HOCHELAGA

[Иди и смотри]

Comme ?

Pas passer sur quelquechose si on peut pas faire mieux.

Ne pas passer par dessus des ''RIP''.

C'est des règles non-ecrites et non-officielles. L'interet d'un mur legal c'est de pouvoir faire de quoi avec minutie en prenant le temps qu'il faut. Developper ses skills. Ca donne donc beaucoup de bonnes pieces et au final, les graffeurs quand ils ont un nouveau trucs n'ont pas d'autres choix que repasser sur leur ancienne affaire, s'ils veulent être ''correct''.

Ou alors, passez sur une pieces qui a été sacagée par des petits ''yo'' qui font fait des barbos sur une piece quelconque. Au final, je trouve ces endroits pas si accessible pour les neophytes.

Je crois que le Sino shop fait des activités là bas de temps en temps... je pense qu'ils remettent ca à 0 de temps en temps... mais je suis pas sure.

[Hari Seldon]

Le bout où Jean-Nicolas Verreault se fait arracher son tattoo à la râpe... DAMN !

[Lux]

[Hari Seldon]

je me suis promené avec Street View sur Ontario et, mis à par les gens moches, ça me semble être une rue des plus sympathiques.

je soupçonne les médias et les gens de dresser un portrait d'HOMA pire qu'il ne l'est en réalité.

Le Hochelaga du Dr Julien, des piqueries et des putes est situé au sud de Ontario. La majorité des condos sont situés au nord de Ontario.

http://www.cdlchm.qc...uartier2009.pdf

http://www.statcan.g...2006007-fra.pdf

Modifié 16 janvier 2014 par Nouveau Projet

[RBC]

C'est peut-être les proxénètes des prostituées du Sud d'Hochelaga qui habitent dans les condos du Nord D'Hochelaga.

[OOO]

TA YEULE! Voyons, t'apprends pas à écrire de quoi qui mérite pas un "Farme-là ducon..." Le sujet était "sérieux" avant que tu t'pointes...

[Hari Seldon]

TA YEULE! Voyons, t'apprends pas à écrire de quoi qui mérite pas un "Farme-là ducon..." Le sujet était "sérieux" avant que tu t'pointes...

T'as juste à utiliser le bouton signaler plutôt que d'embarquer dans l'escalade de la médiocrité.

[OOO]

Signaler quoi... un commentaire de qualité discutable?

[RBC]

Ah non ah bin tabarnac. J'ai mis de l'humour dans un sujet sérieux.

NB. Ceci n'est pas du sarcasme ni de l'ironie. Je suis très sérieux.

[Hari Seldon]

Un autre bijou signé Hugo Meunier:

À la fin des années 80. À l'époque, les filles qui se prostituaient sur la Main ont massivement migré vers ce quartier populaire de l'est de la métropole pour fuir la répression. Plusieurs piqueries ont vu le jour.

Au cours des des dernières années, les efforts policiers et ceux de la communauté ont contribué à faire chuter de 28 à 4 le nombre de piqueries dans Hochelaga-Maisonneuve, quartier historiquement aux prises avec la toxicomanie et la prostitution. Si les «piaules» se font plus rares, le nombre de consommateurs demeure le même.

«L'approvisionnement devient difficile. En manque, les prostituées demandent aux policiers où trouver de la drogue et les ambulanciers recueillent des gens en convulsion dans les ruelles»

Les prostituées et les toxicomanes ont été refoulés peu à peu vers le sud-est du quartier, secteur résidentiel et industriel un peu plus mal famé. C'est là que les dernières piqueries résistent toujours, presque devenues des vestiges anachroniques d'un quartier en ébullition.

Le besoin de consommer de la drogue incite les hommes -pour la plupart- à commettre des délits comme des agressions, des vols, des introductions par effraction et d'autres incivilités, tandis que les femmes se tournent vers la prostitution et la sollicitation.

«Les résidants "de souche" peuvent se faire poignarder à trois reprises et ne pas porter plainte sous prétexte de régler le problème seuls.

Une centaine de femmes, réparties dans le quartier et plus particulièrement sur la rue Sainte-Catherine Est, ont des pratiques de prostitution; ce chiffre resterait relativement stable depuis plusieurs années.

La majorité des personnes prostituées n’ont pas d’enfant, vivent seules ou en union libre; la moyenne d’âge des prostituées est de 35 ans.

http://www.lapresse....r-la-police.php

http://www.200portes..._diagnostic.pdf

Modifié 17 janvier 2014 par Nouveau Projet

[loudog]

Les voisines à mes amies étaient deux belles filles qui habitent ensemble qui faisaient des party avec genre 20 gars.

