Aller au contenu

Comment vous sentez-vous présentement ?


Mr.F
 Partager

Déchet(s) recommandé(s)

Bon les gars, bon courage avec les boloss

Je vous quitte, vous et le froid, pour la Thaïlande a présent (:

Bizouuuuuuuuu

Ok, je disais que toi et Vagabond alliez en Thailande dans la même periode mais dans le fond, vous partez carrement le même jour!

Ouvre les yeux à l'aeroport d'arrivée, tu vas peux être le croiser, qui sait....

Anyway, bon voyage.

Bon voyage fille! Montre-nous de quoi ressemblent les transgenres à Phucke ;)

Phuket?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je vais voir un psy demain. Première fois depuis des années, je le prends comme une défaite. Moi et la bouffe c'est redevenu n'importe quoi, j'ai l'impression d'être retombée en 2005.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je vais voir un psy demain. Première fois depuis des années, je le prends comme une défaite. Moi et la bouffe c'est redevenu n'importe quoi, j'ai l'impression d'être retombée en 2005.

C'est tout ce que j'ai à répondre

fc9c6a0ed8da6bd4f9389e0f4f67dd89.jpg

  • J'aime! 4
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ouais, je lache pas prise. Mais je me sens sacrément merdique en attendant.

On dirait bien que je me tape un wedding blues. C'était tellement inimaginable que ça m'arrive à moi que maintenant que je suis liée, j'ai des sueurs froides, l'impression que maintenant ma vie va suivre un chemin tout tracé, calme et boring. Il me reste à faire des mioches, me faire tromper, divorcer, crever de solitude. Je sens tout ça venir gros comme une maison.

Ca ira mieux dans quelques semaines.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Checkez moi bien aller...

(Profite de ces bonnes VIBES Mila...)

Laisse ce qui te retient, délaisse ce qui t'appartient

Détache le lien qui lentement se resserre

Car cette vie t'indiffère et ne te ressemble en rien

Ces reves ne sont pas les tiens

Si tu restes tu vas manquer d'air

Il suffit de tout envoyer en l'air

Je saurais comment faire je crois

C'est inscrit dans nos genes

Je sais qu'on est capable de tout

Envoyer en l'air, sans regard en arrière

Et c'est le moins que l'on puisse faire

Qui ose faire le pas de l'évolution

Je veux seulement des visages et des corps en ébullition

Pour enfin changer d'air, dans une autre dimension

Venez assister ensemble au réveil d'une génération

Qui veut seulement tout envoyer en l'air

Je saurais comment faire je crois

C'est inscrit dans nos genes

Je sais qu'on est capable de tout

Envoyer en l'air, sans regard en arrière

Et c'est le moins que l'on puisse faire

Qui veut seulement tout envoyer en l'air

Je saurais comment faire je crois

C'est inscrit dans nos genes

Je sais qu'on est capable de tout

Envoyer en l'air, sans regard en arrière

Et c'est le moins que l'on puisse faire

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Déçu par la qualité actuelle des productions de ce genre, j'ai décidé de faire compositeur musical pour films pornos.

Marre de cette même musique d'ascenseur répétitive.

  • J'aime! 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 semaines plus tard...

Malade. Angoissé. J'ai passé mes 3 jours de ''pseudo congés'' à être malade à coté de mes pompes.

J'étais censé planifier un voyage passablement gros pour d'ici 2 semaines... ou moins. ( je n'ai pas encore acheté les billets, ni rien d'autre d'ailleurs...). J'ai toujours pas osé en parler à mon employeur, mon proprio et mes parents( qui sont en fait les mêmes personnes). J'ai la tête dans un bocal, j'arrive pas a reflechir, j'ai la tête qui tourne en permanence et bien evidement je ne peux pas caller malade à la job.

Vive les conditions de travail Roumaine, vive la vive, vive moi.

  • J'aime! 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

pourquoi tu restes dans les filets de tes parents? ils ont l'air de te rendre malheureux. qu'ils disent qu'ils dépendent de toi, c'est plutôt manipulateur de leur part.

j'ai juste envie de m'acheter un paquet de Marlboro et de me les enfiler les uns à la suite de l'autre.

  • J'aime! 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

pourquoi tu restes dans les filets de tes parents? ils ont l'air de te rendre malheureux. qu'ils disent qu'ils dépendent de toi, c'est plutôt manipulateur de leur part.

j'ai juste envie de m'acheter un paquet de Marlboro et de me les enfiler les uns à la suite de l'autre.

ayoye, c'est un quotidien étudiant assez banal. Je vis le même truc, même si j'ai 19 ans, l'ambition de passer un doctorat et largement le temps d'y remédier.

