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Déchet(s) recommandé(s)

  • 2 semaines plus tard...

BTW, si vous voulez avoir du succès avec les filles, défendez des valeurs d'extrème-droite, ça les fait fondrent.

(en faits c'est l'équivalent de leur garocher l'acide dans'face)

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BTW, si vous voulez avoir du succès avec les filles, défendez des valeurs d'extrème-droite, ça les fait fondrent.

(en faits c'est l'équivalent de leur garocher l'acide dans'face)

C'est pas vrai ça, Gemini. Si vous voulez du succès avec les filles, défendez vos propres valeurs, gagnez votre pitance, lavez-vous, ramassez vos bas sales, rincez vos poils de barbe dans le lavabo, ne laissez pas de dentifrice sur le miroir, ne pissez pas sur le siège de toilette et laissez-vous attendrir devant un film d'amour de temps en temps.

C'est ça la formule gagnante.

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C'est pas vrai ça, Gemini. Si vous voulez du succès avec les filles, défendez vos propres valeurs, gagnez votre pitance, lavez-vous, ramassez vos bas sales, rincez vos poils de barbe dans le lavabo, ne laissez pas de dentifrice sur le miroir, ne pissez pas sur le siège de toilette et laissez-vous attendrir devant un film d'amour de temps en temps.

C'est ça la formule gagnante.

..pour réussir son mariage.

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Ce n'est pas un poème, mais des histoires que je faisais dans le temps que je jouais au MMORPG La 4ieme Prophétie il y a 7-8 ans de cela.

Je faisais un peu de RP avec mon perso...donc je fais reférence à des personnages que j'ai déjà cotoyés, les lieux aussi..

Je ne l'ai jamais fini, peut-être un jour, vu que je viens de le retrouver!

C'est surement bourré de fautes et d'erreur de temps de verbes et de syntaxe, j'étais assez pourris en Français y'a 7-8 :D

Voici la première partie, je posterai une autre partie quand j'y aurai fait fait quelque retouches..

=================================

Attabler depuis quelques temps a la demeure qu’il partageait avec sa douce à HurleVent, Mortifer prit un des nombreux parchemins vierges qui sommeillaient dans son sac et qui lui servaient de mémoires, en quelque sorte, et profitant que Caithness fut occupée avec la garde, se mit à écrire.

Il y a quelques jours, j’ai eu le plaisir d’entendre le sombre récit d’un homme en peine, en mal de vivre. Pourquoi son histoire m’avait-elle troublée à ce si haut point? J’ai encore de la difficulté à me l’expliquer. Je suis sur d’avoir déjà croisé cet homme, enfin, l’homme de son récit. Peut-être dans une autre vie, qui sait. Voici comment cela s’est passé…

J’étais tranquillement assis dans l’herbe fraîche du matin, en bordure de la fontaine de HurleVent, méditant sur mon avenir et mes futurs actions. Une partie de mes pensées étaient néanmoins déviée vers Caithness et son frère, Sanvis. Un gardien du duché me fixait de loin, sans doute énervé par ma présence, mais c’était le dernier de mes soucis. Plusieurs autres idées, noires, s’accaparaient de mon esprit et ce ne serait sûrement pas un simple gardien qui troublerait ma quiétude. « Qu’il daigne s’approcher un peu trop près et je lui réserve une mort rapide » me dis-je.

