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La depression


Déchet(s) recommandé(s)

Une personne qui se sort d'une dépression par la seule force de sa volonté, sans médication, n'y aurait pas sombré «in the first place» non? Quand on sombre en dépression, ce n'est pas qu'on le veuille, c'est que notre corps est malade. Ce n'est pas un virus ou une bactérie que le système immunitaire peut éliminer. C'est un déséquilibre chimique.

Je n'ai jamais vu personne se sortir d'une dépression sans médication. Pour certains, les antidépresseurs deviennent essentiels à empêcher une rechute. Ils doivent en prendre à vie.

Si quelqu'un m'arrivait en prétendant avoir guéri sa dépression par sa seule volonté, je lui demanderais pourquoi il n'a pas eu la «volonté» de ne pas tomber malade d'abord. Han?

En fait, je croirais qu'une telle personne était simplement déprimée, et non pas en dépression nerveuse, qu'elle s'est ressaisie et n'a rien guéri du tout, pour la bonne raison qu'elle n'était même pas malade.

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J'ai déjà penser comme toi. Je me trompais. On en relève beaucoup plus vite avec, que sans. Oui oui.

Par contre, je suis contre les médoc à long terme. Je n'en ai pris que pendant 3 mois.

J'ai commencée à prendre des antidépresseurs à 15 ans. Je les ai pris pendant environ un an et demi et j'ai décidée d'arrêter net (je ne recommande pas, c'est très désagréable). Quelques mois plus tard, j'ai fais une rechute. Vraiment, ça n'allait plus du tout, je pleurais à tous les jours. J'étais mal au point de demander à mon psychiatre de recommencer la médication et il a dit non. Je ne pourrai jamais assez le remercier, car j'ai du travailler fort pour me comprendre et m'en sortir. Ça valait la peine car je me sens mieux que jamais! Je crois vraiment que la médication est un dernier recours pour comme tu dis mieux remonter la pente. Mais c'est possible de le faire sans.

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Je n'ai jamais vu personne se sortir d'une dépression sans médication. Pour certains, les antidépresseurs deviennent essentiels à empêcher une rechute. Ils doivent en prendre à vie.

Pour certains, oui, c'est vrai.

Je crois vraiment que la médication est un dernier recours pour comme tu dis mieux remonter la pente. Mais c'est possible de le faire sans.

Je l'ai fais longtemps. Mais, arrive un point critique de "non retour" où tu n'as plus l'choix. Lorsque tu "tombes" en chute libre dans un abysse, il te faut un parachute. Sans ça, ça risque de finir très mal.

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La terre est plate. Mais si vous y croyez bin bin fort, elle pourrait devenir ronde. Ah la magie psychédélique de la force du mental!

** MAGIE MAGIE MAGIE**

J'ai commencée à prendre des antidépresseurs à 15 ans. Je les ai pris pendant environ un an et demi et j'ai décidée d'arrêter net (je ne recommande pas, c'est très désagréable). Quelques mois plus tard, j'ai fais une rechute. Vraiment, ça n'allait plus du tout, je pleurais à tous les jours. J'étais mal au point de demander à mon psychiatre de recommencer la médication et il a dit non. Je ne pourrai jamais assez le remercier, car j'ai du travailler fort pour me comprendre et m'en sortir. Ça valait la peine car je me sens mieux que jamais! Je crois vraiment que la médication est un dernier recours pour comme tu dis mieux remonter la pente. Mais c'est possible de le faire sans.

Les médecins sont tout à fait aptes à diagnostiquer la dépression puisque les symptômes sont d'abors physiques. Je suis toutefois bien d'accord que dans plusieurs cas le diagnostique peut être mal posé, surtout par manque de temps lors de la consultation. Il est vrai aussi que souvent des personnes sont médicamentées sans vraiment avoir besoin de l'être (et pas seulement dans le cas des dépressions ,mais en général également). La médication mal dosée ou tout simplement non indiquée dans un cas de dépression produit l'effet contraire (outre les premières semaines d'adaptation au médicament), c'est-à-dire qu'au lieu de rétablir l'équilibre chimique du cerveau et de réguler correctement les humeurs, la personne deviendra très instable, et on voudrait l'enfermer. Il est donc somme toute assez simple de déterminer si les anti-dépresseurs sont vraiment indiqués dans une situation donnée. De plus, ils ne sont efficaces que dans les cas de dépression sévères, et non légère, et encore moins lors de dépressions chroniques.

La psychologie n'intervient qu'une fois le diagnostique posé, qu'il y aie médication ou pas. Il s'agit le plus souvent de thérapies comportementales, pour que le patient puisse "réapprendre" à réagir correctement aux diverses situations de la vie auxquelles il fait face.

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La terre est plate. Mais si vous y croyez bin bin fort, elle pourrait devenir ronde. Ah la magie psychédélique de la force du mental!

