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Que feriez-vous lire à vos élèves au secondaire?


Déchet(s) recommandé(s)

Une question d'actualité qui revient sans cesse. C'est un sujet qui peut être intéressant.

Voici la raison qui m'a poussé à le créer:

Au début de la troisième étape, en cours de français, nous devions faire notre choix sur le roman que nous voulions lire/critiquer/résumer. Contrairement aux deux premières étapes, où la professeur nous imposait des choix (ex.: Katy Reichs, Dan Brown,..), nous avions maintenant l'opportunité de choisir notre roman.

Des petits constats:

Sur 17 gars, 12 ont choisi...

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Les sept jours du Talion de Patrick Senécal.

Deux ont opté pour Oniria (ou une shit du genre), puis les deux autres ont lu 5150, rue des Ormes.

Du côté des filles, un gros 60% d'entre elles choisissaient...

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La fameuse série Twilight, grosse tendance chez les adolescentes.

Les autres: Marc Lévy, la série True Blood et puis je ne sais quoi.

Je ne sais pas, mais je me demandais si vous feriez lire autre chose à vos élèves de quatrième secondaire.

Ce qu'on peut automatiquement comprendre: les gars sont amenés à lire des suspenses, des page-turner, tandis que les filles préfèrent les romans qui racontent de belles histoires d'amour. Je crois qu'on peut tous s'entendre sur le fait qu'il existe meilleur roman dans les deux genres.

Autre fait très amusant: pour la quatrième étape, nous devons écrire un texte argumentatif sur la question suivante: Doit-on interdire la diffusion des télé-réalités à la télévision?

Source dans notre manuel de français: une entrevue avec Senécal qui parle du sujet et de son livre Le Vide, qui, apparemment, illustre avec perfection le phénomène qui prend de plus en plus d'ampleur de nos jours.

Les questions:

- Si vous étiez professeur au secondaire, que feriez-vous lire à vos élèves?

- Êtes-vous d'accord avec le fait que le Ministère de l'Éducation impose un manuel où un auteur qui ne sait pas écrire est cité comme une référence-clé à nos projets?

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(modifié)

Les questions:

- Si vous étiez professeur au secondaire, que feriez-vous lire à vos élèves?

- Êtes-vous d'accord avec le fait que le Ministère de l'Éducation impose un manuel où un auteur qui ne sait pas écrire est cité comme une référence-clé à nos projets?

En tant que professeur de secondaire, je conseillerais des classiques comme Jules Vernes. De la lecture qui n'est pas trop dure pour l'élève. Les classiques peuvent être utilisés à des fins d'exposés oraux. Sinon, ma sélection personnelle est la suivante :

Ta voix dans la nuit de Dominique Demers

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La fille de la forêt de Charlotte Gingras

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Et finalement Le dernier des raisins de Raymond Plante

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Ces livres ont tous une thématique se rattachant à l'adolescent.

Pour ta deuxième question, les manuels scolaires proposés sont tous à la hauteur. Pour les avoir tous analysés lors de la session passée, je peux dire qu'ils ont tous des pours et des contres. Ça dépend de ta manière d'enseigner. Pour les auteurs médiocres, j'imagine que certains enseignants ont des idées moins éloquentes que d'autres.

Edit : Les Twilight ne sont pas de la lecture à conseiller. C'est pour un public cible mais n'a aucun message qui développe le mental d'un étudiant. C'est bon comme lecture de chevet, tout au plus.

Modifié par Nomad
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Les questions:

- Si vous étiez professeur au secondaire, que feriez-vous lire à vos élèves?

- Êtes-vous d'accord avec le fait que le Ministère de l'Éducation impose un manuel où un auteur qui ne sait pas écrire est cité comme une référence-clé à nos projets?

À la première question je répondrai:

Je crois que les professeurs ont le devoir d'amener les élèves vers la littérature «sérieuse» et non «populaire». On pourrait tenter de justifier l'inverse en faisant valoir que ces livres sont «plates». Erreur, plusieurs livres écrits par de grands auteurs sont accessible à tous. On peut également dire que les élèves devraient pouvoir lire ce qu'ils aiment. Je n'ai pas vraiment de problème avec cet argument, après tout ils lisent, mais dans une majorité de cas, les ados vont lire des livres «populaires» qui ne sont pas nécessairement bien écrit. Après un certains niveaux, le secondaire 3 par exemple, il serait bien de commencer à initier les ados à la «vraie» littérature.