Le soleil roulait silencieusement dans le ciel et j’étais toujours la, seul, à penser, quand soudain, une voix un peu vieillarde et nasillarde me fit perdre le fil de mes pensées. J’ouvris les yeux pour m’apercevoir qu’une petite foule commençait lentement à se masser devant la fontaine. Ils semblaient tous regarder dans la même direction, écoutant patiemment les paroles prononcées par la voix entendue un peu plus tôt. « Encore un fou ou un barde qui invente des histoires pour se rendre intéressant…. Je ferais mieux de partir avant que l’idée me vienne de le faire taire. » Mais quelque chose me poussait à rester et à écouter le récit de cet individu. Néanmoins, je m’approcha doucement par derrière, un peu en retrait de la foule qui augmentait peu à peu de taille. Certains villageois baissèrent la tête à la vu de mes ailes rouge et noir de Néphilim, d’autre quittèrent immédiatement l’endroit, par peur je présume. Je tourna la tête quelque peu et aperçût un homme, à première vue plutôt âgé, qui se tenait maladroitement sur le bord de la fontaine. Mon attention fut immédiatement attirée sur son bras gauche, décidément manquant. Sûrement un malencontreux accident de jeunesse. L’homme, ayant visiblement atteint un âge assez avancé, se dressait en robe râpée, de couleur verte, cagneux, l'échine basse, grelottant sur ses longues jambes comme un échassier déplumé et ce même si le soleil plombait maintenant au-dessus de la ville. La tête inclinée sur l'épaule, l'illustre et lugubre l’homme leva le seul bras qui lui restait et pointa la foule en disant d'une voix dolente:

-Vous, humains, je vous hais, tous autant que vous êtes !

La foule rouspéta rapidement, des huées se firent aussi entendre. Un petit caillou siffla même aux oreilles de l’homme.

-Laissez moi parler avant d’insulter ma personne !

L’homme mis la main à sa ceinture et en décrocha une gourde qu’il s’empressa de porter à sa bouche, les mains encore tremblantes.

-Je vais vous raconter mes dernières années de jeune homme, et qu’elles vous servent de leçon !

Ce qui, au début, ne m’inspirait nullement confiance commençait à piqué ma curiosité. Je souriais de voir tant de haine de la part de cet homme. Et il prit finalement la parole…

Mortifer prit une pause, n’ayant point l’habitude de laisser sa main écrire aussi longtemps.

Mortifer se réveilla lentement, visiblement déboussolé, se frotta un peu les yeux, déjà fatigué par l’heure tardive, et reprit sa plume et son parchemin pour narrer le récit du vieil homme.

Premièrement, mon nom n’a que peu d’importance, il est donc inutile que je me présente. Cela doit bien faire nonante années que j’erre. Je ne viens pas d’ici, oh que non ! Je suis né et j’ai longtemps habité la ville de Delphe, dans la contrée d’Elpheus, une île très lointaine. Mère et père étaient des nobles et amis proches du dirigeant de ces terres, le seigneur Dorkanis. Dès mon plus jeune âge, je fus initié aux armes de mêlées par l’homme de main du seigneur Dorkanis et également capitaine des miliciens de la ville, messire Filnamor. Le capitaine était un homme de haute taille, plutôt corpulent. Il avait le cheveu d’un rare noir, et jadis avait perdu un œil. On pouvait apercevoir la vigilance particulière du guerrier prêt à tout quand on fixait ses yeux. Il devait bien faire dix ans de moins que son âge et ne portait pas vraiment l'érosion des ans sur son visage raviné, ce qui le rendait plutôt populaire au yeux des jeune filles qui peuplait la ville. Il n'avait guère qu'une demi-douzaine d'infirmités et inconforts mineurs, de larges cicatrices bleutées un peu partout et de vieilles douleurs qui l’assiégeaient parfois pendant les entraînements auxquels il me faisait participer.

A l’aube de mes seize ans, Filnamor, devenu un ami très proche, malgré son âge qui devait le triple du mien, m’invita à joindre la milice de la ville, connaissant le respect que je portais à leur endroit et me jugeant apte à n’en faire partie. Mes parents moururent quelques temps après mon entrée en fonction officielle dans la milice, mais curieusement, je n’eu point de peine. Peut-être que je considérais d’avantage Filnamor comme mon père, je ne le sais pas. C’était le temps où j’étais fort et agile, capable de combattre un adversaire face à face, traverser de longue contrées à la marche….Mais aujourd’hui mon corps ne me le permet plus.

