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  3. Non. Pas de vidéo YouTube. Tu peux copier coller les paroles si tu veux.
  4. Est-ce possible quelqu'un pire que lui ? Oui. Il y a Alexandre Douguine, un ultra-nationalistes et néofascistes dont on dit que Poutine s'inspire de son idéologie pour justifier sa volonté d'agrandir l'espace vital des oligarques de sa kleptocratie. Serait-il en mesure de rassembler une équipe qui l'appuie ? Moins probable. Si Poutine est renversé, c'est que la garde-nationale (Rosgvardia) n'aura pas fait son boulot. Elle a été créée en 2016 et on l'a vu en lors de la rébellion de Wagner l'an passé qu'elles étaient plus équipés comme des policier que comme des militaires. Comme tout bon dictateur, Poutine s'assure de sa sécurité à l'aide de plusieurs organisation. Son successeur direct est Mikhaïl Michoustine. Il est premier ministre depuis janvier 2020. Il n'a pas le même profil que Poutine, car c'est un spécialiste des impôts et un féru des nouvelles technologies . Il y avait plusieurs personnes qui voulaient se présenter aux élections de cette année, mais leur candidature ont été rejeté, dont Boris Nadejdine un pacifiste qui étaient régulièrement invité sur les plateau de télé. Celui qui a remporté le plus de voix après Poutine au dernière élection est le chef du parti communiste Nikolaï Kharitonov. Si on regarde comment la chute de l'URSS s'est déroulé on constate que cela a pris plusieurs années. Il y a d'abord eu la chute des régimes communistes en Europe qui a débuté un avant 1989. Deux ans plus tard en 1991, un groupe se faisant appeler le Comité d'État sur l'état d'urgence ( communistes les plus conservateurs s'opposant aux réformes de Mikhaïl Gorbatchev.) essaya de prendre le pouvoir à Moscou. Il annonça que Gorbatchev était malade et qu'il avait été soulagé de son poste de président. Un assaut planifié du bâtiment par les forces spéciales du KGB, échoua après que les troupes refusèrent unanimement d'obéir. Il semble qu'une grande partie des cadres du KGB ait été réticente à soutenir les putschistes. Deux ans plus tard en 1993: après dix jours d’affrontements meurtriers dans les rues de Moscou, et malgré les réticences de certaines unités militaires à intervenir contre la population civile, le Parlement est mis au pas avec l'aide de l'armée, qui assiège et envahit la Maison blanche (plusieurs centaines de morts). Le Congrès des députés du peuple est dissous et est remplacé par la Douma. Un an plus tard, débuta la guerre de Tchétchénie.
  5. Je viens de remettre mon laptop et mon cell. La messagerie d’absence prolongée est activée et les adieux aux collègues sont faits. C’est un drôle de feeling, comme si je laissais derrière moi une partie de mon identité… … jusqu’à ce que j’arrive au métro et que j’entende le message à l’effet que la ligne orange est interrompue pour une intervention d’urgence. Et là, je me dis : « calisse, la vie ne veut pas que je quitte ce satané travail » ;(
  6. Impossible de dire exactement comment la Cour suprême des États-Unis va décider de « faire l’Histoire » avec l’affaire Donald Trump. L’avocat de l’ancien président était debout pour exiger l’immunité criminelle absolue, Donald Trump. Les neuf juges ont déversé un torrent d’hypothèses extrêmes sur les dangers de l’immunité… ou de l’absence d’immunité. La cause de Trump ici n’a pourtant rien à voir avec une action militaire controversée. Ni même une opération secrète douteuse de la CIA, dans l’intérêt national. Il s’agit d’une série de gestes illégaux pour garder le pouvoir. Pour empêcher la certification d’un résultat électoral par des moyens frauduleux – les moyens légaux ayant échoué. Nous devons décider pour la postérité, a dit solennellement le juge Neil Gorsuch. Quel sera l’impact pour les futurs présidents ? « Dans un passé pas si lointain, certains présidents se sont impliqués dans des activités, coups ou opérations comme l’Opération Mongoose [l’invasion ratée de Cuba sous JFK] quand j’étais adolescent, et pourtant, il n’y a pas eu de mise en accusation », a dit le juge doyen, Clarence Thomas. Est-ce que la peur d’être poursuivi par l’administration suivante va empêcher un président d’agir avec la férocité nécessaire, sans hésitation ? Le chef des armées a souvent des décisions de vie ou de mort à prendre… John Sauer, l’avocat de Trump, a donné quelques exemples : « Est-ce que le président Bush pourrait être poursuivi pour avoir menti au Congrès et avoir déclenché la guerre en Irak ? Est-ce que le président Obama pourrait être poursuivi pour les attaques de drone qu’il a autorisées et qui ont tué des citoyens américains à l’étranger ? » « Est-ce que le président Biden pourrait être poursuivi pour avoir illégalement incité des immigrants à entrer sans droit au pays à cause de ses politiques frontalières ? » Un autre juge conservateur, Brett Kavanaugh, s’est demandé