Sinon Dunhill > Marlboro

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

pourquoi tu restes dans les filets de tes parents? ils ont l'air de te rendre malheureux. qu'ils disent qu'ils dépendent de toi, c'est plutôt manipulateur de leur part.

j'ai juste envie de m'acheter un paquet de Marlboro et de me les enfiler les uns à la suite de l'autre.

Ils ne le disent pas trop, mais c'est un constat qu'aucun des deux partis ne pourrait nier. Je suis devenu trop important et trop d'affaires essentielles dépendent de moi dans leur buisness(et un peu aussi en dehors de leur buisness). Ils ne peuvent pas se payer un employé autre que moi pour plusieurs bonnes raisons. Et si je pars, le roulement va en prendre tout un coup et par le fait même tout le reste. Là ou ils me manipulent c'est en laissant sous-entendre que ma vie était et serait une ruine sans la redemption qu'ils m'ont offert (Parce qu'il y a eu des punaises dans mon ancien bloc et parce que mes colocs étaient wack). Dans les faits, mes parents excellaient dans leurs domaines respectifs, était chacun à leur compte. Ils ont eu l'idée/le souhait out of nowhere de déménagé pour batir et runner un resto. Pendant tout ce temps de construction et de mise en place, je leur repetais que c'etait pas une bonne idée/pas une vie (je travaillais déjà un peu dans le domaine). Ils me tannaient pour que je viennes quand ils allaient ouvrir mais je leur repetais que ''non, ca ne me tentait pas'' étant donné que j'avais ma petite vie sur Montreal et qu'on ne s'était jamais bien entendu(imagine dans le cadre d'un travail).

Ma mère à fini par m'appellé desepéré apres l'ouverture. Il n'arrivaient pas à s'en sortir niveau production. J'ai daigné offrir mon aide pour la plonge et c'est là que j'ai mis un doigt dans le putain d'engrenage. J'ai vite dü passer aux fournaux/cuisine... Au debut ils étaient sympa (parce qu'on était redevenu des inconnus et il y avait une petite gène) et reconnaissant. Ca a vite changer pour notre ancienne relation merdique + le fait que je suis enfermé dans une petite cuisine avec mon père des jours durant(joie) = explosions.

Une des raisons principales pour laquelle je suis resté ici c'est pour mes frères. Je considere que le climat dans la famille n'a jamais été bon et qu'une avalanche de probleme financier et professionnel ne pouvait qu'avoir de mauvaise repercussions sur leur vie. Des parents encore plus nevrosé, peut-etre un énieme changement d'école parce que le privé coute déjà trop cher.

Mes fères, je les connais pas des masses. j'ai 10 et 12 ans d'écart avec eux et à partir de mes 16ans je suis devenu quasi inexistant dans la maisonnée familiale(si ce n'est m'en occupé à contre coeur les week-end), ensuite je suis parti à Montreal et j'ai toujours été distant avec mes parents/ma famille (qui, anyway, vivaient en banlieue). Bref, je me suis toujours senti mal de pas assez avoir été là en tant que grand frère. Au début je m'occupais pas mal d'eux, je faisais le lunch/à manger, je watchais les devoirs, je les backait quand mon père piquait ses crises(12 fois par jours) etc... Ca laissait mes parents souffler et se consacrer à leurs buisness/gestion/toutes les affaires que la buisness veut. Ca donne aussi à mes frères une certaines autonomie et une stabilité parce que sans moi ils devraient aller dormir ailleurs dans le bois. Alors que là on reste dans le bout de maison du commerce, proche de leur ecole et de tout le reste.

Maintenant je ne leur fait plus le lunch parce que je veulent qu'ils grandissent (en fait j'ai realisé que quand j'avais leur age, je leur faisais déjà à manger. Bande de limaces.). Vu qu'ils sont tannés de faire voir leur devoirs et avoir à les refaire/completer comme du monde, ils ne les ramènent plus, ne marquent plus rien dans leurs agendas... C'est devenu un putain de combat sur tout les plans pour obtenir d'eux qu'ils se prennent un peu en main. Et avec le temps la buisness m'a pompée deplus en plus de jus.

