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Déchet(s) recommandé(s)

Sujet officiel.

L'intro est pas encore fait mais ca ressemble a ca:

On fait une banque de données d'anecdotes, de statistique, de photos, de videos en rapport avec Hochelaga.

Avez vous vecu, vivez vous, compter vous vivre dans Hochelaga ?

Aimez vous Hochelaga ? pourquoi ? ( Je dois avouer ne pas vouloir de ''hate'')

On accepte aussi les poèmes, les dessins etc...

Piste de sujet:

- les places douteuses.

- les personnages douteux.

Comment vous voyez Hochelaga ?

Y voyez vous une certaines magie ?

Merci d'avance pour le coeur que vous y mettez....

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J'ai bien aimé quand je suis allé. c'est très tranquille le jour. Mais le soir....

J'ai rencontré 2 fois. Une madame qui essayait de faire pitié en voulant de l'argent. ( tu dois savoir c'est qui ) Mais qui était très sûrement avec une maladie mentale

Les hot-dogs tout garnis sont malade et pas cher ! Nomz.

J'suis allée aux deux friperies que j'ai adoré.

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J'ai bien aimé quand je suis allé. c'est très tranquille le jour. Mais le soir....

J'ai rencontré 2 fois. Une madame qui essayait de faire pitié en voulant de l'argent. ( tu dois savoir c'est qui ) Mais qui était très sûrement avec une maladie mentale

Les hot-dogs tout garnis sont malade et pas cher ! Nomz.

J'suis allée aux deux friperies que j'ai adoré.

ouais, la madame avec un bandana... À l’écouter elle a besoin de s'acheter 5 pompes d’asthme par jour. Avec toujours le même speech et la même intonation.

Une fois avec Echo, elle nous a dit de nous enculer mutuellement alors que Echo etait fuckin honnete et compatissant en lui disant qu'il avait pas de cash, qu'il allait poser un chèque et que c’était fermé.

Le violoniste aveugle qui s'est fait crever les yeux par des punks

T'exagères...

J'y ai parlé deux-trois rue l'autre jour... il m'a gossé avec mon nom et m'a dit c'etait qui ses mentors et les mentors de ses mentors.... j'ai tout oublier.

Il marchait au milieu de la route pour mieux voir ou il allait.

C'est triste, le violoniste perd vraiment la tête... je le vois souvent pété des coches dans le metro parce qu'il pense qu'on y a volé son archer.... triste.

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L'autre jour je suis allé au restaurant Gerry's sur Ontario. Ils m'ont fucking servis un poulet au complet dans mon assiette. :stoned:

L'article ci-dessous m'a tellement impressionné que le soir même je suis allé voir de quoi avait l'air cette piquerie hochelagaine:

https://plus.google.com/117724001919685744058/posts/TDqV3BQBgs1

Modifié par Martin NaCl
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Et comment c'etait ?

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Louise et moi, on cherchait désespérément une pilule a l'heure ou les motards ne livrent plus. Un crackhead du quartier(aka sebastien, le gars avec le nez grugé) a essayé de nous emmener dans des droles d'endroits et nous convertir au crack(j'en ai trouvé plus tard a terre. chance.)... Tout ca avait commencé au depaneur a une rue de ton article.... Demander de la drogue dans les dep 24h d'hochelaga...ca marche... Ils envoyent un gars chercher de quoi dans le bordel le plus proche.

Bref, on a pas mal jasé avec Sebastien le crackhead au nez grugé qui n’arrêtait pas de nous faire des rabais sur son crack... On a appris que ce gars la faisait l’intermédiaire entre les monsieur et les ''filles de rue'' et même souvent faisait la pute lui même.

Finalement on a eu une pills le lendemain... quand le service des HA recommencait. On a marché tout la nuit mais c'etait chouette... pis on a trouvé du crack a terre.

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de quoi parles tu ?

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Au fait, l'article que Martin a linké est assez ''magique'':

Tout le quartier Hochelaga-Maisonneuve connaît le «3911», adresse de ce vieil immeuble résidentiel de la rue Sainte-Catherine. Au fil des années, des personnes atteintes de problèmes de santé mentale, des gens démunis et souvent vulnérables ont défilé dans la trentaine de petits logements de l'édifice, ultime rempart avant la rue.

Mais si le 3911 est réputé, c'est d'abord parce qu'il abrite la piquerie la plus populaire du quartier, aménagée au sous-sol. On y entre à l'arrière par une porte toujours déverrouillée. Un long couloir lugubre mène à un logement sans porte.

