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  1. Dernière heure
  2. Ça serait qui son successeur si il crève ? Y’a peut être pire que lui tsé
  3. Aujourd'hui
  4. Pas sûr qu’on puisse dire que le construit d’une nation peut avoir de l’agentivité, mais je te réfère à l’article que j’ai partagé plus tôt. Il explique bien mieux que je pourrais le faire ici ce que je veux dire. C’est sûr que Zelenskyy est un peu désespéré, voyons donc. On lui a promis des munitions qui ne sont jamais arrivées dans la totalité promise, et en plus pour ce qu’on lui remettait c’était souvent du vieux stock. S’il l’Europe et les États-Unis avaient pas niaisé, il n’aurait même pas eu d’opportunité de « négocier » à manquer parce que Poutine aurait pas eu le temps, comme l’Occident le lui a gentiment donné, de se développer une économie militaire comme le contenu du déchet précédent de @Mikhaïl Barychnikoff peut suggérer, pis il aurait retourner de bord. On a fait en gros en micro ce qu’on fait en macro avec les changements climatiques : pas prendre la menace au sérieux, ce qui lui permet de se développer, pis après on va y goûter. Le seul espoir qu’il reste maintenant c’est Afghanistan 2.0 ou que le vieux crève comme Staline. Parce que « l’Ukraine divisée » dont tu parles ça en restera pas là. La Russie est un monstre impérialiste qui a besoin de performer sa force au peuple et de fabriquer des dangers pour continuer de justifier sa main-mise dessus. Après la Tchétchénie, la Georgie, l’Ukraine, ce sera la Moldavie, et qui d’autre encore? Juste parce qu’on est trop caves crisse pour pas se mettre la tête dans le sable, comme avec le reste. P.S.: pour la mobilisation : il voulait pas se rendre là, pis il aurait pas eu à le faire si on avait pas niaisé. C’est absolument tragique comme situation. Mais l’histoire montre ce qui se passe quand la Russie prend le pouvoir sur un territoire après. Le monde va continuer à mourir. Juste qu’au lieu de défendre leur patrie, ce sera parce qu’ils auront des opinions qui déplaisent aux autorités. Exit les journalistes, les intellectuels, les artistes. Les Ukrainiens connaissent ça. Ce serait pas leur première fois. Faque, tant qu’à crever, hein? C’est pour ça d’ailleurs qu’il y a même des personnes non-obligées et en nombre non-négligeable, comme les femmes, sur le front. Mourir maintenant pour que leurs enfants puissent vivre en liberté. Je pense que (et je te vise pas), il y a beaucoup de personnes qui n’aiment pas l’Ukraine ou veulent s’en crisser parce que ça les confronte à leur propre couardise, leur propre lâcheté, à considérer l’horreur qu’il y aurait à devoir faire un choix dans cette situation. Et en se comparant, dans ce cas-ci, on se console pas.
  5. Carl Tremblay, le Gerry Boulet de notre génération, ça en quelque sorte son Beau grand bateau.
  6. Pis c’est pas annulé parce que ce viol-là aurait pas eu lieu hein faut le dire aussi
  7. Vas-tu te marier en blanc, si oui, devant le maire ?
  8. La Cour d'appel de New York a annulé la condamnation pour viol et agressions sexuelles du producteur de cinéma Harvey Weinstein. Il n'est pas un homme libre pour autant, puisqu'il a aussi été reconnu coupable lors d'un autre procès en Californie.