Au final, je suis devenu un parent de substitution. Ma relation avec mes frères devient souvent aussi nulle que celle que j'ai eu avec mes parents. Et mes relation avec mes parents à leur sujet ressemble beaucoup à un couple divorcé dont chacune des parties renvoie la faute sur l'autre.

Donc je lache de plus en plus prise avec cette dynamique, surtout qu'ils ont grandi... Le plus grand devrait aller au cegep l'année prochaine(donc moins cher qu'une année au privé) et va peut-etre prendre gout à une la liberté en dehors de ses jeux vidéos. L'autre aussi a grandi et devient plus debrouillard et plus responsable(je crois/j'espere).

Reste que ''pas de moi'' = surement ''pas de resto'' = trouble financier pour la famille/pas le bout de maison avec = mes petits freres qui vient dans une petite maison dans les bois avec mes parents qui crient....

En même temps, j'ai finalement trouvé des avantages à être ici, la vieille baraque est jolie(encore plus quand mes parents s'en vont), même si je suis relativement sous-payé, j'ai pas de bill à payer. ( j'ai reussi à economiser quand même pas mal au bout de deux ans). Il y a pas de voisin ennuyés par la musique trop forte le soir. La quantité d'espace offre un grand potentiel. Je me suis défait de la maledition des punaises de lit. Des raisons pour lesquels ca m'apparait dure de retourner payer un appart(potentiellement infecté) dans le vent à montreal(j'ai jamais autant pris conscience du vol/cercle vicieux que cela representait).

J'ai malgrés tout forgé une meilleur experience/connaissance au niveau produit agro alimentaire + des choses qui touchent plus au niveau gestion/paperasse d'un resto. Tout le monde dit que c'est très bon.

Mais j'ai quand même l'impression d'avoir perdu 2 ans de ma vie, surtout sur le plan social(je connais personne ici et j'imagine que les plus interessantes sont parties dans la grande ville). Un horaire plate imposé qui me fait rater les partys fêtes de mes amis et tout sortes de sorties culturelles, disponibilités de cours à l'université. Et aussi sur le plan psychologique... Je me suis jamais autant pogné avec mes parents sur tout et n'importe quoi(mais leur projet reste une grande source de prise de bec). Surtout mon père... ceux qui me connaissent savent que je suis pas un violent, que je suis assez diplomate, que je ne m'emballe jamais, mais mon père ma vraiment donner les pires crises de nerfs que j'ai eu dans ma vie. Je suis passé plusieurs fois à un cheveux de m'éclater les phalanges sur le mur. Je n'aurais jamais cru arriver à un tel point de perte de sang froid dans ma vie (et je pense avoir déjà vécu des pas pire moments propice à ca: mon emprisonement dans les cages/prison provinciale pendant 68h au G20 de Toronto et ma colocation avec lux, no joke j'étais pas loin d'y calisser une... ).

Mais en même temps ca eu du bon de decouvrir que cet homme ( mon père ) qui nous toujours fait comprendre qu'il était le meilleurs en tout/avait toujours raison, pouvait être un vrai guignol à coté de ses pompes.

En étant enfermé avec lui, j'ai pu aussi mettre le doigt sur plusieurs problemes dont j'ai toujours pensé être le seul responsable et finalement comprendre que c'était juste un echo de sa nevrose. En fait, c'est surtout en constatant que mes petits frères(avec lesquels je n'ai pas vraiment grandi) avaient des "patentes'' semblable/quasi identique à celles avec lesquelles j'avais grandi que j'ai réalisé qu'il y avait une source commune à tout ca.

Je me sens beaucoup moins dans l'ombre de la pseudo-excellence de mes parents.Je me dédouanne de plus en plus de toutes simili-responsabilité/devoirs fantoche qu'ils/je/nous m'etions imposé.

Et je pense qu'il est temps de forcé les choses concernant ce projet qui a fini par pourrir tout le monde.

ayoye, c'est un quotidien étudiant assez banal. Je vis le même truc, même si j'ai 19 ans, l'ambition de passer un doctorat et largement le temps d'y remédier.

Sinon Dunhill > Marlboro

Quand j'ai débarqué en France, je ne savais que prendre comme clope... Je voulais de l'aventure et de l'exotisme, mais perdu dans le noir j'ai choisi celui qui me semblait le plus famillier, c'est à dire un paquet de Pale Mall -___-.

J'ai fini par m'acheter des philippe Morris parce que tout le monde en parlait. (et une cartouche de Gauloise rouge au Duty Free).

