Aller au contenu

Comment vous sentez-vous présentement ?


Mr.F
 Partager

Déchet(s) recommandé(s)

êtes-vous des aidants de proches souffrants de dépression ? comment vous vous en sortez ?

mes deux parents sont dépressifs de longue date (long story short, deux divorcés éclopés de la vie) et j'ai vraiment l'impression que depuis 4-5 ans, je suis graduellement devenue leur mère (mon frère étant devenu le père, en plus d'être un vrai père dans la vie t'sais). 

moi et mon frère envoyons à mon père une trollée de cash (genre, on parle de milliers de dollars par année) pour payer sa résidence de luxe et il faudrait en plus qu'on gère sa médication, car il a l'air de la prendre tout croche. ma mère a des ups and down, et durant ses downs, elle est NEEDY as fuck. 

je sais qu'il n'y a rien à faire avec les dépressifs à part être présents et patients, mais god que ça peut être lourd à certains moments. 

et ça ne s'ira pas en s'améliorant car ils sont en train de devenir old and crippled, avec tous les problèmes qui viennent avec. 

vie d'adulte, quand tu nous tiens. 

  • J'aime! 6
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

:bye:

J'ai aussi un parent qui a des épisodes sévères de dépression depuis plusieurs années.

Fais-moi signe si tu veux jaser, car je comprends le feeling et moi-même je ne sais pas comment faire pour m'en sortir par moment. Gérer ses émotions à titre d'enfant ET fournir un soutien c'est de loin une des choses les plus douloureuses que j'ai eu à faire.


 

  • J'aime! 2
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a une heure, Ecce Homo a dit :

êtes-vous des aidants de proches souffrants de dépression ? comment vous vous en sortez ?

mes deux parents sont dépressifs de longue date (long story short, deux divorcés éclopés de la vie) et j'ai vraiment l'impression que depuis 4-5 ans, je suis graduellement devenue leur mère (mon frère étant devenu le père, en plus d'être un vrai père dans la vie t'sais). 

moi et mon frère envoyons à mon père une trollée de cash (genre, on parle de milliers de dollars par année) pour payer sa résidence de luxe et il faudrait en plus qu'on gère sa médication, car il a l'air de la prendre tout croche. ma mère a des ups and down, et durant ses downs, elle est NEEDY as fuck. 

je sais qu'il n'y a rien à faire avec les dépressifs à part être présents et patients, mais god que ça peut être lourd à certains moments. 

et ça ne s'ira pas en s'améliorant car ils sont en train de devenir old and crippled, avec tous les problèmes qui viennent avec. 

vie d'adulte, quand tu nous tiens. 

Comment tu te sens par rapport au fait que tu doives le soutenir autant pour sa résidence de luxe? Qu'est-ce qui fait que vous avez prit cette décision là alors qu'il n'avait visiblement pas les moyens? Est-ce que tes parents se font suivre?

J'ai l'impression que ton frère et toi vous vous oubliez pas mal la dedans et que vous communiquez pas nécessairement à vos parents vos sentiments et vos besoins par peur d'en ajouter une couche sur leur état, dont vous n'êtes pas responsables. Est-ce que je me trompe?

  • J'aime! 6
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 2 heures, Ecce Homo a dit :

êtes-vous des aidants de proches souffrants de dépression ? comment vous vous en sortez ?

mes deux parents sont dépressifs de longue date (long story short, deux divorcés éclopés de la vie) et j'ai vraiment l'impression que depuis 4-5 ans, je suis graduellement devenue leur mère (mon frère étant devenu le père, en plus d'être un vrai père dans la vie t'sais). 

moi et mon frère envoyons à mon père une trollée de cash (genre, on parle de milliers de dollars par année) pour payer sa résidence de luxe et il faudrait en plus qu'on gère sa médication, car il a l'air de la prendre tout croche. ma mère a des ups and down, et durant ses downs, elle est NEEDY as fuck. 

je sais qu'il n'y a rien à faire avec les dépressifs à part être présents et patients, mais god que ça peut être lourd à certains moments. 

et ça ne s'ira pas en s'améliorant car ils sont en train de devenir old and crippled, avec tous les problèmes qui viennent avec. 

vie d'adulte, quand tu nous tiens. 

