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Résistance à la douleur.


Déchet(s) recommandé(s)

Aujourd'hui, je me suis rendu à la clinique se matin à 8:30, et évidemment, la clinique ouvrait à 10:00, mais il y avait déjà 11 personnes en ligne. Ainsi, vers 10:45, j'entre dans le cubicule du médecin. L'infirmière me pose la question qu'elle a probablement plus répéter que son propre nom dans sa vie : Bonjour, qu'elle est la raison de votre visite chez le médecin.

Je me sentais un peu mal à l'aise de lui répondre : ''J'ai une énorme bosse dans le coup depuis 3 mois, et depuis 2 jours ca fait très mal et c'est très sensible.'' Oui, j'ai attendu trois mois avant de me rendre chez le médecin, ''stu veux on n'est demême nous autres les mâles''. Ainsi, elle ne fait que mettre son doigt près de mon souffre douleur, et je me met à crier des petits ''ouch'' et ''ayoye''. (Oui, c'était très sensible.) L'infirmière me fait des tests inutiles comme prendre ma température et regarder mes oreilles ainsi que ma bouche. ( Elle croyait peut-être que j'avais une tumeur ?) Elle ne me dit même pas ce que c'est, elle préfère m'indiquer agréablement que je devrais payer des frais en cas de chirurgie. Ainsi, je rétorque : ''Ah bon''. Ce que j'estime comme un '' J'men caliss. ''

Ainsi, la médecin très blonde et cute entre dans mon cubicule et me répète la même question que l'infirmière. Je répète la même histoire, elle fait exactement les mêmes tests que l'infirmière, pour enfin me dire que j'ai un abcès dans le coup. ''Un quoi?'' Un abcès ! ( Je vous lance le défi de chercher abcess sur youtube, c'est pire que la morgue. ) Bon, la médecin n'est pas sûre s'il est temps de faire la chirurgie, ou s'il serait mieux d'attendre qu'il soit plus gros. L'autre médecin ( homme barbu ) entre dans le cubicule et approuve l'idée de le faire aujourd'hui, ou ''drès lâ'' comme dirait certains membres.

Évidemment, moi je me lance à l'avant pour aller à la guerre contre cette horrible bosse de la grosseur d'un oeuf, donc je me dirige vers le lit ou l'infimière me fait signe de me coucher. Évidemment, je dois enlever mon chandail, et complexé comme je le suis, je pense à mes quelques boutons dans le dos! J'ai une bosse horrible dans le coup, mais moi l'imbécile je pense à mes boutons dans le dos... c'est pas comme si l'infirmière en avant pas vue d'autres.

Donc, je m'installe sur le ventre sur le lit avec la petite feuille de papier cheap qui fait trop de bruit. La médecin m'indique un paquet de chose, mais tout ce que je retiens c'est : '' Ca va faire mal, mais moins qu'un accouchement. ''

Elle met une petite gelé sur mon oeuf qui est supposé faire en sorte que celui-ci soit moins sensible. Si on me le demande, ca sert à rien. Alors, la chirurgie commence. Elle pique mon oeuf avec je ne sais pas quoi, ca fait vraiment très très mal, j'ai les jambes qui tremblent, j'essaye de mordre le cousin du pseudo-lit. Elle m'indique qu'elle est à un centimètre, et qu'il n'y a toujours pas de pues. Je m'en caliss terriblement, parce que je suis à la vielle de crier comme une fille et je me retiens. Après un petit 2 minutes de niaisage, toujours rien. Elle retire le truc que j'ai dans le coup, et demande conseil à l'autre médecin. L'homme de la situation. Il lui indique d'aller plus loin! ''TABARNAK DE CONNE' FAUT TU RECOMMCES POUR VRAI CA FAIT MAL EN CALISS CA ASTI'' je me dis dans ma tête. Ainsi, elle recommence, pendant que l'infirmière essaie d'empêcher le sang de couler dans mon coup.

La médecin recommence, elle enfonce quelque chose dans mon coup, et ouvre la paroi avec des genres de ciseaux. C'est ce que j'ai pu comprendre. L'horreur, la douleur est insuportable, j'ai envie de faire un meutre. ''Enfin'' dit-elle, le pue gicle de mon coup. C'est ici que le fun commence. Elle se met à forcer comme une criss de folle sur les paroies de la bosse pour envoyer le pue vers le milieu. Wow, j'ai quasiment tombé sans connaissance tellement c'était le pire 2 minutes de ma vie. J'ai jamais ressenti une douleur aussi forte et insuportable.

