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Commentaires recommandés

Les chiens tuent réellement 25 000 humains chaque année? Wtf?!

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C'est écrit de la rage entre parenthèse.suffit d'uen erraflure d'une griffe ou d'une petite morsure. Pas besoin de se faire arracher la gorge.

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J'espère qu'un jour un John Hammond du futur récupérera mon ADN dans un moustique prisonnier de l'ambre.

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Et dans le haut de la pyramide: l'ours

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The 750,000 black bears of North America kill less than one person per year on the average, while 1 out of each 16,000 people commits murder each year across North America.

Can we co-exist with black bears? The residents of Hemlock Farms, Pennsylvania suggest we can. Seven thousand residents share their seven square mile town with over 20 black bears. That's 3 bears per square mile, a higher density than is found in any national park. In that town, seeing a bear is not a problem - they enjoy seeing the bears.

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http://www.bear.org/website/bear-pages/black-bear/bears-a-humans/119-how-dangerous-are-black-bears.html

https://en.wikipedia.org/wiki/List_of_fatal_bear_attacks_in_North_America#2010s

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L’Ours noir est plus petit que l’Ours polaire et l’Ours brun.

L'ours noir (Ursus americanus) est l'ours le plus commun en Amérique du Nord. Il se rencontre dans une aire géographique qui s'étend du nord du Canada et de l'Alaska au nord du Mexique, et des côtes atlantiques aux côtes pacifiques de l'Amérique du Nord.

La population d'ours noirs était sans doute de deux millions d'individus autrefois. Aujourd'hui, l'espèce est protégée et on estime qu'il existe entre 500 000 et 750 000 ours noirs sur ce continent.

En Amérique du Nord, l’ours brun est réparti de l’Est de l’Alaska aux territoires du Nord-Ouest, et plus au sud se trouve en Colombie-Britannique et dans la moitié occidentale de l’Alberta.

La population totale des ours bruns est estimée à environ 200 000 dans le monde. Les plus grandes populations vivent en Russie, avec 120 000 ours, aux États-Unis avec 32 500 ours et au Canada avec 21 750 ours. En Europe, il y en a environ 14 000, séparés en dix populations distinctes.

Sur les îles de l’archipel de Kodiak, la population est estimée à un peu plus de 3 500 individus. Grâce à la protection dont elle fait l’objet, la population a sensiblement augmenté ces 20 dernières années. Il y a environ 14 000 personnes qui vivent sur l’archipel. Très peu d’incidents avec les ours ont été rapportés. Un accident mortel a eu lieu en 1999 mais il ne s’agissait pas d’une attaque volontaire. L’ours s’est simplement défendu face à un chasseur.

Les ratons-laveurs et les ours ont divergé il y a environ 30 Ma. L'ours à lunettes s'est séparé des autres ours il y a environ 13 Ma. Les 6 espèces distinctes d'ours sont apparues il y a environ 6 millions d'années. Les témoignages fossiles et l'analyse de leur ADN ont permis de montrer que l'ours blanc et l'ours brun ont divergé il y a environ 150 000 ans.

L'ours blanc et le grizzli peuvent encore s'hybrider pour donner un animal connu dans les pays anglophones sous le nom de grolar ou de pizzly

Bien que l'hybridation puisse être un phénomène naturel participant à la diversité biologique, des chercheurs américains redoutent qu'elle entraîne une disparition plus rapide de l'ours polaire et que le grolar soit moins adapté à son environnement dans les cas où elle serait provoquée artificiellement par l'homme. D'autres scientifiques mettent en avant le risque de troubles physiques et comportementaux chez ces espèces, les grolars pourraient par exemple avoir des difficultés à résister aussi bien que l'ours blanc au grand froid. De même, certains pizzlies observés dans un zoo allemand ont montré une moins bonne aptitude à la nage que l'ours arctique.

Au contraire, certains scientifiques voient le grolar comme le sauveur de l'ours blanc, menacé par le réchauffement climatique4. L'ours blanc, dont le territoire et la nourriture disparaissent, pourrait, par exemple, survivre en se croisant avec le grizzly et s'adapter en mangeant, comme lui, des fruits ou des oiseaux.

En tant que prédateur carnivore et consommateur de poissons, l'ours blanc ingère de grandes quantités de vitamine A, qui sont stockées dans son foie. Par le passé, des explorateurs de l'Arctique se sont souvent empoisonnés en mangeant le foie d'un ours blanc, en raison d'une surdose de vitamine A.