 

il y a 58 minutes, Nanie Mo a dit :

Comment tu te sens par rapport au fait que tu doives le soutenir autant pour sa résidence de luxe? Qu'est-ce qui fait que vous avez prit cette décision là alors qu'il n'avait visiblement pas les moyens? Est-ce que tes parents se font suivre?

J'ai l'impression que ton frère et toi vous vous oubliez pas mal la dedans et que vous communiquez pas nécessairement à vos parents vos sentiments et vos besoins par peur d'en ajouter une couche sur leur état, dont vous n'êtes pas responsables. Est-ce que je me trompe?

Elle a tout à fait raison. Être aidant, c'est d'abord penser à soi-même. Parce que sinon c'est impossible de prendre soin des autres. Il existe par ailleurs plusieurs ressources pour les aidants naturels, faudrait voir avec votre médecin/CLSC etc. Des groupes de soutien, des ressources de répit, de l'aide psychologique... Faut savoir bien s'entourer.

Et puis si vos parents ne sont pas suivis, il faut apprendre à lâcher prise de votre côté. On ne peut rien pour les gens qui ne se prennent pas en main ou qui n'avancent pas. Faudra peut-être apprendre à vous détacher émotionnellement d'eux par rapport à leur situation médicale. Ce qui n'empêche pas votre relation parent-enfant, mais qui peut la compliquer, j'en conviens. Les prendre dans leurs bons ou mauvais moments, mais ne pas s'impliquer émotionnellement et se dire que ça va passer quand ils sont dans des mauvaises passes.

Elle soulève aussi un excellent point quant à la maison de votre père. Je ne crois pas que ce soit à vous d'assumer ces coûts, aussi culpabilisant soit-il de dire non. Vous devriez envisager une conversation officielle avec lui: soit il change de mode de vie pour quelque chose de plus approprié à sa situation, soit vous cessez de l'aider financièrement. Ce n'est pas être indiviualiste, ce n'est pas un manque de soutien de votre part. La situation ne semble pas temporaire, ce n'est pas de l'aide sporadique comme on peut parfois en avoir besoin dans la vie. Vous n'avez pas à supporter un proche pour un train de vie au-dessus de ses moyens.

Il ne faut pas céder au chantage émotif.

Surtout, vous n'êtes pas les parents de vos parents. Feriez-vous la même chose pour votre meilleur ami? Pour votre frère ou soeur? Pour un oncle ou une tante dont vous êtes proches? Pour vos grands-parents? Probablement pas...

 

  • J'aime! 4
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 47 minutes, FosseAsceptique a dit :

Et puis si vos parents ne sont pas suivis, il faut apprendre à lâcher prise de votre côté. On ne peut rien pour les gens qui ne se prennent pas en main ou qui n'avancent pas. Faudra peut-être apprendre à vous détacher émotionnellement d'eux par rapport à leur situation médicale.

Je sais pas trop comment amener ça, mais il ne faut pas lâcher prise le moment où les parents refusent d'être suivis - parce que c'est l'étape la plus difficile pour des gens en dépression.

Il ne faut pas lâcher prise, il faut simplement réinvestir le même effort déjà investie: au lieu de payer sa maison, de prendre son temps pour servir de psychologue et l'écouter et être patient, il faut prendre cette énergie là pour faire en sorte qu'ils soient suivis - prendre les rendez-vous, aller les reconduire aux rendez-vous, faire un suivis des rendez-vous, etc. 

Faire les efforts pour consulter est probablement l'étape la plus difficile pour des gens en dépressions, et c'est à ça que les proches devraient investir leur énergie pour aider. 

Je crois personnellement que c'est faux que la seule chose à faire est d'être présent et patient, je trouve ça un peu fataliste (et je suis très fataliste pourtant), ça prend un suivis et des opinions de professionnels parce qu'il peut y avoir tout plein de symptômes possibles (genre... manque de vitamines D!)

Faut pas tomber dans le cercle vicieux du "parent dépressif qui croit que plus rien ne vaut la peine et qu'y'a aucune solution et donc refuse de consulter -> enfant qui ne croit pas que ça soit possible de régler le problème et que la seule chose à faire est d'endurer", il faut briser le Cercle du Désespoir. Y'a des milliers de témoignages de gens qui sont sortie de dépression, c'est tout à fait possible.