Il y a aussi un entrepôt vide, qui a l'air d'avoir été bombardé, dans lequel une demi-douzaine de chaises entourent une table circulaire en bois. Rien d'autre sauf une petite commode noire, dont les tiroirs sont remplis de préservatifs. C'est ici que les gens consomment de la drogue. Du crack pour la plupart, à 20$ la roche. Ils se l'injectent ou le fument. Ils s'entassent parfois à 12 dans cette pièce miteuse.

La fumée de tabac a jauni les murs blancs et troués à plusieurs endroits. Les enveloppes de préservatifs jonchent le plancher de béton.

Dans le logement sans porte du fond, la crasse a recouvert l'émail de la baignoire. L'eau de la cuvette est noirâtre. Une jeune femme au crâne rasé replace un vieux rideau devant l'unique fenêtre de l'appartement. Un petit lit, une télévision et un sofa complètent le mobilier. Une autre fille passe nerveusement le balai. Selon la police, les deux jeunes femmes - présumées locataires - vendent les stupéfiants aux nombreux consommateurs qui défilent sans arrêt. Plusieurs consomment sur place, dans l'entrepôt du fond notamment.

Aujourd'hui, ce sont des policiers et des inspecteurs en bâtiment qui arpentent les couloirs glauques du 3911. Le sergent Claude Lizotte, du poste de quartier 23, est à l'origine de cette visite-surprise. Il est responsable du Module d'action par projet (MAP), petite escouade dont le mandat est de s'attaquer au plus important problème d'un quartier. Dans Hochelaga-Maisonneuve, elle fait la guerre aux piqueries.

Deux inspecteurs en bâtiment de l'arrondissement accompagnent les policiers sur le terrain. Ils s'assurent de la sécurité des infrastructures, souvent laissées à l'abandon, en plus de talonner les propriétaires de piqueries à coups de constats d'infraction.

Devant le logement sans porte du 3911, les inspecteurs Alain Barabé et Danielle Werlen discutent des travaux à faire avec Émile, gestionnaire de l'immeuble. «Ça fait 50 ans que c'est de même...», soupire-t-il, exaspéré, en expliquant que les deux jeunes femmes ne figurent pas sur le bail «parce que c'est comme ça que ça fonctionne ici».

Une des «locataires» fait mine de se réjouir de l'installation de la porte et des verrous. «C'est tranquille ici, les gens consomment et partent. Où iraient-ils sinon, dans la rue?», demande la jeune femme.

À côté d'elle, un maigrichon de plus de six pieds, tout juste majeur, est avachi dans un fauteuil, intoxiqué et visiblement mal à l'aise devant l'agitation qui perturbe ses sensations. «T'es pas vieux, toi, tu sais que c'est pas un bon endroit pour toi ici», lui lance un policier.

Dans un logement voisin du rez-de-chaussée, une fille est avec un client. «Tout va bien là-dedans?», demande le sergent Lizotte à travers la porte. «Oui, oui», répond sèchement la prostituée.

Au même moment, un homme fait irruption dans le couloir. Son visage se fige à la vue des policiers. Trop tard, le sergent Lizotte et ses hommes le maîtrisent. L'homme fait partie de l'équipe «des bras» de l'organisation visée par une rafle policière menée la veille. Faute de preuve, il n'a pas été arrêté. «Tiens, tiens, Jean-Paul, tu sais que ton boss a été arrêté hier, hein?», lui demande le sergent Lizotte. L'homme se contente de grommeler, avant d'être relâché et de sortir de l'immeuble sans dire un mot.

La prostituée sort du logement. La misère sur le visage, elle titube maladroitement sur ses talons aiguilles, suivie par un homme frêle dans la soixantaine. Ce dernier garde les yeux vissés sur le plancher tandis qu'il traverse une haie de policiers dans le couloir.

Les inspecteurs en bâtiment vont de nouveau inonder le propriétaire du 3911 d'amendes. Les classiques: issues et cages d'escalier obstruées, manque d'éclairage et de détecteurs de fumée, présence de punaises et de coquerelles, sans oublier l'insalubrité et les odeurs nauséabondes.

Et même lorsque le total des amendes peut s'élever à des milliers de dollars, le propriétaire paie sans faire d'histoire.

Et le manège persiste.

La nausée

Rue La Fontaine, un vieil édifice est partiellement condamné. Il y aurait du va-et-vient à cet endroit, nous dit-on.

Le sergent Lizotte frappe à la porte, simplement appuyée contre le cadre. Un chien jappe. Un homme répond, l'air perdu et aveuglé par un soleil qu'il n'a visiblement pas vu depuis longtemps.

L'intérieur du logement est sombre. Pas de meubles, sauf deux fauteuils installés face à face. Des cuillères calcinées traînent sur une petite table. C'est d'abord l'odeur qui frappe et donne la nausée.

