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Sommes nous ce que nous avons conscience d'être ?


Déchet(s) recommandé(s)

Je suis trop paresseux et pressé pour faire autre chose que citer wiki :

L'existence précède et construit l'essence [modifier]

L'existentialisme athée déclare qu'il y a un être qui ne peut êtredéfini avant son existence, et que cet être, c'est précisément l'homme,le dasein. Cela veut dire que l'homme apparaît dans le monde,existe et se définit après. Si l'homme ne peut être défini aucommencement de son existence, c'est qu'il n'est d'abordfondamentalement "rien", et qu'il devient ensuite toujours tel qu'ilchoisit de se faire.

Puisqu'il n'y a pas de Dieupour le concevoir, pour lui donner une âme prédéterminée, puisqu'àl'aube de son existence, l'homme n'est rien, son avenir lui appartientradicalement, ce qu'il est, ce qu'il sera lui appartient. L'hommedétermine lui-même son essence, l'homme n'est rien d'autre que ce qu'ilse fait, le résultat de son projet d'être. Il n'est pas ce qu'il avoulu être, car vouloir semble sous-entendre une volonté consciente,mais il est le résultat de ses choix, il est donc responsable de cequ'il est. En cela la théorie existentialiste s’oppose à la théorie déterministequi fait précéder l'essence à l'existence. Selon Platon il existeraitdans "un monde intelligible" une forme ou essence éternelle de chaquechose que le Créateur contemplerait pour façonner la chose en question.Par exemple, Platon dit qu’il existe l'Idée ou la forme intelligibled'un cheval dans un monde transcendant, forme sur laquelle on peut sefonder pour créer et reconnaître toujours un cheval. Or, pour Sartre,les choses existent d'abord et c’est seulement ensuite, si elles ont lacapacité de penser, qu’elles produisent des concepts tels que le sontles concepts de "monde", d' "homme", de "chose" ou encore d' "animal".C'est une fois inventés, que ces concepts deviennent une essence.Ainsion voit bien de quoi on parle quand on parle d’un "homme" mais çela nesignifie pas que l'homme existe en tant qu'un absolu ou en tant qu'unesubstance. Tout existe avant "d'être", l'existence est la conditionpréalable à l'essence, ainsi l’existence précède l’essence.

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Mon dieu flox, je suis absolument incapable de t'aider. Tout ce que je pourrais dire t'entraînerait vers du non académique.

patrèsacadémikmadmoizelsimon

lol, philosophie de terminale. Ma prof avait un parapluie décoré de motifs de camouflage militaire.

Modifié par Dahut
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(modifié)

Ahah, dahut =). ma prof est la seule prof feminine que j'ai cette année qui arrive à se faire respecter dans ma classe

Bon, j'ai reussi à m'en sortir avec un exemple COUP DE POING (joke)

1)A) La conscience est la faculté qu’à l’homme de connaître sa propre réalité et de la juger. Le fait d’être, c’est le fait d’exister. Donc nous nous posons la question qui est « Si nous sommes conscient d’exister, a-t-on conscience de ce qui compose notre existence ? » Descartes expliquait dans son discours de la méthode « je pense, donc je suis » : Cela signifie donc, qu’en pensant, nous existons. Par notre conscience, nous créons notre soi et nous existons. Par exemple, lorsque l’enfant (en bas âge) parle, il parle de lui à la troisième personne. Kant a démontré qu’il ne pense pas encore, qu’il n’a pas encore de conscience, et que donc le « moi » n’existe pas chez lui. La conscience a aussi conscience qu’elle existe, vu que l’on ne peut pas penser sans savoir en même temps qu’on pense. Donc la conscience a conscience de ce que je suis. Par exemple, si on a le choix entre faire un match de boxe contre une brute épaisse et ne pas le faire, la conscience pour faire la réflexion a besoin de mettre en relation le fait qu’on ne soit qu’un petit boxeur freluquet, et le fait qu’on est un fan de boxe et qu’on veut se battre contre ce boxeur parce qu’on en est un fan. Pour faire ce choix, la conscience de ce que nous sommes (un boxeur freluquet fan de cet autre boxeur) nous est indispensable à faire un bon raisonnement avec notre conscience. Si nous n’avions pas conscience de ce que nous sommes, nous aurions juste suivi nos pulsions qui nous incitait à faire ce match de boxe, sans réfléchir aux conséquences. La conscience est obligée d’avoir conscience de ce que nous sommes pour être une conscience effective.

