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Investir dans la monnaie virtuelle


Déchet(s) recommandé(s)

Il y a 16 heures, Orphelin du crazy a dit :

Ce que j'ai retenu de l'entrevue : le deuxième trimestre de la récession arrive 2 ans après le sommet du taux directeur :

 

 

L’économie passera un mauvais quart d’heure au cours des prochains mois et des prochaines années, avertit le prévisionniste François Trahan, considéré comme une sommité de Wall Street. 

 

j'ai écouté ca au complet

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Taux directeur américain:

 

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https://www.macrotrends.net/2015/fed-funds-rate-historical-chart

 

S&P 500:

 

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Rien ne laisse présager que l'économie va connaître un atterrissage en douceur et éviter une récession (recul du PIB sur au moins deux trimestres consécutifs). La hausse des taux a effectivement mis en lumière que certaines banques avaient des positions mal adapté à la situation (First Republic Bank et Silicon Valley Bank). Les risques de contagions n'est pas nul compte tenu qu'avec les réseaux sociaux le mouvement de panique est décuplé et qu'avec les applications bancaires, il est facile et rapide de transférer de l'argent d'un banque à une autre. Les banques régionales américaines sont très vulnérables particulièrement celles qui sont très exposé à la techno dont la crypto (Silvergate, Signature Bank). Bref, c'est à se demander si la règlementation bancaire s'est adapté à l'évolution technologique de la société et de quelle manière la bulle spéculative va se dégonfler. Les profits de certaines compagnies technologiques ont bénéficiés de la digitalisation de l'économie de façon temporaire dans certains cas et dans d'autres cas de façon plus permanente, mais ces compagnies sont souvent très dépendantes du marché publicitaire, donc elles ne peuvent pas croître sans fin. Certaines compagnies s'échangent avec un cours bénéfice raisonnable, mais il est fortement probable qu'ils ne puissent pas maintenir un tel niveau très longtemps. Le cours de l'or a presque atteint 2 000 $ l'once aujourd'hui, signe que les investisseurs sont à la recherche d'une valeur refuge.

 

  • Lors de la récession de 2007, le S&P 500 a pris plusieurs années avant de retrouver son niveau d'avant la récession (5- 6 ans)
  • Lors de la récession de 2007, le sommet du taux directeur a été atteint en juillet 2006 et le creux du marché en février 2009 (2,5 ans)
  • La Banque Lehman Brothers a fait faillite entre ces deux dates (septembre 2008)
  • Le point bas du marché action a été atteint au moment où les taux directeur avait déjà été abaissé drastiquement.
  • La récession de 2007 a duré plus longtemps que d'autres récessions.

Bref, il est possible que la récession se produise dans les prochains mois  et qu'ensuite on atteigne un creux du marché si le taux directeur ne continue pas à augmenter ! Fin 2023 ? Début 2024 ? 2025 ? Les paris sont ouverts.

 

https://twitter.com/FrancoisTrahan/status/1634281368413675520

https://twitter.com/FrancoisTrahan/status/1635304237189206017

https://assets.pewresearch.org/wp-content/uploads/sites/12/2013/09/history-financialcrisis.png

https://en.wikipedia.org/wiki/List_of_recessions_in_the_United_States

 

...

 

https://twitter.com/charliebilello/status/1636380325063565312?t=Oeonhmp8A-ImrPeNet8dvQ&s=19

 

 

 

 

 

 

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  • 3 semaines plus tard...
  • 4 semaines plus tard...

First Republic saisie par les autorités et revendue à JPMorgan

L’établissement était sous forte pression depuis les défaillances rapprochées de deux établissements au profil similaire, Silicon Valley Bank (SVB) et Signature Bank.

Il s’agit de la deuxième faillite bancaire en importance de l’histoire des États-Unis, après celle de Washington Mutual, en 2008*

First Republic, fondée en 1985 et établie à San Francisco, ne valait plus vendredi à la clôture que 654 millions de dollars en Bourse, contre plus de 20 milliards en début d’année.

Elle pouvait sembler attractive : elle était connue pour avoir une clientèle aisée, déposant des sommes importantes sur les comptes et remboursant bien les prêts.

Mais nombre de ses clients ont pris peur après les faillites de SVB et de Signature Bank. Et elle avait dans ses comptes nombre de prêts immobiliers et d’investissements à taux fixe, qui ont perdu mécaniquement de la valeur avec la récente hausse des taux d’intérêt.

*si on exclut les banques de financement et d’investissement. Lehman Brothers a déjà eu une capitalisation boursière de 60 b$ et Bear Stearns de 25 b$

 

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  • 2 semaines plus tard...
  • 2 mois plus tard...
  • 3 semaines plus tard...

« L’indicateur Buffett » est formel : ce n’est pas le moment d’acheter

Mathématiquement, l’indicateur Buffett est plutôt simple. On l’obtient en divisant l'ensemble des capitalisations boursières d'un pays par son produit intérieur brut.