[Hari Seldon]

Il y déjà eu plus d'hommes que de femmes, mais faut pas

non plus. Croyez-vous qu'un quelconque polluant est à l'origine de ce bref déséquilibre des sexes ou bien est-ce tout simplement causé par l'expansion du quartier GAY un plus vers l'est.

http://ville.montrea...E_AVRIL09_2.PDF

[JeanClaude]

Le Dickson est mon bar préféré.

[Hari Seldon]

Le Dickson est mon bar préféré.

Pourquoi ?

Modifié 20 janvier 2014 par Nouveau Projet

[JeanClaude]

Pourquoi ?

Parce que la première fois que j'y suis allé, j'ai vu une pute fumer dans les toilettes (la porte n'est pas ouverte).

Elle portait un sac à dos en forme de toutou.

Elle est repartie avec un client qui doit avoir 59 ans aux cheveux gras.

Trashy à souhait, mais en même temps, la place est grande et spacieuse.

[Hari Seldon]

Si vous voyez un petit thug avec un coat avec un col en fourrure soyez sur vos gardes:

Le Service de police de la Ville de Montréal recherche des victimes potentielles de Patrick Lachance et Valérie Vézina.

Le premier événement s'est tenu le 19 décembre alors que le couple fait appel aux services d’une escorte. La femme s'est rendue à leur domicile et consomme de l’alcool et des drogues chimiques avec le couple. Elle a été victime de voies de fait à la fin de la soirée : agression sexuelle, brûlures et autres sévices corporels avec lésions. Le dossier a été mis en suspens, car la victime, intoxiquée, n’a pas été en mesure de formuler de façon cohérente un historique des faits.

Le deuxième événement est survenu le 26 décembre lorsqu’un homme s'est rendu au domicile des deux suspects à la suite d’un échange sur un réseau de rencontres. Sur les lieux, le trio consomme, une fois de plus, de l’alcool et des drogues chimiques. Les suspects deviennent violents : Patrick Lachance sort une arme blanche, menace de tuer la victime et l’empêche de quitter les lieux. Profitant d’un moment d’inattention des complices, il s'enfuit en sautant d’une fenêtre située au 2e étage.

Selon les informations du SPVM, Patrick Lachance est un homme de race blanche de 35 ans aux cheveux noirs et courts. Il a les yeux bruns. Il pèse 72 kg (158 lb) et mesure 1,70 m (5’ 6’’). Il a une cicatrice à l’abdomen, une oreille percée, un tatouage représentant une tête de mort sur le bras droit et le prénom d'une femme tatoué sur le côté gauche de la poitrine.

http://www.nouvelles...-potentielles/1

Les policiers de Montréal ont saisi deux armes à feu et arrêté quatre jeunes hommes en lien avec une tentative de meurtre survenue au début du mois, dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve.

Les suspects auraient été impliqués dans une transaction de drogue qui aurait mal tourné au cours de la soirée du 4 janvier, dans le stationnement du Super C, près de l'intersection de la rue Ontario Est et du boulevard Pie-IX.

Trois jeunes de la couronne nord, âgés de 18 à 20 ans, attendaient leur vendeur de drogue.

Quatre individus sont arrivés sur les lieux, mais au lieu de procéder à la transaction, ils ont volé l'argent des acheteurs et se sont enfuis.

L'un des suspects, probablement Anderson Justino, 18 ans, a ouvert le feu sur l'une des victimes, qui a été atteinte au haut du corps. Le jeune homme de 19 ans a toutefois survécu à ses blessures.

http://fr.canoe.ca/i...116-133522.html

Modifié 20 janvier 2014 par Nouveau Projet

[Hari Seldon]

Située à l’angle des rues Ontario et de La Salle, la Bank of Toronto est la première banque à venir s’installer à Maisonneuve, dès 1903. « Souvent les gens entrent avec leur carte de guichet à la main, pensant que c'est encore une banque ! D'autres fois, on nous méprend pour le Centre d'emploi Jeunesse ! Pourtant, l'organisme Carrefour Jeunesse occupe les lieux depuis plus de vingt ans ! », signale André Pruneau du Carrefour.

Ce duplex de la rue Dézéry, construit vers 1900, possède une ornementation vraiment très particulière. Il s’agit d’un duplex destiné à des gens aisés, en pierre grise à bossage, probablement de la pierre calcaire provenant de l’île de Montréal. Un autre signe de richesse est que ce duplex de deux étages possède une volumétrie verticale plus importante que son voisin qui, lui, a trois étages! Même si le rez-de-chaussée est surélevé par rapport au niveau de la rue, les plafonds des deux niveaux doivent être très hauts.

