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Crises de panique


Déchet(s) recommandé(s)

http://sante.canoe.com/condition_info_details.asp?disease_id=236

Marde. C'est tellement ça qui s'est passé.

J'ramène le sujet pour donner des nouvelles à qui ça intéresse. J'ai vu un troisième médecin, on a fait des tests de plus, et encore une fois tout est beau. Au moins j'ai été testée pour un tas d'affaires et chuis pas malade, y'a toujours ça de bon.

Le médecin du cégep a donc écarté l'option physique, et pense que je suis peut-être agoraphobe. Si c'est vraiment ça, ça me fait chier en maudit. Je recommence les démarches pour voir un psy à l'école...

Sinon, j'ai encore des malaises dans l'autobus ou dans le métro, mais ça s'améliore un peu, je crois. C'est une fois sur deux, environ. Je suis incroyablement tannée, mais chuis prête à faire tout ce que je peux pour me battre contre peu-importe-ce-que-j'ai. Asteure, si y'a des agoraphobes dans la salle, je prendrais bien des témoignages. Même si chuis pas sûre d'avoir ça pantoute.

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Les agoraphobes craignent ainsi de se retrouver dans les cinémas, les files d'attente des banques ou des magasins, les autobus ou les métros.

Fuck moi qui avait pensé t'inviter au cin. :(

Ca ressemble à ca en effet, maintenant que j'y pense. Mais sérieusement, tu devrais être "contente". Imagine, ca aurait pu être un cancer du cerveau! Au moins maintenant tu sais que ce n'est pas physique comme problème. Bon j'avoue que c'est chien pareil de découvrir qu'on a peut-être une phobie sociale. Mais faut que tu vois le bon coté des choses: la phobie tu peux l'affronter, la contrôller et même la vaincre dans certains cas. Je me répète mais ca aurait pu être bien pire.

Bon courage quand même. Moi aussi je serais intéressé à en savoir plus sur l'agoraphobie et si ya d'autres membres qui sont atteints de ca.

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Ma mère souffre d'agoraphobie et fait des crises de panique depuis son adolescence. Elle s'est fait suivre et ça l'a aidé, mais elle est encore une personne très stressée.

Qu'est-ce qu'on en a à foutre de ta mère ? vous me direz. Eh bien jusqu'à il y a quelques semaines, je trouvais ça dont ben abstrait pis niaiseux des "crises de panique". Pour moi c'était juste une preuve de plus que ma mère était folle euh je veux dire angoissée à fond.

Mais voilà ... il y a quelques semaines ça brassé dans la famille. Mes deux sœurs ont divorcé en même temps, mon oncle est mort, je ne pouvais pas aller aux funérailles parce que j'étais dans un épique rush de mi-session... Un matin je me lève, donc. Je me prépare, comme d'habitude. Je fais imprimer un travail que je dois remettre le jour même. Je le mets dans mon sac. Je me mets en marche. À cinq minutes de l'arrêt d'autobus, j'ai un flash : je me rappelle de mon rêve de la nuit passée.

Le rêve en question : J'étais en classe et j'avais les mains très sèches. Ça piquait. Alors je me gratte frénétiquement. Après un moment, une fille me fait remarquer que mes mains sont bizarres. Je les regarde et là je vois qu'elles sont super enflées, genre qu'elles ont doublé de volume. Et la peau s'écaille, elle croûte. Ça pique toujours autant. Et là la peau se fend et ce qui n'est pas tout à fait sec fond. À travers la peau qui se défait, il y a comme des gros bubons noirs et liquides qui se forment. Et là je veux que ça parte. Je gratte, je gratte. Ça fait mal, ça pique. Je hurle. Je souffre. Je suis persuadée que ça ne s'arrêtera jamais et, effectivement, ça ne s'arrête jamais.