Nous n’avions jamais eu de véritables ennemis, étant plutôt une ville tranquille et sans histoire. La porte de la ville était fait d’un bois sec et vieillit par les années et était ouverte à deux battants, ses hauts vantaux couverts de fer sombre. Nous la laissions souvent ouverte, ne craignant rien de particulier, mais une douzaine d'hommes en armure montaient néanmoins constamment la garde, revêtus de surcots bleu azur. La poignée de longues épées suspendues dans leur dos apparaissait par-dessus leur épaule, et de fines dagues, des masses d'armes ou des haches étaient accrochés à toutes les tailles. Un peu a l’écart, on pouvait apercevoir leurs chevaux, attachés à proximité du poste de garde, prenant un aspect quelque peu inhabituel à cause des bardes d'acier couvrant leurs poitrines, leurs cous et leurs têtes, des lances appuyées sur l'étrier, tous prêts à être enfourchés dans la seconde.

J’avais une femme également ! Nous nous rencontrâmes vers le début de la vingtaine. Assez grande, mince, sa chevelure bleutée étant d'une densité qu’on voit rarement, lissée et ramassée en arrière en une natte entourée de rubans de soie entrelacés. Mais ce qui faisait son charme par dessus tout, c’était un petit grain de beauté d’un tel noir, appartenant à sa pommette gauche. D'une pureté émouvante, d’un teint doré, son visage de femme-enfant contrastait avec l'œil où brillait une ardeur capricieuse et sauvage. Oh! Comme je l’aimais... Je pouvais passer des heures à la fixer, se tenant toujours droite, le dos pratiquement cambré vers l’arrière, comme si elle voulait profiter de chaque centimètres de sa taille, ce qui lui donnait une majesté naturelle.

Mortifer prit a nouveau une pause, voulant bien se remémorer des détails du récit de l’homme avant de continuer. Il ne voulait omettre aucun détails. Il s’étira sur sa chaise et reprit finalement l’écriture.

Et c’est par un soir comme les autres que nous fûmes assaillit sauvagement…

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C'est quand même vieux, soyez indulgents :)

"Lasciate ogne speranza, voi ch'intrate'."

Dante Alighieri-Divina Comedia (Inferno-Canto III)

Sous la sombre voûte, j'attendais.

Le sablier sur le socle laissait couler ses grains, je me rappelle de ce son. Le seul son qui ait jamais rempli cet espace obscur. Le sol son qui ait jamais hanté ces murs.

C'est curieux comme on attend éternellement le silence, en espérant fuir du chaos de notre univers. Le silence est un concept si abstrait; personne n'en a jamais été témoin de toutes façons. On entend toujours quelque chose, si on tend l'oreille: le sang courir fluidement dans nos veines, le coeur qui bat dans sa cage humide, les palpitations dans nos crânes, même nos pensées finissent par nous crier dessus.

J'attendais.

Toc. Tac. Tic. Un. Par. Un.

Ils.

Tombaient.

Ces.

Satanés.

Grains.

Et moi j'attendais toujours. J'attendais le silence. Et ces grains tombaient un par un, et ne finissaient pas de tomber, comme s'ils se réproduisaient à l'infini.

Et moi, je ne pouvais qu'attendre.

La paix...

Modifié par Lethe
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(suite de mon précédent post)

Mortifer reprit à nouveau sa plume, et continua de narrer les faits qui lui avaient été conté par le vieil homme…

Un soir comme les autres…oh que je m’en souviens…comme si c’était hier. Rien ne laissait présager une attaque d’une telle sauvagerie. Je vous ai dit précédemment que nous n’avions jamais eu de véritables ennemis, étant plutôt une ville tranquille et sans histoires. Ce n’était pas tout à fait exact, à vrai dire, mais les habitants de la petite ville ne le surent qu’après le carnage.

Le soleil avait disparu du ciel depuis déjà un bon moment, tandis que je m’apprêtais à gagner le sommeil aux coté de ma bien aimée. J’avais demandé à Filnamor de me laisser ma soirée, lui expliquant que ma femme et moi avions un événement spécial à fêter. Il accepta sans broncher, me faisant comprendre qu’un homme de plus ou de moins en service ne changerait pas grand chose à la surveillance des remparts. Nous venions de fêter, avec ma famille et celle de ma femme, l’arrivé prochain d’un petit être. En effet, Ylgarne, c’est le nom de ma femme, nous avait annoncée quelques jours auparavant qu’elle attendait un enfant. Je serais père ! C’était bien l’occasion de fêter ! Puis, après avoir longuement discuté et festoyé, j’alla reconduire mes parents à leur demeure et tous allèrent dormir afin d'être en forme pour le lendemain.

