Les violences de l'extrême droite

[Замри, умри, воскресни]

LOL.

[Yacou]

Il y a 2 heures, Tomás de Torquemada a dit :

Premierement je ne te dois RIEN. et deuxiement si tu crois que le gouvernement américain actuel est fasciste, svp ne parle pas d'intelec... cane fait que démontrer ton ignorance et ton biais idéologique et ca devient genant...pourquoi je discuterais avec une personne qui crois que l'état américain est facho..

Bonus :




 

Il y a 2 heures, John Rick Jr a dit :

Et pourquoi tant de haine, W00t ; ils t'ont fait quoi, les leftristes de chez toé pour en arriver à ce raisonnement pas très peace & love.

Des empêcheurs d'oppresser en rond.
Quelle ignominie.

[Yacou]

Au fait @Tomás de Torquemada, quels pays arabo-musulmans sont fascistes ?

[John Rick Jr]

Il y a 15 heures, Замри, умри, воскресни a dit :

LOL.

OU PAS.

 

Il y a 13 heures, Yacou a dit :

Bonus :




 

Des empêcheurs d'oppresser en rond.
Quelle ignominie.

J'en ai croisés quelques-uns à matin. Devine où ? Je te le donne en mille : sur un rond-point en train de se partager une baguette de pain à 3. L'un d'entre était même sur une chaise en plastique.

Pauvre France.

Ce fut à peine si je les ai ignorés du regard, le buste glonflé à bloc et la tête haute.

Une belle bande de gros déguelasses, ni plus ni moins.

[Yacou]

« Partager  » ?
Quelle horreur.

J'ai oublié d'envoyer la conclusion à la non-réponse de w00t the fuck :

  

T'as tort

Dans le monde académique, parmi les commentateurs du concept, la profondeur et l'origine des liens entre l'islamisme et le fascisme sont controversées.

La philosophe et sociologue algérienne Marieme Helie Lucas note que si « les historiens puristes refusent généralement le terme fascisme, au motif que l'on ne saurait comparer deux périodes historiques, deux stades de développement économique et deux aires géographiques dissemblables », il convient de pointer ce que l'islamisme et le fascisme ont en commun par exemple le mythe des origines aryennes du nazisme ou le passé glorieux de la Rome antique pour le fascisme italien, à mettre en comparaison avec le prétendu « âge d'or de l'islam » des intégristes, ce qui légitime aux yeux de ces derniers le droit d'éliminer une partie de la population (les Juifs, les Tsiganes ou encore les homosexuels pour les premiers, les « mécréants » pour les seconds). Elle note aussi que le fascisme comme l'islamisme s'accommodent du capitalisme, ce qui expliquerait selon elle la tolérance des gouvernements occidentaux à l'égard de cette idéologie^[23].

L'historien Nicolas Lebourg — qui considère que le concept d'islamofascisme est « vide de sens » — écrit : « Le fascisme c’est un parti-milice de masse qui veut produire un homme nouveau par un État totalitaire et la guerre impérialiste. Or, non seulement on voit bien que ça n’a guère de rapport, mais le 11 septembre et le 13 novembre ce sont des réseaux fluides, planétarisés, transnationaux qui ont frappé. Cet islamisme participe des formes de la globalisation et de la post-modernité : c’est un monstre d’aujourd’hui »^[24]. Nicolas Lebourg affirme que la notion d'islamofascisme est « rejetée par tous les historiens »^[25].

Pour l'historien Marc Crapez, « sur le fond, la comparaison entre islamisme et fascisme semble adéquate quant au traitement brutal des opposants et à une vision du monde, Hassan al-Banna louant, par exemple, un 'système total… arbitre final de tous les aspects de la vie' ». Il estime également que si « [l]a comparaison n'est guère indiquée en ce qui concerne le fascisme comme mode de gouvernement, (…) elle semble fondée si l'on considère le fascisme comme mode de pensée ou sensibilité »^[26].

Pour le politologue Jean-Yves Camus, spécialiste des groupes radicaux islamistes, le terme « nazislamisme », comme celui d'« islamo-fascisme » est « dénué de pertinence scientifique », et a un caractère purement polémique^[7]. Selon lui, il manque à l'islamisme « la plupart des critères sélectionnés par les experts sérieux pour caractériser le mouvement de fascisme »^[27]. Le fascisme est une idéologie de l'homme nouveau, alors que l'islamisme veut le retour à un âge d'or ; le fascisme a une image positive de la modernité (les néofascistes italiens de CasaPound se réclament du turbofascisme), alors que l'islamisme est du côté du fixisme. Le fascisme a le culte de l'État total, là où l'islamisme s'accommode très bien de l'État faible « voire, dans sa variante radicale, évacue totalement l'impératif de l'État »^[28]. L'idéologie islamiste ne prône ni une économie d'État, ni une hostilité à l'économie de marché, elle n'est pas anticonservatrice, comme dans la définition du totalitarisme de Stanley Payne. Elle ne met pas non plus en valeur une renaissance nationale sur des bases ethniques selon la définition de Roger Griffin^[29]. Jean-Yves Camus relève cependant des similitudes avec « l'idéologie d'extrême-droite » : « les partis islamistes veulent construire un État qui, bien que non ethnique, donne des droits civils différents et non égaux aux personnes en fonction de leur religion et discrimine les non-musulmans et les femmes qui, dans un "État-charia", sont des citoyens de deuxième classe ; les islamistes refusent la laïcité et sont très méfiants envers la démocratie ; ils méprisent l'Occident et ses valeurs […] »^[30].