Et là il se passe un truc étrange. J'ai des sueurs froides qui me coulent dans le dos, ma colonne vertébrale me donne l'impression de trembler et de vouloir quitter mon corps, j'ai l'impression qu'il y a une présence derrière moi, un poids sur mes épaules. Mes jambes arrêtent de fonctionner et je fige. Ma respiration se fait difficile. Et là je me dis : "Fuck, j'ai un travail à remttre. Je vais toujours ben me rendre à l'autobus pis aller le remettre." Alors je me remets en marche mais rien ne change. Pire; il y a maintenant des larmes qui me coulent des yeux. Je les essuie. J'ai les mains tremblantes. Et elles me piquent. J'ai besoin de les avoir sous les yeux tout le temps, je les regarde sous toutes les coutures. Et en même temps je ne veux pas les voir. Je les frotte ensemble pour m'assurer qu'elles sont normales. L'autobus arrive. Je monte dedans les larmes aux yeux. Coup de chance incroyable, une fille de mon cours vient me voir et me demande ce que j'ai. Je lui répond "j'ai peur", puis je lui demande si je peux lui laisser mon travail. Je suis rentrée chez moi en marchant et en pleurant. Ce n'est qu'une fois à la maison, dans les bras de ma mère qui a pris le temps de respirer avec moi que j'ai pu me calmer, et encore ... Je suis restée angoissée tout le reste de la journée.

Je n'ai pas eu d'autres crises de panique depuis. Mais au secondaire, je crois que j'ai pu en faire des petites. Et ça j'en fais encore: à un moment, je réalise que je ne parviens pas à aller au bout de mes respirations. J'ai l'impression qu'elles ne sont pas complètes. Alors je panique et j'essaie pendant plusieurs minutes de rétablir mon souffle.

Sinon, comme ça a déjà été dit, travailler la respiration, ça aide vraiment. C'est encore mieux, parait-il, si quelqu'un respire en même temps que vous. Et on respire par le nez : pas par la bouche !

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http://sante.canoe.com/condition_info_details.asp?disease_id=236

Marde. C'est tellement ça qui s'est passé.

J'ramène le sujet pour donner des nouvelles à qui ça intéresse. J'ai vu un troisième médecin, on a fait des tests de plus, et encore une fois tout est beau. Au moins j'ai été testée pour un tas d'affaires et chuis pas malade, y'a toujours ça de bon.

Le médecin du cégep a donc écarté l'option physique, et pense que je suis peut-être agoraphobe. Si c'est vraiment ça, ça me fait chier en maudit. Je recommence les démarches pour voir un psy à l'école...

Sinon, j'ai encore des malaises dans l'autobus ou dans le métro, mais ça s'améliore un peu, je crois. C'est une fois sur deux, environ. Je suis incroyablement tannée, mais chuis prête à faire tout ce que je peux pour me battre contre peu-importe-ce-que-j'ai. Asteure, si y'a des agoraphobes dans la salle, je prendrais bien des témoignages. Même si chuis pas sûre d'avoir ça pantoute.

J'en arrivais à ça lorsque je t'ai posé cette question-là:

Est-ce que ces épisodes d'angoisse et de panique t'arrivent aussi lorsque tu es chez-toi ?

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Ben, disons que j'ai des mini-malaises parfois. Par contre, je porte peut-être trop attention à comment je me sens depuis que ça a commencé et j'imagine des affaires. Donc oui, je dirais que c'est toujours quand je sors, sans pour autant arriver chaque fois non plus.

Sinon, j'ai un ami agoraphobe qui m'a dit que quand une crise arrive, il sait toujours pourquoi. Il se dit qu'un tel pourrait l'attaquer ou whatever. Moi je pense à rien de spécial. Y'a des fois le métro est bourré de monde et ça va mal, d'autres fois ça se passe bien. Même chose quand y'a moins de monde. J'la comprends vraiment pas.

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Ben, disons que j'ai des mini-malaises parfois. Par contre, je porte peut-être trop attention à comment je me sens depuis que ça a commencé et j'imagine des affaires. Donc oui, je dirais que c'est toujours quand je sors, sans pour autant arriver chaque fois non plus.

