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  1. Débat du jour. Au vu des preuves ci dessous, nous pouvons soulever la problématique du jour : Est-ce qu'être féministe radicale pousse une femme à renier la valeur de son apparence dite "féminine" ? Ou au contraire, devient-elle capable de valoriser son corps comme la plus belle chose qui soit, et de contrôler quand et comment être "sexy" ? Posons nous la question : En effet, si l'usage du rouge à lèvres et de la valorisation du corps féminin comme attribut de succès unique de la femme peut poser quelques questionnements, par exemple celui de la perfection et de la chirurgie esthétique, est-ce pour autant féministe de ne plus chercher à être belle ? On peut se poser la question de la demi-mesure. Est-ce qu'en comprenant l'illusion de la perfection physique, on pourrait autant garder une vision du corps de la femme comme différent de celui de l'homme. Certaines féministes pensent qu'une femme peut autant être une femme malgré sa ressemblance avec un corps masculin. Moi, je me demande si on bascule pas déja dans le transgenrisme et la volonté de mélanger tout le monde. Il me semble que non, physiologiquement, une femme née avec des seins pour allaiter, une matrice pour engendrer, elle n'a pas d'autre raison que de ressembler à la fonction que son corps va lui donner. Pourquoi, par exemple, s'évertuer à se couper les cheveux ? Parce que c'est un symbole de féminité. On s'attaque donc directement à la beauté féminine, on l'agresse, on se dit qu'elle n'a pas à prendre toute cette place. Ainsi, on devient "moche" pour la société. Parfois on est lesbienne, ce qui arrange pas mal la définition des rôles-polarités de nature, qui fait la femme, qui fait l'homme; "ben celle qui fait camionneuse, un gros bide, et qui a la tête rasé sur les côtés, pardi". Mais cette problématique de la beauté féminine, elle reste complexe. A-t-on le droit d'être volontairement moche, tout en étant belle, lorsqu'on est une femme ? Personnellement, je ne sais pas. Car d'un autre côté, nous avons le féminisme kawaii de certaines cruc...ingénues, qui ne manquent pas d'air dans leurs protèses pour proférer leurs jérémiades d'enfant de 8 ans. Ici j'ai nommé, Emily Ratajkowski, mannequin potiche qui a été découverte dans Blurred Lines, ce clip évoquant le viol et ses zones de flou, et entre autres, maîtresse-débile de Ben Affleck dans Gone girl, où même sa bonne femme blonde est plus fûtée qu'elle. Une blonde plus futée qu'une brune, c'est décidément la fin des haricots. lololol Et là, désolée, mais je vais prendre parti, directement. Commençons par cette photo : Personnellement j'ai envie de rire, surtout quand je sais qu'après ça, madame emily veut parler du "corps idéal". Allons donc ma grande, qu'as-tu a nous dire là dessus, toi dont le body est fait sur un moule publicitaire ? Pitié, mais pendez là. Emily, pourrais-tu prendre 3 kilos dans le ventre et te faire réduire les roploplo ? Histoire de voir si tu te sens encore belle sur ton fucking cheval d'Henri IV ? Non... C'est vrai qu'on se sent beaucoup plus belle lorsqu'on corresponds à ce que la société attends de toi. Emily, donc, sois belle et tais toi. Mais quand même, j'aimerai connaitre ses autres revendications à la pine d'huitre sexai, là. Donc, Vanity Fair titre " Ni pute ni soumise, Emily réinvente le féminisme à l'heure d'Instagram" Ah oui, c'est vrai, instagram. Un endroit où des légions de gamines de 14 ans se lancent dans le bellydancing en tirant la langue, se singeant les unes et les autres avec tous les attributs des femmes mures ; ou bien s'exposent leur dernière chirurgie en date, à 16 ans à peine. Instagram est le terrain de ces jeunes filles qui vont ensuite pleurer à chaudes larmes contre leurs haters dans des videos live où elles rappellent avec frisson la Série Black mirror. Donc, soir disant, Emily réinvente le féminisme de ce réseau social ou Kylie Jenner et Kim Kardashian sont les reines. D'accord d'accord. Donc, dans les arguments d'Emily, nous avons : Oui, Emily, comme par exemple ce clip de merde où tu te trémousses en culotte pendant que 3 hommes en costards te caressent le cul pendant que tu mimes la surprise, candide et la bouche en coeur ? Bon, bon, bon. Je vais pas tirer sur l'ambulance. Analysons plutôt le message étrange qu'elle essaye péniblement de véhiculer. "Les gens partent du principe que les femmes sensuelles sont vulgaires" Mes excuses, mais Monica Bellucci n'a jamais été vulgaire, sensuelle oui. Même quand on tentait de la vulgariser, notamment dans Doberman, Monica semble encore et toujours être une femme à la beauté pure malgré son halo de séduction naturel. Je ne pense donc pas que la sensualité soit un réel problème pour la cause féministe. Etre sexy signifie jouer avec le regard des hommes. Oui mais non, il s'avère seulement que le sexe est vendeur, et que les femmes sont également vendeuses. Pourquoi ? Parce que la beauté plait, et que le sexe fascine. Si on allie l'un a l'autre, on se retrouve avec une idôle hypnotisante. Madonna est devenue un symbole de sexualité, c'est devenu son principal argument de vente. En réalité, avec pour seul talent -hum- sa voix et sans tout cet attirail marketing, Madonna n'aurait jamais connu un tel succès. C'est donc seulement grâce à cela qu'elle a pu rayonner autant, notamment