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Crises de panique


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Bon. Alors voilà, ça a commencé à m'arriver cette semaine. Je ne me considère pas comme une personne stressée en général, mais on dirait que ça peut arriver quand même. J'ai des maux de têtes, faiblesses, impression d'étouffement, et impression que je peux m'évanouir d'un moment à l'autre. C'est arrivé dans le métro sans raison apparente, j'allais au cégep pour une journée normale. Pas d'examens, rien. J'ai fini à l'hôpital, j'ai passé des tests, et on me dit que je dois souffrir d'anxiété.

Franchement, ça me surprend. Déjà, ça arrive d'un coup comme ça, et je n'ai pas vraiment de raisons de stresser ces temps-ci plus que d'habitude. Par contre, depuis que c'est arrivé, j'angoisse, oui. J'ai peur que ça arrive encore. Alors je cherche des solutions pour que ça n'arrive plus, ou du moins pour que je puisse contrôler ça assez pour être fonctionnelle. Alors si vous avez des trucs, je suis preneuse.

Comme c'est arrivé dans les transports en commun (et en fait c'est arrivé encore aujourd'hui dans l'autobus), je pense emmener quelque chose avec moi sur quoi me concentrer et éviter d'avoir peur pour rien. N'importe quoi, un puzzle, une DS... En tout cas la musique ça suffit pas: les deux fois que ça m'est arrivé je me concentrais là-dessus.

Fait que c'est ça, si vous avez vaincu ça, j'aimerais bien savoir comment, et comme dit plus haut, j'aimerais entendre vos trucs si ça vous est arrivé, ou encore si vous connaissez quelqu'un qui vit ça aussi.

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J'en ai déjà fait, une en particulier, mais je n'étais pas dans un endroit public, j'étais chez mon copain (maintenant mon ex).

Mon conseil : Concentre-toi sur ta respiration. Essaie de respirer profondément, doucement. Essaie de faire de la méditation.

Tout ce que je peux te dire c'est que je te comprends et que t'apprends à vivre avec alors ça passe.

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Ma mère, qui est infirmière, dit que lorsque les médecins ne savent pas ce que le patient a, sont portés à blâmer le tout sur la psychologie et donc l'anxiété pour s'en laver les mains. Néanmoins, c'est fort probable que ce soit un malaise causé par plusieurs trucs anodins : manque de sommeil, carences ou mauvaises habitudes alimentaires. Serais-tu agoraphobe?

Amène-toi du sudoku ou des mots cachés, la DS est une bonne idée. Le truc c'est que ça peut provoquer un certain inconfort (étourdissements, nausées justement) après une période prolongée.

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asdfgh m'a demandé de poster ce qui suit puisqu'il ne peut plus le faire, étant confiné à la fosse.

Les crises de panique peuvent être purement circonstancielles. Dans le cas qui nous intéresse, ça ne semble pas être le cas. De plus il y a eu au moins une récurrence. Ce pourrait être les premiers symptômes, surtout s'il y a des antécédents familiaux, de problèmes très sérieux qui se développeraient graduellement au niveau de la chimie cérébrale. Ils sont heureusement traitables par médication.

Un dépotoir n'est pas la bonne place pou consulter à ce sujet.

Il ne faut pas prendre cela à la légère.

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Van Wilder, tu en as fait et c'est terminé maintenant? Comment ça s'est passé? Tu as juste appris à te calmer quand ça arrivait et ça a fini par disparaître?

Ma mère, qui est infirmière, dit que lorsque les médecins ne savent pas ce que le patient a, sont portés à blâmer le tout sur la psychologie et donc l'anxiété pour s'en laver les mains. Néanmoins, c'est fort probable que ce soit un malaise causé par plusieurs trucs anodins : manque de sommeil, carences ou mauvaises habitudes alimentaires. Serais-tu agoraphobe?

Tiens, je me doutais de ça justement, et je me disais que ça devait être dans ma tête. Je trouvais ça bizarre qu'après avoir fait les tests de base, les deux médecins que j'ai vus n'ont pas cherché plus loin et ont tout de suite dit que c'était l'anxiété. Je pense pas avoir de problèmes de sommeil, je pense bien m'alimenter (de toutes façons si j'avais des carences ils l'auraient vu avec la prise de sang, non? ils doivent chercher ça quand quelqu'un a des moments de faiblesse?), et agoraphobe, non je ne pense pas. Ça m'étonnerait que ça arrive comme ça sans prévenir, j'ai jamais eu de problèmes dans les transports en commun auparavant non plus.