Mais c'est pas possible si la personne qui fait l'écoute n'a aucune criss d'idée de comment faire, cependant. 

  • J'aime! 1
  • J'ADORE! 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 2 heures, Gamin a dit :

Je sais pas trop comment amener ça, mais il ne faut pas lâcher prise le moment où les parents refusent d'être suivis - parce que c'est l'étape la plus difficile pour des gens en dépression.

Il ne faut pas lâcher prise, il faut simplement réinvestir le même effort déjà investie: au lieu de payer sa maison, de prendre son temps pour servir de psychologue et l'écouter et être patient, il faut prendre cette énergie là pour faire en sorte qu'ils soient suivis - prendre les rendez-vous, aller les reconduire aux rendez-vous, faire un suivis des rendez-vous, etc. 

Faire les efforts pour consulter est probablement l'étape la plus difficile pour des gens en dépressions, et c'est à ça que les proches devraient investir leur énergie pour aider. 

Je crois personnellement que c'est faux que la seule chose à faire est d'être présent et patient, je trouve ça un peu fataliste (et je suis très fataliste pourtant), ça prend un suivis et des opinions de professionnels parce qu'il peut y avoir tout plein de symptômes possibles (genre... manque de vitamines D!)

Faut pas tomber dans le cercle vicieux du "parent dépressif qui croit que plus rien ne vaut la peine et qu'y'a aucune solution et donc refuse de consulter -> enfant qui ne croit pas que ça soit possible de régler le problème et que la seule chose à faire est d'endurer", il faut briser le Cercle du Désespoir. Y'a des milliers de témoignages de gens qui sont sortie de dépression, c'est tout à fait possible.

Mais c'est pas possible si la personne qui fait l'écoute n'a aucune criss d'idée de comment faire, cependant. 

Merci de préciser et détailler, je ne suis pas bonne avec les mots.

Tu as raison, ce n'est pas lâcher prise, c'est se repositionner face à quelqu'un qui a un problème qui nous touche émotionnellement.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je soupçonne un mal du pays. 

Un mal spirituel dont le seul remède est le retour aux sources.

Offre leur un billet d’avion.

Offre leur de l’alcool de sperpent.

Offre leur un œuf de cent ans.

Offre leur une pipée d’opium.

J’ai cet image du vieil Italien de Saint-Léonard  qui termine sa vie paisiblement dans son village d’enfance.

Révélation

mafieux dont la tête a été mise à prix ¿

 

Le parrallèle est un peu boiteux.

M’enfin c’est peut être juste une carence en vitamine D.

  • J'aime! 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 8 heures, Ecce Homo a dit :

êtes-vous des aidants de proches souffrants de dépression ? comment vous vous en sortez ?

mes deux parents sont dépressifs de longue date (long story short, deux divorcés éclopés de la vie) et j'ai vraiment l'impression que depuis 4-5 ans, je suis graduellement devenue leur mère (mon frère étant devenu le père, en plus d'être un vrai père dans la vie t'sais). 

moi et mon frère envoyons à mon père une trollée de cash (genre, on parle de milliers de dollars par année) pour payer sa résidence de luxe et il faudrait en plus qu'on gère sa médication, car il a l'air de la prendre tout croche. ma mère a des ups and down, et durant ses downs, elle est NEEDY as fuck. 

je sais qu'il n'y a rien à faire avec les dépressifs à part être présents et patients, mais god que ça peut être lourd à certains moments. 

et ça ne s'ira pas en s'améliorant car ils sont en train de devenir old and crippled, avec tous les problèmes qui viennent avec. 

vie d'adulte, quand tu nous tiens. 

Il n'y a qu'une seule solution.

L'EUTHANASIE

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Non, mais plus sérieusement.. Gamin a raison. Il faut les guider à faire le pas d'être suivis et leur faire comprendre qu'il n'y a aucune honte à être malade et/ou dépressifs. La dépression se soigne assez facilement de nos jours... C'est comme avoir un gros bobo sur le pied.. Mais dans sa tête.