Mais à l’aurore, nous fûmes réveillés par des bruits que nos oreilles avaient rarement été habituées d’entendre. Le ciel était encore noir, laissant à peine percevoir les premiers rayons de soleil loin à l'horizon, lorsqu'un cri suivi de clairons sonnèrent l'alarme.

-Sonnez l’alerte ! Sonnez l’alerte ! Des troupes d'au moins mille cinq cents hommes avancent vers nous!

Je bondis immédiatement de mon lit, calmant ma bien aimée en lui disant qu’il devait y avoir erreur avant d’enfiler ma cotte de maille et de serrer mon épée à ma ceinture. Arrivé aux portes de la ville, à bout de souffle, je regarda devant moi pour apercevoir un nuage de fumée comme il ne m’a jamais été donné de voir s’élever à l’horizon…et je réalisa bien vite que la menace était réelle...

Puis...le néant....

Je me réveilla dans les décombres encore fumant de ce qui jadis semblait avoir été une petite maisonnette. Je n’avais plus d’arme et mon bras gauche semblait paralysé. Aucune sensation s’en dégageait, et c’est seulement en le regardant que je m’aperçu qu’il manquait. Je devais avoir perdu beaucoup de sang car le seul fait de tenter de me lever me coûtas toutes mes énergies. Sitôt sur mes pieds, je me mis en marche vers ma demeure. Ylgarne ! J’implorais le ciel qu’elle ai survécu. Mais mes espoirs se dissipèrent rapidement en apercevant son corps maculé de sang, gisant dans l’embrasure de l’entrée. Je tomba à genoux près d’elle, la souleva et accota sa tête sur mon torse, comme si plus rien autour de moi n’existait. Mais que s’était-il donc passé ? Mes souvenirs étaient vagues, mais je devais me remémorer. Je ferma alors les yeux et laissa mes pensées me guider…

****************

Je n’avais jamais vu, de mes yeux vus, une telle armée. C’était comme si toutes les histoires que l’on m’avait raconté étant enfant devenaient réalité. Sauf que cette fois, les morts seraient réels, la douleur serait tangible. Chaque seconde qui passait rapprochait l’armée de notre paisible cité. Filnamor arriva peu de temps après moi, suivi par le seigneur Dorkanis.

-Mais qu’est-ce que… Filnamor laissait t-il échapper.

-Oh non, pitié, faite que ce ne soit pas vrai…j’aurais du l’écouter…

Filnamor tourna la tête vers Dorkanis, sans toutefois quitter des yeux les sombres troupes qui avancaient toujours.

-Seigneur ? Que voulez-vouz dire ? Me cacheriez-vous quelconque faits dont je devrais savoir ?

Le seigneur Dorkanis resta moue quelque instants puis se redressa, fier.

-Nous allons les repousser …Ils n’ont rien à faire ici.

Filnamor lança un regard accusateur à son seigneur et se dirigea rapidement et d’un pas convaincu vers ses troupes, dont je faisais parti. Puis les quelques hommes qui continuaient toujours d’arriver pour prêter main forte aux hommes déjà en place enfilèrent leurs armures, sortirent leurs épées ou dagues de leurs fourreaux et ceinture, empoignèrent leurs haches, et se rassemblèrent devant les portes massives qui indiquaient l’entrée de la ville. Filnamor pris la parole.

-Écoutez-moi tous. Laissons les approchez, pour savoir ce qu’ils désirent. Mais si cela tourne mal…Allons-nous les laisser détruire tout ceci ? Ce que plusieurs ici ont mis une partie de leur vie à construire ?

Alors, presque qu’à l’unisson, la plupart répondirent "Non, capitaine !" Filnamor continua alors.

-Il nous faudra alors être fort et les repousser loin de nos terres!"

