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Une évaluation psychologique pour donner naissance


  

57 membres ont voté

  1. 1. Seriez-vous en faveur d'une évaluation psychologique pour accoucher/adopter un enfant?

    • JAMAIS, peu importe la situation.
    • TRÈS en faveur.
    • À condition que l'enfant ne se fasse pas avorter si deux parents se sont quand même reproduits. On donne l'enfant en adoption.
    • Indécis.
    • À moins d'être un schyzophrène maniaco-dépressif avec plusieurs cas judiciaires, je suis contre l'idée.


Déchet(s) recommandé(s)

Vous semblez oublier que les parents y sont pour BEAUCOUP dans la mentalité, la psychologie de l'enfant.

En effet. J'ai vu une de mes amies proches, d'une famille de BS, capotter x 2084230842 parce que sa mère voulait pas travailler et qu'elle (sa mère) lui volait son argent de poche qu'elle (mon amie) faisait en travaillant dans un magasin de grande surface. Alors mon amie, lorsqu'elle a pu sacré le camps de chez eux pour aller en appart, elle l'a fait.

Maintenant, elle travaille à plusieurs dollars de l'heure dans un bureau, elle vit seule en appart dans un 4 et demi et a plusieurs projets en tête!

...

Oh, wait, c'est pas ce que tu voulais insinuer, right?

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Méchant argument. :rolleyes:

Les parents y sont pour beaucoup dans l'évolution de l'enfant et contredire ce fait en me sortant un exemple de ton amie et sa mère BS donne pas grand chose.

Quand je dis ça, que les parents vont influencer énormément l'enfant dans sa jeunesse, es-tu en accord avec moi? Si non, trouve-moi un meilleur argument que le cas de ton amie qui, d'ailleurs, ne veut rien dire. N'importe qui peut se forger une opinion de leurs parents rendu à l'adolescence.

Moi, je te parle surtout de l'enfance. Sinon, même à l'adolescence, de la négligence de la part des parents peut entraîner divers problèmes à l'adolescent. Ici, par "problèmes", j'entends:

dépendance à la drogue, dépendance à la nicotine, violence, faibles notes à l'école, manque de discipline, obésité, etc., etc.

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Argumenter avec des témoignages, ça fait pas très sérieux, et indigne d'une Anthropologue, alias faux nom de métier, car faux métier. J'ai étudier l'anthropologie, mais je ne peux pas être "anthropologue". Non ?

Un archétype d'Hochelaga-Maisoneuve = fille de 15 ans désinstitutionnalisée, enceinte d'un père inconnu, de race noire.

Avorte-moé ça ou garde-moé ça ?

LE MIRACLE DE LA VIE. Tout le monde devrait avoir le droit de faire l'expérience de la vie, peu importe les conditions, la joie de vivre n'est pas inaccessible à celui qui vivra dans des conditions misérables. Bien sûr, vous, êtres de conforts et de oisiveté, seriez peinés de voir ça dans la rue, mais sachez bien que certaines personnes jouissent de peu de choses.

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(modifié)

Vous lisez juste ce que vous voulez. J'ai expliqué en quoi c'était insensé dans plusieurs posts.

Mon message qui parle de mon amie et sa mère BS, ce n'était pas du tout un argument, c'était pour montrer un exemple qui n'avait aucun sens avec ce que vous avancez (et un peu pour me moquer de votre entêtement qui refuse complètement la réflexion vers une autre manière de voir les choses). Et croyez-le ou non, des cas comme ça (mon amie), ce n'est pas rare. Tout cela pour revenir au fait initial que l'enfant est influencé par son environnement social ce qui inclut les parents, oui, mais pas seulement eux; l'école, les gens avec qu'ils se tient, les endroits qu'ils fréquentent, etc.

De la manière que vous parlez, si un enfant vire fucké, c'est de la faute des parents.

Si les parents sont fuckés, il n'y a aucun moyen que l'enfant vive normalement.

...

Voyons?!

Chaque être humain vit dans un/des groupes sociaux à qui il apartient et s'identifie. Les premiers êtres d'autorités/influences sont les parents, certes; mais tout au long de leur vie, ils auront à rencontrer d'autre gens, à se forger une identité, une personnalité. Il ne faut pas un Doctorat à l'université pour comprendre cela.