Sinon, j'ai un ami agoraphobe qui m'a dit que quand une crise arrive, il sait toujours pourquoi. Il se dit qu'un tel pourrait l'attaquer ou whatever. Moi je pense à rien de spécial. Y'a des fois le métro est bourré de monde et ça va mal, d'autres fois ça se passe bien. Même chose quand y'a moins de monde. J'la comprends vraiment pas.

Personne ne réagit exactement de la même façon à une crise de panique. Bien souvent, les agoraphobes vont associer leur malaise à des endroits précis parce qu'ils peuvent avoir fait des crises fréquentes en ces endroits.

Comme si dans ton cas, les crises surviennent plus souvent dans les transports en commun, ton cerveau va faire une généralisation du stimulus à tout ce qui peut ressembler au transport en commun et il est possible qu'une crise survienne à plus ou moins grande intensité. Mais la chose à retenir dans tout ça, c'est qu'une crise de panique finit toujours par plafonner, et qu'il n'y a aucun danger d'en mourir même si c'est l'impression que la personne ressent.

Si tout penche pour dire que tu es agoraphobe, je te suggère grandement de faire appel à un groupe d'entraide qui pourra te guider dans ça.

AGORAPHOBE ANONYME

Tél : 514-368-0338

FONDATION AGORAPHOBE DU CANADA

Tél : 450-688-4726

AJOUT:

Je trouvais important de te dire que plus vite tu prends ton problème en charge, plus facilement tu pourras t'en sortir. Quand on laisse les choses s'enliser, c'est toujours plus long et plus difficile de voir le bout du tunnel.

Bonne chance.

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Ben, disons que j'ai des mini-malaises parfois. Par contre, je porte peut-être trop attention à comment je me sens depuis que ça a commencé et j'imagine des affaires. Donc oui, je dirais que c'est toujours quand je sors, sans pour autant arriver chaque fois non plus.

Sinon, j'ai un ami agoraphobe qui m'a dit que quand une crise arrive, il sait toujours pourquoi. Il se dit qu'un tel pourrait l'attaquer ou whatever. Moi je pense à rien de spécial. Y'a des fois le métro est bourré de monde et ça va mal, d'autres fois ça se passe bien. Même chose quand y'a moins de monde. J'la comprends vraiment pas.

Ca s'appelle plutôt de la paranoia, non? Enfin, un mélange des deux.

Sinon ouais je comprend que ca peut être un cercle vicieux. Au fond tu te réponds un peu toi même à ta question je pense. Tu te demandes constamment comment tu te sens et même quand tu va bien et que tu n'as aucune raison de craindre, tu as quand même peur que les crises d'angoisses recommencent. Tu as peur de ne plus avoir aucun contrôle la dessus. D'un autre coté, ya probablement un coté de toi qui veux affronter et ressentir le malaise pour vaincre la phobie et en finir une fois pour toute. Alors ca comme pas de fin comme angoisse.

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What the fuck, agoraphobe anonyme. J'étais loin de penser que ça existerait. Ça vaut le coup d'essayer par contre... Pour l'instant je suis sur la liste d'attente pour voir un psy au cégep, mais il reste pas beaucoup de temps et je suis pas certaine de passer. J'vais y aller avec un nametag Cornelius. :D

Par contre (je sais plus si je l'ai dit ici), la plupart des agoraphobes vont éviter les situations qui leur font avoir des malaises. Dans mon cas, ce sont les transports en commun. Mais moi, je veux tellement pas que ça m'empêche de continuer à vivre normalement ou que ça me cause des problèmes avec mes études, que je me force à y aller quand même. Et en fait, je pense pouvoir voir que ça s'améliore un petit peu. Déjà, rien que de mettre un nom sur mon problème, ça part mieux que "oh my god qu'est-ce qui se passe." Où je veux en venir, c'est que j'ai lu un peu partout que beaucoup d'agoraphobes ont un traitement de désensibilisation. On les envoie faire face à leur peur, et à force de le faire, ça s'améliore, ils réalisent qu'il ne se passe rien, finalement. Donc chuis assez fière d'avoir fait ça par moi-même, parce que pour être honnête, j'y ai pensé à rester chez moi plutôt que de sortir, plusieurs fois.