C'était la première heure après le lever du soleil. Filnamor se dirigea vers quelques hommes et leur indiquèrent ou se placer. Il positionna ensuite le peu d’archers que notre milice comptait sur les remparts de la ville, leurs indiquant de bien attendre leur signal pour tirer, puis il sortit avec ses hommes devant les portes de la ville. Il plaça les plus imposant hommes avec des haches au milieu, les miliciens et fines lames avec des épées devant les précédents, puis il ordonna aux paladins de s’entremêler aux troupes, de façon à pouvoir soigner les éventuels blessés en cas de besoin.

Je regardais autour de moi et je voyais, je sentais la peur sur le visage de mes compagnons d’armes. Même Filnamor, notre capitaine, pourtant inébranlable en temps normal, ressentait la peur et l’incompréhension du moment. Son regard en disait long. Un garde cria soudain.

-Il sont à moins de cinq cent mètres !

Et ils arrivèrent. Des hordes de sombres troupes, des armées ténébreuses s’avançant sous un ciel si noir, pourtant éclairer par les premières lueurs du soleil quelques minutes auparavant. S’avançant gaillardement en première ligne, la masse grouillante de centaines de guerriers, dont certains semblaient avoir une allure de plus en plus squelettique à mesure que leurs pas les amenaient vers la cité.

Il s’arrêtèrent à environ deux cent mètre de nous. Les deux armées s’observaient silencieusement. Un vent glacé balayait le champ de bataille. Un mouvement parcourait les rangs des armées ténébreuses. Un homme, en tête du peloton, plus grand, plus imposant que les autres, s’avance vers nous dans son armure noire et prit la parole…

Modifié par Darksoul Zenox
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J'ai trouvé ça dans mes trucs. C'est un concours en secondaire deux dans mon école secondaire.

Voici "Je ne suis qu'une ombre":

Je ne suis qu’une ombre

Qui erre et qui sombre

Dans la mélancolie

D’avoir une nouvelle vie.

Sans cœur et sans pensée,

Tu m’as transpercée.

Depuis que tu m’as prise

Sous le voile de la nuit.

Quand tu m’as volée.

Tu t’es acharné :

Ta volupté sordide, perversité morbide.

Bruits intermittents

Coupant le silence

Étaient mes gémissements

Lorsque j’entra en transe.

Brimée et blasée

Comme une rose fanée

Sous l’amertume du soir,

L’horreur du désespoir.

C’est une nouvelle ère.

Sans pervers pour faire

Ce que je veux enfouir,

Ce que je veux bannir.

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Je suis un poisson,

dans le jargon,

jaime les carotte

qui pousse dans les champs de chiotte,

je suis poete,

et je fais pouette pouette,

fuck u all,

band de fuck all.

Ma creation, veuillez commenter.

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BobTheBuilder_*

Je suis un poisson,

dans le jargon,

jaime les carotte

qui pousse dans les champs de chiotte,

je suis poete,

et je fais pouette pouette,

fuck u all,

band de fuck all.

Ma creation, veuillez commenter.

Ayoye, yen a qui on rien a faire dans vie...

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Ce soir je vais écrire une élégie sur Owain, ou Yvain, le chevalier au lion, en décasyllabe sur l'air de Greensleeves pour un cours. Dahut, Brocéliande, Ys, Tintagel et autres seront mentionnés dans cette oeuvre épique (ou pas tant que ça).

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"L'espoir"

écrit par Sovannak Ké, 01/10/09

***

Ce que Dieu ne veut pas, je prendrai.

Telle était la devise qu'il s'était implantée au coeur de l'inconsciense, ou du moins,

c'est ce qu'il avait essayé de faire.

Il était triste, ce matin-là, et marchait dehors, sur le bord de la route,

à regarder les feuilles de couleurs variées tomber à ses pieds,

en ignorant les klaxons, les gens jacasser, crier, mendier, respirer.

Rien ne l'avait pourtant dérangé la veille, aucun événement de quelconque nature

ne s'était imposé dans sa chaîne sans horizon, son noeud sans queue ni tête apparente.

Était-il malade? Des pensées suicidaires occupaient son esprit.

Serait-il fou? Il accepterait volontiers d'être fou, si dans ce pacte non-inscrit

avec la nature le permettrait de (re?)venir à son état d'esprit recherché, après un

certain temps.

