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Film de la semaine #2: Touch of Evil [1958]


  

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Déchet(s) recommandé(s)

Touch_of_Evil_1SH.jpg

Titre: Touch of Evil

Genre: Crime | Film-Noir | Thriller

Année: 1958

Acteurs: Orson Welles, Charlton Heston, Janet Leigh, Marlene Dietrich

Réalisateur: Orson Welles

Writers: Whit Masterson (novel, Badge of Evil), Orson Welles (screenplay), Paul Monash (uncredited), Franklin Coen (uncredited)

Synopsys: Stark, perverse story of murder, kidnapping, and police corruption in Mexican border town.

Torrent: Touch of Evil DVDRip

Le film de la semaine dernière, Stir of Echoes a eu une majorité de vote le notant comme Bon-Passable (6-7/10)

Cette semaine on a du grand cinéma sérieux, brought to you by MattIsGod! J'ai bien hate de regarder sa, sa sera mon premièr film-noir ainsi que mon premier Orson Welles. Faut juste attendre que le mois soit terminé, puisque j'ai presque dépassé ma limite de bande passante. :emo:

Modifié par ToxicKev
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Ah, ce sacré Welles... Portez une grande attention aux mouvements de la caméra et aux jeux de clair-obscures qui sont tout simplement hallucinant. Il y a aussi un grand nombre de prouesses techniques comme le champ de profondeur dans l'appartement. C'est un film qu'il faut apprécier principalement pour son contenant plus que son contenu. Deux écoutes peuvent être nécessaires, la première pour suivre l'histoire et l'autre pour porter attention aux détails techniques. C'est un film qui est montré dans pas mal tous les cours de cinéma puisqu'il contient des tonnes d'exemples de procédés propres au cinéma.

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Un autre des films de Welles massacrés par les studios, mais heureusement remonté selon la vision originale du réalisateur. Une histoire de corruption policière dans le style du film noir, interprétée avec beaucoup de talent par Welles lui-même dans le rôle de Quinlan, un policier ventru et désagréable. Chapeau à l'équipe de maquillage et de costumes pour lui avoir donné cette apparence rebutante qui fait le succès du personnage.

L'histoire est classique et on est en terrain connu la plupart du temps. C'est par sa réalisation léchée et ses prouesses techniques que Welles se démarque. Le plan séquence de quatre minutes qui ouvre le film donne tout de suite la mesure. L'éclairage est également très soigné. Welles s'assure de tirer de chaque scène un maximum d'efficacité. Les personnages sont à la fois ridicules et attachants, leurs comportements étranges mais divertissants. Il y a dans ce film quelque chose de caricatural qui empêche de le prendre tout à fait au sérieux, mais c'est tout de même un coup de maître.

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