Pour la deuxième question, à ce niveau scolaire, l'important n'est pas vraiment le «sérieux» et la «crédibilité» des sources pour bâtir une argumentation. L'important est d'apprendre aux élèves à structurer leur texte afin d'atteindre un niveau de base une fois rendu au collégial.

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À la première question je répondrai:

Je crois que les professeurs ont le devoir d'amener les élèves vers la littérature «sérieuse» et non «populaire». On pourrait tenter de justifier l'inverse en faisant valoir que ces livres sont «plates». Erreur, plusieurs livres écrits par de grands auteurs sont accessible à tous. On peut également dire que les élèves devraient pouvoir lire ce qu'ils aiment. Je n'ai pas vraiment de problème avec cet argument, après tout ils lisent, mais dans une majorité de cas, les ados vont lire des livres «populaires» qui ne sont pas nécessairement bien écrit. Après un certains niveaux, le secondaire 3 par exemple, il serait bien de commencer à initier les ados à la «vraie» littérature.

Pour la deuxième question, à ce niveau scolaire, l'important n'est pas vraiment le «sérieux» et la «crédibilité» des sources pour bâtir une argumentation. L'important est d'apprendre aux élèves à structurer leur texte afin d'atteindre un niveau de base une fois rendu au collégial.

Je suis d'accord. Au lieu de laisser les élèves faire leur propre choix, qui aura tendance à tirer vers la popularité, l'enseignant peut faire sa propre sélection de, disons, dix livres triés sur le volet, et laisser l'élève faire son choix. Si l'élève veut faire le travail sur un livre hors liste, il peut le demander à l'enseignant et celui-ci devra approuver ou non.

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Les livres qu'ont lis à l'école ne sont pas si pires que ça, honnêtement. Je suis en secondaire 3, et cette année, j'ai lu, entre autre, La vie devant soi de Romain Gary, Le crime de l'orient express d'Agatha Christie et je suis en train de relire Bonheur d'occasion de Gabrielle Roy. C'est loin de la grande littérature, mais c'est aussi loin de Patrick Sénécal et de Twilight. Le problème,selon moi, n'est pas l'école, le professeur ou peu importe : ce sont les élèves. La plupart ne veuillent même pas s'y intéresser et se disent que c'est nécessairement des livres plates comparés à Aurélie Laflamme et Harry Potter qui sont, selon eux, ô combien intéressant. On leur mettrais 1984 de George Orwell (qui est loin d'être complexe, surtout comparé à Beckett et compagnie) dans les mains, ils ne le liraient même pas, chercheraient une analyse ou un résumé sur Google et passeraient leur examen haut la main, sans se rendre compte qu'ils viennent de passer à côté de quelque chose.

Comme Nomad l'a dit, faire une sélection de livres est une excellente idée : c'est d'ailleurs ce que ma prof de français a fait pour notre dernier roman obligatoire. Beaucoup de personnes dans ma classe étaient frustrés à l'idée de savoir qu'ils devraient se taper un roman classique de 300 pages. ;)

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Je vois pas en quoi c'est mal de lire Twilight ou du Senécal pour un cours de français au secondaire... Quand on y pense, c'est de la lecture forcée, on a une date limite où ça doit être lu, alors tant qu'à faire, je les laisserais lire ce qui leur tente histoire que ce soit moins pénible. Si c'est juste une étape sur quatre, comme tu dis, ça peut pas être si pire que ça.

Je pense qu'il faut arrêter de diaboliser ce genre de livres. Si ça peut encourager les ados de lire ce genre d'histoires pour le moment et qu'ensuite ils passent à autre chose, pourquoi pas. Même si c'est pas le cas pour tous, ça vaut la peine.

Au secondaire, je lisais encore Harry Potter et j'ai passé à travers tous les romans de Senécal, mais ça m'a pas empêchée d'avoir des lectures de meilleure qualité. D'ailleurs, j'avais eu un oral à faire sur un livre au choix en secondaire cinq, et j'avais pris un livre de Huxley. Mettons que j'ai eu plus de misère à analyser ça que celui qui avait pris Harry Potter. Alors d'après moi, c'est une façon de se donner moins de trouble dans une matière. Tant qu'on passe une couple de classiques dans les autres étapes, j'y vois pas de problème, donc.

