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marie-pier

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  1. Il faut se l'imaginer heureux, tsé.

  2. La vraie signification des choses n'existe pas. Les mots, les expressions n'ont de significations que celles qu'on leur donne ou qu'on croit que d'autres leur donnent. Encore là si je dis appliquer une maxime dans ma vie, cela ne veut pas dire que je le fais pour vrai. J'ai beau entendre cette maxime de «vivre chaque jour comme si c'était le dernier» comme pouvant avoir une très belle signification (celle d'assumer mes actes, ne pouvant plus les changer par la suite, profiter des opportunités, faire de chaque journée une journée agréable (étudier peut être agréable pour certaines personnes au fait), dire aux gens que j'aime que je les aime, etc.), cela ne veut pas dire que je vais l'appliquer chaque jour. Malgré une bonne volonté je risque de passer un peu à côté, de faire des erreurs, de les regretter, de faire des choses simplement par formalité et non parce que j'en ai envie, ou peu importe quoi qui ne s'appliquer pas à ma morale idéale. Au même titre les gens qui disent suivre la même maxime, mais au sens de faire le party et de ne pas se soucier de l'avenir vont fort probablement ne pas faire le party tous les jours et prendre plusieurs décisions qui relèvent de leur avenir, quoiqu'ils en disent.
  3. Suite à ces deux messages, je miserais sur une femme, j'ai raison? Et comment ça s'est développé (advenant que j'aie raison)?
  4. Ahah! Dans mon cas, c'est plutôt la 2e phase qui ne m'arrive jamais, les trois autres me sont arrivées souvent, peut-être la trois et la quatre moins souvent (juste les fois où j'étais le plus finie). Juste pour dire que ça dépend vraiment de la personnalité de chacun. Sinon à jeun je suis une personne plutôt calme et timide. Je n'ai pas de difficulté à parler aux gens à qui j'ai envie de parler, mais ce n'est pas moi qui va parler plus fort que tout le monde, qui va captiver l'attention d'un groupe de personne ou qui va faire rire la galerie. Et quand je suis saoule je vais avoir tendance à faire ça. Encore là ça va dépendre d'avec qui je suis. Je crois finalement que l'alcool nous fait réagir comme on s'empêche d'être habituellement.
  5. C'est bien que Dove le fasse, mais j'ai hâte que des filles au poids santé fassent la couverture des magazines et posent dans les pages de mode et les publicités. Parce qu'il y a quelque fois des ''spécial tailles fortes'' mais il n'y a jamais de ''spécial'' poids santé, alors que ça devrait être la norme à mon avis. Si les mannequins et les acteurs (quoique moins pire de ce côté-là) avaient une shape plus normal, il y aurait beaucoup moins de troubles alimentaires j'en suis sure.
  6. En général je suis moins attirée par les petits, parce qu'ils ont cette fichu tendance (probablement à cause d'un complexe d'infériorité) à s'over-entraîner. Et les gars qui s'entraînent trop me repoussent définitivement. Je n'ai rien contre les muscles, mais plus contre l'attitude et l'exagération. Sinon si le gars n'est pas comme j'ai mentionné, je n'ai rien contre bien que j'aie peut-être une petite préférence pour plus grand que moi (mais encore là, c'est une préférence physique, donc au même niveau que la couleur des yeux disons).
  7. Dr Jekyll and Mr Hyde: Un homme ne veut pas assumer sa position de gentleman lorsqu'une prostituée le tease au même moment que son futur beau-père lui refuse de devancer son mariage et éloigne de lui sa fille, lui empêchant ainsi d'assouvir ses pulsions.
  8. Voici un dessin animé Nord coréen. Ce qui me chicote c'est qu'il a l'air fait pour les enfants. Tentative de contrôler le peuple dès le plus jeune âge. Mais bon, sommes-nous mieux avec nos émissions pour enfants débilisantes?
  9. Le voyage de ma vie: (pour l'instant du moins) L'hiver dernier j'étais en quête d'un voyage à faire, je cherchais quelque chose qui contenait du défi, de l'aventure. Je n'avais pas le goût de simplement visiter des villes, comme je l'avais fait lors de mon précédent voyage, bien que ce fut très intéressant aussi. Mon amie, avec qui j'avais décidé de faire le voyage, par contre voulait absolument aller en Europe. Nous voilà donc devant un dilemme. J'avais pensé au Pérou, à l'Égypte, au Maroc, à la Thaïlande et elle ne pensait qu'à l'Europe, qui à mes yeux n'avait à offrir aux touristes que ses grandes villes, et malheureusement pas de défi ni d'aventure. Et bien, après avoir réfléchi, nous (je ne sais pas qui de nous deux la première) avons pensé à faire la marche jusqu'à Compostelle. Nous n'en savions rien, pour ma part une histoire lue bien jeune sur des pèlerins qui faisaient la même marche mais il y a de ça plusieurs siècles. On savait par des amis que cette marche se faisait encore et était même plutôt populaire (ce qui en fait un chemin entre-coupé régulièrement d'auberges de pèlerins, d'épiceries, de bar, bref de chose bien pratiques pour nous marcheurs). Et ça comblait donc les envies de mon amie d'aller en Europe et d'être dans une place assez rassurante et près de notre culture, tout en comblant les miennes d'avoir un défi et de l'aventure. Donc ce fut décidé et nous avons été acheté nos billets d'avion sans trop se poser de question. Je crois qu'une des principales nécessités de n'importe quel voyage est de s'entendre avec son (ou ses) compagnon pour avoir envie du même style de voyage. Je désirais faire ce voyage de façon relaxe, sans se stresser de mille et une chose, de décider le matin même où nous irions et d'être prête à changer mes plans à tout