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Pourquoi je n'aime pas les tomates?


Alf
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Haha, c'est drôle parce que ça m'arrive souvent. Aujourd'hui mon père préparait quelque chose à manger, avec des oeufs et des trucs qui avaient l'air vraiment bons. C'étaient des bouchées. Il finit de les préparer et m'en offre.

- Mais il y a des tomates, dis-je.

- Ok, pas de bouffe pour toi, repondit-il, le sourire aux lèvres.

pleure.gif

Ça arrive souvent que j'aille comme réponse : ben, enlève les tomates. Et c'est ce que j'ai fait dans ce cas-ci, mais il reste tout le temps le goût ou des traces de tomates qui rendent l'expérience souvent moins agréable :(

J'arrête de parler de mon père à partir de maintenant, promis.

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Trois exemple:

Mon père ne digère pas les oignons. Je n'aime pas les oignons.

Ma mère est allergique au piment. Je n'aime pas les piments.

Je commence à peine, depuis un an, à m'intéresser au fromage. Avant ça, ça me faisait vomir. C'est dû à un traumatisme. Je devais avoir... dans les en bas de 4 ans et ma marraine m'a dit: "Tiens, mange ça c'est des cube de crème glacé!" C'était de la Vache qui rit.

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J'ai déjà lu quelque part que peu importe le dégoût qu'on a pour un aliment, on peut se conditionner à en manger.

Mais ce n'est pas plaisant pour la personne qui a une aversion enragée pour un aliment que de se forcer à en manger.

Je ne suis pas un expert, mais le mieux est, je crois, de tenter diverses préparations ou assaisonnements. J'ai une amie qui perdait l'appétit à la simple odeur de poisson ou fruit de mer. Elle s'est gossée des recettes et des amis lui ont fait goûté des plats et aujourd'hui, ça a prit des mois par contre, elle savoure un tartare de saumon sans grimacer.

Alf, t'as déjà mangé des bruschetta? Il existe une panoplie de recettes et c'est facile et rapide à faire.

J'ai tellement faim.

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Il y a aucun aliment que je n'aime pas particulièrement, sauf les fèves au lard (communément appeller BEANS) en canne. La senteur me lève le coeur ... en fait, juste d'y penser, j'en ai des frissons ! Heurk câlisse ...

Mais honnêtement, y'a rien qui m'énerve le plus que de voir quelqu'un picosser dans son assiette. Manger une pizza All-Dressed avec certaines personnes, ça peut être tout un calvaire ...

Mange pis ta yeule, ça l'fait pas pour tout le monde malheureusement.

Modifié par Le Messie
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Mais honnêtement, y'a rien qui m'énerve le plus que de voir quelqu'un picosser dans son assiette. Manger une pizza All-Dressed avec certaines personnes, ça peut être tout un calvaire ...

Mange pis ta yeule, ça l'fait pas pour tout le monde malheureusement.

Pourquoi ne commandez-vous pas une pepperonni-fromage à la place? Ceux qui ne trippent pas champignons seront bien heureux. :) Il y a peu de gens qui comprennent la signification réelle d'un champignon... Ce n'est pas pour rien que sa ressemble à une explosion nucléaire. :masturbe:

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Il y a l'exemple de Freud qui a eu une patiente qui était incapable de boire de l'eau sans être dégouté. Il s'est rendu compte après plusieurs échanges que, pendant son enfance, cette dernière à vu la femme de ménage donner de l'eau à leur chien dans un verre, d'où le syndrome à l'âge adulte.

Exemple personnel : Quand j'étais petit, mon frère a voulu me faire manger un sandwich plein de limaces. Ayant vu la couleur marron, je lui ai dis que je trouvais ça bizarre, il m'a dit " Ne t'en fais pas ! Ce son des marrons ! "... et j'ai mangé. Jusqu'à ce que l'on me raconte cette histoire dont je me souvenais plus, j'étais incapable de manger des marrons chaud.

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Pour ce qui est de l’hérédité des goûts, j'ai une petite anecdote: Ma mère déteste les déserts, elle n'apprécie aucunement le gout du sucré. Durant sa grossesse elle a eu des trippes de bouffes de femme enceinte aucunement dans ces goûts comme des twists (Beignes glacés en forme de 8), des miles-feuilles et aussi étrangement boire environ 1l par jour de garden cocktail. Tout ça a passé après la grossesse mais il se trouve que ce sont des aliments que j'ADORE vraiment immensément beaucoup. Je me demande si ça a à voir avec le fait que mon placenta en ai été saturé pendant ma formation.