dans les milieux Queer ou cette overdose de sexe était ovationnée et adulée. Mais Emily nous somme de regarder d'autres formes de sensualité pour les montrer en exemple aux jeunes filles. Et là j'ai envie de rigoler. La grosse blague. Nan mais franchement, faites la taire. En réalité, je doute que nous ayons besoin d'autres exemples, d'autres types de beauté, d'autres types de sensualité. Car peut-être avons nous seulement besoin de ne pas penser la réussite via l'apparence. Peut-être que la femme a besoin de se présenter autrement que par son "package" marketing. Mais ça, Emily semble à mille lieux de l'imaginer. Et pourtant "Même si le fait d'être réduite à sa sexualité par le regard de la société est dévalorisant, il devrait y avoir un espace où les femmes peuvent se sentir sexy quand elles le souhaitent" c'est l'aveu d'une poupée qui veut encore maîtriser un corps qu'elle a offert depuis longtemps en patûre de la société. "Même si", lol. Ca sert à rien de sauver ce féminisme bancal à base de "mon corps m'appartient", ce n'est pas crédible. "Leur instinct humains d'attirer l'attention et le désir". Sauf que ce n'est pas un besoin humain, c'est une pression sociale qui veut laisser croire aux femmes que pour se sentir heureuse, il faut absolument être belle selon les codes de la société, Emily. Même Kim Kardashian préfère balancer des boutades plutôt que de sortir des grands discours sans queue ni tête. Kim Kardashian dit qu'elle n'est pas féministe, et c'est bien là une valeur d'honnêteté dont Emily ne soit pas honorée. "Mon corps m'appartient" Aka "T'es pas ma mère, okayyy ?" de l'ado rebelle. Pathétique. Risible. Grandis, Emily. Ah ben oui, on mets le doigt dessus, encore. Pourquoi les hommes peuvent-ils être moches ? Et vieux ? Et nus sur scène ? Pourquoi les femmes qui, après avoir joué sur leur parties génitales et leurs atouts de charme semblent-elles ridicules après un certain âge ? Probablement par l'éternelle valorisation de la femme sur ses attributs physiques "jeunes", ne pense-tu pas ? Valorisation éternelle d'une jeunesse féminine sexualisée dont tu fais figure de proue à poser continuellement à poil avec tes mensurations type ? Qu'en penses-tu ? Bêtement, Emily semble tout simplement ne pas assumer son rôle de pancarte sexualisée. Mais à moins d'arrêter de se dévêtir, personne ne pourra la prendre au sérieux. Et même quand elle sera plus revêtue, imaginez bien à quel point il est difficile de la prendre au sérieux, à l'image de Scarlet et de sa filmographie de catin babylonnienne. Elle non plus, n'est pas crédible. Alors elle a coupé ses cheveux, probablement pour qu'on oublie quel bel objet sexuel elle était fût pourtant. Pourtant, il existe bien des exemples de féminisme militants qui arrivent à lier les deux aspects fondamentaux de la femme au cinéma, inhérent au patriarcat visuel de notre société contemporaine, le mythe de la Vierge et la Putain : Dans les films, si on regarde, les femmes n'ont que très rarement la chance d'incarner les deux aspects de cette pièce. Soit ce sont les mères, les épouses ou les vierges, soit ce sont les maîtresses, les amantes et les putains. L'imaginaire collectif reprends naturellement cette conception, mais n'arrive jamais à réunir les deux. Mais certaines femmes y tendent. J'en connais une, qui selon moi est l'une des plus grandes féministes de son époque. Non pas pour le quasi miracle d'avoir accompli des exploits de femme d'intelligence, de guerre, ni de politique, mais plutôt celui pour avoir réussi de lier une personnalité hautement sexuelle à la vision quasi religieuse de l'amour primaire comme solution de paix. Littéralement, elle pensait que le sexe était la solution ultime pour s'entendre et trouver la paix entre tous. Indic, chanteuse, animatrice de radio, actrice porno, politicienne, muse et femme de Jeff Koons, Ilona Staller, dite la Cicciolina, milita pour une éducation et une révolution sexuelle. Elle proposa notamment pour que les détenus puissent recevoir la visite de leurs partenaires pour faire l'amour alors qu'elle était devenue députée; après avoir animé pendant un temps un station de radio quasi érotique, elle devint une idôle pour les jeunes ainsi que tous les hommes seuls et démunis, dans leur misère sexuelle. Cette hongroise d'origine était venue briser la culture italienne par son approche du sexe, hippie et d'avant garde, dans une Italie engluée dans le puritanisme. Auréolée d'une couronne de fleur, un ours en peluche dans les bras, toujours douce et les traits d'une enfant, la Cicciolina est devenue une figure alliant l'amour du monde de la Vierge, et une putain de renom : une missionnaire de l'amour. Impossible de ne voir que la vierge, et impossible de ne juger comme une artisane du sexe. Le sexe était pour elle un tel don d'amour, qu'elle fit de multiples apparitions "militantes" seins nus et qu'elle se laissait fréquemment toucher le corps lors de ses concerts et bains de foules. Sources : http://www.vanityfair.fr/people/hollywood/diaporama/emily-ratajkowski-itineraire-dune-feministe-a-lheure-des-reseaux-sociaux/39358#emily-ratajkowski-itineraire-dune-feministe-a-lheure-des-reseaux-sociaux-9 http://www.returnofkings.com/114644/27-attractive-girls-who-became-ugly-freaks-because-of-feminism
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