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Questionnaire latuquois  

4 membres ont voté

  1. 1. Avez-vous déjà visité La Tuque ?

    • Oui
      0
    • Non
      4
  2. 2. Portez-vous la Tuque ?

    • Seulement l'hiver
      2
    • Toujours
      1
    • Jamais
      1
  3. 3. Avez-vous une Tuque ?

    • Oui
      3
    • Non
      1


Déchet(s) recommandé(s)

Sup !

 

Je suis en train de détailler une liste des plus grands choses qui ont a trait avec La Tuque(art, politique, etc.)... et des pour et des contres de déménager à La Tuque

 

Shootez ceux que je connais pas.

 

Je vais vous shooter un point de réputation par réponse Dimanche !

 

Merci d'avance !

 

10 CHOSES QUE VOUS NE SAVEZ (PEUT-ÊTRE) PAS À PROPOS DE LA TUQUE

1-LA TUQUE EST AUSSI GRANDE QUE LA BELGIQUE

https://avenues.ca/partir/infos-voyage/10-choses-a-propos-de-ville-de-la-tuque/

 

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La Tuque est une région monoindustrielle dont l'économie repose principalement sur l'exploitation forestière. Les principaux employeurs de la région dans ce domaine sont WestRock qui fabrique du carton haut gamme et du carton alimentaire dans son usine de La Tuque, Gestion Rémabec dont le siège social est à La Tuque, qui exploite l'usine de bâtonnets alimentaires Les Industries John Lewis et une usine de sciage dans le secteur de Parent, ainsi que l'usine de sciage de Produits forestiers Haut-Saint-Maurice propriétée de la Coopérative forestière du Haut-Saint-Maurice et de Résolu. 

Veux-tu devenir bûcheron ? :naughty:

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J'ai remarqué que cette Ville avait également les pouvoirs d'une MRC, comme Mirabel et Rouyn-Noranda. C'est donc bien plus qu'une simple ville, elle possède les responsabilités d'aménagement et de développement de son territoire tels que délégués par la Loi sur l'aménagement et l'urbanisme du Québec. 

Je me demande si l'industrie forestière est vraiment vouée à rester monoindustrielle. Avant le retrait des arbres, ou juste au lieu de, j'espère que la Tuque comprend le potentiel des produits forestiers non ligneux (PFNL) mais aussi de la villégiature.

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Le 2021-06-02 à 13:24, Goéland a dit :

J'ai remarqué que cette Ville avait également les pouvoirs d'une MRC, comme Mirabel et Rouyn-Noranda. C'est donc bien plus qu'une simple ville, elle possède les responsabilités d'aménagement et de développement de son territoire tels que délégués par la Loi sur l'aménagement et l'urbanisme du Québec. 

Je me demande si l'industrie forestière est vraiment vouée à rester monoindustrielle. Avant le retrait des arbres, ou juste au lieu de, j'espère que la Tuque comprend le potentiel des produits forestiers non ligneux (PFNL) mais aussi de la villégiature.

En effet, elle fait partie d'un club très sélect et bigaré de villes qui exercent certaines compétences de MRC:

  • Gatineau
  • Les Îles de la Madeleine
  • Laval
  • Lévis
  • Longueil
  • Mirabel
  • Montréal
  • Québec
  • Rouyn-Noranda
  • Saguenay
  • Shawinigan
  • Sherbrooke
  • Trois-Rivières

https://www.mamh.gouv.qc.ca/fileadmin/publications/organisation_municipale/organisation_territoriale/BRO_OrganisationMunicipale_2020.pdf

 

J'aimerais bien un jour acheter une Tuque fait de fibre de bois (Lyocell) Made in LATUQUE.