Par après, elle referme le tout, ce qui fait encore très mal, mais beaucoup moins que de se faire sortir du pue du coup. J'ai donc une patch énorme dans le coup, et je dois retourner chez le médecin à chaque 2 jours pour faire vérifier le tout. Fuck My Life.

Et vous? La douleur ? Votre pire expérience?

PS: J'ai tout le respect du monde pour les médecins. Oui, j'avais le goût de la tuer, mais bon elle ne fait que son travail.

C'est crissement hard ton histoire.

J'avais eu un orgelet en dessous de l'oeil et quand j'ai été chez le doc pour le faire enlever, c'était vraiment intense:

Elle commence a prendre ma paupière du dessous avec une genre de pince pis me la revire de bord. Ensuite elle me gele ca a 4-5 place sur la paupière. Ca fait mal ça pas de bon sens se faire piquer dans ce coin la. Ensuite elle prend son petit scalpel et me coupe la peau ou l'orgelet est (a l'intérieur de la paupière reviré). La le pus décide de sortir et ensuite ca commence a saigner pour ensuite éponger et mettre une petite crème et voila c'est fini.

Je pense que le pire la dedans c'est que je voyais tout tse je peu pas vraiment voir autre chose que l'aiguille qui s'approche de l'oeil et ensuite de scalpel pis voir rouge a cause du sang dans l'oeil.

Dans ces situation tu peux pas ben ben faire grand chose: faut pas que tu bouge. Tu peux pas non plus dire bon ca fait trop mal je sacre mon camp...

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(modifié)

Je dirais quand j'étais petit, (environ 9 ans) j'ai reçu un coup de bâton de baseball directement dans le visage...4 dents brisées (mes nouvelles dents "d'adultes" en plus!) la lèvre inférieure fendue et la lèvre supérieure presque encore plus fendue... on aurait dit qu'elle allait tomber. Étrangement, je n'ai même pas pleurer (J'imagine que j'étais sous le choc). J'ai commencé à pleurer quand j'ai vu mon reflet dans un miroir.

Étant ami avec le dentiste qui habitais à côté il a ouvert sa cliniques, il m'a fait des points pour mes lèvres à froid et il m'a réparé les dents. Merci Monsieur le dentiste :-)!

je dirais que ça la été la pire douleur de ma vie

Modifié par Molotor
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Le Chef: c'était un orgelet intense dis-donc.

Toutes vos histoires sont dégueulasses à souhait, j'ai du grincer des dent à plusieurs reprises, mais ça c'était plus à cause du nombre de fautes d'orthographe.

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Quand j'avais peut-être 8 ans j'ai attrapé un virus qui s'est logé dans mon genoux et a paralysé ma jambe. Lorsque le médecin a voulu que je me lève et mette mon poids dessus, la douleur était si intense qu'on aurait que mes os implosaient. Le brave médecin a alors convenu qu'il serait préférable que je reste en chaise roulante pour ma convalescence.

Sinon, il y a eut de plus longues et atroces souffrances. Je n'ai pas des règles particulièrement douloureuses, mais cette fois-là j'étais pliée en deux sur le sol de mon salon et c'était insupportable. La douleur augmentait à chaque heure, et se conclut entre un tête à tête avec la toilette où j'ai, entre autres, perdu connaissance, vomi (tient donc!) plusieurs fois, et balbutié des paroles incompréhensibles. J'aurais aussi crié à mon père de me tirer les bras par en arrière pour ne pas tomber tête première dans la bol, parce que je ne pouvais plus supporter mon propre poids... Quand j'y repense, j'étais peut-être possédée.

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Mes douleurs les plus intenses sont pas mal banales à côté des vôtres. Refermer des portes de char sur mes doigts, avoir des crampes de ventre assez douloureuses pour crier, gémir, avoir des envies sadiques mais pas aussi pires que celles de la schizophrène. Oh ouais et une fois quand j'étais petite, je jouais avec mon frère sur la plage, avec de longs batons de bois en guise d'épées. Un moment donné, il a lancé le baton et je l'ai reçu dans l'oeil, je ne me souviens plus de grand chose mais je me souviens que ça saignais. Et quand j'y pense, oui il y a une fois ou j'ai eu affreusement mal. J'avais 9 ans, je courais dans la rue, je me suis enfargée les pieds dans je ne sais trop quoi, j'ai fais un vol plané pour retomber sur l'asphalte. Inutile de vous dire à quel point j'étais érafflée, ça chauffait comme si j'étais en feu.