s’il n’y avait pas un danger de voir une sorte de cycle d’accusations des anciens présidents chaque fois qu’on changerait d’administration, le dernier en ligne se vengeant du précédent, etc. La réponse à cela n’est pas l’immunité absolue, dit Me Dreeben. Mais plutôt un ensemble de protections pour les actes officiels d’un président qui lui permet d’exercer son autorité militaire sans retenue. Notamment le fait qu’il reçoit des avis du procureur général, ce qui le protège. La juge Ketanji Brown Jackson, elle, dit qu’au lieu de s’inquiéter de la timidité des futurs présidents, on devrait craindre bien davantage un président qui se saurait à l’abri des poursuites, et qui transformerait son bureau en repaire criminel. La juge conservatrice Amy Coney Barrett est revenue sur plusieurs chefs d’accusation contre Trump, et a fait admettre à son avocat qu’il ne s’agissait pas de gestes « officiels ». Donc pas commis à titre de président, mais de candidat à sa réélection. La juge progressiste Sonia Sotomayor, s'est demandé : un président aurait-il l’immunité même s’il ordonnait à l’armée de le maintenir au pouvoir ? De faire assassiner un rival par les services secrets ? Il faudrait d’abord une destitution par le Congrès, selon Me Sauer. Une affaire historiquement étrange WWW.LAPRESSE.CA
  7. Y a toujours pire possible, mais je pense que la pendule est à sa complète extension. C’est sûr que c’est un risque (qu’il fasse pareil également), et c’est pour cette raison que je préfère le scénario Afghanistan 2.0.
  8. Dans une décision prononcée à 4 contre 3, le plus haut tribunal de New York a annulé jeudi la condamnation. La Cour d'appel de New York a estimé que des erreurs de procédure avaient été commises durant ce procès. Parmi ces erreurs, le tribunal cite la décision du juge James Burke d'avoir admis les témoignages d'autres femmes que les plaignantes, en vertu d'allégations d'actes de nature sexuelle qui ne faisaient pas spécifiquement partie de cette cause. La Cour d'appel reproche aussi au président du procès d'avoir accepté que l'ancien producteur de Hollywood soit soumis à un contre-interrogatoire le présentant de manière hautement préjudiciable. La condamnation pour viol de Harvey Weinstein anulée ICI.RADIO-CANADA.CA
  9. Ça serait qui son successeur si il crève ? Y’a peut être pire que lui tsé
  10. Pas sûr qu’on puisse dire que le construit d’une nation peut avoir de l’agentivité, mais je te réfère à l’article que j’ai partagé plus tôt. Il explique bien mieux que je pourrais le faire ici ce que je veux dire. C’est sûr que Zelenskyy est un peu désespéré, voyons donc. On lui a promis des munitions qui ne sont jamais arrivées dans la totalité promise, et en plus pour ce qu’on lui remettait c’était souvent du vieux stock. S’il l’Europe et les États-Unis avaient pas niaisé, il n’aurait même pas eu d’opportunité de « négocier » à manquer parce que Poutine aurait pas eu le temps, comme l’Occident le lui a gentiment donné, de se développer une économie militaire comme le contenu du déchet précédent de @Mikhaïl Barychnikoff peut suggérer, pis il aurait retourner de bord. On a fait en gros en micro ce qu’on fait en macro avec les changements climatiques : pas prendre la menace au sérieux, ce qui lui permet de se développer, pis après on va y goûter. Le seul espoir qu’il reste maintenant c’est Afghanistan 2.0 ou que le vieux crève comme Staline. Parce que « l’Ukraine divisée » dont tu parles ça en restera pas là. La Russie est un monstre impérialiste qui a besoin de performer sa force au peuple et de fabriquer des dangers pour continuer de justifier sa main-mise dessus. Après la Tchétchénie, la Georgie, l’Ukraine, ce sera la Moldavie, et qui d’autre encore? Juste parce qu’on est trop caves crisse pour pas se mettre la tête dans le sable, comme avec le reste. P.S.: pour la mobilisation : il voulait pas se rendre là, pis il aurait pas eu à le faire si on avait pas niaisé. C’est absolument tragique comme situation. Mais l’histoire montre ce qui se passe quand la Russie prend le pouvoir sur un territoire après. Le monde va continuer à mourir. Juste qu’au lieu de défendre leur patrie, ce sera parce qu’ils auront des opinions qui déplaisent aux autorités. Exit les journalistes, les intellectuels, les artistes. Les Ukrainiens connaissent ça. Ce serait pas leur première fois. Faque, tant qu’à crever, hein? C’est pour ça d’ailleurs qu’il y a même des personnes non-obligées et en nombre non-négligeable, comme les femmes, sur le front. Mourir maintenant pour que leurs enfants puissent vivre en liberté. Je pense que (et je te vise pas), il y a beaucoup de personnes qui n’aiment pas l’Ukraine ou veulent s’en crisser parce que ça les confronte à leur propre couardise, leur propre lâcheté, à considérer l’horreur qu’il y aurait à devoir faire un choix dans cette situation. Et en se comparant, dans ce cas-ci, on se console pas.