Sinon Pes, c'est dans les transports en commun que ça arrive à mon ami aussi. Il est pas mal parano sur les bords, comme tu dis... Mais c'est vraiment dans ce genre de situation, dans le métro mettons, qu'il va regarder le monde autour et se mettre à se sentir mal.

Comme tu dis, c'est la peur d'avoir peur. C'est ça le plus con. J'ai peur que ça recommence, que ça m'empêche de finir ma session, des choses comme ça.

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Il y a de gros avantages à être diagnostiqué agoraphobe aujourd'hui. Il y a 30 ou 40 ans, avant qu'on reconnaisse cette phobie, beaucoup de personnes se sont vues confinées à ne plus mettre les pieds hors de chez-eux. Aujourd'hui il existe des traitements qui permettent d'enrayer cette phobie totalement.

C'est aussi une très bonne chose de ne pas te laisser anéantir par tes craintes, Haluun. Mais ça reste quand même une bonne idée d'aller chercher de l'aide ne serait-ce que pour apprendre à gérer les situations angoissantes.

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J'ai appelé les ago anonymes. Ils se réunissent juste à Verdun. Intelligent quand c'est pour du monde qui a de la misère à se déplacer.

J'me suis inscrite à un forum pour le moment, on va voir si je trouve d'autres ressources plus accessibles. Au moins, je vais pouvoir échanger avec d'autres, même si c'est juste par internet.

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Justement, je viens de faire une crise de panique à la job... encore.

En fait, j'en ai fait deux en tout à ma job. Toujours pour des conneries.

Je travaille dans un McDo de nuit et j'en vois de toutes les couleurs. Mais tantôt, un gars bin saoul pi bin con à décider de se sortir la poche dans la file. Certains auraient trouvés ça juste bin drôle ou bin cave. Moi, j'ai fait une crise de panique. J'ai dûe allée en arrière pour vite me calmer. Je pleurais et je tremblais comme une feuille, j'avais aussi envie de vomir. J'avais l'impression que mon coeur allait sortir de ma poitrine et mes mains picotaient.

Stress post-traumatique... oui.

L'autre fois, c'était tellement une connerie.

Il y avait pas mal de tension dans l'air parce que plusieurs caissières se bitchaient pour je ne sais plus qu'elle raison. Je me tenais loin de tout ça, tout allais bien. Jusqu'à ce qu'une des filles me ferme une caisse sur les doigts. Ça n'a même pas fait mal. J'ai fait un saut, par exemple. Je finis d'assemblée la commande, mais je ne me sens plus bien. Je vais en arrière pour essayer de me ressaisir et les larmes commencent à couler. Suivie d'une crise d'hyperventilation...

J'ai honte de moi. Je déteste paraître faible.

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  • 7 mois plus tard...

Je remonte le sujet car il m'est arrivé une histoire semblable en Mars et j'aurais quelques questions .

Mon histoire; En mars, pendant la semaine de relâche des cegep, j'ai été a la cabane a sucre avec des amies.. j'avais pas beaucoup dormit la nuit passée alors j'étais vraiment fatiguée. Rendu là-bas, j'ai commencer une crise de panique , mais je n'en avais jamais fait donc, je ne savais pas ce qui se passait. C'était comme si j'allais perdre connaissance, comme si j'étais dans un rêve. Assez fucké. Je paniquais vraiment. C'était comme un vrai badtrip, sauf que je ne prend plus de drogues depuis au moins 8 ans.

Arrivé chez moi, ca se passe. Le lendemain pour retourner à l'école, ca me fait la même chose dans mon auto. Je retourne chez moi me reposer. Le premier médecin que je vois, me dit que c'est surement du a un virus. J'avais de la misère a décrire mon état de panique je disais " C'est comme si j'était étourdie." Donc, le médecin me dit de me reposer.