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Bah, les chiens sont capables de bouffer du monde. Dans certains pays les chiens errant trainent en bande et sont pas commode.

Mon ami a du se battre ( pitcher de l'eau et se barrer en courant) contre une meute dans les balkans. Je crois qu'un membre du dep avait parlé d'une experience similaire..

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Souvent dérangé et effrayé par l'homme et obligé de se cacher le jour, il doit se nourrir, plus difficilement, la nuit ou par mauvais temps. Mal nourri à l'automne, il se réveille plus tôt et peut être plus encore tenté par les moutons ou ruches non surveillés ou mal protégés.

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The Irish family name "McMahon" means "Son of Bear" in Irish.

In Switzerland, the male first name "Urs" is especially popular, while the name of the canton and city of Bern is derived from Bär, German for bear.

In Scandinavia, the male personal names Björn (Sweden, Iceland) and Bjørn (Norway, Denmark), meaning "bear", are relatively common.

In Russian and other Slavic languages, the word for bear, medved (медведь), and variants or derivatives, such as Medvedev, are common surnames

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In the stock market, a bear market is a period of declining prices. Pessimistic forecasting or negative activity is said to be bearish (due to the stereotypical posture of bears looking downwards), and one who expresses bearish sentiment is a bear. Its opposite is a bull market, and bullish sentiment from bulls.

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Bah, les chiens sont capables de bouffer du monde. Dans certains pays les chiens errant trainent en bande et sont pas commode.

Mon ami a du se battre ( pitcher de l'eau et se barrer en courant) contre une meute dans les balkans. Je crois qu'un membre du dep avait parlé d'une experience similaire..

Un chien qui a la rage est justement très agressif.

Le chien aura encore plus tendance à choisir pour proie les animaux qu’il ne doit pas manger en vertu uniquement de nos règles, mais qui représentent pour lui la victime idéale car ils sont de petite taille, courent à une vitesse accessible et ne disposent pas d’armes défensives particulièrement efficaces : c’est le cas des poules, des lapins et des chats. S’il ne les a jamais rencontrés pendant la phase de socialisation et n’a pas appris qu’ils appartiennent au genre humain, le chien poursuivra également les enfants, surtout si ces derniers se sauvent en criant à sa vue.

La balle, qui devient pour de nombreux chiens en phase de dressage la récompense la plus convoitée, représente elle aussi une proie. Plus que d’un mécanisme de remplacement, néanmoins, on peut davantage parler dans ce cas de néoténie, à savoir de maintien d’une caractéristique infantile.

Continuer à désirer follement ces menus objets (balles et boudins, pour le chien domestique) équivaut à rester au stade psychologique du chiot, comme cela se produit en réalité chez nos chiens néoténiques.

Les races situées le plus haut sur l’échelle néoténique (comme les lévriers et les chiens nordiques) manifestent généralement un très faible intérêt pour la balle dès qu’ils ont franchi l’étape de l’enfance, même s’il s’avère possible d’entretenir leur intérêt pour le jeu en faisant comprendre au chien que la balle est un intermédiaire permettant de bénéficier des attentions du maître.

....

Les loups, coyotes et chiens vivent pour leur part en meute. Leur structure sociale comprend entre deux (phase initiale) et quinze sujets au maximum.

Le nombre dépend presque toujours des ressources alimentaires présentes sur le territoire ; dans des conditions d’abondance absolue (comme celles reproduites parfois en captivité), les meutes peuvent compter jusqu’à vingt individus, après quoi on relève généralement une tendance à la division en deux sous-meutes distinctes. Dans la nature, une meute de loups rassemble en moyenne cinq à huit sujets.

les loups (et les chiens sauvages) en viennent très rarement à l’affrontement final susceptible de provoquer la mort de l’un des deux. Chez les chiens domestiques, malheureusement, les choses s’avèrent plus compliquées.

Il convient de savoir ce qu’il en est exactement, car bon nombre de livres et de traités d’éthologie ou de psychologie canine ont tendance à identifier tous les chiens à ceux fortement « lupoïdes ». Les races canines suivant aveuglément les règles d’une meute de loups sont en réalité relativement rares de nos jours et présentent par ailleurs en leur sein de grosses différences individuelles, souvent induites par l’homme.