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L'infirmière me fait des tests inutiles comme prendre ma température et regarder mes oreilles ainsi que ma bouche. ( Elle croyait peut-être que j'avais une tumeur ?)

En tant qu'étudiante en sciences infirmières, je peux te dire que ces tests étaient loin d'être inutiles. C'était pour enrayer la possibilité d'une infection tout simplement. ;)

Pour ce qui est de ta douleur, c'est assez hardcore en effet!! Dans mon cas, c'est simplement de m'être rentré un clou dans le pied quand j'étais plus jeune.

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Les douleurs les moins agréables que j'ai vécu :

- Avoir des infiltrations de cortisones (aiguille) à l'INTÉRIEUR de la main (semblerait que la pire place où recevoir une aiguille serait dans le dos, ensuite les mains... selon ma rhumatologue de l'époque)

- Avoir le genoux qui bloque lorsque plié : en gros, il reste ''coincé'' à position plié et je ne peux juste plus le déplié.... il faut que je le masse très lontemps pour qui ''débloque''. Et pendant tout le temps qui est coincé, ca fait attrocement mal. Mais bon, ca fait vraiment longtemps que ca m'ait pas arrivé. Ca me faisais ça aussi avec les articulations des doigts.

Thx arthrite juvénile.

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J'ai vécue que deux moments dans ce genre là dans ma vie, non trois pardon.

La première fois à 7 ans, j'ai glissée pied nue sur un patio écaillée ce qui a amener au résultat fabuleux de 245 écharpes dans mes pieds. Deux heures avec une camisole de force bleu attaché au mur pour me retenir puisque je ne sais pour quelle raison on ne pas endormie, ni gelée. Quelle martyr incroyable!

Vers l'âge de 11 ans, j'ai reçue d'une de mes amie un mauvais plaquage au hockey dehors l'hiver, ma tête a percuté le bande à pleine vitesse et elle a fendu pour 17 points de suture et beaucoup de litre de sang perdu. Étonnamment je n'ai pas perdue connaissance, mais ma mère oui par contre haha.

Puis la plus terrible probablement parce que je m'en rappelle le plus, à l'âge de 18 ans j'ai eu une infection urinaire et aucun médecin n'a pu de certifier la raison exacte, mais devoir pendant 3 mois uriner dans un petit pot et le rapporté à l'hôpital une fois par jour ce n'est pas rose. Je vous dit franchement les filles uriner du sang il n'y rien de pire que ça quand sa arrive. (Quoi que les gars aussi peuvent en avoir...)

Modifié par Midory
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PS: J'ai tout le respect du monde pour les médecins. Oui, j'avais le goût de la tuer, mais bon elle ne fait que son travail.

C'est justement là que réside le problème. Les gens ont trop de respect. Les «urgentologues» ou omnipraticiens appelés «DjiPi» (General Practionners) par les spécialistes, sont d'anciens étudiants en médecine trop poches pour avoir été admis en spécialité et qui ont dû se résoudre à la médecine générale. Je le sais, à l'université, je me tenais dans le groupe d'étudiant(e)s en médecine de mon beau-frère qui est maintenant spécialiste : ceux du groupe qui n'ont pas fait le cut vers la spécialité ne valaient pas grand-chose, croyez-moi.

Dans ton cas, tu as souffert pour rien. Il y a un nerf à geler, je crois me souvenir que c'est sur la poitrine, qui gèle tout le cou et la tête. Mon beau-frère le fait régulièrement à son bureau pour des chirurgies mineures maxilo-faciales.

La conasse n'a pas voulu «gaspiller» une fiole d'anesthésiant.

J'ai vécu quelque chose qui ressemblait à ça en 2001. Je travaillais avec une scie réciproque qui a «kické» pour atterrir sur mon pouce gauche. Une des dents de la scie a traversé l'ongle pour aller pénétrer la phalangette. Après radiographie, la Djipi de l'urgence m'a annoncé la nouvelle de la fracture et m'a annoncé aussi qu'elle devait m'extraire l'ongle (arracher l'ongle) du pouce fracturé parce qu'il serait trop douloureux et tomberait de toute façon.

Elle me fait coucher sur la table de trauma, me prend le bras gauche sous son bras droit en me tournant le dos, et commence à tirer sur l'ongle avec des petites pinces.