 

L'Agglomération de La Tuque comprend: 60 pourvoiries et plus de 4000 chalets

 

Le territoire de La Tuque comporte douze territoires d’intérêt historique reconnus à l’échelle
régionale dont le domaine Le domaine Van Bruyssel. En 1900, l'ingénieur et ancien consul général de Belgique au Canada, Ferdinand-Charles van Bruyssel (1856-1935), fonde la Belgo Canadian Pulp and Paper Company. L'entreprise obtient du gouvernement des concessions forestières situées aux limites des bassins versants de la rivière Saint-Maurice et du lac Saint-Jean. Van Bruyssel décide d'y installer le centre des opérations de sa compagnie. L'homme prône l'exploitation responsable des ressources naturelles et est considéré comme l'un des précurseurs de la foresterie scientifique au Québec.

Établi au confluent de deux rivières, aux limites du bassin versant de la Mauricie et du Lac St Jean à une altitude de 400 mètres, le domaine compte trois résidences et quatre bâtiments de service. L'environnement est d'une exceptionnelle qualité et d'une grande pureté. Construit dans les règles de l'art et suivant une esthétique correspondant aux établissements forestiers d'Europe du XIXème siècle, ce lieu demeurera au centre des opérations de la Belgo pendant plus de 50 ans.

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https://ville.latuque.qc.ca/file-4450

https://patrimoine-culturel.gouv.qc.ca/rpcq/detail.do?methode=consulter&id=168132&type=bien

http://www.vanbruyssel.com/domaine.php

 

Le 2021-06-02 à 13:03, Ecce Homo a dit :

La Tuque est une région monoindustrielle dont l'économie repose principalement sur l'exploitation forestière. Les principaux employeurs de la région dans ce domaine sont WestRock qui fabrique du carton haut gamme et du carton alimentaire dans son usine de La Tuque, Gestion Rémabec dont le siège social est à La Tuque, qui exploite l'usine de bâtonnets alimentaires Les Industries John Lewis et une usine de sciage dans le secteur de Parent, ainsi que l'usine de sciage de Produits forestiers Haut-Saint-Maurice propriétée de la Coopérative forestière du Haut-Saint-Maurice et de Résolu. 

Veux-tu devenir bûcheron ? :naughty:

Non. Cette ville au milieu de nulle part me fascine. Un jour je vais la visiter

Le 2021-06-03 à 11:51, Retromantique a dit :

La Tuque aussi grande que la Belgique? Lmaoo

Le territoire municipal du gouvernement régional d'Eeyou Istchee Baie-James est plus grand que le Royaume-Uni.

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TIL j'ai appris que les canadiens appellaient un bonnet une tuque et qu'ils ont litteralement un territoire qui s'appelle bonnet. 

Pourquoi chercher de la vie extraterreste quand on a une civilisation aussi etrange et improbable en amerique du Nord ? 

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Il y a 7 heures, DASRI 2.0 a dit :

TIL j'ai appris que les canadiens appellaient un bonnet une tuque et qu'ils ont litteralement un territoire qui s'appelle bonnet. 

Pourquoi chercher de la vie extraterreste quand on a une civilisation aussi etrange et improbable en amerique du Nord ? 

L’explorateur François Verreault le décrit ainsi en 1823-24 : « Les voyageurs le nomment la Tuque, à cause d’une montagne haute, dont le pic ressemble à une tuque (Colline, morne). Les canadiens anglais ont emprunté du français canadien tuque comme  variante de toque.

 

 

 

Le 2021-06-03 à 08:48, La Tsarine a dit :

Félix Leclerc, Gaétan Barrette et Steven Guilbault sont quelques Latuquois célèbres.

Et Roméo Saganash: arraché à sa famille à six ans, le député néodémocrate Roméo Saganash a lui-même vécu l’horreur des pensionnats, pendant 10 ans à La Tuque. On est venu nous chercher dans la communauté, à Waswanipi, et on nous a transportés en autobus, puis en train. Nous sommes arrivés en pleine nuit. On était une centaine. Ça sentait la propreté, le Javex. Je vois encore le curé en haut des escaliers nous parler. J’entendais une autre langue que le cri pour la première fois. On nous a rasé la tête, douchés, pris nos vêtements et donné des pyjamas.