Les races qualifiées de primitives et, plus généralement, celles les moins « gâchées » par la sélection ont effectivement encore un comportement très lupoïde : en cas de combat entre deux Huskies sibériens ou entre deux Chiens de Canaan, il est fort probable (mais pas sûr à 100 %) que le problème se réglera avec « plus de bruit que de besogne ».

Chez beaucoup d’autres races, en revanche, la sélection humaine a inhibé (plus ou moins volontairement) les signaux de soumission, de pacification, etc. Dans certains cas (Teckels et Terriers, par exemple), la sélection a engendré un chien hypertéméraire pour éviter qu’il ne batte en retraite devant des bêtes plus grosses et plus féroces que lui : les signaux de soumission (et la propension à fuir) se manifestent donc nettement moins souvent que chez d’autres races. Dans d’autres cas (Bulldog ou American Staffordshire Terrier), le but initial consistait – malheureusement – à obtenir des chiens prêts à s’entretuer pour la joie des parieurs.

Chez les loups, le chef de meute est toujours un mâle (chez les chiens, il peut s’agir indifféremment d’un mâle ou d’une femelle) appelé mâle alpha. La femelle de rang supérieur est à son tour qualifiée de femelle alpha. Les deux sujets de rang supérieur et de sexe opposé sont les seuls à s’accoupler une fois par an (et non deux, comme cela se passe en revanche chez les chiens).

ère Nature a pour principal objectif d’assurer la survie de l’espèce, et les animaux sauvages sont enclins à considérer la vie comme un bien précieux. D’un autre côté, pour que l’espèce survive, il faut absolument que le chef de meute soit le sujet le plus fort, le plus intelligent et le plus expérimenté : soit parce que, dans le cas contraire, il risquerait de mener tout le groupe à la ruine, soit parce qu’il est le seul à pouvoir s’accoupler et que son patrimoine génétique est celui qui garantira la continuité de l’espèce.

Plus il sera de haute qualité, plus l’espèce se fortifiera et aura davantage de chances de survivre. Le problème est donc le suivant : seul un combat permettra d’identifier le meilleur des deux candidats au poste de sujet alpha.

Mais dans le cas où le plus fort remporterait simplement la victoire et où l’autre serait tué, il se produirait deux conséquences désagréables :

- le vainqueur pourrait lui aussi être gravement blessé et risquerait de ne pas survivre.

- le patrimoine génétique représenté par le perdant serait sûrement perdu pour toujours, ce qui ne s’avérerait d’aucune utilité pour l’espèce.

Le simple fait d’avoir tenté de défier le vainqueur prouve que ce loup (ou chien) ne doit surtout pas être éliminé, car il s’agit d’un bon sujet, sain, courageux et sûr de lui. Peut-être l’est-il « moins » que son collègue, mais sa mort équivaudrait quoi qu’il en soit à un stupide gaspillage biologique.

Dans la mesure où mère Nature rejette catégoriquement ce concept, le problème a été résolu par la ritualisation. Avant d’arriver véritablement à se mordre, les deux adversaires suivent un schéma d’attitudes et de mimiques qui suffit très souvent à distribuer les rôles. La « scénographie » s’avère très rarement insuffisante et évite en général de passer aux voies de fait.

Ces rituels consistent en une série de mimiques corporelles et faciales ; général, l’animal se « grossit » ou se « rapetisse », le corps constituant soit une marque de domination, soit de soumission. Une queue haute, une tête bien droite avec des oreilles pointées en avant, etc., représentent par conséquent des signaux de force, et leurs contraires (tête basse, oreilles rabattues en arrière, queue entre les pattes, etc.), des signaux de faiblesse.

Le regard revêt une importance spécifique : un regard fixe et attentif traduit la domination, et un regard bas et/ou fuyant la soumission. En cas de conflit, par conséquent, le loup qui s’estime dominant adoptera les postures classiques du chef, en menaçant l’adversaire par des mimiques corporelles et faciales ; l’autre réagira soit par la même attitude dominante, soit par un comportement mal assuré qui se transformera peu de temps après en marques de soumission. Mais tout n’est pas toujours blanc ou bien noir, au contraire !