 

Pour ce qui est de la maison de retraite... Je travaille dans un CHSLD privé et pour 3000 par mois, ils ont des osti de bonnes conditions de vie. Je sais que ces maisons sont coûteuses et que tu te sente prise au piège... Mais c'est un beau cadeau que tu fais à ton père ..disons qu'il t'a donné beaucoup (la vie) et une bonne éducation. De l'amour et tout. Come on là t'es avocate, t'as une bonne vie et t'as eu une éducation assez suffisante, complète et entourante pour pas finir comme moi. 

Je sais que c'est du trouble et que c'est chiant, mais en faisant ce geste tu participes au cycle contraire qui a été ton développement de bébé à adulte.. En accompagnant ton père de son deuxième passage d'adulte à enfant. Pas autonome. C'est à ton tour de babysitter. Et c'est ça nos aînés, des êtres qui redescendent à un point infantile où on finit par se dire: pour le temps et la santé qu'il leur reste. -----> donnons leur un peu de dignité et d'amour.

Et payer pour une résidence de luxe c'est veiller à ce qu'ils bénéficie d'une bonne hygiène corporelle (2 bains semaine), qu'ils soient considérés de façon humaine... Respect, amour, bon repas, propreté, loisirs.. Pour le reste de chemin qu'ils ont à faire sur cette fucking terre de souffrance.

:ennui_du_meta:

  • J'aime! 2
  • J'ADORE! 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 8 heures, Brunette pas nette a dit :

:bye:

J'ai aussi un parent qui a des épisodes sévères de dépression depuis plusieurs années.

Fais-moi signe si tu veux jaser, car je comprends le feeling et moi-même je ne sais pas comment faire pour m'en sortir par moment. Gérer ses émotions à titre d'enfant ET fournir un soutien c'est de loin une des choses les plus douloureuses que j'ai eu à faire.


 

Perso, je ne m'en souviens pas, j'étais trop jeune.. Mais ma mère a confié à quelqu'un (qui a fini par me le rapporter) ..que durant ma jeune enfance (7 à 9 ans) j'avais dû m'occuper d'elle et être "sa mère" en quelque sorte parce qu'elle était trop maganée. Dépression majeure.

Et comme tout le monde le sait.. Comme la dépression est un mal sérieux, il vient chambouler jusqu'au plus pronfondes racines de la personne malade.

Donc, ça nous fout entre les mains un personne pas fonctionnelle. Et triste à mourir.

Ma mère a fait plusieurs dépressions pendant mon développement et je doute que ceci n'a pas été très bon pour disons "la floraison" de ma personne.

C'est pas nice être le parent du parent. Ça vient bouleverser toute une quiétude et une stabilité de rôles pré-établis qui sont sensée être à la base de la famille nucléaire.

On inverse les rôles et *pouf*.. On perturbe tout le monde.

 

  • J'aime! 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Sans dire que tu n'as pas raison Chicken à propos de ce que tu as écris car j'estime que tu en sais plus que moi sur le sujet des résidences pour personnes âgés, je suis malgré tout intéressée à savoir comment elle se sent la dedans, pour vrai. Parce que décrire comment elle se sent à travers ça, pour vrai et sans se mentir, va surement l'aider à prendre des décisions qui la rendront heureuse, elle aussi.

Ça se peut qu'elle se sente pleine de gratitude envers ses parents et qu'au final elle se sente heureuse de faire ça, mais ça se peut que ce soit le contraire aussi, et ça serait tout aussi important qu'elle se l'admette à elle-même. Même pas obligé qu'elle l’écrive ici.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

 

il y a 19 minutes, Nanie Mo a dit :

Sans dire que tu n'as pas raison Chicken à propos de ce que tu as écris car j'estime que tu en sais plus que moi sur le sujet des résidences pour personnes âgés, je suis malgré tout intéressée à savoir comment elle se sent la dedans, pour vrai. Parce que décrire comment elle se sent à travers ça, pour vrai et sans se mentir, va surement l'aider à prendre des décisions qui la rendront heureuse, elle aussi.

Ça se peut qu'elle se sente pleine de gratitude envers ses parents et qu'au final elle se sente heureuse de faire ça, mais ça se peut que ce soit le contraire aussi, et ça serait tout aussi important qu'elle se l'admette à elle-même. Même pas obligé qu'elle l’écrive ici.

Ouais, j'avoue que je prêche pour ma paroisse.. Déformation professionnelle I guess.

