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La foret des suicides au japon


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Aokigahara est le lieu de la plupart des suicides se déroulant dans la préfecture de Yamanashi (370 en 2005, 376 en 2006, 342 en 2007, soit 1 % des suicides au Japon dans cette préfecture)1, d'où un grand nombre d'histoires de forêt hantée.

En 1959, l'écrivain japonais Seichō Matsumoto a ainsi écrit une nouvelle, Nami no tō (波の塔?, littéralement « pagode de vagues »), dans laquelle il suggère qu'elle est un endroit idéal pour mourir en secret et sans que l'on puisse retrouver la dépouille du défunt.

En 2004, Tomoyuki Takimoto (瀧本 智行, Takimoto Tomoyuki?) réalisa le film Ki no umi (樹の海?, lit. « Mer d'arbres ») sur ce lieu. Il raconta aux journalistes que durant les repérages pour le film, il trouva un portefeuille contenant 370 000 yens (environ 2 300 euros) laissant ainsi supposer qu'Aokigahara est un terrain propice pour la chasse aux trésors.

D'autres ont affirmé avoir trouvé des cartes de crédit et des permis de conduire[

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Je pense que ça colle parfaitement à la thématique de la morgue, justement.

Sujet intéressant en effet, tout ces japonais qui viennent se donner la mort dans une même forêt ça a ce côté flippant.

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