Aller au contenu

Le suicide ou sa tentative


Déchet(s) recommandé(s)

Ces pas des monstres mon avatar .. CES EDDY LA MOSCOTTE DE MAIDEN !

NONNNN!!!!???? Pour de VRAI LÀ?

Et c'est quoi, Eddy? Une momie, un zombie, un squelette, toutes ces réponses? C'est ça je disais, un MONSTRE.

  • J'aime! 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Super.Jésus_*

L'hiver me fait chier aussi ; get over it.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Mais c'était quoi cette infirmière de merde ? Bon sang ... Quand on est pas capable de s'occuper d'un être humain dans le besoin, il me semble qu'on choisit une autre profession ... En tout cas. Sans doute suis-je trop idéaliste.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Dis-moi que la fameuse infirmière s'est retrouvée dans le trouble...

Il faut TOUJOURS prendre quelqu'un au sérieux quand il parle de se suicider. Au pire si elle pouvait rien pour toi, qu'elle te réfère à quelqu'un qui aurait pu t'aider.

Les émotions fortes sont crées dans TON cerveau et TU peux les bâillonner et les harnacher comme bon te semble.

C'est tellement faux. J'ai déjà pensé aussi que le cerveau était tout puissant et qu'avec un peu de volonté, on pouvait tout contrôler. Plusieurs fois, j'ai pu constater que j'étais complètement dans le champ. Ça arrive souvent qu'on perde la maîtrise de sa propre machine.

  • J'aime! 3
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Dis-moi que la fameuse infirmière s'est retrouvée dans le trouble...

J'en sais malheureusement rien. Mais vu l'état des urgences... et mon état de santé(ou la santé de l'état) complexe si je puis dire, je comprends à moitié ce qui a pu se passer dans sa tête.

Des faiblesses, ça arrive un jour ou l'autre. Et il arrive quelques fois que certains individus n'aient même pas conscience de leurs propres faiblesses jusqu'au jour où... ils se ramassent dans le fond du baril eux-mêmes.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Déjà que j'ai une âme sensible, il y a 5-6ans , je prenais des médicaments à tonne et j'étais rendue à un point à vouloir me tuer pour de bon vu que les pilules ne faisais rien. En plus, au point d'être quasiment alcolo, j'apportais des boissons fortes à l'école (dans ce temps là j'étais au secondaire), mon amie riait jusqu'à temps qu'elle voit que mon état empirait. Elle m'a soutenue autant qu'elle le pouvais. Elle ne pouvais pas guérir ma mère du cancer ( malgré qu'elle est toujours vivante, mais les "bobos" sortent toujours) et que mon père ne voulait pu me voir. Aussi j'avais déménager dans un coin perdu, donc mes amies habitant Montréal je les voyais encore moins. Dans ma tête, j'avais perdu tout le monde que j'aimais, alors pourquoi rester en vie. Le suicide avait été l'option idéal. Mais j'en suis ressortie plus forte et regrette amèrement ce que j'ai voulue faire autrefois.

  • J'aime! 3
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 semaines plus tard...

J'ai passé trop de temps à trop idéaliser la chose.

(Un coup de 12 pour ne plus qu'on voit ma face et éclabousser tout les murs. Avec, pourquoi pas, un couteau dans le ventre pour le même motif...)

Au final, on veut que ca soit parfait...

On se renseigne de plus en plus et de plus en plus on tombe sur des histoires et des photos de suicides ratés. On veut surtout pas se rater, quitte a ne pas le faire...(Vomir ses intestins à l'hosto, avoir le visage en lambeau pendant qu'on s'entête a te garder en vie... Pis se couper sa fait mal, le sang me lève le coeur.)

Finalement ma méthode a été moins drastique: Être le moins là possible... Dormir le plus que l'on peut et lorsque on est éveillé ressentir et penser le moins que l'on peut à grand coup d'alcool, de noirceur et de séries tv abrutissantes.

J'étais dans une impasse ou je me sentais une plaie pour tous et toutes... Et je savais que si je le faisais, ca en serait aussi une auprès de mes deux petits frères. Ce qui explique surement ma méthode très passive...(ca et mon manque de courage, biensûr...)