moment, éléments qui me semblait nécessaire pour apprécier pleinement mon voyage, mais dont il pourrait en être tout autrement pour d'autres personnes. Et mon amie était entièrement d'accord avec ma façon de voir les choses, ce qui fait que tout s'est bien déroulé. Donc, voilà, nous avons marché pendant près de 4 semaines, et nous avons pu profiter de la mer quelques jours à la fin de notre voyage (au fait si vous voulez faire la même marche, je vous conseille vivement de vous garder quelques jours pour vous rendre à finisterre, qui est à quelques 100 km de Santiago de compostelle et qui est tout à fait sublime). Les premières semaines de notre voyage nous avons voyagé en solo, juste toutes les deux, en rencontrant chaque plusieurs personnes intéressantes, mais sans s'associer à aucun groupe. Comme nous marchions à des rythmes très différents, mon amie partait avant moi le matin et nous marchions toute l'avant-midi en solitaire, profitant de ce moment pour faire le vide dans nos têtes et apprécier le moment présent dans toute sa simplicité. On se rejoignait le midi pour savourer un bocadillos ensemble puis nous remarchions l'après-midi toutes les deux, profitant de ce moment pour sa raconter nos vies dans presque toute leur entièreté, ou encore pour laisser aller notre fous et chanter à tues-têtes ce qui nous passait par la tête comme chanson ou pour se faire des guerres d'eau. À peu près 1 semaine avant la fin, un groupe de jeunes qui s'était formé au cours du voyage nous ont proposé de finir le trajet avec eux, et nous avons accepté. Ce fut aussi très agréable, surtout considérant que la fin du trajet est vraiment plus pleine de marcheurs, et de touristes entre autre, qui se faisait porter leurs sac-à-dos par des compagnies et qui prenaient toute la place dans les albergues, ce qui faisait que toutes les places étaient prises très tôt et que nous n'avions souvent pas d'autres choix que de dormir à la belle étoile. Et laissez-moi vous dire que c'est vraiment plus rassurant de dormir à la belle étoile en groupe, avec des gars, que juste moi et mon amie qui, seules, aurions pu se faire achaler. Ces soirées à le belle étoile furent particulièrement agréable, un des gars traînait un guitare, nous avions des musiciens, on buvait des litres et des litres de vin en chantant et en jasant de tout et de rien. Finalement, en marchant nous avons eu l'occasion de voir de merveilleux paysages, de jolies petites ou grandes villes, de petits villages typiquement espagnol. C'était intéressant au niveau des paysages, car sur 650 km (à peu près) ils changent beaucoup. Je mets quelques photos pour appuyer mon propos, même si c'était nettement mieux en vrai. Les flèches jaunes qui nous indiquaient le chemin: Le chemin à je-ne-sais-plus-quel-endroit: Une autre partie du chemin: Une albergue assez simple: Encore le chemin: Le chemin, dans les feuilles; Chemin occupé par une traverse de moutons: Le chemin un jour de pluie (vraiment plus difficile d'y marcher!): Une ville traversée : Rivière de Burgos: Les arbres qui si vous observez bien sont tous reliés ensemble par leurs branches: Une clairière où notre groupe a dormi: Finisterre:
  10. Oui, je crois aussi. Je crois que se parler à haute voix, ou encore s'adresser à un objet inanimé, peut nous amener dans un état de dialogue plutôt qu'en simple réflexion. Ainsi on se répond, on critique, on amène un contre-argument, on prend le temps de s'expliquer nos raisons, bref des stratégies qui ne sont peut-être pas aussi exploitées dans la simple réflexion.
  11. Je comprends ton point, mais je crois que ça dépend de la situation. J'ai personnellement donné tout mes vieux toutous, sauf un, parce qu'il avait et a toujours de l'importance pour moi. C'est un nounours, et quand j'étais plus jeune (entendre du plus loin dont je me rappelle jusqu'à environ 17 ans, j'étais extrêmement renfermée sur moi-même. Et ce toutou ma sauvé plus d'une fois, je lui racontais tout. Je n'ai jamais osé tenir de journal intime ayant un grand frère et en plus l'alternative de me confier à ce toutou rendait la chose plus vraie à mes yeux, Je pouvais dire plus de choses, me sentir écouté, sans jugement et dans le plus grand secret. Bref je ne pourrais jamais me séparé de cet objet, je ne m'attache habituellement pas vraiment aux objets, mais je crois que c'est un cas particulier. Quand je descends chez ma mère (c'est là qu'il est) je m'endors encore en le serrant contre moi.
  12. Quelle est la différence entre un optimiste et un pessimiste? L'optimiste croit que nous vivons dans le meilleur monde possible. Le pessimiste craint que ce ne soit vrai .
  13. Pour ta question, comment perdre du poids par rapport à l'alimentation, personnellement je trouve que ce n'est pas si dur. J'avais pris l'an passé une dizaine de lbs qui rendait inconfortables mes pantalons, donc j'ai pris la résolution à l'automne d'y remédier. Je suis allée au gym, mais au rythme d'une à deux fois par semaine seulement, 45 mins à chaque fois. C'est peu mais c'était 45 mins à me défoncer carrément. Côté alimentation, j'ai simplement appris à comprendre mes signaux de satiété et à les écouter. Je ne me suis absolument rien empêché de manger, j'ai toujours mangé à ma faim, mais rarement plus que celle-ci. Résultat, en à peu près 9-10 semaines j'ai perdu 10 lbs, et je ne les ai pas reprise depuis! Sauf qu'après les avoir perdu, mon abonnement au gym a échu, et j'ai arrêté de m'entraîner depuis... J'aimerais m'y remettre mais je dois trouver la motivation et un plan d'entraînement.
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