Dans la très grande majorité des affrontements, il n’y a pas un sujet A « complètement dominant » et un sujet B « complètement soumis » : si tel était le cas, il n’y aurait aucune raison de lancer le défi ! On voit en revanche beaucoup plus souvent des sujets qui, par exemple, s’avèrent « dominants devant et soumis derrière », en découvrant leurs dents, mais en gardant leur queue entre les pattes.

Dès les premières escarmouches, un spectateur expérimenté saisira assez facilement si l’un des adversaires finira par se rendre (en exposant son ventre dans le geste de soumission totale classique), s’il prendra la fuite (une réaction très fréquente quand un sujet refuse de se soumettre, mais se rend compte qu’il n’a pas non plus les moyens de dominer l’autre), ou s’il existe vraiment un risque de combat à mort. Les combats véritablement dramatiques sont rarissimes dans le cas du loup et du chien sauvage.

il arrive toujours le moment où l’un des loups réalise qu’il est inutile d’insister, car l’autre est le plus fort. Celui qui décide de se soumettre enverra des signaux de reddition parfaitement clairs, le plus courant d’entre eux consistant à se coucher sur le dos le ventre en l’air et à offrir sa gorge sans défense à l’adversaire. À ce moment, l’autre loup pourrait infliger une profonde morsure juste à cet endroit et régler définitivement le problème : et bien, il ne le fait pas !

En étant clair, cependant : il n’agit pas ainsi par respect d’un quelconque « code de chevalerie » l’empêchant de « tirer sur l’ambulance », mais simplement... parce qu’il ne le peut pas ! Face à un geste de soumission, en effet, le fameux mécanisme d’inhibition s’enclenche chez le chien dominant, un mécanisme inné chez les animaux sociaux et qui ne répond à aucune sorte de raisonnement « éthique ».

les loups de rang inférieur ne se considèrent absolument pas comme de pauvres petits et se trouvent très bien ainsi ! Il leur arrive peut-être de manger en dernier, de ne pas pouvoir s’accoupler et de devoir se renverser deux cents fois par jour pour prouver leur respect et leur soumission aux chefs, mais ils ne sont pas malheureux pour autant. C’est leur nature, ils la suivent et sont en paix avec eux-mêmes. Le seul moyen d’en faire de vrais malheureux consisterait à les contraindre de jouer un rôle qui ne leur revient pas et qu’ils ne sont pas en mesure d’assumer.

La meute n’est pas une structure fixe et immuable : quand par exemple le nombre de sujets devient trop élevé comparé aux ressources alimentaires du milieu, certains membres sont rejetés. Mais n’allez surtout pas imaginer que cette sanction s’applique aux sujets de rang inférieur (les pauvres petits susmentionnés), car cela ne se produit presque jamais.

Dans la plupart des cas, l’exclusion frappe en revanche les jeunes femelles (âgées de deux ou trois ans en moyenne), qui entrent en chaleur et, du même coup, en conflit avec la femelle alpha : pour peu qu’on en arrive à l’affrontement véritable et que la jeune femelle décide de se retirer, elle sera presque sûrement suivie par un mâle aussi jeune n’ayant jusqu’alors pas eu l’occasion de s’accoupler. Un nouveau couple se crée, qui donnera naissance à une nouvelle meute...

Dans certains cas, le mâle alpha en personne partage le sort de sa compagne, une attitude que seul l’amour peut dicter. Un conflit entre deux mâles s’avère complètement différent. Quand le mâle alpha doit capituler, il est presque toujours trop vieux ou trop faible pour susciter encore un intérêt quelconque chez les femelles.

Le pauvre loup a alors deux possibilités : soit il s’en va tout seul en espérant rencontrer une nouvelle compagne solitaire et recommencer à zéro, soit il reste en marge de son ancienne meute, sans plus pouvoir ni s’accoupler, ni participer aux autres activités sociales, et en se contentant des restes laissés par ses anciens compagnons pour se nourrir.

Ces loups tenus à l’écart (qualifiés de périphériques, en éthologie) ont généralement une faible espérance de vie, mais cela aussi sert à préserver l’espèce, à laquelle les sujets les plus faibles ne sont plus d’aucune utilité.

une femelle peut attaquer un mâle avec davantage de « méchanceté » et finir par le blesser. Cela survient surtout quand les chiennes ne sont pas en chaleur et subissent les assauts incessants du « maniaque sexuel » de service

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