoir offensé.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 11 heures, Chicken of the infinite a dit :

Je disais juste que je trouvais ton poème poche et le ''gay'' relevait plus de la joke qu'autre chose.

Pour ce qui est de ma substance, tout va bien, j'ai confiance en mes capacités.

J'suis pas la plus jolie, mais j'suis pas laide et j'suis certainement très loin de vous inonder de selfies dégueulasses. Come on là.

En plus je sais même pas t'es qui. Sorry de t'avoir offensé.

Je ne suis pas offensée. Je vois juste pas le rapport entre GAY et JOKE ou POCHE.

T'aurais juste pu dire que tu trouvais que c'était de la marde.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Dire que quelque chose est gay c'est une sorte de slang pour dire que c'est moche. Je suis désolé mais c'est un fait. Par contre je ne suis pas d'accord avec elle, moi ton poème je l'ai "feel".

 

EDIT: J'avais pas vu la dernière réponse de Poulette.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 13 minutes, Abereau a dit :

Dire que quelque chose est gay c'est une sorte de slang pour dire que c'est moche. Je suis désolé mais c'est un fait. Par contre je ne suis pas d'accord avec elle, moi ton poème je l'ai "feel".

 

EDIT: J'avais pas vu la dernière réponse de Poulette.

SÉRIEUX?!

T'es le king des posts inutiles pour vrai.

THANKS POUR LE FEEL TOUGH.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 25 minutes, Aura a dit :

SÉRIEUX?!

T'es le king des posts inutiles pour vrai.

THANKS POUR LE FEEL TOUGH.

Quand j'ai écrit ça, je n'avais pas lu le reste encore donc je présumais que tu ne le savais pas. 

Je ne suis pas @BMO moi, si j'édit c'est marqué.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 4 heures, Aura a dit :

Je ne suis pas offensée. Je vois juste pas le rapport entre GAY et JOKE ou POCHE.

T'aurais juste pu dire que tu trouvais que c'était de la marde.

Tu devrais pas capoter pour des jokes de même et attaquer le physique des gens pour rien, c'est un peu bas.

Abereau a raison, ''gay'' est une expression.

J'aimerais vraiment savoir tu es qui.

  • J'aime! 3
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Trois indices.

 

Elle surgit de l'oubli.

Elle a une verve de jeune fille.

Elle peut abuser des majuscules.

 

La réponse au prochain clic.

Révélation

028780f4-0f46-426e-8c6f-f32f614c2a9a_ORI

 

  • J'aime! 3
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

@Chicken of the infinite

Je veux juste m'assurer que tu gardes la shape GROSSE CONNE.

Yo, c'est juste une expression là.

Tu vois le ridicule? Je vois le ridicule. Comme si parce que c'était considéré comme acceptable par des connards ce l'était forcément. Oui, oui. On s'entend, je pleurniche pas, je comprends juste pas comment ça se fait que toi, la sooo groovy gal, la sooo up into the mental, tu réfléchis pas deux secondes de plus avant d'écrire de quoi. Viens pas pleurer.

Abereau forum encore comme un dude de 2008.

Fin.

Sur ce, Morris.

 

What is this, the sound and rumour? What is this that all men hear,
Like the wind in hollow valleys when the storm is drawing near,
Like the rolling on of ocean in the eventide of fear?
'Tis the people marching on.

Whither go they, and whence come they? What are these of whom ye tell?
In what country are they dwelling 'twixt the gates of heaven and hell?
Are they mine or thine for money? Will they serve a master well?
Still the rumour's marching on.

Hark the rolling of the thunder!
Lo the sun! and lo thereunder
Riseth wrath, and hope, and wonder,
And the host comes marching on.

Forth they come from grief and torment; on they wend toward health and
mirth,
All the wide world is their dwelling, every corner of the earth.
Buy them, sell them for thy service! Try the bargain what 'tis worth,
For the days are marching on.

These are they who build thy houses, weave thy raiment, win thy wheat,
Smooth the rugged, fill the barren, turn the bitter into sweet,
All for thee this day--and ever. What reward for them is meet
Till the host comes marching on?

