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Mikhaïl Barychnikoff
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'' En 92, toujours en Allemagne, le rôle principal était tenu par Ron Jeremy, l’un des acteurs qui ont marqué l’histoire du porno et – je crois bien – le plus ancien encore en exercice ! Or malgré sa réputation de grand pro, les filles avaient la terreur de travailler avec lui. Il avait un ventre énorme, des poils partout et un sexe d’une taille vraiment impressionnante ; pour couronner le tout, il transpirait abondamment et puait affreusement la sueur.

Le tournage avait démarré depuis une semaine et, tous les jours, Ron allait voir Teresa Orlowsky, la productrice, dont il recevait inévitablement la même réponse.

— Je suis désolée, Ron, mais aucune actrice ne veut travailler avec toi. Je ne sais pas quoi faire. Si tu veux, tu peux rentrer aux États-Unis.

Il était désespéré. Ron m’était sympathique et, comme j’avais un bon feeling avec Nathalie, une actrice française, je l’ai suppliée de faire un effort. Nathalie a fini par accepter et nous sommes tous partis pour le plateau l’après-midi même. Nous tournions sur un petit lac, c’était l’été et il faisait une chaleur terrible. Le réalisateur était sur le point de dire « action », nous étions fin prêts pour la scène quand a surgi en courant le couple d’acteurs qui jouaient juste avant nous.

— Tirez-vous ! C’est dangereux ! Ça grouille de moustiques géants !

Ron aurait préféré être mort ! Après toutes ces galères, il ne manquait plus que des moustiques pour l’empêcher de bosser ! Je l’ai vu se décomposer.

— T’inquiète, Ron, c’est pas des moustiques qui vont nous arrêter ! lui ai-je dit.

Et nous nous sommes apprêtés à reprendre la scène. Je tenais le rôle de l’amant et lui, celui du voyeur qui venait mater en cachette. Il commençait à faire trop chaud. J’allais déplacer Nathalie pour la mettre sur moi lorsque j’ai vu ses traits se figer. Les yeux écarquillés, elle regardait au loin, puis elle s’est mise à hurler. Une nuée noire et dense d’énormes moustiques fondait sur nous. Était-ce d’ailleurs réellement des moustiques ? Je ne le sais toujours pas. Toujours est-il qu’en moins de cinq secondes, ils nous ont attaqués et complètement cernés. Ils faisaient un vrombissement assourdissant. Nous avons foncé dans le van de la production, en tentant de nous protéger au mieux. Lorsque nous avons réussi à nous y enfermer, j’ai dû m’allonger. J’étais congelé, tout le venin que les insectes m’avaient injecté commençait à produire son effet. J’avais une trouille bleue. J’étais couvert de piqûres sur tout le corps, mais ce qui m’inquiétait le plus, c’était celles de mon sexe. J’en avais une vingtaine autour du gland. Je ne savais qu’en penser ni quel genre de risque je courais.

Le soir, Jeremy a raconté à tout le reste de l’équipe sa version de l’histoire.

— Cet après-midi, on a été livrés en pâture aux moustiques. Moi j’ai eu de la chance parce que le chef moustique du peloton allemand m’a visé en premier et il a aussitôt recraché mon sang d’un air dégoûté. Il s’est aperçu que j’étais un juif américain. Et puis il a vu Rocco, qui est Italien et pas juif, et le chef moustique a crié à ses troupes de se jeter sur lui !

Incroyable mais vrai ! Ce type n’avait qu’une seule piqûre sur tout le corps.

— Il paraît que les moustiques ont les mêmes goûts que les artistes ! lui ai-je répondu du tac au tac.

La semaine suivante, j’ai dû tourner plusieurs scènes et j’ai souffert le martyre car mon sexe était gonflé, douloureux et couvert de petits cratères ouverts. Mais il fallait que je tienne encore une semaine ! Les mains, la bouche, le sexe des actrices, tout me faisait atrocement mal. ''

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