** MAGIE MAGIE MAGIE**

Moi, j'étais en DÉPRESSSION hier. Mon chien, un berger allemand, me ragardait d'un drôle d'air quand je suis revenu du bureau. Il avait la queue en l'air et se tenait à côté de ma blonde qui était étendue de tout son long sur le lit conjugual, les jambes ouvertes et les bras en croix, avec un air plein de béâtitude sur son visage angélique. Le berger me regardait dans la face la langue pendante, l'air de rire de moi. J'ai compris que ma blonde m'avait trompé avec mon chien et que je n'avais plus ma place de mâle dominant dans la maison. Je passerais dorénavant en deuxième.

Pour me consoler, j'ai appelé maman. Elle s'est excusée de ne pas m'avoir fait mes tartes aux pommes mensuelles, vu qu'elle avait eu la visite de ma soeur qui l'avait occupée.

Mon père ne pouvait pas me parler, il dormait dans la grange, cuvant son vin.

Ça a provoqué chez-moi un ÉTAT DÉPRESSIF avec idées suicidaires. Mais non, mon mental était plus fort. Je ne suis pas allé consulter. Non aux pilules qui causent plein de difficulltés à long terme! Non , je suis plus fort!

Je suis allé m'acheter un 26 onces de Rhum Jamaïcain, j' en ai bu la moitié en écoutant de la musique des îles, puis je suis tombé endormi.

En me réveillant, j'ai déjeûné et suis allé faire du ski. Je ne suis plus du tout DÉPRESSIF ce soir.

Oubliez les anti-dépresseurs. Le rhum jamaïcain va vous guérir en moins de 24 heures.

Sérieux.

:happy:

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Le lendemain, ton père alcoolique, ne pouvait toujours pas te parler, car dans la matinée, il avait passé sur la sale gueule de ton chien avec son truck. Il avait noyé sa peine dans trois bouteille de Sambuca.

En allant pleurer à ta mère, tu l'as surpris à se faire plaisir sexuellement dans ses propres tartes aux pommes fraichement sorties du four! Tu viens de comprendre de quel ingrédient secret elle faisait souvent allusion.

Sentant la rechute de dépression, tu t'es calé une autre bouteille de Rhum. C'était le début de ta toute nouvelle histoire d'alcoolique... comme ton père!

Bravo!

Sans déconner, je viens de tomber sur ça:

Détecter l'épuisement professionnel par la salive

Sera-t-il possible de détecter l'épuisement de façon précoce, avant que sa victime soit obligée d'arrêter de travailler? «Peut-être, éventuellement, dit M. Juster. Mais à court terme, nous aimerions pouvoir distinguer la dépression de l'épuisement pour aider à la prescription d'antidépresseurs.»

Le cortisol est détectable par un test de salive, et les autres renseignements sont obtenus par des tests sanguins ou non invasifs, comme la tension artérielle.

http://www.cyberpresse.ca/sciences/201102/23/01-4373082-detecter-lepuisement-professionnel-par-la-salive.php

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Vraiment, je ne comprend pas ceux qui m'ont enlevé des points de réputation pour mon message plus haut.

Vous croyez vraiment que c'est en prenant en pitié une personne qui se sent mal dans sa peau qu'on peut l'aider? Mon point est qu'il faut traiter cette personne comme un adulte, lui faire comprendre qu'elle peut s'en sortir si elle le souhaite (et pas seulement si on la bourre de produits chimiques). Prendre cette personne en pitié ne peut au final que la rabaisser encore plus et lui faire accepter son état comme inévitable.

La chimie du cerveau est à la fois affectée par la vie de tout les jours ET affecte la vie de tous les jours. Si la personne est placée dans un contexte favorisant une amélioration de son état psychologique et physique, ça ne peut lui faire que du bien.

C'est ridicule à quel point on se sert de l'excuse des troubles chimiques cérébraux comme si c'était complètement déconnecté de la vie quotidienne, totalement indépendant de la volonté de la personne. L'être humain et son milieu forment un tout, sont interdépendant. Se débarrasser de nos problèmes et les mettre dans les mains des "professionnels" est une des attitudes les plus destructrices de notre époque. "Si je vais pas mieux, c'est parce que mes anti-dépresseurs sont pas assez puissants." ...

Cette interdépendance peut vite tourner en cercle vicieux si elle est axée vers le négativisme. Mauvais état psychologique qui entraîne des troubles physiques et une mauvaise adaptation au monde extérieur. À ce moment, revenir vers une attitude positive est très difficile, mais pas impossible. La première chose à faire est de faire des efforts d'auto-conviction, de motivation personnelle et de se pousser à aller à l'encontre du courant qui nous pousse vers le bas. C'est pas facile mais c'est beaucoup plus utile à long terme que de se faire dire qu'on est malade et qu'il nous faut des médicaments.

Peut-être que je dis juste des conneries aussi... Je suis d'accord qu'il y a des cas extrêmes qui sont beaucoup plus difficiles à régler (ceux-ci nécessitent peut-être une médication), mais le cas présent ne semble pas en être un.

Modifié par White Light
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