Hark the rolling of the thunder!
Lo the sun! and lo thereunder
Riseth wrath, and hope, and wonder,
And the host comes marching on.

Many a hundred years passed over have they laboured deaf and blind;
Never tidings reached their sorrow, never hope their toil might find.
Now at last they've heard and hear it, and the cry comes down the wind,
And their feet are marching on.

O ye rich men hear and tremble! for with words the sound is rife:
"Once for you and death we laboured; changed henceforward is the strife.
We are men, and we shall battle for the world of men and life;
And our host is marching on."

Hark the rolling of the thunder!
Lo the sun! and lo thereunder
Riseth wrath, and hope, and wonder,
And the host comes marching on.

"Is it war, then? Will ye perish as the dry wood in the fire?
Is it peace? Then be ye of us, let your hope be our desire.
Come and live! for life awaketh, and the world shall never tire;
And hope is marching on.

"On we march then, we the workers, and the rumour that ye hear
Is the blended sound of battle and deliv'rance drawing near;
For the hope of every creature is the banner that we bear,
And the world is marching on."

Hark the rolling of the thunder!
Lo the sun! and lo thereunder
Riseth wrath, and hope, and wonder,
And the host comes marching on.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 semaines plus tard...

 

J'avais des visions, oh non !

Le démon, démon de ma malédiction,

J'avais besoin d'un antidote,

Le poison, poison de sa possession

A mon âme il se frottait

Je lui ai donné une partie de celles-ci, j'attendais toujours sa répartie,

Un marché est un marché je lui ai dit, j'avais demandé de me guider vers les trésors et le savoir infini,

Richesse et prospérité il m'avait promis,  j'attendais sous la lune a tous les nuits.

Mais un matin ... Je me suis réveillé et les feuilles d'arbres étaient plus vertes que la veille,

Le ciel était plus bleu que dans mes souvenirs,

Oh non,  encore une vision !

Le démon, démon de ma malédiction

Une pirogue m'attendait devant chez moi,

Un homme avec un capuchon d'au moins 7 pieds 3,

Me dit avec sa haute voix :

'' Le pacte est approuvé, veuillez signer et approuver les conditions, on se reverra .... ''

Et il disparu, ainsi que mes visions, et la sensation

Lourde, d'une entité malveillante qui semblait m'évaluer.

J'ai eu mon château, mon or, le succès et mes millions

Les connaissances de l'univers

Le savoir faire

Il ne me reste plus .....

Qu'a brûler en enfer.

 

 

 

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

(modifié)

Ô Aura

Ne laisse pas tes guerriers démoniaques me torturer 

Ne laisse pas tes envies meurtrières te posséder 

Ne laisse pas Satan me retrouver

Ne me laisse pas tomber

Ô Aura

Reine des catacombes de l'enfer

Divinité du purgatoire 

Libère-moi de ce labyrinthe sombre et dangereux 

Guidé par tes cheveux de feux 

Ô Aura

Pourquoi veux-tu m'épargner ?

Tu es en guerre contre Satan ?

Intéressant

Tu veux que je te fasse des enfants ?

Pourquoi ?

Donc de mes pouvoirs tu étais au courant. 

C'est le prix a payer pour ma liberté ?

Marché conclu. Ô Aura.

 

 

 

Modifié par Bobby
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

" J'accumule la frustration, le stress, je me cogne à mes limites psychologiques et physiques. C'est ce que je recherche, mais mes efforts ne sont pas suffisants pour que je transgresse les frontières. Je me sens seul et inutile et je n'ai pas de vie intime à partager, parce que je me bloque dès que quelqu'un veut entrer dans ma vie. Alors, pour qui est-ce que je continue de vivre? Ma vie n'a pas de sens parce que je vis dans un tunnel sans fenêtres. Parmi les gens ou seul, ou même au milieu d'une conversation, je ressens une profonde déconnexion, un désintérêt, un ennui. Les gens que je rencontre sont comme les gens que j'ai déjà rencontrés et ça me fait chier. Comment est-ce que je peux vivre lorsque tout ce qui m'est familier m'ennuie et que tout ce qui m'est étranger m'effraie?

