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Facebook gold


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Facebook annonce l'arrivée d'applications payantes

Aujourd'hui, toutes les applications distribuées sur Facebook sont gratuites. Pour se rémunérer, des développeurs proposent à leurs utilisateurs des options payantes.

Facebook aurait lancé une phase de test pour une fonction permettant à un particulier de publier un statut sur sa Timeline moyennant une petite somme d’argent.

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En parallèle, le réseau social cherche aussi à augmenter le nombre d'utilisateurs des applications. Elle permet aussi, dans sa version mobile, de découvrir (et télécharger depuis leurs plateformes respectives) des applications iOS ou Android

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Yo dawg I herd you like apps ?

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Modifié par Bernhard Bernhardt
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Facebook va bientôt entrer en bourse.

En tant que société privée, elle doit en effet limiter le nombre de ses actionnaires à un maximum de 500.

Jusqu'à présent c'était une compagnie financée par des firmes de capital-risque.

Maintenant, ils doivent passer le reality check et faire miroiter une croissance rapide des profits à des investisseurs disons un peu moins patients.

Pour 2010, les recettes du site tournent autour de 1,5 milliard d'euros, avec un bénéfice de 375 millions.

Facebook ne facture que 5% des quelques 600 milliards de dollar dépensés chaque année dans le monde pour la publicité en ligne - alors qu'au moins une minute sur sept passées en ligne dans le monde est consacrée à Facebook.

«Facebook pourrait doubler ses recettes à court terme en bourrant plus de publicité sur ses pages, mais ce serait une stratégie à très court terme; deux ans plus tard les internautes quitteraient Facebook»

Plusieurs compagnies émettent des doutes sur la valeur de cet investissement publicitaire sur Facebook. PCWorld ajoute même que les publicités sur Google sont 10 fois plus efficaces que celles de Facebook.

Aujourd'hui chaque utilisateur lui rapporte entre 4 et 5 dollars, tandis que Google qui gagne par exemple 24 dollars par utilisateur, grâce à la publicité.

Le problème, c'est que Facebook gagne surtout de l'argent grâce à la publicité (82% du chiffre d'affaires) et qu'il est difficile d'en faire sur un écran de téléphone portable (plus de la moitié de son trafic).

Le site a été récemment estimé à 38 milliards d'euros.

À ce prix, Facebook vaut 100 fois son bénéfice annuel.

La plupart des entreprises technologiques américaines ne valent pas plus de 20 fois leur bénéfice annuel.

Lors d'une entrée en Bourse aux Etats-Unis, il est interdit de vendre à découvert, ou "shorter", une action. Le titre est donc resté dans le vert, vendredi. Grâce au soutien massif des banques ayant piloté l'introduction, les clients privilégiés n'ont pas perdu de l'argent. Mark Zuckerberg détient toujours 57 % des droits de vote.

La banque d'affaires Goldman Sachs est aussi un des investisseurs importants qui ont accompagné le développement de Facebook. La banque devait vendre initialement 22 % des parts qu'elle y détenait. Mais, peu avant l'entrée en Bourse, elle a décidé de se séparer de la moitié d'entre elles !

D'autres investisseurs importants ont suivi le même mouvement : la société de capital-risque Peter Thiel a mis en vente 50 % de ses actions, au lieu des 22 % prévus.

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D'après le site eGamingReview, le plus grand réseau social du monde devrait inaugurer dès début 2012 une offre de poker en argent réel en Grande-Bretagne, avant de l'étendre à d'autres pays selon leur législation.

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Le Wall Street Journal vient de publier un article passionnant qui décrit les coulisses du rachat d’Instagram par Facebook. On y apprend que c’est Mark Zuckerberg lui-même qui a géré l’opération à un milliard de dollars, en l’espace d’un weekend seulement ! Il n’a prévenu le conseil d’administration de Facebook que le dimanche de ses intentions, qui se sont concrétisées quelques heures après. D’après un anonyme proche du dossier cité par le journal, « le conseil a été prévenu, pas consulté ». Il a bien voté pour accepter l’acquisition, mais c’était « largement symbolique ».

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Mme Sandberg apparaît comme "la" véritable instigatrice de l'"évolution managériale" qui a perverti un réseau originel pour le transformer en machine à cash. Entrée chez Google en 2001, c'est elle qui a amplement contribué, comme directrice des ventes, à en faire le géant actuel de la publicité sur Internet, détenant sur certains segments des positions quasi monopolistiques. Passée chez Facebook en 2008, elle y a affermi sa position si rapidement que beaucoup se demandent qui, d'elle ou de Mark Zuckerberg, est le véritable patron, tant elle y fait figure de numéro un bis. C'est elle, aussi, qui a démontré aux multinationales - surtout celles qui visent la "ménagère de moins de 50 ans" - tout l'intérêt de s'intéresser à un réseau social où les femmes sont à la fois plus nombreuses, plus prescriptrices et détiennent en moyenne 8 % d'amis en plus que les hommes.

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Modifié par Bernhard Bernhardt
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Si ce n'est pas un hoax, le gold account handicapera facebook en très peu de temps.

Facebook profite de son énorme public, qui réciproquement profite de sa gratuité.

Ajouter une utilisation coûteuse et c'est le public qui diminue considérablement et donc tout le reste.

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Le freemium est pas mal répandu sur l'interweb. Je ne vois rien de scandaleux là dedans. Arrêtez de vous énerver le poil du chest avec ça.

Le système premium est bon malgré qu'il soit représentatif d’inégalités contemporaines. Il permet aux utilisateurs d'utiliser leurs comptes bridés gratuitement, et aux créateurs de tirer profit du tout. Un peu comme sur le dépotoir, et c'est un bon compromit.

Le tout est de trouver le bon équilibre dans tout ce micmac pour ne pas frustrer ni les premium accounts ni les free users.

Ce n'est pas énervant, ce qu'il faut se dire c'est que si jamais facebook dérape à ce niveau, d'autres prendront la place et la populace migrera relativement vite, comme beaucoup ont pu le faire de MSN, par exemple (autre cause, je prend l'exemple du phénomène migratoire lô).

Et puis, facebook profite énormément de ses publicités, attention à la gourmandise.

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Le système premium est bon malgré qu'il soit représentatif d’inégalités contemporaines. Il permet aux utilisateurs d'utiliser leurs comptes bridés gratuitement, et aux créateurs de tirer profit du tout. Un peu comme sur le dépotoir, et c'est un bon compromit.

Le tout est de trouver le bon équilibre dans tout ce micmac pour ne pas frustrer ni les premium accounts ni les free users.

Ce n'est pas énervant, ce qu'il faut se dire c'est que si jamais facebook dérape à ce niveau, d'autres prendront la place et la populace migrera relativement vite, comme beaucoup ont pu le faire de MSN, par exemple (autre cause, je prend l'exemple du phénomène migratoire lô).

Et puis, facebook profite énormément de ses publicités, attention à la gourmandise.

Say whaaaaaaaaat? : D

On peut pas comparer MSN et Facebook. MSN n'est qu'un service parmis des centaines proposés par Microsoft. C'est pas son coeur de métier le réseau social. Alors que Facebook ne propose que ça comme service. Et ce dernier sera bien plus réactif à l'évolution du secteur que Microsoft n'a pu l'être.

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Dans la page principale de Facebook ça disait pas que ce serait gratuit pour toujours?

Les premiums account, ça casse pas un peu cette philosophie?

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Dans le temps on pouvait acheter des cadeaux avec ces crédits. Quelqu'un a déjà essayé? Ça sert absolument à rien, il me semble.

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  • 3 semaines plus tard...

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