  11. Carl Tremblay, le Gerry Boulet de notre génération, ça en quelque sorte son Beau grand bateau.
  12. Pis c’est pas annulé parce que ce viol-là aurait pas eu lieu hein faut le dire aussi
  13. Vas-tu te marier en blanc, si oui, devant le maire ?
  14. La Cour d'appel de New York a annulé la condamnation pour viol et agressions sexuelles du producteur de cinéma Harvey Weinstein. Il n'est pas un homme libre pour autant, puisqu'il a aussi été reconnu coupable lors d'un autre procès en Californie.
  15. Je l'écoute en boucle. C'est si triste et si beau en même temps. Ça va devenir un classique du Québec.
  16. Hier
  17. Les armes thermobariques ? Le missile balistique intercontinental Satan 2 (pouvant passer par le pôle sud ou nord pour contourner les défenses actuelles) ? Le missile balistique Iskander ? Le missile russe Kinjal (intercepté par des batterie de missile Patriotes) Le drone kamikaze Lancet ? Le drone Geran-2 ( la version russe du drone iranien Shahed 136) ? La torpille Chkval (fonctionnant par supercavitation en utilisent un carburant très dangereux et hautement instable) Le char de combat T-14 Armata (encore en pré-production) Le véhicule de combat de soutien de char (BMPT Terminator) Les dispositif de guerre électronique (Krasukha) J'ai appris hier l’une des pratiques officielles les plus sensationnelles des écoles publiques américaines et qui font sans doute que ce pays se croit à la tête du progrès. Il paraît que parmi les examens ou épreuves que l’on fait subir à un enfant qui entre pour la première fois dans une école publique, aurait lieu l’épreuve dite de la liqueur séminale ou du sperme, et qui consisterait à demander à cet enfant nouvel entrant un peu de son sperme afin de l’insérer dans un bocal et de le tenir ainsi prêt à toutes les tentatives de fécondation artificielle qui pourraient ensuite avoir lieu. Car de plus en plus les américains trouvent qu’ils manquent de bras et d’enfants, c’est à dire non pas d’ouvriers mais de soldats, et ils veulent à toute force et par tous les moyens possible faire et fabriquer des soldats en vue de toutes les guerres planétaires qui pourraient ensuite avoir lieu, et qui seraient destinées à démontrer par les vertus écrasantes de la force la surexcellence des produits américains, et des fruits de la sueur américaine sur tous les champs de l’activité et du dynamisme possible de la force. Parce qu’il faut produire, il faut par tous les moyens de l’activité possibles remplacer la nature partout où elle peut-être remplacée, il faut trouver à l’inertie humaine un champ majeur, il faut que l’ouvrier est de quoi s’employer, il faut que des champs d’activité nouvelle soient crées, où ce sera le règne enfin de tous les faux produits fabriqués, de tous les ignobles ersatz synthétiques où la belle nature vraie n’a que faire, et doit céder une fois pour toutes et honteusement la place à tous les triomphaux produits de remplacement où le sperme de toutes les usines de fécondation artificielle fera merveille pour produire des armées et des cuirassés. Plus de fruits, plus d’arbres, plus de légumes, plus de plantes pharmaceutiques ou non et par conséquent plus d’aliments, mais des produits de synthèse à satiété, dans des vapeurs, dans des humeurs spéciales de l’atmosphère, sur des axes particuliers des atmosphères tirées de force et par synthèse aux résistances d’une nature qui de la guerre n’a jamais connu que la peur. Et vive la guerre, n’est-ce pas ? Car n’est-ce pas, ce faisant, la guerre que les Américains ont préparée et qu’il prépare ainsi pied à pied. Pour défendre cet usinage insensé contre toutes les concurrences qui ne sauraient manquer de toutes parts de s’élever, il faut des soldats, des armées, des avions, des cuirassés, de là ce sperme auquel il paraîtrait que les gouvernements de l’Amérique auraient eu le culot de penser. Car nous avons plus d’un ennemi et qui nous guette, mon fils, nous, les capitalistes-nés, et parmi ces ennemis la Russie de Staline
