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Être sympatique


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(modifié)

k, l'autre jour j'étais à l'épicerie pis ça m'a inspiré un thread sur les gens sympatiques.

comme à peu près tout le temps, j'avais décidé après l'école de marcher jusqu'à chez nous. j'devais parcourir un trajet d'environ 40 minutes avant de pouvoir aller m'assoir sur mon matelat gonflable pour lire un bon livre de chuck palahniuk. cette journée-la, ça adonnait que j'étais tout seul dans mon appart fack j'avais décidé que j'me gâtais. j'allais passer par l'épicerie pour m'acheter d'quoi de fucked up, genre du requin. tk

je suis dans l'épicerie, et j'ai tout l'stock qui me faut pour tripper pis j'me pointe à la caisse. la madame me dit : on va payer comment? moi j'ai comme une fixation sur son espèce d'afro de vieille. j'ai l'impression qu'elle s'est déversée une chaudière de fixatif dans la tête, pis j'trouve ça crissement pas original qu'une madame aille une permanente sur la tête. on va payer comment? débit. son air de vieille saloppe me revient pas. j'ai l'impression que la Deuxième Guerre mondiale lui a traversé le cul tellement qu'elle a l'air pissed off. fack j'regarde la machine qui semble dater des années 70. un espèce de gameboy première version mélangé avec une flaque de marde. pis j'me dis : what? "scusez madame, il faut insérer la puce ou glisser la carte?"

un long silence s'en suit. la vieille me fixe dans les yeux avec un air de are you serious mofo. j'sais pas trop comment me tenir, j'me sens niaiseux, j'regarde à gauche et à droite comme si quelqu'un pouvait m'apporter de l'aide. lis s'quié écris sur la machine, me dit-elle d'un air CALISSEMENT sympatique pendant qu'elle se dit intérieurement : espèce d'étudiant laid du criss pro-gréviste fouteux de trouble de caliss.

à ce moment-la, à défaut de pouvoir calisser un coup de poing dans un mur, j'ai ravalé ma salive. je l'ai regardé dans les yeux, pis je l'ai fixé comme si j'voulais la faire exploser avec la force de mon mental. la pression dans ma tête augmentait pis j'avais les veines qui m'explosaient sur le côté d'la tête. j'étais en tabarnak. comment qu'elle pouvait se permettre d'avoir un air aussi désagréable en s'adressant à moi? la dernière fois qu'une personne m'avait parlé sur un ton aussi chiant, je l'avais tué.

bzzzzzzzzt

bulle au cerveau. ma main s'est soudainement levée dans les airs et est allé se fixer sur la gorge de le cassière. mes ongles affilés comme des rasoirs ont fait j'aillir le sang sur mes mains et je l'ai regardé avec mes yeux verts. pauvre saloppe, t'aurais jamais du t'adresser à moi comme ça. j'ai commencé à serrer ma main le plus fort que j'ai pu. le cri qui allertait toute la place s'estompait à mesure que l'oxygène manquait dans son cerveau. j'continuais à la fixer, cette vieille et j'ai alors sorti ma main gauche de l'innaction et je lui ai fracturé le nez d'un coup de poing bien placé. connasse de pute pas sympatique, que j'me disais pendant que je placais un deuxième coup de poing sur son os orbital. j'la voyais même pas encore morte que sa tête était pratiquement devenue une bouillie.

fack j'la regardais pis j'ai décidé de juste rien dire et partir. j'ai d'abord pris mon change et je l'ai donné au pédé d'emballeur qui emballait mon stock.

que ton mari soit mort, que tes enfants soient tombés dans le terrible enfer de la drogue, ou pire, que tu sois sur une fin de chiffre et que t'ailles hâte de partir chez toi, j'm'en criss. ton air bête de vieille saloppe, il me fait chier. j'me fourre le cul à dire un beau bonjour à toutes les pédales que je croise. peu importe à qui je parle, j'leur dis un beau p'tit salut merdique parce qu'ils se calissent de moi. j'voudrais bien leur faire comprendre que ma vie est de la caliss de marde, ils vont s'en calisser et aller fourrer leur blonde quand même. alors à toutes les vieilles saloppes, à toutes les madames qui n'ont plus de relations sexuelles depuis une vingtaine d'années, prenez deux secondes pour respirer et appréciez la vie. les autres ne sont pas responsables de votre malheur.

EDIT: édithe

Modifié par Bruno
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celui que j'avais dans le fond d'ma poche. j'pense que j'avais comme 1,43$ et je lui ai tout donné. j'ai défoulé ma rage en donnant à une bonne cause, you know?

pis à Zealot, finalement je me suis acheter des goberges, deux tomates, un concombre, un steak en spécial, pis j'pense que c'est tout. quand je suis arrivé chez moi, j'ai mangé un bon sandwich au goberge et après j'ai joué un peu à NHL12. en fin d'soirée (genre 21h), j'ai fait cuir mon steak pis c'est ça.

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