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Les maudites tounes qui restent pognées dans la tête


Déchet(s) recommandé(s)

La section de 1:43 à 2:18 de cet arrangement. m'effleure souvent l'esprit depuis longtemps.

Je pense que c'est l'expression de ma fibre patriotique.

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J'aime pas Radiohead. Pis comment tu sais que j'aime Julian Casablancas si j'ai jamais parlé d'un autre groupe que Weezer? Eh que t'es plate.

La prochaine fois que je m'adresse à toi, je m'assurerai de demeurer bien terre à terre, sans employer aucune figure de style. Vaut mieux être certain que tu puisses bien saisir le sens du message.

Tu aurais dû comprendre que si tu as une chanson en tête, c'est probablement du Weezer étant donné que sur 3 des 4 fois que t'as parlé de musique sur le forum, c'était pour parler de ce groupe.

Je sais que t'es le comble de l'égocentrisme, mais ne traite pas les autres à tort et à travers de plate. Tu sais, ce n'est pas parce que c'est ta caractéristique première que c'est aussi le cas des autres.

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Je sais que t'es le comble de l'égocentrisme, mais ne traite pas les autres à tort et à travers de plate. Tu sais, ce n'est pas parce que c'est ta caractéristique première que c'est aussi le cas des autres.

Fa' que celui qui l'dit, celui qui l'est?

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La toune de Star Académie parce qu'elle joue tout le temps. Le pire c'est qu'au début je ne l'aimais pas, mais à force de l'entendre est pas pire.

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(modifié)

Le pire c'est qu'au début je ne l'aimais pas, mais à force de l'entendre est pas pire.

La clé du succès des radios commercial.

Modifié par Casse-de-bain
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  • 4 semaines plus tard...
  • 3 semaines plus tard...
(modifié)

Moi, il y a quelques années, chaque fois que je voyais la lune, j'entendais "La lune s'attristait", en fait la première strophe et ce n'était pas le poème de Stéphane Mallarmé intitulé Apparition :

La lune s'attristait. Des séraphins en pleurs

Rêvant, l'archet aux doigts, dans le calme des fleurs

Vaporeuses, tiraient de mourantes violes

De blancs sanglots glissant sur l’azur des corolles.

De blancs sanglots glissant sur l’azur des corolles.

C’était le jour béni de ton premier baiser.

Ma songerie aimant à me martyriser

S’enivrait savamment du parfum de tristesse

Que même sans regret et sans déboire laisse

La cueillaison d’un rêve au coeur qui l’a cueilli.

J’errais donc, l’oeil rivé sur le pavé vieilli

Quand avec du soleil aux cheveux, dans la rue

Et dans le soir, tu m’es en riant apparue

Et j’ai cru voir la fée au chapeau de clarté

Qui jadis sur mes beaux sommeils d’enfant gâté

Passait, laissant toujours de ses mains mal fermées

Neiger de blancs bouquets d’étoiles parfumées.

mais bien la chanson de Georges Brassens, S'faire enculer :

«La lune s'attristait. On comprend sa tristesse

On tapait plus dedans. Ell' s' demandait "quand est-ce

Qu'on va s' rappeler de m'enculer."»

La beauté de la nature corrompue par le "pornographe du phonographe, le polisson de la chanson" !

Modifié par cadavre
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  • 2 mois plus tard...

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