 

Jeannette Coo Coo a étudié à l’école de La Tuque, au Québec, dans les années 1960. Elle dit avoir appartenu à ce qui était peut-être la dernière génération d’Autochtones à avoir été élevée dans la forêt. Dans la forêt, ce dont je me souviens dans mon enfance, c’était la peau d’ours que j’aimais. J’étais là et c’était la peau d’ours que mon père avait mise par terre pour qu’on s’assoie dessus. C’est pour ça que je suis contente d’en voir une ici. Et ce dont je me souviens de mon enfance ce sont aussi les chansons de ma mère, parce que nous vivions dans des tentes et qu’il y avait de petits enfants et que ma mère chantait pour les plus jeunes et en même temps, ça nous aidait à nous endormir. C’était bon pour tout le monde, les chansons de ma mère, et c’est de ça que je me souviens, c’est pour ça que je suis heureuse de dire que c’était ça, que j’ai été élevée avec ça, que ça fait partie de moi, si on peut dire.

On rapporte également le cas d’élèves forcés à manger du savon quand on les prenait à parler une langue autochtone. Pierrette Benjamin a rme l’avoir vécu à l’école de La Tuque. Ils ont pris un gros morceau et ils me l’ont mis dans la bouche, et la directrice, elle me l’a mis dans la bouche et elle a dit « mange-le, mange-le », et elle m’a juste montré quoi faire. Elle m’a dit de l’avaler. Et elle a mis la main devant ma bouche, alors je mâchais et je mâchais, et j’ai dû l’avaler, alors je l’ai avalé, après j’ai dû ouvrir la bouche pour montrer que je l’avais avalé. Et à la n, j’ai compris, et elle m’a dit, « c’est une langue sale, c’est le diable qui parle par ta bouche, c’est pour ça qu’il fallait la laver, parce qu’elle était sale ». Donc, tous les jours que j’ai passés au pensionnat, j’ai été maltraitée. Ils m’ont presque assassinée.

Dianne  Bossum se souvient qu’on lui a dit de ne pas parler sa langue maternelle à l’école de La Tuque, au Québec, qu’elle a fréquentée à la n des années 1960 et au début des années 1970. Diane Bossum dit qu’à l’école de La Tuque, au Québec, « on était obligé manger toute qu’est-ce qu’on avait sur, sur nos plats. À un moment donné, j’avais, j’ai eu un soupe, mais dans la soupe y avait un sorte de bêbête dedans. Là, je montre la soupe à mon éducatrice. Après ça, elle demande : “Tu veux-tu une autre soupe?” “Non.” Mais elle a amené un autre soupe là. Je voulais pas manger, mais elle était là ma soupe là. Il fallait que je mange pareil là.

Louisa Birote se souvient que les filles à l’école de La Tuque, au Québec, formaient des groupes hostiles. « On se détestait. Donc, une petite bande n’aimait pas l’autre petite bande. C’était comme ça à l’école, c’est ce qu’on a appris, la peur et on avait peur, et je me cachais dans ce qu’on appelait le débarras, le placard.