Sinon en général le fait de ne pas aimer un aliment proviens d'un traumatisme. Exemple: Vers l'âge de 6 ans nous avons découvert que j'avais des poux et ce pendant que je mangeait du foie de veau (un de mes plats préféré du temps) et depuis ce temps je ne mange plus de foie, j'aime le gout mais je n'ai plus envie d'en manger.

Sinon une association d'idée: Ma meilleure amie a déjà virer une monumentale brosse au gros gin quand elle avait environ 13 ans et depuis ce temps elle n'est plus capable de mettre de spray-net car elle trouve que ça a une odeur similaire au gin. Même chose suite à ma fête de 18 ans ou j'ai engloutis une quantité terrifiante de shooter de tequila avec lime, le 7up m'a taper sur le coeur pendant une semaine alors que je peux en boire plusieurs canettes par jour ( Heureusement c'est rentré dans l'ordre)

Ils ont déjà fait une expérience concernant les goûts, ils ont donné du fromage bleu à des asiatiques et des oeuf de canard moisis (un peu comme le fromage bleu) a des anglais. Dans les deux cas ils ont été malades. Il faudrait que je retrouve cet article.

Mon ex avait une manie qui me tapait sur les nerfs: Elle refusait de manger tout type de sauce, AUCUNES sous prétexte que c'était de la sauce ( Entendons-nous que y'a plusieurs variétés de sauces, de texture, de gout et compagnie) pareille pour les condiments. J'ai essayer plusieurs fois de lui faire goûter des sauces plus épaisses plus liquide mais elle refusait toujours prétextant qu'elle n'aimait pas le gout de l'INGRÉDIENT SAUCE. Esti de folle.

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Je déteste les champignons, depuis toujours. Je suis persuadée que c'est inné.

Je hais la texture, le goût. Le fait que des champignons = moisissure et saleté me trotte souvent en tête aussi, cela peut être psychologique, mais je détestais les champignons bien avant de savoir ça.

Ah quelqu'un comme moi? Le monde serait bien meilleur sans tout ces champignons dégoutants^^

J'adore qu'on me reprenne quand je dis "c'est pas bon" pour me répéter "non on dit pas ca on dit "jaime pas!" " ... Ben moi j'aime pas parceque c'est pas bon!!! héhé

Pour le débat du gout il y a eu des études menées sur ca en biologie ect, je pense que sur internet on doit trouver la documentation permettant une apporche rationnelle et scientifique pour expliquer les gouts des uns et des autres!

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  • 2 semaines plus tard...

J'ai déjà lu quelque part que peu importe le dégoût qu'on a pour un aliment, on peut se conditionner à en manger. L'étude disait qu'après 10 fois, la plupart des gens étaient capable de manger un aliment qu'ils détestaient auparavant sans problème (faudrait que je retrouve le texte, mais impossible pour le moment).

J'avais une haine profonde des sushis (texture, odeur et goût), et maintenant, je ne pourrais plus m'en passer.

J'ai lu ça dans le livre «Mieux vivre avec notre enfant» (celui qu'on nous donne lorsqu'on attend un bébé, héhé!)... les bébés peuvent refuser de manger quelque chose à cause de sa couleur ou encore parce qu'il n'est pas habitué à l'odeur et/ou au goût. Pour certain aliment, il faut alors lui montrer plusieurs fois (jusqu'à 10 fois) avant qu'il l'accepte. C'est l'habitude pis l'obstination qui fait qu'on fini par aimer quelque chose.