1)B)L’homme est définît par sa conscience. C’est à dire que la conscience détermine avec précision ce que nous sommes. Or, au tout début de notre vie, nous ne sommes rien. Puis, nous adoptons une conscience et enfin nous nous définissons. L’homme détermine ainsi, lui même son essence. Il n’est rien d’autre que ce qu’il fait. Et ces actes sont fait en fonction de ce que notre conscience nous dicte. Prenons l’exemple des moutons. D’abord, ils ont existés, mangé dans des pâturages verdoyants, gambadés dans des immenses steppes. Puis l’homme est arrivé et en a chassé quelques uns. Il a trouvé qu’ils avaient bon goût et que leur laine pouvait servir pour se vêtir. Ainsi, l’essence des moutons est de nourrir et de vêtir, et elle est arrivé grâce à l’existence de ce mouton. Ainsi, ce que nous sommes, notre essence, est arrivée après que nous existons et que nous ayons une conscience. Nous avons donc conscience de ce que nous sommes, vu que c’est notre conscience qui a fait ce que nous sommes.

Transition : Mais, si l’on se fie uniquement à sa conscience pour nous définir, elle risque de nous jouer des tours.

2)A) Tout d’abord, il y a des parties de nous dont nous n’avons pas conscience. Tout ce qui est dans notre inconscient va nous jouer des tours. Par exemple, dans le loup des steppes d’Herman Hesse, le héros croit avoir une personnalité composée de deux aspects : Celle d’un poète taciturne et celle d’un loup des steppes. Il a donc conscience d’avoir deux personnalités. Or, durant le développement du roman, il découvre, que sa personnalité ne comporte pas que ces deux aspects, mais qu’elle en comporte des milliers, qui sont cachées au fond de son inconscient. Il a donc conscience d’avoir 2 personnalités, mais il est en réalité une personne au millier de personnalités. Donc, s’il y a des parties de nous dont nous n’avons pas conscience, nous ne pouvons pas être ce que nous avons conscience d’être. Nous sommes bien plus que ça.

2)A")Ensuite, il y a des actes que nous pouvons faire sans en avoir conscience. C’est à dire qu’on peut les faire sans penser aux conséquences qui sont plutôt difficile à prévoir. Prenons l’exemple de quelqu’un, qui, à cause de son travail, devra souvent être en voyage d’affaire, donc pas à sa maison. Il acceptera sans hésiter, au vue des perspectives de primes et de monter dans la hiérarchie. Au bout de quelque temps, il rencontre une femme, se marie, a des enfants, tout en ayant ce travail contraignant. Hors, comme il n’est que rarement chez lui, sa femme risque d’aller voir ailleurs, et ses enfants, n’ayant que rarement une présence paternelle dans leur maison, ils risqueront de « mal tourner » : échec scolaire, délinquance.. Ces choses, bien que quelques peu exagérées et dues aussi à d’autres facteurs, sont plausibles. Cet homme n’avait donc pas conscience au moment d’accepter ce travail, qu’il allait être un mari indigne et un mauvais père pour ses enfants. Et il va mettre du temps, voire jamais, avant d’en prendre conscience. Donc, nous ne sommes pas ce que nous avons conscience d’être. Car notre conscience est uniquement intérieure et n’est pas omnisciente.