En même temps je m'en faisais pas... j'attendais juste le point de non retour... Crever sous un pont après me faire foutre dehors...

L'idée est en suspens et nettement moins présente. Mais des fois j'ai vraiment le gout de tout arrêter et disparaitre.

Drôle de conclusion : toute cette ''moumounerie'', se manque de courage et de moyens font en sorte que je suis en vie, aujourd'hui.

  • J'aime! 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

J'avais 14 ans. Je rêvais de Montréal, plus rien n'allait ici. Je pensais juste à aller à montréal. Vraiment, plus rien n'allais, je prenais un coup avant d'aller à l'école, J'avais répété mon secondaire 2, j'étais en pleine crise d'idendité hé puis bon, tout pleins de problèmes de floune de cet âge. J'en avais assez de vivre mais j'avais encore de l'espoir, un geste désespéré que je pourrais accomlir pour améliorer un peu ma situation. Et c'est arrivé. J'ai gagné un concours de film d'animation, le prix était 500 beaux dollars. J'ai fouttu le camp à Montréal une semaine après.

Une semaine. Une putain de belle semaine. Libre comme le vent. Tout ce que je désirais enfin, le bonheur total. Hé puis la police m'a trouvé. Ils m'ont ramené à Rimouski, en centre d'acceuil. Deux mois d'attente, les pires deux mois de ma chienne de vie, avant de passer en cour pour savoir combien de temps je resterais en centre d'acceuil. C'était l'enfer, je n'ai jamais été aussi malheureuse de toute ma vie. Je ne pouvais pas sortir de là. Rien. Même pas une marche dehors, rien. Plus rien. Et après ce deux mois infernal, on m'a annoncé que je resterais 1 an.

Il y avait un bain au centre d'acceuil. J'ai décidé que c'en était fini. Une mort pas trop souffrante. J'ai fais couler de l'eau tiède pour que ne pas que ça fasse trop mal à la peau de mon visage. L'idée qu'ils me retrouvent nue me rendait mal à l'aise alors j'ai gardé mes sous-vêtement. Je me suis assise dans le bain, et les seules pensées que j'ai eu c'était les personnes que j'aimais. Je me suis remémorée leurs visages, pour la dernière fois, j'ai dit à voix haute « je vous aime » et j'ai plongé ma tête dans l'eau.

J'ai respiré sous l'eau. Pire sensation à vie. C'était comme avaler des tasses d'eau en s'étouffant. J'ai réessayé mais mon corps ne voulait rien savoir, je devais respirer de l'air.

C'est la première fois que je raconte ça... M'enfin, je suis contente que ça n'ai pas fonctionné, j'ai tellement vécu de belles années après.

  • J'aime! 8
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Être le moins là possible... Dormir le plus que l'on peut et lorsque on est éveillé ressentir et penser le moins que l'on peut à grand coup d'alcool, de noirceur et de séries tv abrutissantes.

En ce qui me concerne, remplacer l'alcool par du cannabis et j'étais dans le même état... dépressif. C'est pas tant la mort que l'on souhaite, mais plutôt qu'on veut tout stopper.

Fait bizarre, s'intoxiquer abusivement est pour moi un signe majeur de cet état mais rarement reconnu comme tel par les "spécialistes". Ils ne voient que l'abus, pas le ou les problèmes sous-jacents.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je trouve l'entourage (le mien du moins) un peu trop sensible pour pouvoir en parler ouvertement. La mort ou l'envie d'en finir cause beaucoup trop d'émoi et de questionnements. Je me suis personnellement retrouvé en train de rassurer ceux à qui j'en ai parlé(après le geste). Le mieux serait d'en parler à quelqu'un de familier avec la dépression et ses à-côtés. Suicide Action Montréal fut mon choix avant et pendant la tentative. Ça m'a donné aussi une oreille objective à qui raconter ma situation quelque peu particulière (foutu fibro). Par expérience, les inconnus à qui j'en ai parlé semblent mieux renseignés sur cette maladie que la grande majorité de mon entourage. Un de mes oncle m'a même déjà dit et je cite: "Bon, tu t'es trouvé une raison pour ne pas travailler."