Je me lève assis sur la table en beuglant et lui demande de me geler la main. Elle me dit que c'est impossible. Je lui montre le creux de la jonction du pouce au poignet en lui disant que si elle pique là, toute la main sera gelée. Elle me répond:

Elle - «Vous savez ça... vous!»

Moi - «Mon beau frère est chirurgien»

Elle me pique, mais mal, et ça ne gèle pas bien.

Elle reprend l'extraction même si je lui dis que je ne suis pas gelé. Je beugle et l'invective tellement la crisse de folle, qu'un infirmier de 220 lbs fait irruption dans la salle de trauma et me demande ce qui se passe.

Moi: «IL SE PASSE QUE JE RAMASSE MES AFFAIRES, PIS JE M'EN VAIS CHEZ-NOUS.»

La Djipi: «Vous renoncez aux soins?»

Moi: «TU VEUX RIRE, CRISSE DE FOLLE, JE T'AI DIT QUE J'ÉTAIS PAS GELÉ PIS TU M'ARRACHES UN ONGLE SUR UN POUCE FRACTURÉ À FRETTE. ÇA SE PEUT-TU FAIRE SOUFFRIR LE MONDE DE MÊME»

La Djipi: «Si vous pensez que je vais gaspiller une deuxième dose d'anesthésiant pour une niaiserie comme ça»

Elle voulait que je lui signe une décharge. J'ai refusé, j'ai ramassé mes affaires et je suis parti. Arrivé chez-moi, je me suis fait une méga-catin. Le lendemain je suis rentré au bureau, ça na plus fait mal et mon ongle n'est seulement jamais tombé: il y avait un trou dans l'ongle, fait par la dent de la scie et le sang sortait par là.

C'était O.K.

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Deux choses:

Quand j'étais jeune j'avais eu une verrue plantaire sur le talon. Pour le moment c'est banal, mais ça s'en vient. Je vais chez le médecin pour la faire geler, ce qu'il fait, mais ça ne fonctionne pas. Alors je suis obligée d'y retourner pour qu'il l'extraie. Ouh là là, il a dû creuser 2cm de profond et 2cm de diamètre pour m'enlever ça. J'avais un trou dans le talon et tout ça à froid.

Les infections urinaires. Je vous le dis, pisser des lames de rasoir c'est vraiment une des choses les plus horribles à vivre dans une vie.

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C'était quand j'avais 12 ans en faisant du trois-skis. Pendant que j'étais dans les airs pendant un saut, mon pied droit s'est glissé sous l'un des skis et je suis retombé dessus. Ç'a pas fait mal sur le coup mais quand j'ai voulu me relever : OUTCH!

C'est finalement ma soeur (honte!) qui était avec moi et des amis, qui m'a traîné sur mon trois-skis (rebaptisé civière pour l'occasion) jusque chez moi. C'était pas si loin que ça, mais quand même... je ne pouvais pas marcher sur mon pied droit!

C'était un vendredi soir, il était rendu 22h00 et je jouais au hockey à Rouyn-Noranda le lendemain (environ 1 heure de route de chez moi). On appelle mon entraîneur pour lui dire que je ne pourrai pas être là, mais vu que j'étais dans le Pee-wee BB et qu'il fallait absolument être deux gardiens, j'étais obligé de me rendre à Rouyn et agir comme adjoint sinon on allait perdre par défaut (c'est ce qu'il disait). Mon entraîneur disait, vendredi soir, qu'il était trop tard pour rappeler un gardien remplaçant.

Mes parents et moi sommes un peu fâchés de la situation mais ils comprennent que je ne veux pas faire chier mon équipe en y allant pas. En bon parent, ma mère me confirme qu'on y ira pareil... Je mets de la glace sur ma cheville et je pars me coucher... en espérant que ce ne soit qu'une foulure et que tout sera OK le lendemain matin.

Ma mère vient me réveiller... je me lève! Outch encore! Je me rends sur un pied jusqu'en haut, pour déjeuner. Douleur intense! On rappelle mon entraîneur et il me répète qu'il est trop tard. On part pour Rouyn.

Dans la chambre de hockey, je mets mon équipement à moitié, des patins semi-attachés, juste pour "dire" qu'on a deux gardiens en uniforme et que notre équipe est "légale". Je ne fais même pas le warm-up, je reste au banc.