PS: J'aaaaaaadore les tomates, je mange ça avec tout pis même comme une pomme. En passant, y'en a plusieurs sortes! Mais bon, je crois que c'est ce que tu mets avec qui fait toute la différence; si t'aime le ketchup mais pas les tomates c'est tout à fait probable puisque c'est mélangé à plein de chose. (Pareil pour la pizza.) :)

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J'ai une aversion maladive pour les bananes. La couleur, la texture, et surtout l'odeur. L'odeur seule peut me lever le coeur comme peu de chose le peuvent, l'odeur de la merde n'en faisant même pas parti. Du plus loin que je me souvienne, mon aversion débute au moment au j'ai vu des taches brune sur la parti intérieure d'une banane, mais mes parents m'affirme que ça vient d'un ami que j'ai eu étant enfant qui lui même n'aimait pas les bananes. Ils m'ont même déjà traiter de menteur à ce sujet. Toutefois mon souvenir provient de la maison que j'habitais avant l'age de quatre ans tandis que l'ami en question était un enfant que j'ai rencontré sur la rue sur laquelle j'ai déménagé ensuite. Qui a raison? Ma super-théorie est que j'ai été légèrement dégouté au départ, puis me sentant appuyé dans mon aversion j'en ai fait un ennemi de mes papille gustative à jamais.

Le yogourt. Pas capable. L'odeur est dégueulasse, la consistance aussi. Pourtant quand j'étais enfant j'aimais bien, même que, bordel, c'était mon premier mot. Quelque chose s'est passé je peux pas trop expliquer.

Ensuite viens la bunch de légumes que je me suis mit à aimer avec le temps, principalement en commençant à faire moi même ma bouffe. Faute d'intérêt, passons.

Anecdote. Flashback: j'ai 14 ou 15 ans, je fais des services communautaire dans un service de garde à l'école primaire à côté de mon école secondaire parce que je suis moi-même dans un programme appelé PEI (programme d'éducation international, aka programme qui suce en criss). Je rentre dans l'école, et règne dans les couloirs cette répugnante odeur qu'est celle des, vous l'aurez deviné, bananes. C'est dégueulasse, je retient mon souffle, mais me rend compte très vite que ça sert à rien; l.odeur est partout. Je fini par me rendre à la classe d'enfant que j'aide à garder, ou j'ai un répit de l'odeur puisque la porte est fermé. Par pour longtemps, puisque comme s'exclamant les professeurs officiels du service de garde, c'est l'heure de la collation! La porte s'ouvre et entre des paniers remplis de bananes, entre l'odeur dégoutante avec bien évidement.

Chose que j'ai appris à cet instant précis: Si il y a bien quelque chose de plus dégoutant qu'une banane, c'est bien un groupe d'enfants énervés et se motivant entre eux à être énervés, avec des bananes.

Des pelures sur la têtes, par terre; des morceaux autour de la bouche. Je me recule, à ce moment précis, je passe un très mauvais quart d'heure. Mes muscles sont crispés, je retient mon souffle et respire par la bouche en évitant de respiré le plus possible l'odeur, sans pouvoir m'empêcher d'assister à l'odeur. Et une fillette de dire: "Vincent? Vincent? Peux-tu m'aider à éplucher ma banane?"

Je me suis tourné vers la fenêtre, le contenu de mon estomac aillant choisi ce moment pour parcourir le sens inverse à la digestion.

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C'est un sujet très intéressant.

Pourquoi ne pas l'avoir fait plus large? Sur les choses ou situations qu'on est incapable de supporter à cause de traumatismes d'enfance, plutôt que seulement sur les aliments qu'on n'aime pas? C'est un peu limitatif les aliments.

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Les halls extra fortes, ça me donne des frissons dans le dos et un mal de coeur assuré. J'ai pris ça vers la fin d'une gastro, ou devrais-je dire de la pire gastro de toute ma fucking vie. J'ai dû aller à l'hôpital pour me faire injecter du Gravol, sinon je vomissais touuuuut. J'en étais à vomir de l'air pis ma salive tellement j'avais pu rien à faire sortir. Sérieusement, ce moment de ma vie pourrait faire parti du sujet "La pire douleur physique que vous avez endurée" tellement c'était abominable. Je souhaite ça à personne.

Le jus de pamplemousse aussi m'est complètement intolérable, mais j'ai aucune idée pourquoi... Je trouve ça tout simplement trop surette.

Le lait... Ça c'est à cause de mon école primaire de marde qui nous forçait à boire un berlingot de lait, fait de carton dégueulasse qui laissait un goût de atroce. Ensuite, pour combler le tout, j'ai bouffé des céréales avec du lait caillé, une bouchée fut suffisante pour m'écoeurer à tout jamais.

C'est fou comment les goût changent en vieillissant. Par exemple, je n'aimais vraiment pas les bines, mais depuis que j'ai réessayer il y a quelques mois, j'en suis folle.