@Gemini : Pour ce qui est de la méthodologie des sciences sociales, tu l'étudieras davantage - ce qu'on appelle un récit de vie est en quelque sorte, un témoignage sur une situation : ce qui est très digne d'un anthropologue. Seulement qu'ici, je n'ai pas 2080184108 de témoignages/récits de vie, je raconte celle d'une copine, simplement, et non détaillée pour les besoins de la cause.

Edit : Mon but n'est pas de défendre une opinion, mais de vous faire voir l'autre côté de la médaille que vous vous défendez d'admettre qu'elle existe - qui crée un non sens d'ailleurs avec ce que vous essayez d'avancer comme une pseudo idée de génie.

Modifié par L'Anthropologue
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Vous lisez juste ce que vous voulez. J'ai expliqué en quoi c'était insensé dans plusieurs posts.

Mon message qui parle de mon amie et sa mère BS, ce n'était pas du tout un argument, c'était pour montrer un exemple qui n'avait aucun sens avec ce que vous avancez (et un peu pour me moquer de votre entêtement qui refuse complètement la réflexion vers une autre manière de voir les choses). Et croyez-le ou non, des cas comme ça (mon amie), ce n'est pas rare. Tout cela pour revenir au fait initial que l'enfant est influencé par son environnement social ce qui inclut les parents, oui, mais pas seulement eux; l'école, les gens avec qu'ils se tient, les endroits qu'ils fréquentent, etc.

De la manière que vous parlez, si un enfant vire fucké, c'est de la faute des parents.

Si les parents sont fuckés, il n'y a aucun moyen que l'enfant vive normalement.

...

Voyons?!

Chaque être humain vit dans un/des groupes sociaux à qui il apartient et s'identifie. Les premiers êtres d'autorités/influences sont les parents, certes; mais tout au long de leur vie, ils auront à rencontrer d'autre gens, à se forger une identité, une personnalité. Il ne faut pas un Doctorat à l'université pour comprendre cela.

@Gemini : Pour ce qui est de la méthodologie des sciences sociales, tu l'étudieras davantage - ce qu'on appelle un récit de vie est en quelque sorte, un témoignage sur une situation : ce qui est très digne d'un anthropologue. Seulement qu'ici, je n'ai pas 2080184108 de témoignages/récits de vie, je raconte celle d'une copine, simplement, et non détaillée pour les besoins de la cause.

Edit : Mon but n'est pas de défendre une opinion, mais de vous faire voir l'autre côté de la médaille que vous vous défendez d'admettre qu'elle existe - qui crée un non sens d'ailleurs avec ce que vous essayez d'avancer comme une pseudo idée de génie.

J'ai jamais dit ça. Si un enfant vire "fucké", c'est EN PARTIE de la faute des parents. Ces derniers auraient pu prévenir. D'ailleurs, j'ignore ce que t'insinues lorsque t'emploie le terme "fucké". Veux-tu parler d'un vendeur de drogue? D'un enfant psychologiquement troublé?

C'est bien beau de dire que l'enfant peut se faire influencer à l'école, ailleurs et tout, mais, lorsqu'il rentre à la maison, les parents devraient être là pour s'informer de sa journée, pour lui rappeller ses travaux d'école et pour (surtout à l'adolescence) vérifier s'il n'est pas dans un état quelconque. Si c'est le cas, de bons parents, selon leur opinion sur la chose (drogue ici), prendront une bonne heure pour en jaser. Certains iraiont jusqu'à lui donner une sanction et lui feront clairement savoir qu'il sera interdit que leur enfant se permette de consommer. D'autres, un peu plus "willing" porteront leur enfant à se questionner. Pourquoi est-ce que je consomme? Est-ce que j'en ai de besoin? Et si je devenais dépendant? (cas plus rares). Ils laisseront l'enfant décider par lui-même.

Puis d'autres ostis de mauvais laisseront rentrer leur enfant à 2h du matin gelé sur la peanut, sans lui demander s'il a des devoirs ou whatever.

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