Sinon, ce que je ferais lire à mes élèves... Je sais pas trop. J'en garoche une couple comme ça:

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(je sais pas si celui-ci est bon en français par contre...)

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En gros, j'essaierais probablement de leur faire lire ce qu'ils pourraient aimer, mais n'iraient pas lire d'eux-même.

Pour ce qui est de l'entrevue de Senécal, c'est normal que ça se retrouve dans un livre de français. Il commence à être big, et comme il intéresse les élèves, il doit être là pour capter un peu leur attention. Il sait peut-être pas écrire, mais je dirais qu'il sait donner du bon divertissement, et dans tous les cas, ils ont sûrement pas eu un grand choix d'auteurs qui avaient traité de télé-réalité.

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Tu leur fais lire les Misérables (la version sur deux tômes), les petits rats vont catcher c'est quoi un roman.

PS: Sénécal est un fucking mangeur de marde, je vois pas pourquoi ils vous laisse lire un auteur fade et sans style comme lui. Ce gars la, je l'ai entendu dire AU MOINS cinq fois ''Je suis le premier auteur au Québec à faire des livres FLYÉS''

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Le problème que j'associe à Twilight est que c'est de la lecture facile. Il n'y a pas beaucoup de moralité ou de thème qui touche vraiment la personnalité adolescente et c'est facile pour un élève de trouver un résumé sur le net sans se forcer.

Le problème avec les élèves, c'est que beaucoup d'entre eux vont se forcer pour lire le livre populaire, sans jamais laisser de second regards aux autres livres parce qu'il n'est pas obligé.

Pour Gabrielle Roy, je conseillerais Bonheur d'occasion pour le secondaire. C'est une bonne lecture.

En gros, ce qui faut faire lire aux élèves c'est des livres ayant une thématique : écologie, développement émotif adolescent, etc. Et non un livre bourré de clichés comme Twilight ou whatever.

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En deux ans, j'ai eu la chance de lire :

Les derniers jours d'un condamné de Victor Hugo

Le Parfum de Patrick Süskind

La ferme des animaux de Georges Orwell

Les fleurs du mal de Charles Baudelaire

L'étranger d'Albert Camus

J'ai vraiment été choyé.

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Je ne connais vraiment rien à la littérature, mais je suis certain que l'adolescent moyen de 16 ans qui s'excite en lisant Senécal pourrait être stimulé par d'autres auteurs qui font dans l'intrigue policière/l'épouvante.

H. P. Lovecraft

Maurice Leblanc (Arsène Lupin, LE détective)

les romans de la collection Folio Policier

Je vous cite mon professeur de français, lorsque les élèves arrivaient avec leur édition de Les sept jours du Talion:

« Ahhhh Senécal, mon petit préféré! J'ai probablement lu tous ses livres et je les ai tous dévorés. Sérieusement, c'est vraiment bon pis en plus, vous allez voir, vers la fin, y a une morale qui fait réfléchir. L'auteur... ben Senécal là dénonce la vengeance comme solution. Je vais pas vous dire le punch mais vous allez voir. »

Je sais que ça peut vous sembler un peu con, mais je ris de ce gars-là quand je n'ai rien lu de lui, sauf une page, parce que mon ami voulait me montrer un aperçu. Est-ce qu'il écrit toujours au présent?

En deux ans, j'ai eu la chance de lire :

Les derniers jours d'un condamné de Victor Hugo

Le Parfum de Patrick Süskind

La ferme des animaux de Georges Orwell

Les fleurs du mal de Charles Baudelaire

L'étranger d'Albert Camus

J'ai vraiment été choyé.

Choisis de ton gré ou imposés par le prof?
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Choisis de ton gré ou imposés par le prof?

Ils me faisaient pas mal lire ça au secondaire, et c'était les profs qui imposaient ça.

J'imagine qu'avec la réforme, ils cherchent à MOTIVER les jeunes, mais ça marche pas si ils lisent juste de la scrappe.

Je sais que ça peut vous sembler un peu con, mais je ris de ce gars-là quand je n'ai rien lu de lui, sauf une page, parce que mon ami voulait me montrer un aperçu. Est-ce qu'il écrit toujours au présent?

Il a un style atrocement fade, il écrit presque toujours à la première personne, il donne des surnoms à ses personnages genre ''Big'' qu'il utilise dans la narration, il a des concepts clichés, whatever il est juste mauvais, c'est de la paralittérature.