Malheureusement, sa main n'était pas sale de terre, ni même moîte,

elle était sec comme une plante que l'on a oubliée sous un soleil ardent,

cette source de luminosité qui peut autant faire vivre, que tuer.

Tout ceci de manière neutre et détachée.

Il avait encore une heure avant de devoir se présenter à son rendez-vous, donc il devait

tuer du temps, question de ne pas craquer et pleurer dans sa froide solitude.

Il s'installa sur un banc, journal à la main, et fit, comme d'habitude,

un bon regard circulaire pour examiner et analyser sa localité, avant

de se plonger dans les profondes pensées qu'évoquent le journal, propagande

fine et délicate, oeuvrée par les artistes que l'on ne connait pas,

eux, qui y gagnent le plus, qui fabriquent le monde, la vérité,

sans toutefois obtenir, ni vouloir de la reconnaissance.

Telle est la réelle source de bonheur, pendant que les autres qui rampent vers le

fabuleux rêve destructeur, tendent la main vers un mirage qui se moque bien

des souffrants.

Tout en jetant son regard autour de lui, il remarqua une jeune fille.

Elle était assise sur un banc, plongée dans sa lecture.

Ses yeux semblaient tristes, brillant dans une noirceur parfumée,

presqu'à veille d'y verser des larmes. Elle avait le dos courbée,

tout comme si elle s'apprêtait à attacher les lacets de ses bottes.

Il cru voir en elle une sorte d'espoir, un traitement à double sens,

la sortie de secours de première classe vers un monde plus sécuritaire,

là où l'on ne ressent guère les froides flammes de la raison en contradiction

avec l'autre raison. Il n'en ressentait pourtant pas une joie, en voyant

son symbole de la délivrance. Il croyait tout simplement, naivement, que c'était

là une cause du destin, et il marcha vers elle sans hésiter, pour lui demander:

"Quelle est le malheur bouleversant ton visage qui pourrait pourtant être radieux?"

Elle leva ses yeux, hésita un moment, et après une autre longue hésitation,

elle l'embrassa, lâcha son roman pour enlacer le corps du sauveur, s'attacher

à lui juste au cas où s'il devait disparaître. S'évaporer, et elle s'évaporerait avec lui.

S'il devait aller mourir de souffrance sur le bûcher, elle l'aurait probablement suivie.

Il ne comprenait pas sur le coup ce qui se passait; le choc d'être reçu de cette manière

excuse son acte de non-présence, entre les baisers passionnées de la perdue,

de la malheureuse, de l'éternelle questionneuse!

L'après-midi s'était terminé silencieusement, après leurs actes romantiques

faisant vibrer les sens autant que le matelas, et le soleil se couchait lentement,

derrière les nuages rouges qui semblaient apaiser l'esprit, comme le ferait le vin.

Il regardait sa partenaire endormie, un petit sourire au coin.

Elle semblait radieuse, les yeux fermées, respirant calmement, auprès de lui.

Après un certain temps, puisqu'il n'avait pas sommeil, il décida de lui préparer

un souper, qui serait prêt lorsqu'elle se réveillerait.

Dans la cuisine se trouvait l'homme, tandis que l'autre bête ouvrit ses yeux, et regarda autour.

Elle ne comprenait pas où elle était pendant quelques instants, et ensuite,

lorsqu'elle commençait à se remémorer des souvenirs de l'après-midi, elle eut peur.

"Qu'ai-je fais? Je n'aurais pas dû... Je ne le connaissais pas, j'ai abusé de lui

pour mes propres satisfactions personnelles, je n'aurais pas dû..."

Dans sa propre folie elle s'augmentait le niveau d'intolérance envers elle-même,

et empilait raisons après raisons, la montagne qui deviendrait un volcan,

lorsque l'organe masculin aura perçé son trou central final, d'où jaillira

la lave qui détruira tout sur son passage. Était-elle rendue là?