Les jours d'après fut néanmoins très pénibles; j'étais dans cet état 24/24h sans arrêt. J'ai donc du attendre les résultats de mes tests sanguins. Évidemment je ne suis pas retournée au cegep ni au travail pendant ce temps.

Je recois mes résultats de prise de sang, tout est OK. En attendant de voir mon médecin de famille, je fais rien du tout car je ne suis plus capable de sortir de mon lit ... c'était vraiment atroce. Ma mère a du venir avec moi voir le medecin car je n'étais plus capable de sortir, de conduire ect.. Elle m'a diagnostiquée agoraphobe avec crises de panique. Mais elle m'a dit que j'étais dans une phase assez sévère et qu'étant donné que sa fesait 1 mois que j'était dans cet état, il fallait faire appel a la médication. J'ai donc commencer un traitement antidépresseurs+anxiolytiques. Donc 3 mois a être prisonnière dans ma chambre et a feeler mal. Je croyais que les médicaments ne ferait jamais effets, a la fin j'ai casiment perdu espoir de m'en sortir et... même penser au suicide..

Un beau jour, ca allait de mieux en mieux et petit a petit, je pouvais ressortir, au début sur mon balcon, apres au bout de ma rue ect.. Maintenant j'ai retrouvé entièrement mon autonomie et je ne fait presque plus d'anxiété. Je recomence d'ailleurs cette semaine a travailler et ca me stress un peu..

---> J'aimerais beaucoup savoir si des gens ont vécu une histoire semblable a la mienne et s'ils s'En sont sortis sans médicaments?

Le psychiatre a dit que je fesais de la déréalisation lorsque je disais que je me sentais comme 'dans un reve'.

il dit que c'est entièrement relié a l'anxiété.

Connaissez vous ce terme?

merci de m'avoir lue.

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Déréalisation, ça me dit rien.

Personnellement j'avais pas l'impression d'être dans un rêve, quoique ça sort tellement de nulle part ce malaise-là que c'est comprenable que tu aies été confuse.

Sinon pour répondre à ta question je peux dire que je m'en sors sans médicaments. Après avoir vu plusieurs médecin, un d'entre eux m'a prescrit des antidépresseurs en disant que ça aiderait mes maux de tête (qui durent très longtemps lors des moments d'anxiété), mais je n'en ai jamais pris.

Par contre, j'ai un peu de misère à m'en sortir. Il y a des moments où tout va bien, puis après quelques mois, ça revient. C'est un peu ce qui se passe en ce moment, j'imagine que c'est à cause de ma fin de session hyper stressante.

J'ai juste pas envie de dépendre d'un médicament en sachant qu'avec l'habituation, on peut régler ça. J'ai vu une psy qui m'a dit que je faisais exactement ce qu'il fallait faire, alors je suis pas mal en confiance avec ce que je fais. Y'a des bouts difficiles, mais je vais être fière de moi en maudit le jour où j'aurai kické son cul à mon anxiété.

Je te souhaite bonne chance en tout cas, je sais que c'est pas facile...

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Mini-fée:

Déréalisation = Dépersonnalisation est un terme plus commun.

Fais des recherches, tu pourras peut-être mieux comprendre ce à quoi ton doc faisait référence.

Les traitements chimiques s'ils ne sont pas accompagnés d'un suivi thérapeutique ne te serviront pas à long terme.

Tu la vois souvent ton/ta psychiatre? Vous faites quel genre de thérapie?

Modifié par Pandore
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Ils en font.

Si on lui a prescrit un traitement chimique, c'est soit son médecin généraliste soit son psychiatre... :-)

Le psychiatre doit bien assurer un suivi thérapeutique en parallèle.

Modifié par Pandore
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Pharmacothérapie et psychothérapie sont deux choses différentes. Suivre son patient pour s'assurer de l'efficacité des inhibiteurs du recaptage sélectif de sérotonine et/ou noradrénaline et autres outils de la pharmacopée n'est pas non plus de la psychothérapie. Certains en font mais, la plupart du temps, le patient est référé à un psychologue ou un travailleur psychosocial.

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