Si elle n'a pas envie d'entretenir son vieux, elle a le droit. C'était peut-être un asshole.

Je me rapellerai toujours cet épisode de Bojack Horseman où il emmène sa mère dans la pire résidence et qu'il demande la pire chambre (celle qui donne sur les dumpsters dans la ruelle ----- même si il est fucking riche) et qu'il hold tellement a grudge contre elle pour lui avoir pourrit la vie, qu'il l'abandonne là même si à présent elle est atteinte de démence/alzheimer et ne le reconnaît même plus.

 

J'ai pleuré à cet épisode

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ha et puis je pense à ça et j'suis tellement tarte et nounoune. C'est clair que quand ma mère va être débile, je vais quand même changer ses couches malgré toute la MARDE et les horreurs qu'elle ma fait subir. Je sens que j'vais flancher et être là pour elle. Incapable de l'envoyer chier et et de l'abandonner.. Même si ses comportements de marde m'ont mis des bâtons dans les roues toute ma crisse de vie. C'est ma mère. J'suis sortie de son vagin yo.

Je me souviens dans le premier Silent Hill d'une quote qui m'a troublé. C'était par rapport à la mère qui a abandonné sa petite fille et laissé les fous du village la brûler.

Quelqu'un a dit: Une mère est Dieu dans les yeux de son enfant.

Et c'est pratiquement vrai. [J'ai une bonne mémoire, je peux me remémorer certaines chose très loin dans ma vie] Je me souviens à quel point j'aimais ma mère comme si elle était mon soleil et que je ne vivais que pour son sein, son amour et son approbation. L'enfant est connecté directement à sa mère d'une façon très profonde.

  • J'aime! 2
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Damn.

J'men allais chercher quelqu'un, je cherchais l'adresse et je me suis reviré, j'ai poqué un char osti.

Mon niveau de stress est à 200% .. j'suis allée me chercher de la bière pour me calmer. Ça m'apprendra osti d'oublier de prendre mon concerta le matin.

#l'alcoolestunanxiolitique

 

Edit: J'ai pas fait de délit de fuite. On en remplit un constat à l'amiable.

  • J'aime! 1
  • QU-QUOI?! 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ah si j'étais un peu compris ! Si par pitié
Une femme pouvait me sourire à moitié,
Je lui dirais : oh viens, ange qui me consoles !
Et je la conduirais à l'hospice des folles. 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

En passant, pour tout ceux et celles qui ont vécu "devoir s'occuper d'un parent durant sa jeunesse" (ça implique soit des parents dépressif, ou narcissique, ou autre), je veux conseil fortement le livre "Le drame de l'enfant doué" de la docteure en psychologie/psychothérapie/philosophie Alice Miller:

Citation

Le drame de l’enfant doué, de l’enfant sensible et éveillé, mais pas forcément surdoué, consiste dans le fait qu’il ressent très tôt le besoin et les troubles de ses parents et s’y adapte. Il apprend alors à dissimuler ses sentiments les plus intenses, que ses parents supportent mal. Quoique ces sentiments, comme par exemple la colère, l’indignation, le désespoir, la jalousie ou la peur, puissent resurgir au cours de la vie future, ils ne seront pas intégrés à la personnalité. C’est ainsi que la partie la plus vitale de l’individu, la source du vrai Soi, ne sera pas vécue. Cette répression des sentiments mène, même chez des personnes très intelligentes et pleines de talent, à une insécurité sur le plan émotionnel s’exprimant soit dans la dépression (perte du Soi), soit dans la grandiosité – qui est en fait une défense contre la dépression.

Les exemples décrit par l’auteur sensibilisent le lecteur à la souffrance inarticulée de ceux qui, comme enfant, n’ont pas eu la chance d’apprendre à vivre et à exprimer leurs vrais sentiments.

http://www.alice-miller.com/le-drame-de-lenfant-doue/

C'est de 79, alors a prendre avec des pincettes (dans sa façon de décrire des filles avec tattoos, mettons) mais le reste est ouvre-l'oeil en criss. 

  • J'aime! 2
  • J'ADORE! 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Veuillez vous connecter pour commenter

Vous pourrez laisser un commentaire après vous êtes connecté.



Je veux revenir!
 Partager

×
×
  • Créer...