Ça me prend 5 minutes me rendre du vestiaire au banc de l'équipe, alors que ça en prend 30 secondes habituellement. C'était vraiment terrible comme sensation de marcher sur mon pied... cassé!

Fin du match, je retourne à Val-d'Or et on va voir à l'hôpital. Les premières radiographies confirment le pire. Je pouvais bien avoir mal! Fracture du péroné. Le médecin m'a demandé comment j'ai fait pour résister à la douleur toute la journée avant de venir à l'hôpital. Il me met un plâtre home made et me dit que je dois aller à Amos pour me faire poser un vrai plâtre le lendemain. Un mois dans le plâtre et un mois de physio. C'était weird de patiner après 2 mois.

Avec le temps, j'aurais fait les choses autrement et je n'aurais jamais été à Rouyn. Direction hôpital immédiatement! On est jeune et on veut plaire à tous, le mot "équipe" était très fort pour moi et je tenais à y aller et ne pas faire chier personne... avoir su...!

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C'est justement là que réside le problème. Les gens ont trop de respect. Les «urgentologues» ou omnipraticiens appelés «DjiPi» (General Practionners) par les spécialistes, sont d'anciens étudiants en médecine trop poches pour avoir été admis en spécialité et qui ont dû se résoudre à la médecine générale. Je le sais, à l'université, je me tenais dans le groupe d'étudiant(e)s en médecine de mon beau-frère qui est maintenant spécialiste : ceux du groupe qui n'ont pas fait le cut vers la spécialité ne valaient pas grand-chose, croyez-moi.

Pire cochennerie que j'aie pu lire depuis que je suis sur le forum.

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Fracture quasi-ouverte du tibia et du péroné (on voyait l'os qui poussait ma peau sur ma jambe mais avec chance elle ne c'est pas déchiré.

J'étais sur une piste de ski alors j'ai eu droit à environ 3-4 transferts avant d'avoir droit au calmant qu'on pique sur le cul.

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12 vertébres d'écrasé, dont A1 a 44,8%

J'me suis taper 1h20 d'ambulance sans aucun calmant

Point de souture à froid c'tait pas super non plus

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J'ai eu pas mal de blessures relativement douloureuses (ouverture de la main avec un couteau de boucher, ouverture du pouce avec un X-acto, balle de base-ball dans le front, foulure intense de la cheville...) mais le pire n'en fait pas partie.

Ce qui m'a fait le plus mal c'était quand j'ai été faire du "hors-piste" dans l'bois derrière chez moi avec des shorts. C'était tout égratigné, ça saignait par endroits mais rien de grave. Ce qui a fait mal c'est quand j'ai décidé d'aller me laver les jambes dans la rivière.

Ça brûlait tellement que j'me suis effondrée, mes jambes tenaient plus.

À coté de ça, mes 6 points de suture dans la main, c'était agréable.

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(modifié)

Ça a l'air vraiment mineur, mais...

Quand j'avais 7-8 ans,je me suis fait mordre la main par le chien de mon voisin :shy:

Mais quand je dis mordre, il m'avais littéralement bouffer la main.

En tout cas, ça a fait mal,bon :)

Sinon, j'ai du me fouler la cheville 2-3 fois, mais je ne me rappelle pas avoir souffert énormément. :siffle:

Modifié par Cadavre exquis
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Sérieusement, vous lire me fait réaliser que j'ai jamais souffert physiquement, aucun accident, rien d'insupportable. Il y en a d'autres dans ce cas ici?

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Une dent de sagesse qui en poussant a manger une des mes molaire, qui a attiré une carie qui est aller attaquer le nerf de cette molaire. Abcès sous la dent. Quelle douleur!! J'avais mal de ma bouche jusqu'au fond de mon oreille...Mais grace a mon dentiste qui me disait que mes dents de sagesse avaient amplement de place pour pousser, il s'est fait 1000$ sur mon dos grace au traitement de canal qu'il a du faire :(

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(modifié)

Sérieusement, vous lire me fait réaliser que j'ai jamais souffert physiquement, aucun accident, rien d'insupportable. Il y en a d'autres dans ce cas ici?

On parle de douleur physique, mais si on en venait à parler de douleurs psychologiques, bah.... Mes petits bobos pis maux de ventres seraient des vulgaires piqûres de moustique!

Mais dans le même ordre d'idée, j'ai toujours été surprise que je sois presque une des seules personnes de mon entourage à n'avoir jamais eu un membre cassé ou foulé...

Je touche du bois!

Modifié par La Schizophrène
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