En épluchant une patate, il pensait à celle qui était en-haut, la belle,

qui ne se douterait de rien, qui se ferait gentiment réveiller par un charmant

souper surprise, en tête-à-tête. Il remerciait le destin, d'en avoir décidé ainsi,

de lui avoir fait rencontrer celle qui pourrait fort probablement

lui dévoiler une autre facette de la vie, en servant de reflection,

de mirroir, ce qu'il n'avait jamais pu se procurer auparavant.

Elle descendit les marches sans faire de bruit, mais l'humidité de ses pieds la trahit.

Au décollement fatal de la peau de son orteil contre le plancher, un petit bruit subtil éveilla l'attention

de l'amoureux. Il se tourna de bord, et lui souria.

Les yeux de la triste grossit d'une manière épouvantable, et elle se mit à crier des phrases insensées:

"Je n'ai pas d'oreilles canines! Tu ne connais pas la véritable source! Aurore dans un

lointain chant d'hiver!" et ainsi de suite.

Il resta debout, au milieu de la pièce, assistant à ce spectacle délirant

du coeur qui explose, de la réaction naturelle face à son environnement,

la conséquence des conséquences, qui remonte à un lointain temps toujours inconnue

aux victimes de l'aujourd'hui-moderne. À qui avait-il affaire? Qui était-elle?

C'était une folle. Presque chaque jour, un homme tombait sous son charme,

et la même histoire débutait. Elle était à la recherche de son mari disparu à la guerre.

Si seulement on lui aurait prévenu! Des hommes auraient éclatés de rire,

au moment de l'anecdote dévoilée. Presque la ville entière la connaissait,

sa réputation était digne d'une célébrité, mais nécessairement plus populaire en ces temps gris,

puisque les hommes y étaient souvent égarés en ce pluvieux temps, et en ce plus vieux des contes,

lui de la recherche de la compréhension.

Il échappa sa patate fraîchement épluchée, et se marmonna à lui-même:

"Mon vieux, la seule personne que tu croyais être capable de te sauver,

est une folle disjonctée. T'es dans la merde."

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Well j'ai quelque poème/paroles de chansons, la plupart old as hell, mais pour le fun :

Ô Belle nuit

Douce nuit silencieuse terrassant le jour

Synonymes de bien des vices et péchés

Vivant à travers les ténèbres reculés

M'envellopant tel un doux linge de velours

Ô belle nuit écoutant mes souffrances

Inflige la douleur et le désarroi à tout ces coeurs

Maîtresse des marginaux et de la rancoeur

Témoigne moi de ta terrible puissance

Solitude paradoxale du monde entier

Je ne vie que lorsque la nuit est à son apogée

Sucitant en moi de puissant désir

Des larmes silencieuses doucement s'écoulent

Je combat l'ennui en tuant les rires

Les espoirs et les vies s'écroulent

Un peu de grivoiserie tiens, Le Péché Originel :

Les yeux mi-clos, tremblante

Jeune déesse étendu, impuissante

Les baisers qui lèvent sa jeune candeur

Lui donne un air muet et rêveur

Que s'enflamme la passion et s'apaise les remords

Que disparaissent doutes et larmes

Alors qu'à ses pieds cet homme fort

Agace ses sens et ses charmes

''Je me rassasie de ta jouissance

Je mordrai les fruits de tes désirs

Je m'abreuverai du vin de ton plaisir

Jusqu'à ce que s'élève ce sentiment de puissance

Ce soir nous embraserons la nuit!''

Est-ce là la beauté du ciel

Que d'être tenté par le péché originel

Dans la brume, deux amants s'enfuient

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J'ai écris un bon petit crisse de poème aujourd'hui, ça parle de Satan, de striptease et de Pédophilie.

Ses deux énormes seins

J'ai le rêve Américain entre les mains

Vers son vieux vagin édenté sont éjectées des millions de pièces

et les prêtres corrompus violent leurs nièces

En se voulant érotique, elle expose son cul flasque

Une odeur de crasse

Avec ses rêves, on l'attache comme un chien

Saturnaliens

Il y a un animal mystique

Qui effraie les nègres frénétiques

qui essaient de s'approcher du trône imposant

Au pôle, sur le trône siège Satan

L'Étoile du Matin, Lucifer

Il encourage les chimères à se faire bruler

Pour se nouvelle ère

J'ai éjaculé tout autour du vagin É-DEN-TÉ.