Dans ma famille, tous les membres sont des pantins qui font semblant de vivre normalement, alors qu'ils vivent évidemment dans leurs propres tunnels. Mon père est déconnecté des gens, il se complait dans ses discours fatalistes et n'écoute la pensée de personne. La pensée derrière son vomi négatif est celle d'un homme insécure, fragile et figé dans les émotions de son enfance. Ma mère a peur d'exister, elle s'excuse à la moindre respiration, elle est littéralement recroquevillée dans sa zone de confort, écrasée par ses peurs, mais  "tout va bien". Bullshit. Aucune relation dans ma famille n'est authentique, je n'ai jamais connue de relation authentique et je ne vois pas l'intérêt de m'engager dans des relations qui ne sont pas entièrement vraies. Alors, me voilà seul sur cette crisse de dompe en pixels.

Moi-même, je suis le champion du désengagement, car la moindre hypocrisie ou dissimulation me déçois profondément. Pourtant, je suis aussi le champion de la dissimulation et de l'hypocrisie. Les gens pensent que je suis gentil. "

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 3 mois plus tard...

Bon. Je voulais seulement partager l'intégralité de mon œuvre révolutionnaire. Et voilà qu'au-dessus de la boîte dans laquelle j'écris actuellement, je redécouvre le tas d'immondices que j'ai composé à la fin de l'été. Je m'en excuse d'avance et il ne représente pas du tout mon état d'esprit actuel, et c'est tant mieux comme ça.

Donc voici des poèmes trop poches et déstructurés pour être appelés des poèmes :

1

Les États-Unis d'Amérique
Un œil qui pique
Les deux brûlent

2

Hippocrate, Démocrite
République démocratique
Hypocrites démocrates

3

Masse moi le pied
Mais je garde ma chaussette
Masse ma chaussette
Massachussets

(J'avoue, le 3 est une citation du Dr. Mailloux)

EDIT : Partagez vos textes ! Je serai ravi de les lire. Et critiquez en masse. J'espère m'améliorer.

 

  • J'aime! 2
  • J'ADORE! 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Quand la neige tombe je lui demande si elle s'est fait mal. Pis je pleure. Pis j'écris des textes:

__________________________________________________________________________

La neige a recommencée à flirter avec le ciel. Elle ondule ses courbes jusqu'au sol telle une danse nuptiale. Ses flocons, qui depuis le claire de lune vacillent tel des ongles contre la chaire de notre échine nocturne, dessinent sur notre peau une passion qui rougis, une passion qui nous flattent et nous pincent, nous laissent en frissons tel une amante qui mord d'amour.

C'est l'heure des thés qu'on boit tout enchaleuré, enveloppé d'odeurs épicés et de bougies caramélisées. Entre nos mains baille un bouquin qui sous nos doigts grince un air enfantin, un air qui soufflé nous ennuage d'arôme nostalgique: c'est la couverture qui craque à son ouverture, qui craque sous la poussière du temps passé... sous la pression des responsabilités priorisées. Sa couverture craque et la nôtre nous enlace, nous câline en cocon, nous emmitouflant dans un comfort qui nous flatte. Qu'on soit mollement écrasé contre un mur ou étendu à la douceur des murmures ambiants, notre esprit se mêle à la fumée des encens comme virevoltant librement. Par la fenêtre, les couleurs se sont cannellisées, accentuées par l’humidité comme si nous pouvions soudainement y goûter; maintenant givrées, elles semblent avoir été peintes contre le fond canvassé du ciel étoilé.

À l'extérieur, la noirceur prend place et la vie s'efface; à l'intérieur de nous-même une salle à vide se fait silence et s'illumine. Assis seul au centre de notre tête, voilà que les projecteurs s'allument. Contre la toile de notre crâne les réminiscence éclairent nos yeux tel le feu d'un phare, un phare qui guiderait les navires à se chavirer en nous, les invitants à venir s'ancrer le cœur à nos naufrages.