  18. Daria Navalnaya, la fille d'Alexeï Navalny, a décidé de poursuivre le combat de l'opposant russe. Âgée de 23 ans, la jeune femme, aussi connue sous le nom de Dasha, son diminutif, vit en Californie. Étudiante en psychologie sociale et en sciences politiques à l’université de Stanford, ses prises de position ont un écho important sur les réseaux sociaux où elle critique régulièrement le pouvoir russe. En 2021, la jeune femme a reçu à Strasbourg le prix Sakharov pour la liberté de l'esprit au Parlement européen, au nom de son père emprisonné. Lors de son discours, elle n'a pas hésité à s'en prendre ouvertement à Vladimir Poutine. "Les politiciens européens qui prônent le pragmatisme devraient ouvrir les livres d’histoire et se rappeler que flirter avec un dictateur n’est jamais efficace. Des années à flirter avec Poutine ont fait comprendre à celui-ci que pour augmenter sa popularité, il peut aussi déclencher une guerre". Deux mois plus tard, la Russie envahissait l’Ukraine. La veuve de l’opposant russe Alexeï Navalny, mort dans un centre de détention russe en février, fait la couverture du « Time », ce mercredi 17 avril 2024. Ioulia Navalnaya fait partie de la liste annuelle des « 100 personnalités les plus influentes du monde » établie par le magazine américain. Deux jours à peine après l’annonce de la mort d’Alexeï Navalny, elle apparaît dans une vidéo sur YouTube. Ses traits sont tirés mais la voix ferme. Le message est clair, la volonté aussi : « En tuant Alexeï, Poutine a tué la moitié de moi-même, la moitié de mon cœur et la moitié de mon âme. Mais il me reste l'autre moitié, et elle me dit que je n'ai pas le droit d'abandonner. Je continuerai la cause d'Alexeï Navalny, je continuerai à me battre pour notre pays. » Une déclaration forte. Jusqu’à présent, elle refusait de s’engager politiquement dans les pas de son mari. Mais son envie de reprendre le combat n’a pas étonné Andreï Kozovoï, professeur d’histoire russe et soviétique à l’université de Lille. « Je n'ai pas été vraiment surpris parce qu’on en a entendu parler au moment de la campagne électorale qui n'a pas eu lieu de Navalny en 2018 », note l'auteur du livre Égéries rouges, 12 femmes qui ont fait la révolution russe, aux éditions Perrin. On sait peu de choses sur sa vie privée. Cette économiste de formation âgée de 47 ans s’occupait jusqu’à présent de ses deux enfants. Ioulia Navalnaya vit en exil quelque part en Europe dans un endroit tenu secret. Pour une bonne raison. L’ennemi public numéro 1 du Kremlin désormais, c’est elle. « Elle inquiète évidemment parce qu'elle a cette aura, ce pouvoir de peut-être effectivement rassembler, fédérer les différents courants qui, on le sait en Russie, se sont désunis. C'est au cours des semaines qui vont venir qu'on va voir si effectivement l'annonce de la mort de Navalny, l'émotion suscitée en Russie à l'étranger, va permettre de donner de vrais résultats sur le long terme. » La violence est-elle le dernier refuge de l'incompétence ou bien un processus complètement naturel, équilibré en fonction de l'objectif à atteindre ? Projetons-nous sur eux ce que nous pensons de nous même ? Les dictateurs font toujours ce qu'ils disent et nous ne les croyons pas. Nous ne croyons pas qu'ils vont le faire, puisque nous ne le ferions pas. Poutine partage un discours de 21 pages pour dire que le peuple ukrainien n'existe pas et qu'il veut sa destruction. Pourquoi ne le ferait-il pas puisqu'il dit qu'il va le faire, qu'il a les moyens de le faire et qu'il est en position de le faire ? Mais dans le rapport de force, le dictateur n'est pas dingue. Il reste en lui une totale rationalité (à ne pas confondre avec être raisonnable) . En terme de Realpolitik, L'OTAN ça ne devrait pas