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Je crois que les ados ne sont pas mis en contact avec le littérature assez jeunes. Oui, ok, c'est bien qu'ils lisent même si c'est de la merde, il y en a qui vont être intéressés par eux-mêmes à aller plus loin par la suite. Sauf que de la lecture facile comme Twilight, Harry Potter, etc. ça ne fait pas réfléchir et ça ne mène pas le lecteur plus loin que les mots imprimés sous ses yeux.

En étant prof, je ferais lire quelques classiques québécois ainsi qu'étrangers à mes élèves. Je pense que la littérature québécoise est trop souvent mise de côté, les gens ne connaissent de Gabrielle Roy et Michel Tremblay.

Sans rien leur enlever, ce ne sont pas qu'eux qui ont écrit des choses intéressantes.

Beaucoup d'auteurs méconnus (ou simplement moins bien connus) sont géniaux! Louis Hamelin, Robert Lalonde entre autres explorent des thèmes différents (l'identité amérindienne par exemple, ce sujet m'intéresse beaucoup).

Jacques Poulin, ses romans sont mon péché mignon.

Anne Hébert, style poétique, thèmes de la perte, l'amour traité différemment.

Côté romans étrangers, Salinger serait un très bon choix.

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Michel Tremblay a écrit pour la jeunesse? Le premier titre me venant en tête est Hosannah et les Belles-soeurs et je suis pas certain que ce soit vraiment adapté.

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Une chose certaine, je ne leur ferai pas lire de la lecture industrielle, à mes élèves. Elle est facile à se procurer et ils n'ont pas besoin d'un professeur pour la leur pointer du doigt. Là, je pense à Twilight, Harry Potter et des trucs comme ça. Les succès faciles. Personnellement, je n'aime pas ce genre de lectures (j'ai bien apprécié Harry Potter dans les débuts) mais quand je vois des jeunes qui n'ont jamais lu de leur vie se balader avec un tome de Twilight, je me dis qu'au moins, ça les fait lire.

En tant que future enseignante au secondaire (ce topic m'est tombé dans l'œil, donc), j'essaierai de leur faire lire des textes moins accessibles, mais des œuvres magnifiques, des œuvres qui changent le regard de celui qui les lit, des choses qui les dépassent et les pousseront à se dépasser.

Par exemple, au secondaire, j'avais deux enseignants que j'allais voir après les cours et qui me refilaient des bouquins. J'ai eu la chance de tomber sur quelques perles qui ont fait une différence dans mes habitudes de lecture.

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Il y en a d'autres, c'est sûr. Mais pour l'instant c'est ce qui me vient.

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Je lis rarement des romans par moi-même, ce qui limite ma culture littéraire. Parmi ceux que j'ai lu, je suggère cependant (certains d'entre eux ont déjà été mentionnés):

- L'avalée des avalés de Réjean Ducharme

- La vie devant soi de Romain Gary (ou Émile Ajar)

- Candide de Voltaire

- Croc-Blanc de Jack London

- Véronika décide de mourir de Paulo Coelho

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Pin a officiellement le pire prof de français de l'histoire du monde...

En secondaire 4 j'ai lu des trucs comme Orwell et Huxley et je suis pas mort. Faut arrêter de croire que la lecture de romans bâclés comme ceux de Senécal va donner le goût de lire des chefs-d'oeuvre par la suite. Dans le meilleur des cas ça va donner le goût de continuer de lire de la paralittérature de moyenne qualité.

Le but de "donner le goût de lire", c'est justement de susciter un amour de la langue et de la promouvoir. Donner le goût de lire des livres mal écrits c'est un peu passer dans le beurre. C'est lire pour lire, sans plus. Ça fait du bien une fois de temps en temps une lecture légère, mais tant qu'à ça, il existe des trucs pas mal plus consistants et intelligents que le gros taré de Senécal.

En vrac, ce que je ferais lire:

L'Étranger de Camus

Dracula de Bram Stoker

Nouvelles histoires extraordinaires de Poe

La Métamorphose de Kafka

Les contes de Théophile Gautier

Comment devenir un monstre de Jean Barbe

Etc. Tous des romans accessibles, divertissants et bien écrits. Je vois pas pourquoi il faudrait constamment niveler vers le bas en sous-estimant l'intelligence des jeunes. Les cancres n'auront qu'à bien se tenir, c'est tout...

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