Les crises de panique peuvent être purement circonstancielles. Dans le cas qui nous intéresse, ça ne semble pas être le cas. De plus il y a eu au moins une récurrence. Ce pourrait être les premiers symptômes, surtout s'il y a des antécédents familiaux, de problèmes très sérieux qui se développeraient graduellement au niveau de la chimie cérébrale. Ils sont heureusement traitables par médication.

Un dépotoir n'est pas la bonne place pou consulter à ce sujet.

Il ne faut pas prendre cela à la légère..

En ce qui concerne les antécédents familiaux, il n'y en a pas à ma connaissance. Et la médication... Franchement, aucun des deux médecins que j'ai vu n'a semblé même penser à m'en prescrire. Je me tourne vers vous pour apprendre des trucs pour vivre avec ça, comme les médecins n'ont pas l'air de prendre mes problèmes très au sérieux.

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(modifié)

C'est p-e moi qui est cave, mais l'anxiété c'est pas supposé être le feeling ou la crainte que quelque chose de mauvais va se produire? J'ai d'la misère à comprendre comment tu peux être angoissé sans aucune source pour déclancher ton angoisse. Puisque tu disais que tu allais simplement au cegep et que tu n'avais pas d'examen ni rien pour te faire stresser. Rien à part ta tête et les autres. Ce qui semble surtout te stresser c'est les médecins et leur diagnostique.

Tu dis que ca se produit dans les transport en communs. C'est le fait d'être entouré d'étrangés qui te dérange ou c'est le fait que tu penses/t'inquiètes trop?

T'es sur que ca pas un lien avec tout les enfants qui rôdent au tour de toi? Peut-être aussi que t'angoisse pas pour toi même mais tu te sens angoissé à la place de quelqu'un d'autre près de toi. Je dis p-e n'importe quoi aussi remarque.

Modifié par Pesmergo
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J'ai tendance à en faire parfois lorsque la pression au travail est trop intense. Je ne me considère pas comme étant une fille stressée dans ma tête, mais ma vie est tellement remplie que j'ai rarement le temps de décompresser et c'est mon corps qui ressent le stress et non ma tête.

Sans aucune raison, je ressens comme une crampe près du coeur (ce n'est pas le coeur pour vrai, plus des muscles mais on dirait vraiment qu'on fait un infarctus) et j'ai des étourdissement, un peu de difficulté à respirer. Par contre, ça ne parait pas. Quelqu'un qui me verrait ne remarquerait pas parce que je ne suis pas "paniquée". Tu dois te dire que tu ne vas pas mourir et prendre des grandes respirations.

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Et la médication... Franchement, aucun des deux médecins que j'ai vu n'a semblé même penser à m'en prescrire. Je me tourne vers vous pour apprendre des trucs pour vivre avec ça, comme les médecins n'ont pas l'air de prendre mes problèmes très au sérieux.

Le fait que tu n'aies pas d'antécédents joue en ta faveur.

Moi, je changerais mes habitudes dans les transports en commun. Je m'asseyerais ailleurs, je ferais autre chose durant le trajet, ou je ne ferais rien durant le transport. Si ça recommence, je prendrais rendez-vous directement avec un psy. Y connaissent ça eux-autres. Ton médecin de médecine générale va attendre beaucoup trop avant de te référer. Y connaissent rien les GP. Des remplisseux de consults.

N'attends pas trop.

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C'est p-e moi qui est cave, mais l'anxiété c'est pas supposé être le feeling ou la crainte que quelque chose de mauvais va se produire? J'ai d'la misère à comprendre comment tu peux être angoissé sans aucune source pour déclancher ton angoisse. Puisque tu disais que tu allais simplement au cegep et que tu n'avais pas d'examen ni rien pour te faire stresser. Rien à part ta tête et les autres. Ce qui semble surtout te stresser c'est les médecins et leur diagnostique.

Tu dis que ca se produit dans les transport en communs. C'est le fait d'être entouré d'étrangés qui te dérange ou c'est le fait que tu penses/t'inquiètes trop?