être juste une force militaire, mais une force politique et économique. Que veulent les russes ? Sécuriser le Donbass et contrôler la Mer d'Azov. Que veulent les américains ? Sécuriser le Pacifique. A entendre la propagande du Kremlin, et ses relais ici, un «Sud global» serait en insurrection contre l’«Occident collectif». Les guerres en Ukraine et au Proche-Orient ne seraient que des symptômes d’une révolte plus générale des peuples opprimés contre l’«impérialisme» des anciennes «puissances coloniales». Le «Sud global» est une vieille invention. C’est un activiste américain opposé à la guerre du Vietnam, Carl Oglesby, qui en est à l’origine. Il s’agissait alors de trouver une alternative au «tiers-monde», jugé dépréciatif, pour qualifier les victimes de la domination des Etats-Unis. Entre-temps, d’autres dénominations comme «pays en voie de développement» ou «pays émergents» se sont imposées pour décrire ce Sud par opposition à un «monde développé» au Nord. Au début des années 2000, le mouvement altermondialiste va s’emparer du «Sud global» pour caractériser l’ensemble des pays touchés par les effets négatifs de la mondialisation. Le Nord est accusé de néocolonialisme. Le «Sud global» ne s’est toutefois imposé dans le langage courant que récemment sous l’influence d’une réappropriation par la Chine, l’Inde et le Brésil. Pékin parle du «développement et du redressement du Sud global» en se positionnant en leader d’un «front mondial pour la justice». Ce «Sud global» a l’avantage des concepts flous et englobants qui semblent attester d’une majorité silencieuse mais n’a aucune réalité politique ou géographique. Il se résume le plus souvent aux BRICS. Longtemps, les BRICS ont passé pour un habillage marketing plutôt qu’un véritable groupe d’intérêt tant leurs divergences sont nombreuses. Depuis deux ans, l’organisation, qui vient de s’élargir, affiche toutefois de nouvelles ambitions. Elle s’affirme comme alternative à l’«ordre occidental». Quelle alternative? «Les BRICS sont-ils le nouvel horizon d’un monde meilleur ou une simple variante du néolibéralisme? Quant à l’«Occident collectif», c’est une invention du Kremlin que même la Chine hésite à reprendre à son compte. Que désigne-t-il sinon un supposé bloc hostile à Moscou? Et où se situe alors la Russie? Est-elle européenne ou orientale? «Les Russes ont toujours un gros problème d’identités contradictoires» La guerre de l’«Occident collectif» contre le «Sud global» n’aura pas lieu - Le Temps WWW.LETEMPS.CH Ioulia Navalnaya: l'héritière naturelle d'Alexeï Navalny - Européen de la semaine WWW.RFI.FR
  19. ben coudonc. t'auras toughé quoi... 2 mois ? kessé qui s'est passé ?
  20. Je me suis déjà fait renvoyé mais j'ai eu le temps de bien défoncer le stock de café à ma job. Toujours plus utile qu'un syndicat, apparement.
  21. Écoute live je suis en panique parce que mon ordi a lâché mais en attendant que je puisse me poser pour te répondre plus adéquatement, je vais juste laisser ça ici au regard de ton dernier point :
  22. J'avoue que j'ai un peu de mal à te suivre. Tu parles du peuple ukrainien ou de l'Ukraine comme nation dont on obscurcit l'agentivité? En soi, j'ai aussi un peu l'impression que Zelensky est un peu désespéré en ce moment. Il cherche à forcer les ukrainiens à l'étranger à retourner au pays pour prendre les armes en plus d'abaisser l'âge pour être mobilisé à 25 ans alors que 20% des troupes qui sont envoyées au front contre la Russie n'en revienne tout simplement pas. C'est mon impression et je suis ouvert à avoir un autre point de vue mais Zelensky a manqué une opportunité de négocier avec la Russie. Maintenant, c'est sur que la Russie n'acceptera jamais de payer les réparations du pays. On risque de se retrouver avec une Ukraine divisée un peu comme l'Allemagne autrefois.
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