  9. Je l'écoute en boucle. C'est si triste et si beau en même temps. Ça va devenir un classique du Québec.
  10. Hier
  11. Les armes thermobariques ? Le missile balistique intercontinental Satan 2 (pouvant passer par le pôle sud ou nord pour contourner les défenses actuelles) ? Le missile balistique Iskander ? Le missile russe Kinjal (intercepté par des batterie de missile Patriotes) Le drone kamikaze Lancet ? Le drone Geran-2 ( la version russe du drone iranien Shahed 136) ? La torpille Chkval (fonctionnant par supercavitation en utilisent un carburant très dangereux et hautement instable) Le char de combat T-14 Armata (encore en pré-production) Les dispositif de guerre électronique (Krasukha) j’ai appris hier l’une des pratiques officielles les plus sensationnelles des écoles publiques américaines et qui font sans doute que ce pays se croit à la tête du progrès. Il paraît que parmi les examens ou épreuves que l’on fait subir à un enfant qui entre pour la première fois dans une école publique, aurait lieu l’épreuve dite de la liqueur séminale ou du sperme, et qui consisterait à demander à cet enfant nouvel entrant un peu de son sperme afin de l’insérer dans un bocal et de le tenir ainsi prêt à toutes les tentatives de fécondation artificielle qui pourraient ensuite avoir lieu. Car de plus en plus les américains trouvent qu’ils manquent de bras et d’enfants, c’est à dire non pas d’ouvriers mais de soldats, et ils veulent à toute force et par tous les moyens possible faire et fabriquer des soldats en vue de toutes les guerres planétaires qui pourraient ensuite avoir lieu, et qui seraient destinées à démontrer par les vertus écrasantes de la force la surexcellence des produits américains, et des fruits de la sueur américaine sur tous les champs de l’activité et du dynamisme possible de la force. Parce qu’il faut produire, il faut par tous les moyens de l’activité possibles remplacer la nature partout où elle peut-être remplacée, il faut trouver à l’inertie humaine un champ majeur, il faut que l’ouvrier est de quoi s’employer, il faut que des champs d’activité nouvelle soient crées, où ce sera le règne enfin de tous les faux produits fabriqués, de tous les ignobles ersatz synthétiques où la belle nature vraie n’a que faire, et doit céder une fois pour toutes et honteusement la place à tous les triomphaux produits de remplacement où le sperme de toutes les usines de fécondation artificielle fera merveille pour produire des armées et des cuirassés. Plus de fruits, plus d’arbres, plus de légumes, plus de plantes pharmaceutiques ou non et par conséquent plus d’aliments, mais des produits de synthèse à satiété, dans des vapeurs, dans des humeurs spéciales de l’atmosphère, sur des axes particuliers des atmosphères tirées de force et par synthèse aux résistances d’une nature qui de la guerre n’a jamais connu que la peur. Et vive la guerre, n’est-ce pas ? Car n’est-ce pas, ce faisant, la guerre que les Américains ont préparée et qu’il prépare ainsi pied à pied. Pour défendre cet usinage insensé contre toutes les concurrences qui ne sauraient manquer de toutes parts de s’élever, il faut des soldats, des armées, des avions, des cuirassés, de là ce sperme auquel il paraîtrait que les gouvernements de l’Amérique auraient eu le culot de penser. Car nous avons plus d’un ennemi et qui nous guette, mon fils, nous, les capitalistes-nés, et parmi ces ennemis la Russie de Staline
  12. Daria Navalnaya, la fille d'Alexeï Navalny, a décidé de poursuivre le combat de l'opposant russe. Âgée de 23 ans, la jeune femme, aussi connue sous le nom de Dasha, son diminutif, vit en Californie. Étudiante en psychologie sociale et en sciences politiques à l’université de Stanford, ses prises de position ont un écho important sur les réseaux sociaux où elle critique régulièrement le pouvoir russe. En 2021, la jeune femme a reçu à Strasbourg le prix Sakharov pour la liberté de l'esprit au Parlement européen, au nom de son père emprisonné. Lors de son discours, elle n'a pas hésité à s'en prendre ouvertement à Vladimir Poutine. "Les politiciens européens qui prônent le pragmatisme devraient ouvrir les livres d’histoire et se rappeler que flirter avec un dictateur n’est jamais efficace. Des années à flirter avec Poutine ont fait comprendre à celui-ci que pour augmenter sa popularité, il peut aussi déclencher une guerre". Deux mois plus tard, la Russie envahissait l’Ukraine. La veuve de l’opposant russe Alexeï Navalny, mort dans un centre de détention russe en février, fait la couverture du « Time », ce mercredi 17 avril 2024. Ioulia Navalnaya fait partie de la liste annuelle des « 100 personnalités les plus influentes du monde » établie par le magazine américain. Deux jours à peine après l’annonce de la mort d’Alexeï Navalny, elle apparaît dans une vidéo sur YouTube. Ses traits sont tirés mais la voix ferme. Le message est clair, la volonté aussi : « En tuant