2)B) Enfin, il y a des choses dont on a conscience qui sont en réalité fausses. Les illusions que notre conscience produit sur ce que nous sommes. Par exemple, il y a le fait que nous sommes libres. Spinoza le dit si bien, si on pousse une pierre, et qu’elle va continuer de bouger après qu’on l’ait poussé, c’est parce qu’elle est déterminée à continuer dans sa poussée, pas parce qu’elle a choisit continuer de bouger comme elle pourrait le croire. Hé bien, pour l’homme, il en est de même. Il se croit libre de faire ce qu’il veut. Il est libre de travailler, il est libre de consommer ce qui lui plait. Hors, en réalité, il a été poussé à avoir absolument un travail et à devoir consommer autant que possible pour des choses dont il n’a pas réellement besoin. Est-ce qu’acheter une voiture qui peut monter à 250 km/h est un choix, si on ne peut aller que jusqu’à 130 km/h sur les autoroutes ? Non, c’est un conditionnement à notre société du spectacle, où l’on doit « en mettre plein la vue » à son prochain. L’homme a ainsi conscience d’être libre pourtant il se trompe totalement car il n’est pas libre et est même plus ou moins un esclave de notre société.

Merci professeur pour cet exemple "se retient de copier coller".

ça fera un beau 1.C j'crois bien =D (edit : nan, ça fera mon 1.B :) )

Modifié par flox2
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Premièrement, je tien à préciser que ceci n'est pas Daria mais son chum. Je n'ai simplement plus de compte, je crois, et le sujet m'interesse. (ah, elle va m'en vouloir pour cela!)

La beauté d'une personne se trouve dans les yeux de celle qui la regarde.

Notre société est brimé par ce désir de toujours bien parraître. Le voisin a 29 portes de garage, tu vas en vouloir 30. la beauté elle même est le simple mots qui signifie vouloir bien paraître au yeux des autres. prenez apr exemple le mega tremblement de terre de Lisbonne (ville reconnu pour ses désastres) dans els années 1800, 80,000 morts !... pourtant seulement 22,000 sont morts lors du tremblement lui même, le reste? ce sont des personnes mortes lors de certains effondrement de batiment plus ou moin solide amocher par le tremblement lui même. Que faisaient-ils là? ils cherchait argent, manteau, tous ce qui les faisait bien paraître. l'être humain aime mieu mourir que de vivre sans tous le reste. Et après on chiale sur dame nature ''pourquoi il y a des tremblements de terre où il y a tant de gratte-ciel et pas dans le désert. Il y en a dans le désert mais on en entend seulement pas parler car ils tuent personne. Si celui de Lisbonne a tué tant de personnes c'est à cause de ces humains qui créés toujorus des plus gros batiments et etc.

L'être humain est le seul responsable de son mal moral.

Pour continuer sur ta question de conscience, ma réponse est non. Les humains ont conscience qu'ils ont faim mais ignorent les causes qui le détermine. Prend un ballon que l'on lance. Le ballon va être conscient qu'il se bouge, il va croire qu'il persévère dans son mouvement que parce-qu'il le veut. Si tu as conscience que tu es beau, c'Est simeplement que tu n'As pas conscience pourquoi tu l'es. tu te trouve beau car tu as la geule de brad pitt? ou car tu a les soulier de justin timberlake? tu es beau car tu ''fit'' dans les stéréotypes. Si être beau signifierai être gros, boutonneux et gras, et bien tu ne le serais pas? comme j'ai dis la conscience de la beauté se détermine dans la conscience de celle qui la voit.

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  • 2 semaines plus tard...

Il y a très longtemps que je ne me pose plus ce genre de question.

Je pense.

Ma pensé, c'est moi.

Lorsque je ne serai plus capable de penser, je ne serai plus.

La vraie mort c'est la mort célébrale.

Un zombie est un cadavre qui marche.

Une boîte vide.

Un corp sans âme.

Rien de non réel n'existe. Tant et aussi longtemps que j'aurai conscience que j'existe, j'existerai.

Que suis-je? Et en ai-je conscience? Je suis le résultat d'une série d'expériences dans un environnement définit. Et, oui, j'en suis totalement conscient. Et l'évolution suit son cours.

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Merci pour vos reponses tardives, j'ai rendu ma dissert, j'devrais avoir le resultat lundi prochain, mais la prof m'a dit que ça a l'air.

Et il est trés clair que nous ne sommes pas ce que nous avons conscience d'être =D

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