T'es sur que ca pas un lien avec tout les enfants qui rôdent au tour de toi? Peut-être aussi que t'angoisse pas pour toi même mais tu te sens angoissé à la place de quelqu'un d'autre près de toi. Je dis p-e n'importe quoi aussi remarque.

Ben voilà. Ton premier paragraphe, c'est drette comme ça que je vois les choses. Je comprends pas pourquoi on me dit que je suis angoissée alors que y'a pas de source de stress qui fasse que ça pète tout d'un coup.

C'est arrivé dans les transports en commun, oui. Mais ce que j'ai pas dit, c'est que depuis que c'est arrivé (jeudi dernier donc) j'ai encore mal au crâne, peu d'énergie. Ça pourrait être dû au fait que comme tu dis, c'est le diagnostic qui me stresse plus qu'autre chose. Tantôt dans le bus j'ai fait une mini-crise, en sortant j'ai dû m'asseoir et ça a passé. J'en ai fait d'autres des mini durant la semaine (après/pendant un repas), et ça a pas inquiété les médecins plus que ça. J'aurais pu leur dire que je joue du gazou, ça les aurait autant intéressé.

Pour les enfants, on écarte l'hypothèse. Je suis pas en stage en ce moment, alors je n'en vois pas souvent. J'adore mes études, pour une fois que je suis sûre d'où je m'en vais... Je peux pas croire que l'angoisse vienne des études. Je pense pas angoisser pour d'autre monde non plus.

Milie Vanilli, on a tellement pas les mêmes symptômes! Chuis bien contente de pas avoir de chestpain en plus! J'ai essayé ça tantôt, le "tout va bien, ça va aller, lâche pas la patate", ça a pas vraiment marché. J'imagine que ça prend de l'entraînement...

Le fait que tu n'aies pas d'antécédents joue en ta faveur.

Moi, je changerais mes habitudes dans les transports en commun. Je m'asseyerais ailleurs, je ferais autre chose durant le trajet, ou je ne ferais rien durant le transport. Si ça recommence, je prendrais rendez-vous directement avec un psy. Y connaissent ça eux-autres. Ton médecin de médecine générale va attendre beaucoup trop avant de te référer. Y connaissent rien les GP. Des remplisseux de consults.

N'attends pas trop.

C'est ce que je pense faire. Si je vois que ça s'arrange pas bientôt par mes propres moyens, je vais essayer d'aller voir un psy. Mes parents sont en train de voir si leur assurance couvrirait les frais...

Mais c'est quoi qui t'inquiète là-dedans? Y'a des risques de quoi au juste? (au risque de m'inquiéter plus, haha)

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J'ai eu des crises de panique tout le long de mon secondaire 4. C'était pénible. Ça m'est arrivé sans aucune raison. C'était le deuxième jour d'école, j'étais à l'aise en jasant avec des amis et je me suis sentie mal tout d'un coup. J'étais allée me calmer dans les toilettes, mais dès que je suis revenue parmi ma bande, ça a recommencé. Croyant avoir attrapé un virus, je suis retournée à la maison.

Le lendemain, ça a recommencé, mais je n'ai pas été capable d'entrer à l'école. J'avais une présentation orale et je n'ai tout simplement pas pu. L'après-midi même, je suis aller voir la psychologue de l'école.

À partir de là, plusieurs essais-erreurs, plusieurs tentatives en vaine de 'guérir"... J'en ai encore, rarement, des grosses ou des petites, mais j'apprend à les gérer. Malheureusement, on ne peut pas guérir. À n'importe quel moment de ta vie, ça peut revenir. Ou pas. Mais ça se guérit pas "allez hop, une p'tite pilule et c'est parti". Le cerveau est complexe, et il aime nous le faire savoir.

Si je peux te donner les solutions qui ont marché pour moi (à long terme puisque j'étais dans mes crises de panique se sont aggravées et c'est encore plus difficile de s'en sortir) :

- N'évite pas certaines situations sous prétexte que tu as déjà eu une crise de panique de cette façon; FUIR est la pire des solutions, même si on a l'impression que ça va mieux à court terme; il faut savoir qu'à long terme, c'est une pente descendante qui va à vive allure.

- Respire, prends le temps, apprends à relaxer, à méditer. Porte un bijou, aie un papier dans tes poches, qui pourra te rassurer lorsque tu as tes crises. Puise ta "force" dans ce petit symbole. Si tu l'as oublié? Pense à lui, réalise que tu peux réussir sans.