Alexeï, Poutine a tué la moitié de moi-même, la moitié de mon cœur et la moitié de mon âme. Mais il me reste l'autre moitié, et elle me dit que je n'ai pas le droit d'abandonner. Je continuerai la cause d'Alexeï Navalny, je continuerai à me battre pour notre pays. » Une déclaration forte. Jusqu’à présent, elle refusait de s’engager politiquement dans les pas de son mari. Mais son envie de reprendre le combat n’a pas étonné Andreï Kozovoï, professeur d’histoire russe et soviétique à l’université de Lille. « Je n'ai pas été vraiment surpris parce qu’on en a entendu parler au moment de la campagne électorale qui n'a pas eu lieu de Navalny en 2018 », note l'auteur du livre Égéries rouges, 12 femmes qui ont fait la révolution russe, aux éditions Perrin. On sait peu de choses sur sa vie privée. Cette économiste de formation âgée de 47 ans s’occupait jusqu’à présent de ses deux enfants. Ioulia Navalnaya vit en exil quelque part en Europe dans un endroit tenu secret. Pour une bonne raison. L’ennemi public numéro 1 du Kremlin désormais, c’est elle. « Elle inquiète évidemment parce qu'elle a cette aura, ce pouvoir de peut-être effectivement rassembler, fédérer les différents courants qui, on le sait en Russie, se sont désunis. C'est au cours des semaines qui vont venir qu'on va voir si effectivement l'annonce de la mort de Navalny, l'émotion suscitée en Russie à l'étranger, va permettre de donner de vrais résultats sur le long terme. » La violence est-elle le dernier refuge de l'incompétence ou bien un processus complètement naturel, équilibré en fonction de l'objectif à atteindre ? Projetons-nous sur eux ce que nous pensons de nous même ? Les dictateurs font toujours ce qu'ils disent et nous ne les croyons pas. Nous ne croyons pas qu'ils vont le faire, puisque nous ne le ferions pas. Poutine partage un discours de 21 pages pour dire que le peuple ukrainien n'existe pas et qu'il veut sa destruction. Pourquoi ne le ferait-il pas puisqu'il dit qu'il va le faire, qu'il a les moyens de le faire et qu'il est en position de le faire ? Mais dans le rapport de force, le dictateur n'est pas dingue. Il reste en lui une totale rationalité (à ne pas confondre avec être raisonnable) . En terme de Realpolitik, L'OTAN ça ne devrait pas être juste une force militaire, mais une force politique et économique. Que veulent les russes ? Sécuriser le Donbass et contrôler la Mer d'Azov. Que veulent les américains ? Sécuriser le Pacifique. A entendre la propagande du Kremlin, et ses relais ici, un «Sud global» serait en insurrection contre l’«Occident collectif». Les guerres en Ukraine et au Proche-Orient ne seraient que des symptômes d’une révolte plus générale des peuples opprimés contre l’«impérialisme» des anciennes «puissances coloniales». Le «Sud global» est une vieille invention. C’est un activiste américain opposé à la guerre du Vietnam, Carl Oglesby, qui en est à l’origine. Il s’agissait alors de trouver une alternative au «tiers-monde», jugé dépréciatif, pour qualifier les victimes de la domination des Etats-Unis. Entre-temps, d’autres dénominations comme «pays en voie de développement» ou «pays émergents» se sont imposées pour décrire ce Sud par opposition à un «monde développé» au Nord. Au début des années 2000, le mouvement altermondialiste va s’emparer du «Sud global» pour caractériser l’ensemble des pays touchés par les effets négatifs de la mondialisation. Le Nord est accusé de néocolonialisme. Le «Sud global» ne s’est toutefois imposé dans le langage courant que récemment sous l’influence d’une réappropriation par la Chine, l’Inde et le Brésil. Pékin parle du «développement et du redressement du Sud global» en se positionnant en leader d’un «front mondial pour la justice». Ce «Sud global» a l’avantage des concepts flous et englobants qui semblent attester d’une majorité silencieuse mais n’a aucune réalité politique ou géographique. Il se résume le plus souvent aux BRICS. Longtemps, les BRICS ont passé pour un habillage marketing plutôt qu’un véritable groupe d’intérêt tant leurs divergences sont nombreuses. Depuis deux ans, l’organisation, qui vient de s’élargir, affiche toutefois de nouvelles ambitions. Elle s’affirme comme alternative à l’«ordre occidental». Quelle alternative? «Les BRICS sont-ils le nouvel horizon d’un monde meilleur ou une simple variante du néolibéralisme? Quant à l’«Occident collectif», c’est une invention du Kremlin que même la Chine hésite à reprendre à son compte. Que désigne-t-il sinon un supposé bloc hostile à Moscou? Et où se situe alors la Russie? Est-elle européenne ou orientale? «Les Russes ont toujours un gros problème d’identités contradictoires» La guerre de l’«Occident collectif» contre le «Sud global» n’aura pas lieu - Le Temps WWW.LETEMPS.CH Ioulia Navalnaya: l'héritière naturelle d'Alexeï Navalny - Européen de la semaine WWW.RFI.FR
  13. ben coudonc. t'auras toughé quoi... 2 mois ? kessé qui s'est passé ?
