Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'avortement'.

  • Rechercher par étiquettes

    Facultatives. Les étiquettes facilitent le repérage et le triage. Aussi, elles peuvent surprendre ou déjouer le lecteur; soyez créatifs!
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forum

  • RÉCEPTION ET TRIAGE
  • NOS CONTENEURS
    • #0001 - MATIÈRES GÉNÉRALES
    • #0420 - MATIÈRES PSYCHIQUES
    • #0037 - MATIÈRES ARTISTIQUES
    • #0018 - MATIÈRES ORGANIQUES
  • ZONE CONTAMINÉE
    • FOSSE AUX RATS
  • ZONE PRÉSERVÉE
    • CENTRE D'INFORMATION

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Website URL


Twitter


Instagram


Skype


Steam


PSN


XBOX Live


Lieu


Référence

3 résultats trouvés

  1. John Welden a dupé sa copine enceinte de 7 semaines en lui faisant avaler une pilule abortive. Il a été condamné il y a quelques jours a 13 ans et 8 mois de prison. Cette affaire soulève pour moi une une idée forte intéressante : à qui donc, dans un couple, appartient le droit de décider si un enfant doit naître ou être avorté ? L'idée ici n'est pas de lancer un débat sur l'avortement (c'est une autre chose). Une femme qui décide de ne pas avoir l'enfant peut donc l'avorter sans avoir de compte à rendre avant 12 semaines de grossesse (en France), avançant que c'est « son corps donc son choix » l'homme n'a que peu de marge de manœuvre dans cette décision et il devra, quelque soit son envie, supporter au moins financièrement le poids de cet enfant. Mais la question va au-delà : même si c'est bien la femme qui abrite le fœtus pendant les neufs mois de développement cela ne change pas le fait que ce dernier est le fruit des deux parents. Quel est donc votre point de vu la-dessus ? J'avoue que la question est délicate, mais même si une femme est libre de corps (ce dont je suis tout à fait d'accord) est-elle pour autant totalement et incontestablement libre de mettre au monde ou pas un enfant qui ne sera pas que le sien ?
  2. Salut salut! Je ne vais pas étaler ici mon propre point de vue, un peu plus tard sans doute, mais pas maintenant. Au cours des dernières semaines, j'ai eu des altercations virtuelles avec les dirigeantes d'un blogue féministe qui avait l'habitude de publier mes articles. Cette époque est révolue. Faut croire que j'ai pas compris quelque chose. J'ai besoin de votre aide. Sans doute serez-vous plus aptes à exprimer leur point de vue qu'elles-mêmes... Vous devez avoir entendu parlé de l'avortement sélectif. Des millions de feotus féminins avortés dans les pays d'Asie pour des facteurs d'ordres sociaux, économiques, culturels. Par exemple, à cause des modalités du mariage en Inde, il en coûtera très cher d'avoir des filles puisqu'il faudra payer la dot. En Chine, c'est la politique de l'enfant unique qui favorise cet élimination des femmes. Cela a évidemment des répercussions sur la démographie, entre autres. Des millions d'hommes devront se résigner à vivre dans le célibat. Mais ce n'est pas ces conséquences qui fâchent les féministes. C'est l'élimination de foetus féminins en tant que tels. L'avortement sélectif, c'est le génicide, c'est le y'âble. Pendant ce temps en Occident. Ces mêmes féministes défendent becs et ongles l'avortement, qui devrait être considéré comme un service de santé essentiel aux femmes et à toutes la société. Ces intervenantes affirment que l'on ne doit pas juger les motivations d'une femme à avorter. Ce serait que de ne pas faire confiance aux femmes que de jeter un oeil sur leur situation. ... Une femme avorte en Inde pour des motifs économiques, c'est le mal. Une femme avorte au Québec pour des motifs économiques, elle assure sa liberté et son indépendance. Wth. Par souci de cohérence, vous comprendrez que je ne peux pas me positionner en faveur de l'avortement en Occident et militer contre l'avortement sélectif en Asie. Et vice versa. Si c'est un service de santé comme les autres, effectivement, il ne devrait y avoir aucune limite. Mon cerveau est incapable d'articuler ces deux problématiques, et l'argumentation de mes interlocutrices (qui est absente, en faite) me pousse à les mépriser. J'me suis dis que vous étiez peut-être plus brillants qu'elles et arriveriez peut-être à me convaincre que de combattre l'avortement sélectif tout en défendant l'avortement point ne relève pas de la schizophrénie.
×
×
  • Créer...