La douleur physique et mentale, je pourrais faire avec si ce n'était de cette ignorance rampante. La paresse intellectuelle, je pourrais dire, a failli me tuer. Je dois la hausse de mon moral principalement à des étrangers (certains d'entre vous en faites partie) à cause de leurs discours plus réfléchis et informés.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

La fibromyalgie est une maladie excessivement souffrante et handicapante. L'entourage a souvent de la difficulté à croire qu'une personne n'ayant pas l'air d'être malade puisse l'être. Un peu comme la dépression, les maladies qui ne se voient pas rendent les gens sceptiques quant à la véracité de celle-ci. Pourtant cette maladie est reconnue depuis plus de vingt ans mais comme les symptômes sont multiples et diffèrent d'un individu à l'autre, il est difficile d'émettre un diagnostique franc. C'est souvent par élimination que les médecins finissent par en arriver à cette conclusion. Mais il n'en demeure pas moins que la maladie est réelle et très souffrante.

J'espère que tu réussis quand même à vivre de bonnes journées.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

C'est sûr qu'il y a des journées où c'est mieux ( surtout après 1 café double et 2 Rockstars bleus). De plus, l'arrivée de l'été fait que c'est moins pire. Ma médication a été modifié après ce passage à vide, aussi.

Dérivons maintenant de ma personne pour parler des conditions qui vous pousseraient à en finir. Cette question s'adresse surtout à ceux qui se croient au-dessus de cette possibilité. Imaginez simplement une situation intolérable qui perdure. Ne sous-estimez pas l'impact du long terme sur vos humeurs.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Mon grand-père c'est pendu dans la quarantaine. Ca marque les gens, je suppose. J'aurai peur qu'il y ait un traitement différent au ciel pour le monde qui se suicide. Parfois, je pense que d'un petit coup de volant, un dix roues me tuerait. Je serais plus du genre à le faire sur un coup de tête, qu'à élaborer un plan voué à fouarer, du style: regardez-moi, je suis malheureux, j'ai fait une tentative. J'hais avoir l'air miséreux et me faire demander Ca Va? T'es sur la?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Mon grand-père c'est pendu dans la quarantaine. Ca marque les gens, je suppose. J'aurai peur qu'il y ait un traitement différent au ciel pour le monde qui se suicide. Parfois, je pense que d'un petit coup de volant, un dix roues me tuerait. Je serais plus du genre à le faire sur un coup de tête, qu'à élaborer un plan voué à fouarer, du style: regardez-moi, je suis malheureux, j'ai fait une tentative. J'hais avoir l'air miséreux et me faire demander Ca Va? T'es sur la?

C'est drôle que tu en parles, car je pense exactement a la même chose que toi, lorsque que je suis sur la route je me dis tien, a cette vitesse la sur ce mur la c'est claire que je meurs ou bien le dix roues va me démolir.

Et après je pense à tout le monde, mes amis.. Richard, Robert, etc., a ma famille et a la fille du moment sur laquelle j'ai un kick, mais qui va surement plantée à cause que je vais tombée dans ça friend zone mais bon. Je pense aussi au futur, peutetre que ça va allé mieux ? Qui sait..

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

C'est l'fun quand on utilise le passé simple dans un texte et qu'on s'y tient. Au lieu d'alterner de manière chaotique entre le passé simple et le passé composé(Esti que c'est laite).

Sinon moi je pense à une manière intéressante de mettre fin à mes jours: une overdose de brownies et de lait--?

C'est quoi que vous avez tous contre ce super post?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

C'est quoi que vous avez tous contre ce super post?

On niaise po ake le suicide mon chum, t'es yienk un maudit sans coeur.

  • J'aime! 3
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Veuillez vous connecter pour commenter

Vous pourrez laisser un commentaire après vous êtes connecté.



Je veux revenir!
 Partager

  • Échantillon aléatoire d'images jetées dans cette poubelle

×
×
  • Créer...