Aussi avant j'étais allergique à l'ail, mais graduellement mon allergie s'est transformée en intolérance et par la suite a complètement disparue. Comme Scott Pilgrim, je mangerais du pain à l'ail à tous les repas, mais ça fait engraisser :(

Modifié par TiffanyTendo
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Mon filleul est autiste.

Une de mes soeurs, sa mère, a lâché sa pratique de droit pour se documenter sur cette infirmité et intervenir à plein temps pour son kid. C'était dans les années 90. Les autistes ont un menu très limité. Généralement 2 ou 3 aliments. Ma soeur avait entrepris de déclassifier son tiga comme autiste, en le conditionnant pour éliminer tous les symptômes de l'autisme répertoriés dans le DSM4. Un de ces symptômes était une limite du nombre d'aliments que le patient pouvait manger. Je ne me souviens pas du nombre. Je me souviens cependant qu'elle voulait maintenir ce nombre au-dessus de 5.

Une fois j'étais chez-elle. Le tiga, âgé de 2 ou 3 ans était assis à table avec sa grande soeur âgée de 4 ans, sa mère, son père, son mononcle-fou et parrain, et avec le chien, un Golden Labrador couché dans son coin-de-l'heure-du-repas-des-humains. Fallait que le tiga mange un morceau de saucisse. Le tiga était down to 3 aliments. Fallait qu'il remonte la côte. Maman était en charge. Le tiga le mâchait, pis essayait de l'avaler, pis là, il avait un reflexe pis le régurgitait dans la main de sa mère. Pis y voulait pas recommencer. Pis toute la table on l'encourageait, envoye, enwoye, mange, mange,Tipirate.... Pis le tiga y essayait. Pis y régurgitait, pis y regardait sa mère: «Maman, DANS TA CHAMBRE, DANS TA CHAMBRE» il demandait à être puni, d'être chassé dans sa chambre. Maman tenait le coup: «juste une bouchée, Tipirate». Pis un mandné, il a réussi à en avaler un.

On a tous applaudi. Il nous a regardé, nous a souri, puis est sorti de table, libéré.

Aujourd'hui, il est deuxième de sa promotion du programme International, pis y parle anglais avec un accent British.

Crisse les jeunes sont hots. :happy:

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C'est une réaction tout à fait physique que j'ai par rapport aux tomates. Mon ouverture s'esprit (d'enfant) n'a rien à avoir la-dedans, selon moi.

J'aurais aimé des faits documentés :(

Je comprends pas trop ce que la culture peut avoir à jouer la-dedans, du moins, pour le cas de la tomate. Je suis le seul dans ma famille qui aime pas ça.

Je crois aussi que c'est psychologique. J'ai une amie qui a presque exactement le même dégout que toi pour les tomates sauf qu'elle , c'est les tomates chaudes qu'elle déteste.

Elle peut manger une tomate , boire du jus de tomates ect mais si il s'agit de sauce à spaguettis ou bien de sauce à pizza , là ca se mange juste pas parce que c'est des tomates chaudes et des tomates ca a pas d'affaire à être chaud.

Son frère qui a le même problème ou presque avait déjà été se cacher dans les toilettes parce qu'il y avait de la sauce tomate sur mes pâtes... Comme quoi l'odeur de merde est plus attrayante...

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T'aimerais avoir mon concept physique comme quoi je pense que je bouffe un être vivant quand je bouffe une banane?

Et de + je crois sincèrement que ça sera découvert que sait pour de vrai un être vivant dans le futur.

Vous bouffez quand c vivant yeurk

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Une alimentation variée guérit ou atténue les symptômes de l'autisme? Comment?

Dans le fond, le message du pirate n'a pas de lien direct avec le fait d'aimer ou de ne pas aimer un aliment précis. Chez les autistes, ce n'est pas nécessaire une question de goût car toute forme de changement est source de grande angoisse chez eux. Et ça s'applique aussi à la nourriture (couleur, texture, température). C'est la raison pour laquelle leur alimentation est extrêmement limitée. L'introduction d'un nouvel aliment n'est pas une tâche facile pour les parents puisque leur enfant peut prendre un temps considérable pour s'y adapter, et peut-être même jamais y arriver.

Les autistes de haut niveau "Asperger" peuvent très bien réussir des études supérieures sans jamais parvenir à boutonner leur chemise correctement.

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