- Ne cherche pas à vaincre ta crise. C'est bête à dire, mais tu dois attendre que ça passe. Vois ta crise dans un graphique. Au début, c'est un crescendo, une pente très abrupte où ton anxiété monte à une vitesse folle. Ça te prends, "oh non", et voilà, c'est parti. Ensuite, ça stagne. Au plus fort de ta crise, ça stagne. Ton anxiété est forte et reste au sommet pour un bout. Là, tu attends, tu respires, tu relaxes, tu dois modifier ton DISCOURS INTÉRIEUR. Tu es capable, ça va passer, tu va réussir, ça ne sera pas long, etc. Ensuite, en peu de temps, l'anxiété diminue. Tu es à l'état normale, essoufflée, mais vainqueur.

Tes crises viennent de commencer, alors c'est le meilleur moyen de t'habituer à ses trucs pour t'aider, car lorsqu'on est au plus bas, c'est très difficile, et avec risque de rechutes.

Si tu ne te sens toujours pas à l'aise, tu peux aller voir un psychologue, qui tentera de t'aider. Pourtant, après trois psys (dont une totalement folle dingue, donc je dirais plus deux psys) ce sont ces trucs que j'ai eu. Il y a plusieurs techniques pouvant canaliser ton anxiété, donc tu n'es pas sans ressources.

Les crises de paniques sont souvent incomprises, puisqu'on ne les voit pas. À l'école, personne ne me comprenait. On pensait que je "fakait" pour ne pas aller à mes cours et passer mes journées à la bibliothèque... La psychologue de l'école supportait ma cause. Et les autres essayaient de comprendre sans jamais comprendre. Tu le sais, tu le vis, alors ne laisse pas les autres te faire douter, ils ne sont pas dans ta tête.

Il n'y a pas toujours nécessairement de cause à ça. Comme moi, j'étais très à l'aise lorsque ma première crise est arrivée. Je découvris plus tard que la cause était peut-être refoulée (problèmes familiaux à long terme). Je suis une personne très stressée de nature; mais ça me rend forte en un sens que je suis habituée, et j'aime le bon stress.

Personnellement, ça me faisait du bien d'en parler à une psychologue qui m'écoutait sans nécessairement tenter de me comprendre, car en parlant et en parlant, on en vient à tirer nos propres conclusions sur ce qui se passe en dedans de nous, et ainsi savoir mieux comment interagir avec nos crises.

Si tu as d'autres questions, n'hésite pas!

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J'ai eu des crises d'angoisse suivies de cirse d'hyperventilation une bonne partie de mon secondaire 2 et 3. Ça arrivait à des moments qui n'avaient aucun rapport les uns avec les autres. Lorsque ça arrivait, j'étais déjà concentrée à faire quelque chose et je ne pensais pas du tout à des trucs angoissants, c'est comme si mon subconscient pensait à quelque chose pendant que je faisais autre chose. J'avais beau chercher le problème et vouloir le régler, c'était toujours quelque chose d'autre qui me faisait angoisser sans nécessairement que j'y pense. À ce moment-là, je n'allais vraiment pas bien et j'étais plutôt dépressive et j'avais peur que mes parents soient déçus de moi, qu'ils soient inquiets pour moi et c'était ÇA qui me faisait angoisser plus que le reste. Il a donc fallu que je règle ce problème-là en discutant avec mes parents et ça c'est régler. Depuis ce moment, les crises d'angoisse avaient cessées mais depuis quelques mois, ça a recommencé et je ne trouve pas le problème.. C'est vraiment de trouver ce qui cloche le plus long, parce qu'on y pense pas vraiment, enfin, pour mon cas, et ça prend énormément de temps pour faire un lien qui réunis tous les moments où j'ai eu une crise d'angoisse, voir pourquoi j'en aurai fait une à ce moment-là pour finalement trouver un lien tellement stupide qui les réunit tous.

Mes crises se résument à: commencer à respirer de façon très irrégulière tout d'un coup: ça arrive sans crier gare! Après, Je perd le contrôle de ma respiration, je fini pas ne plus sentir mes extrémités (bout du nez, doigts, orteils) se "geler" (la même sensation que lorsqu'on a des "fourmis dans les jambes") puis ça se propage dans les mains, les pieds, les bras et les jambes, pour que je perde finalement conscience.. mais je n'arrive pas souvent au stad de la perte de conscience, c'est vraiment juste quand la crise est incontrôlable et que je ne réussie pas à contrôler mon souffle, on dirait que mon corps décide de ce mettre à off et de faire un remote en tombant dans les pommes. Ah, aussi, je pleur inconsciemment durant tout le long, c'est automatique.