L'historien spécialiste de l’antisémitisme Georges Bensoussan pense que le terme « islamo-fasciste » n'est pas adapté pour qualifier l'État islamique, car le fascisme est un concept européen qui ne rend pas compte de l'aspect complètement étranger de Daech ; mais reconnait que l'idéologie totalitaire est un trait commun à la Gestapo et à l'État islamique^[31].

Pour François-Bernard Huyghe — chercheur à l'Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS) —, le terme d'« islamofascisme » n'est pas pertinent et nie « les énormes différences idéologiques entre fascistes et terroristes islamistes » : « Il y a d'un côté le fascisme, né avec Mussolini, qui a la volonté d'installer un pouvoir laïque, avec un chef charismatique et autoproclamé comme seul maître, de créer une nouvelle histoire en faisant briller un seul peuple du fait de sa supériorité sur les autres, dit-il. Puis de l'autre, les djihadistes de Daech qui veulent un califat islamique, avec un chef choisi par Dieu. Surtout, ils ne veulent pas créer une nouvelle ère, ils veulent justement revenir à un mode de vie datant du VII^e siècle en suivant un texte religieux. On ne peut pas faire plus opposés »^[32].

Pour Stefan Durand, si « certains éléments du fascisme traditionnel peuvent assurément être décelés dans des mouvements fondamentalistes musulmans : la dimension paramilitaire, le sentiment d’humiliation et le culte du chef charismatique (dans une mesure toutefois relative et peu comparable avec les cultes du Duce ou du Führer) [;] toutes les autres dimensions (nationalisme expansionniste, corporatisme, bureaucratie, culte du corps…), fondamentales, du fascisme font généralement défaut ». Selon lui, la notion d'islamofascisme n'est qu'un amalgame qui a pour but de recycler la « guerre contre le terrorisme » en « guerre contre le fascisme islamique » en regroupant des organisations aussi différentes que « Al-Qaïda, les Frères musulmans, le Hamas, le Hezbollah…), faisant de ces mouvements les successeurs du nazisme et du communisme »^[33],[34].

Henry Laurens renvoie dos à dos la lutte contre un islamofascisme et un anti-impérialisme, les deux naissant de moments historiques sacralisés différents : « On rencontre chez les néo-conservateurs et dans les mouvances annexes une logique de reproduction du discours antérieur. C’est ainsi qu’on a créé le concept d’« islamo-fascisme », qui permet de restaurer l’antifascisme. Il est amusant de constater que François Furet a voulu éliminer l’antifascisme de la tradition démocratique, alors qu’aujourd’hui on le reproduit avec l’islam »^[35]. Si, pour l'auteur, le fascisme est mal connu des musulmans et que ceux-ci ont « eu tendance à s’en réjouir à l’époque où il se produisait », ils ont intégré l'idée d'antifascisme et préfèrent se référer à l'impérialisme et la colonisation. Pour résumer, « Les Occidentaux, en tout cas certains d’entre eux, rejouent en permanence l’antifascisme, tandis que les autres rejouent l’anti-impérialisme, comme si on avait une compulsion de répétition qui nous renvoyait cinquante ans en arrière »^[35].

 

[Yacou]

 

C'est pas un aveu, ça ?

Antifa, ça veut toujours dire « antifascistses », c'est absolument pas une organisation et Trump le sait très bien.

Sachant ça, qui à part un fasciste a un intérêt à les diaboliser ?

 

Les ou « nous », d'ailleurs, avec les dizaines de milliers de personnes qui gueulaient des slogans antifascistses y a une semaine (et sans doute aujourd'hui).

[Yacou]

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C'est clairement les étrangers, le problème de la France.

 

 

[Yacou]

 

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[Tomás de Torquemada]

Le 2025-09-17 à 19:20, Yacou a dit :

Bonus :




 

Des empêcheurs d'oppresser en rond.
Quelle ignominie.

c'est interessant les reponses de chatgpt, mais tu ne lui montre pas tout le contexte...

[Yacou]

Il y a 2 heures, Tomás de Torquemada a dit :

c'est interessant les reponses de chatgpt, mais tu ne lui montre pas tout le contexte...

C'est bien malheureux que ce soit le seul truc que tu puisses répondre. Dasri avait (encore) raison : tu viens dire de la merde et quand on te reprend, tu pars te cacher faute de pouvoir défendre ta position.

T'es lamentable.

Le plus minable parmi les minables, ça vaut même plus la peine de te lire.