On remarque tout d’abord le toit à fausse mansarde, dans lequel percent trois lucarnes semi-circulaires, ainsi que trois petites lucarnes rondes, œils-de-boeuf proéminents. La lucarne de droite, qui surplombe la partie en avant-plan du bâtiment, est surmontée d’une petite tourelle conique. Les lucarnes comportent plusieurs éléments décoratifs dont la présence est rehaussée par des couleurs appliquées avec grand soin. La corniche est également soulignée par l’utilisation de couleurs, ce qui la rend encore plus visible.

Un élément décoratif plutôt intrigant est présent au sommet de la tourelle; la superbe girouette, en forme de coq, avec sa flèche et sa rose des vents, sert à indiquer la direction du vent.

Notons enfin la clôture en fer très particulière sur le toit.

Chouet site

http://www.atelier-d..._batiment.html#

Cliss un jour j’aimerai ça habiter dans une maison avec autant de cachet !

Modifié 20 janvier 2014 par Nouveau Projet

[Hari Seldon]

Le nombre de bouches de métro et de bars ainsi que la présence d'un cégep ou d'une université dans un quartier sont aussi des facteurs «robustes» pour prédire la criminalité. Ainsi, le nombre de bouches de métro dans un quartier augmente notablement la criminalité. Une partie importante des crimes commis dans un secteur sont le fait de gens qui n'y résident pas - en moyenne 61%, font également remarquer les chercheurs.

Les analystes du SPVM ont étudié les données sur la criminalité enregistrées dans 33 postes de quartier (PDQ) de 2005 à 2008. Mais plutôt que de ne prendre en compte que le taux de criminalité pour 1000 habitants, ils ont ajusté le taux de criminalité en fonction de la population réelle de chaque quartier. Ils ont tenu compte du fait que les personnes se déplacent et convergent vers certains endroits, à certains moments. Pour ce faire, ils ont consulté les statistiques fournies par l'Agence métropolitaine de transport.

À titre d'exemple, en tenant compte seulement de la population résidante, les quartiers du centre-ville ont des taux de criminalité beaucoup plus élevés que la moyenne montréalaise. Or, en fonction de la population réelle, les taux de criminalité au centre-ville sont plutôt inférieurs à la moyenne.

http://www.lapresse....que-dautres.php

Un document fascinant sur la criminalité à Montréal:

http://www.spvm.qc.c...ement_SPVM2.pdf

Income mapped: Shifts in Montreal incomes over the past decade

Hochelaga-Maisonneuve n’a peut-être plus de club vidéo de répertoire, mais un nouveau ciné-club a pris son envol cet automne, à la Maison de la Culture (MDC) de la rue Ontario. Le ciné-club caserne 45, animé par des citoyens bénévoles, propose de voir des films de qualité et de découvrir des réalisateurs québécois tous les lundis soirs pour 3 $, soit presque moins qu’une location vidéo. Après six représentations, l’événement réunit une cinquantaine de personnes, en moyenne, par soir. Un résultat satisfaisant, souligne M. Larivière. « Là, il faut élargir la promotion », ajoute-t-il. On privilégie les films qui soulèvent des enjeux de société et donnent naissance à des échanges après la projection», dit Saraë Nault-Beausoleil, la talentueuse stagiaire qui a mis sur pied le projet. Elle a réussit à s’entourer d’une dizaine de résidents cinéphiles désireux de rendre au 7ème art sa citoyenneté dans le quartier. Le groupe choisi démocratiquement les films qui seront projetés en pigeant dans le catalogue de l’Association des cinémas parallèles du Québec.

Modifié 21 janvier 2014 par Nouveau Projet

[Hari Seldon]

Sans commentaires…

[Hari Seldon]

LE SUD-OUEST

Lieu où les artistes habitent.... et parfois squattent:

2019 Moreau

Lieu où l'on dénonce la gentrification du quartier:

Lieu où l'on fait des reportages trash:

Capone et moi remontons la petite rue Champlain. Il fait sombre. Arrivés coin Ontario, je m’arrête devant le CitiBar : un bar qui a l’air clean vu de l’extérieur, mais où traînent toujours une trâlée de transexuels. Capone accepte de m’y accompagner.

Je passe la porte et balaie le bar du regard. L’endroit est plein à craquer. Prostitués transexuels et clients de tous les genres jouent au billard, boivent de la bière, se draguent. Je suis la seule fille, fille. Puis, mes yeux se fixent sur le stage : en avant de moi, un homme déguisé en femme, coiffé d’une ridicule perruque blonde et vêtu d’une paire de jeans très serrée fait du lipsync sur une musique d’Annie Villeneuve. La scène est surréelle. Incapable de contenir mon malaise, j’éclate de rire et demande à Capone de sortir.