  • J'aime! 5
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ça fait bizarre d'être amoureux, quand tu l'as pas été depuis un bout. Vraiment chelou. Tu sais pas si tu dois t'inquiéter, que ce soit la, que ça puisse durer, tout en se demandant comment ça évoluera et si une tragédie ne sera pas actée.

On fait des trucs étranges, quand on sent que quelqu'un a ce pouvoir, et qu'en plus, on s'avoue qu'on a le même sur lui.

Et que peut-être, ou que peut-être pas.

Moi je suis obsédée par la réciprocité, le miroir.

Je dis tout le temps que je prends toutes les couleurs de l'arc en ciel, que je ne fais que refléter ce que les autres me renvoient.

Mes dernières phases m'ont amenée jusqu'au délire mélancolique: en une vague. Pleine de sentiments confus, dans le sombre, allant de la nostalgie, a un pré-sentiment de rejet, a un pré-anéantissement découlant de cette passion, de ce besoin terrible en moi de vouloir fusionner comme un androgyne platonicien qui aurait subitement trouvé sa moitié. J'étais dans une phase de rêve souffreteux, volontaire. La tristesse jouasse d'être seule et sans autre substance, sous ma peau.

J'ai cherché sur internet. J'ai trouvé la réponse. Je ne suis plus mélancolique, d'un coup, d'un seul, parce que j'ai digéré la chose des que j'ai compris quel processus étrange j'étais en train de suivre:

Le mélancolique est comme un être en deuil, a la différence que le mélancolique n'a concrètement perdu personne. Il est nostalgique, mais de quoi ? De rien qui n'existe ailleurs que dans son idéalisme fantasmagorique. C'est de la bribe de rêve dissoute sous les angoisses d'une infinitude d'être. Un manque de quelque chose, une perte imaginaire mais terrible, une grosse brèche par laquelle une tristesse endeuillée semble pourtant couler. Plic, ploc, cette vulnérabilité est si romantique, enfantine, doucereuse. Et on se dit : 'oh mom, it hurts'.

Le mélancolique aime souffrir et se complait dans un bain d'incomplétude : ce qu'il a perdu, c'est un bout de lui. C'est une part de perfection à son image qu'il entrevoyait par les portes de son idéalisme. C'est une vision qu'il a goûté de loin, de près, à lui même dans le cadre de son bonheur et qui s'échappe en l'abandonnant, en se matérialisant en imperfection. Ce n'est plus lui, mais la triste, dure, pénible réalité. Elle l'a extirpée à son rêve et à sa finitude. Le mélancolique est amoureux de ses reflets, le mélancolique est un narcissique blessé qui a perdu en l'objet l'essence de la perfection qu'il y cherchait:

Il s'est perdu lui même.

Pour le mélancolique amoureux, l'être aimé qui est sien peut devenir un objet d'identification tel, qu'une fois le miroir cassé, c.-à-dire qu'une fois que l'auréole de perfection s'envole du dessus de la bouille angélique de l'être aimé, le mélancolique peut sombrer dans un genre de dépression psychologique, faite de projections déchues, générant alors une cassure dans la vision et l'estime de soi - le manque qui se renvoit à lui même en somme ...le manque de soi même. La brèche narcissique, la blessure. On sent qu'on est, tel un reflet brisé, soit même trop incomplet. On souffre de ce manque comme une perte vécue en soi même. En réalité, ce que le mélancolique perds, c'est avant tout la projection idéalisée de son amour. Mais cette perte est vécue comme un déchirement de soi, puisque cette idéalisation est d'abord vécue pour soi, et comme un repli sur soi, une intériorisation totale, jusqu'à l'identification de l'autre. De fait, si l'autre n'est plus parfait, alors je ne suis pas parfait.

Être mélancolique, c'est comme être en train de regarder une plaie béante qui devrait cicatriser. C'est mettre des doigts un peu dedans, sentir que ça pique, que ça tire, mais jubiler parce que cette douleur devient belle parce qu'elle nous fait sentir vivant, et je le crois, très fragile en même temps. Etre mélancolique c'est être masochiste, et c'est être le cul entre deux chaises : slider sur la limite, vertigineuse, entre la chute et l'élévation. Etre aspiré par le noir et inspiré par le blanc, mais avoir du mal à trouver la paix des zones de gris. C'est une des tangente de la passion, en fait.