YO PEACE OUT

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J'ai écris un bon petit crisse de poème aujourd'hui, ça parle de Satan, de striptease et de Pédophilie.

Ses deux énormes seins

J'ai le rêve Américain entre les mains

Vers son vieux vagin édenté sont éjectées des millions de pièces

et les prêtres corrompus violent leurs nièces

En se voulant érotique, elle expose son cul flasque

Une odeur de crasse

Avec ses rêves, on l'attache comme un chien

Saturnaliens

Il y a un animal mystique

Qui effraie les nègres frénétiques

qui essaient de s'approcher du trône imposant

Au pôle, sur le trône siège Satan

L'Étoile du Matin, Lucifer

Il encourage les chimères à se faire bruler

Pour se nouvelle ère

J'ai éjaculé tout autour du vagin É-DEN-TÉ.

YO PEACE OUT

Quesser tu fumes toi?

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Mini "poême" écrit dans pendant un moment de détresse.

Cela fait maintenant une ère entière que mon air me lacère les viscères

Cette empirique machine qui clique-tique au rythme de mes ondes cyniques

Le temps qui passe et trépasse m'efface sans lasse de ce monde de glace

Je sais pourtant que rien n'y fait, les dés sont jetés, je suis fait

Je préfèrerai disparaître que de continuer de paraître, sans être

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Assis dans l'herbe verdâtre en ce jour d'été étouffant, je regardaisles gens passer.

J'épiais chacun de leurs gestes sans aucune vergogne.Il est drôle de constater que le souvenir que je garderai de cesgens-là, sera l'impression qu'ils m'auront donnés. Une femmetrentenaire tire son enfant par le bras et celui-ci se met àpleurnicher. J''introduis cette information dans la catégorie mauvaisemère. Peu importe ce que cette dame à faite dans sa vie, elle resteragravée dans ma mémoire comme une folle tyrannique envers son jeuneenfant. Jolie maman dois-je admettre.

Un homme passe devant moi. Aucunement champion des bonnes manières,puisque son doigt à la mauvaise idée de se faufiler dans le nez. Lemanege de cet homme dure depuis quelques minutes et l'envie me prend delui crier si une cuillère pourrait lui faciliter la tâche. Je meretiens. Je sais ce que sont les bonnes impressions et je préfèregarder celle de lunatique, catégorie dans laquelle il vient de meplacer, en se tournant vers moi.

Cela fait maintenant deux heures que je suis sur ce gazon. Le parc seremplit de plus en plus et le bruit infernal des enfants s'égosillantici et là commence à irriter les gens dans la soixantaine. Je ne saispas si c'est un stéréotype, mais tous les vieux que j'ai aperçu aujourd'hui sont fans du jeu d échec. Quelques jeunes filles se dandinentégalement devant les regards inquisiteurs de la gente masculine.Ceux-ci, arborants tres souvent des lunettes soleil, ne peuventdetourner le regard de ces croupes alléchantes. Une dame âgée d'environ70 ans attends sur le bord de la route que quelqu'un daigne enfinl'aider a traverser. Personne ne soucie d'elle. Certains jeunes en skateboard sedisent sûrement que le règne de cette femme est terminé depuis bellelurette. Que si elle avait 20 ans et un corps sublime, ils auraientfait la QUEUE pour la secourir dans ce qui est pour elle un périple.

Le soleil tombe et je reste assis, néanmoins. Les gens quittent le parcdocilement. Personne ou presque ne ma regardé aujourd'hui. Personnen'aime regarder les gens qui vivent dans la rue. De toute manière ceuxqui m'aurait regardé sans que je m'en aperçoive m'aurait classéimmédiatement dans la catégorie de clochard solitaire ou de dépravésans emploi. Juger les gens est plus simple que d'apprendre à les connaître.

Ecrit en 20 minutes sur un ipod touch. Jai corrige ce que jai pu mais clavier sans accent ne maide vraiment pas...

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