Une fois à l’extérieur, nous marchons quelques pas avant de nous immobiliser coin Ontario et Papineau. Capone me parle de l’ancienne piquerie qu’il y avait autrefois en haut du Pub Jacques- Cartier.

—L’auberge Jolicoeur, c’t’ait la pire piaule qu’y’avait pas. Les filles allaient là avec leurs clients. Les gens se piquaient dans les chambres… Pis le proprio de l’hôtel était trop con pour mettre des bacs pour les seringues, fait que y en avait toujours plein dans les conteneurs dans la ruelle en arrière. Le monde allait fouiller dans les vidanges pour les prendre, pis y se faisait des wash avec.

—Des wash ?

—C’est quand tu vides plein de seringues, pis que tu récupères toute le liquide pour te l’injecter.

Je ravale ma salive silencieusement.

...

Visiblement, Capone commence à en avoir marre de toutes mes questions. Puis il s’arrête devant un hôtel coin Sainte-Catherine et Saint-Laurent : le Botero. « Là, c’est le plus grand bordel en ville. C’t’un motel de passes. Moi, j’rentre jamais là, y a toujours des descentes », dit-il. La porte est ouverte. Devant moi, un immense escalier orange. Mon coeur bat à tout rompre à la seule idée d’y rentrer.

Je grimpe les escaliers oranges. Au comptoir, je demande une sieste d’une heure en échange de 20$. L’employé m’assigne la chambre la plus isolée de l’hôtel, en me tendant deux débarbouillettes. Même pas de clé. Dans les corridors, je croise des hommes et des femmes qui courent de tous bords tous côtés à la recherche de smack. Je croise des prostituées tellement puckées, aux bras de leur client tellement straight. Dont l’une, qui a l’air âgée d’à peine 15 ans. Une fois dans la chambre, le photographe prend quelques photos du lit insalubre et des draps jaunis, dans lesquels même un sans-abri n’oserait pas se coucher. Chaque fois qu’il appuie sur le déclencheur, je simule des cris de jouissance pour camoufler le bruit de son appareil et éviter tous soupçons. Après vingt minutes à tourner en rond, je sors de la chambre. Dans le corridor, un autochtone, complètement stone, bave par terre. Je fais mon chemin jusqu’à la réception, remets les débarbouillettes au commis, puis part en lui feignant le sourire de la fille qui vient de baiser.

http://urbania.ca/ca...uit-avec-capone

Lieu qui a qui a gardé sa vibe industrielle

Dans le sens qu'on produit tellement de graffitis qu'on peut les vendre !

http://instagram.com/p/fGTkiMyJT2/

Lieu où l'on se parle dans le casque:

Lieu où l'on peut trouver des vestiges si l'on gratte beaucoup:

Lieu où l'on fait des thèses d'incendies suspects

Lieu où l'on peut se débarrasser de ses vieux magazines:

Lieu où peut acheter un triplex pour le prix d'un condo:

REPRISE DE FINANCE POUR RÉNOVATEUR!

Triplex semi-commercial avec grand garage séparé

278 500,00 $

Sur les 130 000 habitants de l'arrondissemont Mercier–Hochelaga-Maisonneuve, il y en a seulement 11 500 qui habitent cette partie du territoire. J'ignore combien habitent Hochelaga et combien habitent Maisonneuve.

Il faut savoir que au moment de l'annexion d'Hochelaga en 1883 par Montréal, sa partie est, autrefois appelée Côte Saint-Martin, se détache. Un groupe de propriétaires fonciers canadiens-français, dont Joseph Barsalou, Alphonse Desjardins ainsi qu'Oscar et Marius Dufresne, désire constituer une cité industrielle modèle inspirée du mouvement City Beautiful: la ville de Maisonneuve voit ainsi le jour. Organisée en quartiers et en lots rectangulaires, ses promoteurs prévoient d'y ériger des manufactures et des bâtiments institutionnels grandioses. Entre 1896 et 1915, Maisonneuve vit une croissance sans pareille et se voit surnommée la « Pittsburgh du Canada ».

http://www.urb.umont.../AtelierGP1.pdf

http://www.memorable....php?quartier=7

http://tvanouvelles....906-110417.html

http://www.urb.umont.../AtelierGP1.pdf

http://www.quartierh...ga-maisonneuve/

http://urbania.ca/ca...aga-maisonneuve

https://www.facebook...pottedHochelaga

http://ville.montrea...ine_mercier.pdf

http://www.lapresse....-intervenus.php

http://bbordeleau.wo...ess.com/page/2/

http://passerelle.ce...RIS.CA&Langue=F

Modifié 22 janvier 2014 par Nouveau Projet