Le «locataire» dit ne pas avoir d'eau courante depuis deux semaines. «On jette une chaudière dans les toilettes de temps en temps», raconte le jeune homme, amorphe. Un autre individu à la barbe hirsute se tient mollement debout dans la cuisine, silencieux, avec une moue d'enfant qui se fait gronder.

«Ça te dirait qu'on te paie l'hôtel pour te laver?», demande Alain Barabé au jeune homme.

-Oui, j'aimerais bien ça!», répond ce dernier. L'inspecteur en bâtiment fait la même offre à son ami, qui la décline. «Ce n'est pas mon ami, je le connais à peine. C'est l'ami d'un ami», précise le «locataire».

L'ami de l'ami en question est un habitué du 3911. Il livre parfois des stupéfiants dans le quartier, souligne la police.

Jambe de bois et Pogo

La nuit est tombée. Le sergent Claude Lizotte et l'agent Nicolas Garceau-Perron patrouillent dans les rues et les ruelles. Au fil des années, ils ont appris à aimer ce quartier écorché vif mais attachant, où ils connaissent tous leurs «clients» par leur surnom. D'ailleurs, les gens du quartier se désignent uniquement par ces surnoms. Le Gaspésien fucké, Ti-bras, Buzz, Jambe de bois, Kaboul, La Rouge, Ninja, Pogo: des noms qui résonnent aux quatre coins de ce quartier où le monde est petit.

«Pour travailler ici et obtenir un certain respect, il ne faut pas trop être by the book. Sinon, on va se faire haïr», explique le sergent Lizotte qui, doté d'un sens aiguisé de la répartie, est parvenu à apprivoiser la faune particulière de son quartier depuis son arrivée, en 1998.

La voiture de police se gare dans une ruelle de la rue Sainte-Catherine. Le sergent Lizotte semble contrarié en voyant de la lumière au sous-sol d'un immeuble. «La propriétaire m'avait pourtant assuré qu'elle ne louerait plus de chambres ici, c'est illégal», peste-t-il.

L'endroit en question est un entrepôt sans fenêtre, situé sous un édifice commercial. Pour y accéder, il faut descendre un escalier sous le stationnement. L'entrepôt est désert. La porte n'est pas verrouillée. À l'intérieur, la chaleur est étouffante. De simples matelas traînent sur le sol dans deux pièces minuscules. Dans l'une d'elles, des vêtements féminins sont empilés par terre, à côté de préservatifs et d'une bouteille d'huile à massage. «Respect aux femmes!», peut-on lire sur un des murs sales du couloir.

«Je sais que tu as des stups»

À quelques coins de rue de là, un jeune homme s'engouffre d'un pas rapide dans une ruelle, puis disparaît par la porte arrière d'un immeuble. Une nouvelle piquerie ou un point de vente aurait ouvert à cet endroit, croit la police. Le jeune homme, la tête dissimulée sous un capuchon, ressort de l'immeuble quelques minutes plus tard. Il serre quelque chose dans sa main lorsqu'il tombe face à face avec le sergent Lizotte. «Je sais que tu as des stups sur toi, mais c'est ton jour de chance. On sait qu'il y a une piquerie ici et on va la "péter" bientôt [faire une descente]», lui dit-il. Le jeune homme au visage livide marmonne quelque chose d'inaudible et déguerpit.

Va-et-vient étourdissant

En une heure, une trentaine de personnes ont poussé la porte du 3629, autre immeuble de la rue Sainte-Catherine où les cinq logements du rez-de-chaussée ont été convertis en piquerie. Les policiers y font régulièrement des descentes. Plusieurs filles font le trottoir devant la porte. «Je ne te connais pas, toi. C'est quoi ton petit nom?», dit le sergent Lizotte à l'une d'elles, avant de lui demander ce qu'elle pense de la qualité des stupéfiants dans la rue actuellement. «D'l'estie de marde!», tranche sèchement la jeune femme, accro à la morphine. «Est-ce qu'on peut faire quelque chose pour toi?», demande le policier.

«Oui, donne-moi de la morphine», réplique la toxicomane, qui grelotte sur son trottoir.

800$ de drogue

Chantal fait partie du quartier depuis longtemps. Tous les policiers la connaissent. Elle vient de consommer du crack lorsque les policiers l'interpellent. Comme tout le monde, elle sait que Thunder - qui contrôlait les piqueries - a été arrêté la veille. «Ouin, j'ai remarqué que vous frappez fort récemment. J'ai de la misère à me trouver de la dope», plaide la femme de 40 ans, le visage fripé par la vie. Elle dit avoir contracté le VIH après avoir utilisé une seringue souillée.

