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Le Métro de Montréal


Ferros
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Déchet(s) recommandé(s)

  • 1 an plus tard...

Lors d'une journée pluvieuse, j'ai fait comme à l'habitude et pris place dans le wagon du metro quand soudainement une odeur de bière et de pisse me vient au nez. Le coupable: un mec en boisson pas fraîchement lavé. Ensuite, j'embarque dans une autre wagon pour effectuer ma correspondance et un autre odeur pas trop agréable me vient au nez. Le coupable: un autre mec à l'hygiène déficiente. Lorsqu'il quitte une certaine odeur persiste ce que je trouve étrange (comment ça se fait que son odeur de pu est aussi puissante ?) et me fait réaliser que mon bandeau est dû pour être laver... La morale de l'histoire: notre odorat est parfois endormis et un rien le réveille tout comme la vue d'une belle tarte aux bleuets peut réveiller notre gloutonnerie.

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  • 8 mois plus tard...

Je prends le métro au quotidien.

À 2 reprises, j'ai vu un homme entrer bien chill, s'assoir, puis s'allumer une cigarette. Une fois vers 9h00 et l'autre vers 16h. Pas comme si on était à des heures tardives. C'était dégeulasse. 

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  • 1 an plus tard...
  • 1 an plus tard...

F34527B3-B2AE-4456-AE22-F5C4E6235336.jpeg.7719bc68ef5ffb9801666925af07faac.jpegÀ chaque fois que je vais à la station Bonaventure, j’ai l’impression d’être à la cour des miracles. C’est probablement le métro qui accueille le  plus de SDF au pouce carrée. Il dorment, mangent, quêtent et se donnent en spectacle. Ils sont en supplémentaire jusqu’à la semaine des 4 jeudis.

Je rêve d’y organiser une  flash mob un samedi soir en hommage à la comédie musicale NDP aussi épic que les prisonniers philippins ont fait avec l’œuvre de MJ.

La plus célèbre est la Grande cour des Miracles, à laquelle Victor Hugo fait allusion dans Notre-Dame de Paris. Prenant des libertés avec l'histoire afin de nourrir sa vision « romantico-médiévale », l'écrivain situe la cour des Miracles au xve siècle, à la fin du règne de Louis XI.

 

Selon les descriptions carnavalesques, les mendiants de la corporation des gueux, qui étaient hiérarchisés et parfaitement organisés, avaient des lois, une langue. Ils allèrent jusqu’à élire un roi des argotiers. Celui-ci s’appelait roi de Thunes.

 

Au-dessous de ceux-ci venaient, les savants du royaume des mendiants. C’étaient pour la plupart d’anciens étudiants ; ils enseignaient l’argot aux mendiants nouveaux venus dans l’association et jouissaient du privilège de ne payer aucun impôt.

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