Depuis que j'ai compris que je ne faisais que regarder un reflet de moi brisé, j'ai détourné le regard. Je n'ai besoin que d'imperfections dans ma vie. Mon histoire amoureuse semble souvent si parfaite que j'aime prendre du recul pour oublier un peu. Les émotions d'amour sont très perturbantes. Mais avec le temps elle s'émoussent, surtout si on s'en gave. Y a un pic de fou a un moment, quand on est en passe de fusionner, mais j'ai l'impression que ce cap passé on indique la fin de ... Cette faim de l'autre. Je crois que je veux rester encore longtemps frustrée par mon incomplétude, elle m'aide a faire durer le plaisir.

La mélancolie a fui. Mais mes impérieux instincts de fusion sont toujours là: je m'enivre de l'autre, si fort, que je jalouse son existence, j'ai envie de le dévorer jusqu'à ronger ses os, j'ai envie de le posséder au dernier degré. C'est à ce moment là qu'il faut retourner dans sa caverne, et s'éloigner de cette pressante nécessité que mon âme recherche depuis toujours.

Eyh, ma beauté, tu ne peux pas fusionner (:

  • J'aime! 6
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Salut journal intime,

Hier soir, Elliphant m'a embrassée sur la bouche

Hihihihi

1508193_10153591888755968_4355333130180485155_n.jpg?oh=ec3e483734efc9ff70cb9540a9302f4d&oe=558AB254&__gda__=1431068222_2ed314866d2892686d701338bee650ff

J'ai passé la soirée avec elle et son crew jusqu'à 3h du mat

Mais bon, j'ai passé le test

Jserai jamais lesbienne

  • J'aime! 4
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

J'ai vraiment pris du mieux dans la dernière semaine après des semaines et des semaines où le ciel me tombait littéralement sur la tête. Je commence finalement à me reconnaître et ça me fait franchement du bien. Je suis même arrivée à ressortir mon sourire!

XOXO

150224045808505375.jpg

  • J'aime! 3
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

"Moi je suis obsédée par la réciprocité, le miroir.

Je dis tout le temps que je prends toutes les couleurs de l'arc en ciel, que je ne fais que refléter ce que les autres me renvoient"

C'est une drôle analogie ça. Bon nombre de matériaux absorbent une partie de la lumière et réfléchissent que les longueurs d'ondes qui les excitent. Réfléchir toute la lumière c'est vraiment un comportement extrême. C'est être une chose qui ne filtre rien et qui n'émet que la lumière de l'autre. Aussi bien se comparer à une banale fenêtre qui laisse passer la lumière visible, parce qu'elle est transparente.

L'analogie avec la troisième loi de Newton est moins ambiguë pour exprimer la réciprocité

  • J'aime! 3
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bon nombre de matériaux absorbent une partie de la lumière et réfléchissent que les longueurs d'ondes qui les excitent. Réfléchir toute la lumière c'est vraiment un comportement extrême. C'est être une chose qui ne filtre rien et qui n'émet que la lumière de l'autre. Aussi bien se comparer à une banale fenêtre qui laisse passer la lumière visible, parce qu'elle est transparente.

Et bien, c'est ce que je ressens.

Trop sensible aux ambiances, aux flux d'énergie, au comportement non verbal. J'ai l'impression, souvent, de n'avoir rien à offrir aux autres, parce qu'aucun ne peut se connecter à mes ressentis, donc celui ci, très fort, d'identification à l'autre. Comme tu dis, je reflechis les longueurs d'onde qui m'excite : quelqu'un qui est receptif a ce que je suis recevra le meilleur de moi même, je suis THAT influençable.

Je suis triste de ne jamais pouvoir fusionner, j'en souffre. Surtout quand j'aime quelqu'un.

Parce que je me sens vide dedans, je n'arrive à donner que si on me donne beaucoup. Je suis insécure depuis toujours, et j'avais travaillé là dessus. Mais des gens ont réussi à me faire perdre pied, évidemment.

Encore là, je souffre, parce que cette réciprocité, cet accord, cette longueur d'onde... Bah j'en perds toujours la fréquence je trouve. Je me retrouve seule dans ma tête et j'ai peur de l'être. Etre avec quelqu'un ça exacerbe ce sentiment de solitude, cette tendance dépressive, et ça c'est vraiment terrible. Je suis un jouet cassé. J'ai l'impression de n'avoir rien à offrir.

  • J'aime! 2
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • ... a libéré ce sujet
  • xdrox a mis en évidence ce sujet

Veuillez vous connecter pour commenter

Vous pourrez laisser un commentaire après vous êtes connecté.



Je veux revenir!
 Partager

×
×
  • Créer...