Mais s'il y a des filles sur des trottoirs, c'est parce qu'il y a des clients.

L'un d'eux s'est fait arrêter avec une fille près du 3629. Des seringues et de la drogue se trouvaient dans son véhicule. Le résidant de Sainte-Thérèse venait de violer ses conditions de libération, dont celle de ne pas toucher à la drogue. «J'ai repris ma vie en main et j'ai présentement la meilleure blonde du monde», se lamente-t-il, l'air abattu, sur la banquette arrière d'une voiture de police.

Quand un policier lui demande combien il a dépensé en une journée, il soupire. «Huit cents dollars... mais j'ai tout payé pour elle aussi», calcule le client, en montrant la prostituée. «Écris-moi sur Facebook pour me donner des nouvelles!», lance-t-elle sans conviction, avant de tourner les talons et retourner au coin de la rue.

La nuit comme le jour, le même manège se répète autour des piqueries. Le va-et-vient se poursuit au 3629 et au 3911. Les filles font les cent pas sur les trottoirs de la rue Sainte-Catherine.

Au rythme des portières qui claquent.

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Le violoniste aveugle qui s'est fait crever les yeux par des punks

Real SHIT

C'est une lectrice, Marcelle Raymond, qui m'a parlé de l'histoire de Marc Landry. Il a ses fans, autour du métro Joliette, dans Hochelaga. Et ses fans ont été attristés de le voir récemment sans son violon, avec une affiche qui disait «VIOLON BRISER».

L'histoire est floue. Peut-être qu'elle est vraie. Marc dit qu'il est tombé du quai du métro, à Berri-UQAM, mardi dernier. Il est tombé parce qu'il est presque aveugle. Mais grâce au taï chi, il a su absorber sa chute sans se briser le crâne. Des étrangers l'ont sauvé, dit-il, en le tirant vers le quai. La STM n'a pas pu me confirmer ce bout-là. Peut-être que c'est vrai quand même.

C'est ce qui explique que Marc, cette semaine, au métro Joliette, avait cette affiche: «VIOLON BRISER». L'affiche a brisé le coeur de bien des passants, pour qui Marc est une sorte de meuble dans le décor. «C'est ce qui m'a touchée, relate Marcelle Raymond, la lectrice qui m'a mis sur la piste de Marc. En voyant son affiche, beaucoup ont arrêté pour lui parler.En moins de deux, Marc s'est fait prêter un violon par un couple

http://www.lapresse.ca/debats/chroniques/patrick-lagace/201003/13/01-4260298-le-violon-brise.php

...

Modifié par Martin NaCl
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Celui-là je crois:

ohhh, oui... ca c'est de la magie.

On parle du V-Blocc ici... sur Theodore.

Bloc appartements( V BLOCC = Bloc Viau , en face du metro Viau) qui contient 80% des ''etrangers''(de couleurs) de hochelaga (un quatier assez blanc...)

C'est genre le point de relais entre Montréal Nord et Hochelaga.

Anyway, ce monde là à beau reprezent, c'est juste des sous traitant des motards....

(regardez le commentaire avec le plus de like de la video:

j'ai hate que les hells angels revien pour remetre l'ordre la dedans

Dragonloilo il y a 11 mois 34 pixel-vfl3z5WfW.gif)

J'habitais la rue d'a coté avec Dr. strangelove... Des gens ont dis s'être fait agressé par ce monde là... j'ai jamais rien vu.

Mais c'est rien ca... Comme l'a dit un gars qui connait des ''choses'': «asti, les noirs dans mon temps, on leur pitchait des roches quand ils rentrait dans le quartier»

Mon colocs m'a raconter comment les blacks se faisaient ramasser et dropper ailleurs il y a pas si longtemps que ca...

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Bravo champion... on avait besoin de toi pour nous dire que les noirs etaient reconnaissab' a la couleur de leur peau... Heureusement que t'es là...

Question: tu preferes les black d'hochelaga ou les francais chiant de Homa ? Pourquoi ?

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En passant, c'est pas de la qualité mais c'est un pas pire portrait non voulu...

FOLKORE !

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Bravo champion... on avait besoin de toi pour nous dire que les noirs etaient reconnaissab' a la couleur de leur peau... Heureusement que t'es là...

De quoi tu parles? Les Noirs ne sont pas les indigènes d'Hochelaga.

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J'etais en train de l'ecouter... no joke

Hehe un " classique " !

Juste dommage que j'ai pas été capable d'inclure le vidéo dans mon message et pas seulement le lien.

Aussi bien inclure la Rue Ontario dans le sujet.

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