[Yacou]

Le 2025-09-13 à 19:20, BaeuRouge a dit :

Quand on prêche pour voir son pays envahi par des puissances étrangères hostiles, on se fait discret sur le sujet de la Résistance, Yacou. Garde un peu de décence ça te fera du bien. Tu vaux pas mieux qu'un collabo au vu de la situation, simplement comme la situation générale a évoluée tu t'en rends pas compte. Reste discret là-dessus, crois-moi ça vaut mieux

Tiens, cadeau vu que je sais que t'aimes bien la culture YouTube.

Ça explique très bien pourquoi c'est toi le collabo, que ta mouvance descend directement du nazisme et même pourquoi tu penses que c'est nous les collabos.

Je serais assez triste si on pouvait résumer 99 % du contenu de mes interventions dans une seule vidéo.

[Yacou]

Le 2025-09-15 à 23:05, Tomás de Torquemada a dit :

 

J'ai voulu regarder par curiosité, je comprends tes points de vue si t'es assez débile pour croire ce que ces blaireaux disent (j'aime bien comme il dit « des experts » mais pas dans quels domaines, ça veut strictement rien dire).

J'ai dû faire trois minutes et y a tellement de trucs faux (des faits, c'est vérifiable) que j'hésite à faire une liste.
 

[Yacou]

Depuis le temps que YouTube me proposait ça, j'ai cliqué.

@BaeuRouge & @Tomás de Torquemada, vous êtes encore plus pathétiques que je le pensais, vous vous faites laver le cerveau par ce genre de débiles pour ensuite répéter leur propagande.

Et si ce rejet de la démocratie est pas clairement un des piliers de l'extrême droite…
Bordel que ça vole bas, chez vous.


L'extrême droite est très diverse. Sa définition stricte fait l'objet de débats auprès des historiens et des politologues, mais ses fondements idéologiques reposent principalement sur ces trois points^[1] : le rejet de l'immigration, justifié par une vision organiciste de la société, fermée et homogène, définie par la nationalité, l’ethnie ou la race^[2],[3]; un projet autoritaire qui valorise l'obéissance aux autorités, aux traditions, aux hiérarchies sociales, à rebours des valeurs de la démocratie libérale et de la prééminence du droit^[4],[5]; et enfin une rhétorique antisystème portée par un rejet des élites, jugées corrompues, décadentes ou éloignées du peuple.

[Замри, умри, воскресни]

La démocratie est un complot judéo-maconnique.
 

Révélation

 

[Tomás de Torquemada]

Il y a 6 heures, Yacou a dit :

le rejet de l'immigration, justifié par une vision organiciste de la société, fermée et homogène, définie par la nationalité, l’ethnie ou la race^[2],[3]; un projet autoritaire qui valorise l'obéissance aux autorités, aux traditions, aux hiérarchies sociales, à rebours des valeurs de la démocratie libérale et de la prééminence du droit^[4

Tu parles des pays islamiques??

[Yacou]

il y a une heure, Tomás de Torquemada a dit :

Tu parles des pays islamiques??

L'islamisme est pas un fascisme, tu le saurais si t'avais essayé de lire ce que j'ai posté.

Tu dois avoir du mal quand y a plus de trois lignes, faudrait faire des vidéos éducatives pour les droitardés (je crois que c'est la première fois que j'utilise ce mot, il te va à la perfection).

Et un pays islamique, c'est juste un pays avec une religion. Dasri a déjà expliqué, mais… tu sais pas lire, c'est vrai.

[Tomás de Torquemada]

Il y a 11 heures, Yacou a dit :

L'islamisme est pas un fascisme, tu le saurais si t'avais essayé de lire ce que j'ai posté.

Tu dois avoir du mal quand y a plus de trois lignes, faudrait faire des vidéos éducatives pour les droitardés (je crois que c'est la première fois que j'utilise ce mot, il te va à la perfection).

Et un pays islamique, c'est juste un pays avec une religion. Dasri a déjà expliqué, mais… tu sais pas lire, c'est vrai.

 Dasri ....toute une source ouais..

Il y a 19 heures, Yacou a dit :

le rejet de l'immigration, justifié par une vision organiciste de la société, fermée et homogène, définie par la nationalité, l’ethnie ou la race^[2],[3]; un projet autoritaire qui valorise l'obéissance aux autorités, aux traditions, aux hiérarchies sociales, à rebours des valeurs de la démocratie libérale et de la prééminence du droit

tu parles de pays africains?

[Tokyo Eyes]

Il y a 3 heures, Tomás de Torquemada a dit :

Dasri ....toute une source ouais..

Je suis curieuse de connaitre tes sources pour dire le contraire mais j'ai pas non plus envie de voir une photo de ton trou du cul. 

[Yacou]

Ah ben oui, il a pas lu qu'il pouvait pas lire.

il y a 33 minutes, Tokyo Eyes a dit :

trou du cul

Viens t'entraîner à viser, toi !

[John Rick Jr]

Vamos Tom Tom.

It's time de rentrer chez toi.

Car, icitte, esti, on n'est pas au Coicoukébèque.