Mary Coon-Come a fréquenté l’école de La Tuque, au Québec, dans les années 1960. L’une des lles de l’école s’appelait Juliet Rabbitskin. Elle avait un handicap; elle était petite pour son âge, et elle était notre bébé. On la traitait, on la traitait comme notre bébé. On avait l’habitude de l’habiller. De brosser ses petites dents pourries et de peigner ses cheveux secs. Quoi qu’il en soit, pour nous, elle était très belle. Une nuit, elle, elle est tombée malade. Ils sont venus me réveiller. Alors, j’ai dit que je resterais avec elle, avec son petit ours en peluche, et je lui ai chanté une berceuse que ma grand-mère chantait pour nous lorsqu’elle nous mettait au lit. Je savais qu’elle ne se sentait pas bien; elle avait de la fièvre. Puis, elle s’est endormie, alors je suis retournée au lit. Et puis, encore une fois, ils m’ont réveillée et m’ont dit qu’elle ne se sentait pas bien. Je suis donc allée la voir, et je savais qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas. Je suis donc allée réveiller une de mes amies, et je lui ai dit : « Il faut l’emmener au dispensaire. Quelque chose ne va pas. » Elle ne pleurait pas, mais elle nous regardait en souriant, un genre de sourire qui nous disait que quelque chose n’allait pas. Alors, je l’ai enveloppée dans une couverture comme un petit bébé, avec son ours en peluche. L’autre fille a couru en bas pour aller chercher l’infirmière, et il y avait une chaise juste là, à côté de la porte de la clinique. Je me suis assise là, et je la tenais dans mes bras, et j’ai chanté pour elle. [pleurs] La fille qui était avec moi, qui a couru en bas, elle a dit : « Elle s’en vient, l’infirmière s’en vient. » Je ne sais pas combien de temps on a attendu. Je sentais sous la couverture qu’elle était en train de se mouiller, et moi, j’ai dit à cette fille : « Va chercher l’infirmière. Je pense qu’elle est en train de mourir. » On, on pouvait voir ses yeux regarder vers le haut, puis vers le bas. Elle est retournée en bas pour aller chercher l’infirmière. Quelques minutes après son arrivée, elle, elle avait son uniforme d’infirmière, on pouvait voir qu’elle avait pris une douche et tout, et quand elle a vu la petite fille, quand elle a vu Juliet, elle, elle m’a dit, elle m’a dit de la mettre sur le lit à, à l’infirmerie, alors je l’ai fait. Elle n’était même pas venue, et elle, l’ambulance est arrivée, le médecin est venu; je peux encore me souvenir de ce médecin... Quand ils l’ont descendue, j’ai tenu sa main jusqu’à la porte, puis ils l’ont mise dans l’ambulance, et c’est la dernière fois que je l’ai vue.Ce jour-là, après le dîner, ils nous ont appelés, tous, on devait tous aller dans nos chambres, et je savais qu’il y avait un problème. Alors, j’ai demandé à Candy, la dame qui s’occupait de nous, on avait l’habitude de l’appeler Candy parce qu’elle nous donnait toujours des bonbons, et elle, elle est morte, et elle ne voulait rien me dire. Et j’ai couru derrière elle, et elle a couru dans sa chambre, et j’ai couru derrière et je lui ai dit : « Dites-moi. » Elle, quand elle a fermé la porte, je suis allée dans sa chambre et je lui ai dit : « Dites-moi qu’elle est morte. » Elle ne voulait pas me le dire. Alors, ils nous ont rassemblés tous dans une chambre, et ils nous ont dit qu’elle était morte. Quand ils ont ramené le corps, la tombe était près de l’église, ils ne l’ont même pas ouverte pour qu’on la voie. Je voulais la voir. Je voulais qu’elle, je sentais qu’elle n’était pas là, que tout cela était un mensonge. Elle a aidé à porter le cercueil jusqu’à l’église. « On allait l’enterrer, on n’était que cinq personnes là. Les parents n’étaient même pas là. Ils ne les ont même pas invités, n’ont pas invité les parents à venir. Même aujourd’hui, je ne peux pas aller au cimetière, en sachant que je vais voir une petite plaque avec un simple numéro.

http://www.trc.ca/assets/pdf/French_Survivors_Speak_Web.pdf

https://www.lapresse.ca/actualites/2021-06-05/a-la-memoire-de-jonnish.php

https://www.journaldemontreal.com/2015/06/06/romeo-saganash-survivant-dun-genocide-culturel

 

 

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Il y a 9 heures, DASRI 2.0 a dit :

TIL j'ai appris que les canadiens appellaient un bonnet une tuque et qu'ils ont litteralement un territoire qui s'appelle bonnet. 

Pourquoi chercher de la vie extraterreste quand on a une civilisation aussi etrange et improbable en amerique du Nord ? 

Ce serait bien de jumeler La Tuque avec certaines de vos villes, comme Montcuq ou un des Gland.

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