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C'est la vie.


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On te répète sans cesse que c'est la vie mais tu rejettes cette réalité que ton esprit fuit. Tu le sais au fond de toi, ce n'est pas ça. Ton coeur te l'a dit, mais ton coeur bat, pour l'amour plus fort que pour la raison. Alors tu te tais, un silence qui te propulses dans tes pensées comme le vent fait bomber les voiles d'un navire vers des eaux troubles. Le regard vide, tu avances. Ton dos se plie sous le poids de tes rêves inachevés, tes échecs et tes peines. Les jours et les nuits se succèdent machinalement, tu étouffes, mais tu persistes, non pas sans que ton âme s'effrite au passage. Tu ères dans les rues et tu rencontres toutes sortes de gens. Tu t'imagines partager avec eux cette tristesse et ce mal de vivre qui te rongent. Mais certains d'entres-eux semblent si heureux. On te demandes si ça va, tu réponds oui. Tu n'arrives toi même pas à comprendre ce que tu ressens, tenter de l'expliquer serait trop lourd. Tu souris sans trop le ressentir, tu te dis que ça ira mieux, mais l'attente est pénible.

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On te répète sans cesse que c'est la vie mais tu rejettes cette réalité que ton esprit fuit. Tu le sais au fond de toi, ce n'est pas ça. Ton coeur te l'a dit, mais ton coeur bat, pour l'amour plus fort que pour la raison. Alors tu te tais, un silence qui te propulses dans tes pensées comme le vent fait bomber les voiles d'un navire vers des eaux troubles. Le regard vide, tu avances. Ton dos se plie sous le poids de tes rêves inachevés, tes échecs et tes peines. Les jours et les nuits se succèdent machinalement, tu étouffes, mais tu persistes, non pas sans que ton âme s'effrite au passage. Tu ères dans les rues et tu rencontres toutes sortes de gens. Tu t'imagines partager avec eux cette tristesse et ce mal de vivre qui te rongent. Mais certains d'entres-eux semblent si heureux. On te demandes si ça va, tu réponds oui. Tu n'arrives toi même pas à comprendre ce que tu ressens, tenter de l'expliquer serait trop lourd. Tu souris sans trop le ressentir, tu te dis que ça ira mieux, mais l'attente est pénible.

*Please insert generic depressive text here*

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  • 3 semaines plus tard...

On te répète sans cesse que c'est la vie mais tu rejettes cette réalité que ton esprit fuit. Tu le sais au fond de toi, ce n'est pas ça. Ton coeur te l'a dit, mais ton coeur bat, pour l'amour plus fort que pour la raison. Alors tu te tais, un silence qui te propulses dans tes pensées comme le vent fait bomber les voiles d'un navire vers des eaux troubles. Le regard vide, tu avances. Ton dos se plie sous le poids de tes rêves inachevés, tes échecs et tes peines. Les jours et les nuits se succèdent machinalement, tu étouffes, mais tu persistes, non pas sans que ton âme s'effrite au passage. Tu ères dans les rues et tu rencontres toutes sortes de gens. Tu t'imagines partager avec eux cette tristesse et ce mal de vivre qui te rongent. Mais certains d'entres-eux semblent si heureux. On te demandes si ça va, tu réponds oui. Tu n'arrives toi même pas à comprendre ce que tu ressens, tenter de l'expliquer serait trop lourd. Tu souris sans trop le ressentir, tu te dis que ça ira mieux, mais l'attente est pénible.

A écouter en même temps.

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  • 2 semaines plus tard...

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