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C'est drôle, de mon côté, j'avais des crises de panique dans le bureau-même de la psychologue.

La première eut lieu le 9 février 2008, la veille de ma fête, dans l'auto à mon père, que je n'avais pas vu depuis un an. C'est, en temps normal, déclenché dans un moment d'inconfort. Lesdites crises ne sont pas revenues depuis un bon moment, mais j'ai encore quelques symptômes typiques de l'anxieux, dont des taches rouges sur la poitrine. Je te dirais que le pire de l'anxiété, c'est la sensation d'avoir la respiration limitée, c'est dans le TOP des trucs désagréables.

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(modifié)

Pin >> En effet, y'a pas pire. Quoique c'est tout un cocktail une fois mélangé avec de la faiblesse... Je sais pas vous autres, mais la première fois que ça m'est arrivé c'était "Bon. Ça y est, je meurs." (en version plus paniquée que ça..)

Bon. Ben je viens de lire tout ce que vous avez écrit, et je pars pour l'école dans une demie-heure. J'ai la chienne que ça arrive encore. J'ai des examens, faut que la machine marche.

Je vais essayer de me distraire dans les transports en commun comme j'avais dit... Et puis si ça arrive encore, j'vais focusser sur respirer et m'encourager par en-dedans...

Câlice que ça fait chier.

Modifié par Exupérance
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J'ai été chanceuse la première fois que j'ai fait une crise d'angoisse: j'étais à la chorale et il y avait un médecin qui chantait avec nous.. et dès qu'il m'a vu mal filé il est venu me voir et m'a aidé à respirer.. j'ai donc pensé que j'allais mourir, mais avec un médecin avec moi, j'étais rassurée! haha

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J'reprend la technique de Van Wilder: ''Concentre-toi sur ta respiration. Essaie de respirer profondément, doucement.'' Oui, exactement.

Sinon prend tu des drogues?

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Non, j'en prends pas. Et je consomme très peu de café et d'alcool. (genre même pas à toutes les semaines)

Sinon je fumais, mais comme la cigarette empirait mes symptômes, j'ai arrêté hier. Bon débarras.

Résumé d'aujourd'hui:

J'ai commencé à avoir mal à la tête avant même de sortir de chez moi. Dans le bus et le métro, ça a commencé à être difficile, mais les techniques ont marché, je dirais. C'est pas aussi efficace que je le souhaiterais, mais ça m'a permis de me rendre du point A au point B. J'en reviens pas à quel point c'est désagréable la faiblesse, les maux de tête.

J'ai passé la journée avec mes maux de tête qui revenaient en vague, comme d'habitude. Un instant ça va, un peu plus tard j'ai mal, en boucle. Sauf qu'en après-midi j'avais un examen. L'infirmière de mon cégep m'a donné des tylenol avant d'y aller, et ça a tellement pas marché. J'ai eu mal à la tête comme jamais, j'ai dû sortir de classe pour me calmer. Et l'examen était même pas dur, rien.

Sur le chemin du retour, ça s'est bien passé puisque j'étais accompagnée. Je discutais, pensais à autre chose.

Coudonc, je vais continuer comme ça. Et essayer des capsules contre la migraine.

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Sur le chemin du retour, ça s'est bien passé puisque j'étais accompagnée. Je discutais, pensais à autre chose.

Au fait, est-ce que tes amis sont au courants de ce problème? Parce que justement ca serait bien qu'une de tes amies t'accompagne à l'école et dans le transport en commun. Peut être pas à tout les jours, mais une fois de temps en temps ca serait bien. Juste pour pas que tu te retrouve seule avec toi même. Sinon bah, c'est sur que le DS ca peut aider.

Est-ce que tu as d'autres passe temps à part les jeux vidéos? Tu pourrais lire un livre. Apprendre une nouvelle langue, un nouveau logiciel ou une nouvelle recette. Moi ca me fait tout l'temps du bien. C'est très satisfesant d'apprendre de nouvelles choses.

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