Le froid nous rappel tendrement ce qu'est l'humilité, timidement nous ramène à ce désir d'intimité.

L'hiver nous rappel douloureusement la douceur qu’est de s’aimer,
L’hiver nous rappel doucement la douleur qu’est de s’aimer...

  • J'aime! 2
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le 2016-12-10 à 14:13, Gamin a dit :

La neige a recommencée à flirter avec le ciel. Elle ondule ses courbes jusqu'au sol telle une danse nuptiale. Ses flocons, qui depuis le claire de lune vacillent tel des ongles contre la chaire de notre échine nocturne, dessinent sur notre peau une passion qui rougis, une passion qui nous flattent et nous pincent, nous laissent en frissons tel une amante qui mord d'amour.

Assis seul au centre de notre tête, voilà que les projecteurs s'allument. Contre la toile de notre crâne les réminiscence éclairent nos yeux tel le feu d'un phare, un phare qui guiderait les navires à se chavirer en nous, les invitants à venir s'ancrer le cœur à nos naufrages.

Voilà mes bouts préférés. Je trouve que tes analogies sont exprimées avec finesse.

.

Agrippé fermement sur les saillies de la falaise, un homme possède sa vie au bout des doigts. Il résiste, tient toujours, mais combien de temps pourra-t-il s'accrocher? Ses doigts hurlent de douleur, ses mains crispées, son corps entortillé et son souffle coupé le paralysent dans une ultime lutte contre le temps. La gravité s'écrase sur lui, chaque seconde pesant de plus en plus sur son corps épuisé. Soudain, la falaise éclate, soupirante. Le pic rocheux se casse et la vie qui s'était concentrée au bout des doigts de l'homme s'évapore aussitôt au-dessus des nuées.

c'est ainsi que l'homme amorce sa chute. Aux creux de ses mains demeurent de petits éclats de roche, derniers indices d'un monde palpable. Le rocher tangible n'est plus qu'un songe lointain.

Chaque seconde qui s'écoule rapproche l'homme des ténèbres, et chaque clignement d'yeux est un adultère qui le rompt de la lumière.
L'homme, dans sa descente vertigineuse, est passé du monde lumineux et accessible au monde sombre et inatteignable. La gravité l'a mené de la réalité visible, sensible et compréhensible à la réalité invisible, insensible, et incompréhensible.

Un grain de sable vient de franchir l'autre côté du sablier.

 

  • J'aime! 2
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 semaines plus tard...

J'ai érigé un trou noir
au coeur de mon désespoir
la beauté plastique
n'est pas fantastique
et mon âme sombre dans les décombres
du chalet des regrets
et j'ai puisé en son centre
la carence maudite des jours sombres
sans nom
qui ont oublié d'exister et de produire
quelque chose qui avance
mais qui tremble

j'ai tué Dieu dans ma quête
quand il m'a laissé tombé
et sur le poisson l'arrête
dans ma gorge s'est plantée


j'ai tué Dieu encore une fois
dans le tracas de mon âme
et dans le milieu l'effroi
des yeux de la grande dame

j'ai tué mon essence
et sans pareil reigne l'offense
d'un paradis perdu au soleil
d'un jour sans tache, sans pareil

j'ai tué le bruit fortuit
d'une colombe sans compassion
et dans la nuit le bruit
d'une fleur en pâmoison

Si tu es parti c'est que tu avais une raison
mais moi depuis je fuis la chance et l'oraison

Je suis loin, je suis foin

Je suis le déclin

Je suis un être malsain

Tu es le meurtre de ma dignité et je te hais

Pour tout ce que tu as créé

  • J'aime! 4
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Jpeg a libéré ce sujet
  • xdrox a mis en évidence ce sujet
  • Jpeg a épinglé ce sujet

Veuillez vous connecter pour commenter

Vous pourrez laisser un commentaire après vous êtes connecté.



Je veux revenir!
 Partager

×
×
  • Créer...