  14. Je me suis déjà fait renvoyé mais j'ai eu le temps de bien défoncer le stock de café à ma job. Toujours plus utile qu'un syndicat, apparement.
  15. Écoute live je suis en panique parce que mon ordi a lâché mais en attendant que je puisse me poser pour te répondre plus adéquatement, je vais juste laisser ça ici au regard de ton dernier point :
  16. J'avoue que j'ai un peu de mal à te suivre. Tu parles du peuple ukrainien ou de l'Ukraine comme nation dont on obscurcit l'agentivité? En soi, j'ai aussi un peu l'impression que Zelensky est un peu désespéré en ce moment. Il cherche à forcer les ukrainiens à l'étranger à retourner au pays pour prendre les armes en plus d'abaisser l'âge pour être mobilisé à 25 ans alors que 20% des troupes qui sont envoyées au front contre la Russie n'en revienne tout simplement pas. C'est mon impression et je suis ouvert à avoir un autre point de vue mais Zelensky a manqué une opportunité de négocier avec la Russie. Maintenant, c'est sur que la Russie n'acceptera jamais de payer les réparations du pays. On risque de se retrouver avec une Ukraine divisée un peu comme l'Allemagne autrefois.
  17. Elle sait que je que je veux lui demander la permission avant... Elle est autistique et tres spéciale pour lui
  18. Qui suis-je? Je me bats pour la Lumière. Eh bien, peu importe le mal que tu fera à cette main, je te tendrai toujours l'autre. For I am the light And mine is the only way For I am the light I am the light And my hands take hold on justice And my feet go down to death Swift is the stroke of my hammer And I repay evil with evil For I am the light And mine is the only way now And all things end with me
  19. Lmao, ce qu'on a de meilleur comme être humains on a tendance à le perdre en devenant adultes. Pis on espère le retrouver éventuellement.
  20. Donc, ta grande découverte sur ces figures d'autorité, ce sont mes habitudes de gamine de 12 ans. Formidable, vraiment.
  21. Pour le jeune coloc et ses homies : Baboushkette.
  22. Bah là, woauw. Je parle bien des personnes et pas uniquement de leurs oeuvres. Peut-être que Jordan Peterson a le respect pour être très agréable avec les aînés et qu'Ayn Rand a la sensibilité d'éviter de marcher sur les escargots s'étant aventurés sur le trottoir. Mais good job d'avoir évité le point Godwin
  23. Ce que j'haïs dans ton genre de discours Foulard c'est qu'il obscurcit l'agentivité ukrainienne. On appelle ça du Westplaining. An anti-fascist message from the shadows of Central and Eastern Europe - Freedom News FREEDOMNEWS.ORG.UK
  24. Alors, ton prochain challenge, ce sera de sauver quelque chose de valable des œuvres de Jordan Peterson et Ayn Rand.
  25. Oh ouais on peut l'haïr ensemble Kant. Mais comme pour lui et n'importe qui ici, y a toujours de quoi à sauver.
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