Il expliquait alors que si le ratio approche 200 %, comme cela a été le cas en 1999 et en 2000, « vous jouez avec le feu ». Autrement dit, les marchés sont surévalués. 

Le ratio actuel de 182 % est d'environ 51,35 % (ou environ 1,7 écart-type) au-dessus de la ligne de tendance historique.

Warren Buffett était le premier à l’admettre : son ratio est imparfait. « Le ratio a certaines limites ». Le premier bémol est que les marchés publics ne représentent pas l’ensemble des entreprises d’une économie. Le second bémol est que le ratio fait abstraction de la profitabilité des entreprises : « Ce qui donne de la valeur aux entreprises, c’est le fait qu’elles dégagent des profits. » 

WWW.CURRENTMARKETVALUATION.COM

La prime de risque de Shiller est calculée d’abord en prenant l’inverse du ratio cours-bénéfice, ce qui permet d’obtenir le rendement des bénéfices, puis en lui enlevant le taux d’intérêt réel. C’est donc la prime de risque actions : la rentabilité additionnelle demandée par le marché actions au-dessus du taux sans risque. 

En janvier 2000, la prime de risque calculée de la sorte était négative, - 1,52%, les investisseurs étaient mieux payés sur un taux sans risque que sur les actions. Un comble ! Et, effectivement, un signe de survalorisation massif. On connaît la suite.

Si on regarde le passé proche, le message devient très différent. 

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  • 2 mois plus tard...

Le gouverneur de la Banque du Canada, Tiff Macklem, affirme que la banque centrale a maintenu son taux d’intérêt directeur à 5 % en partie à cause de l’effet qu’une vague de renouvellements hypothécaires à venir dans les prochains mois devrait avoir sur l’économie.

La Banque du Canada s’attend toujours à ce que l’inflation revienne à 2 % en 2025.

 

Des données récentes de Statistique Canada suggèrent que l’économie pourrait avoir basculé dans une légère récession technique, alors que la hausse des taux d’intérêt pèse sur les dépenses des ménages.

Août était le deuxième mois consécutif où la croissance est restée stable, et les données préliminaires suggèrent que l'économie a poursuivi cette tendance en septembre.

Pour le troisième trimestre, l'estimation préliminaire de Statistique Canada suggérait que l'économie s'est contractée à un taux annualisé de 0,1 %. L'économie s'était aussi contractée au deuxième trimestre.

 

Une récession technique est définie comme deux trimestres consécutifs de croissance négative, mais les économistes sont généralement à l'affût d'une faiblesse plus large pour qualifier un ralentissement de récession.

Les baisses sont encore très faibles, a observé Nathan Janzen, économiste en chef adjoint à la Banque Royale du Canada.

 

Selon M. Grantham, il est clair que le Canada flirte avec une récession.

 

Alors, si le taux directeur a atteint son sommet et que nous sommes déjà en début de récession, le crash de la bourse pourrait arriver assez tôt.

 

...

Si on fait exception des géants de la techno, il y a beaucoup de compagnies dont l'action se vendent déjà  à un faible multiple anticipant une baisse des profits.

 

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  • 1 mois plus tard...

 

La Banque du Canada maintient son taux directeur à 5 %, comme c’était largement attendu, parce qu’elle veut voir l’inflation continuer de baisser de façon durable avant de changer de cap.

Selon Randall Bartlett, directeur, économie canadienne de Desjardins, la banque centrale attendra que le taux de chômage augmente encore, autour de 6,5 %, et que le taux d’inflation passe sous les 3 % avant de commencer à réduire les taux d’intérêt. « Cela devrait se produire d’ici le deuxième trimestre de 2024, avec des baisses attendues à compter d’avril 2024 », estime-t-il.

La prochaine décision sur le taux directeur est prévue pour le 24 janvier. 

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  • 3 semaines plus tard...

Le Warren Buffet français:

 

L'économie québécoise est théoriquement en récession : elle s'est contractée pour un deuxième trimestre consécutif, selon des données de l'Institut de la statistique du Québec (ISQ).

C'est un secret de Polichinelle que la grève du secteur public signifiera un autre trimestre de contraction économique.

 

 

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En janvier, cela va faire 5 mois, que le taux directeur de la banque du Canada demeure à un sommet.  Si ce taux baisse en avril, cela va faire, donc 8 mois que ce taux cible est resté constant. Cela serait donc une durée intermédiaire entre ce qui est arrivé  en 2000 et 2006.

En 2002 la correction de l'indice  S&P 500 a été moins vertigineuse qu'en 2009, mais tout de même assez sévère.

La durée de la récession a été aussi plus courte au début des années 2000 qu'à la fin de la première décennie des années 2000.

Est-ce qu'il y a une corrélation à faire entre la durée du sommet du taux directeur et la durée de la récession ? Je ne sais trop.

Mais le temps entre la fin du sommet du taux directeur canadien et le creux pour cet indice américain a été le même pour ces deux récessions: 18 mois.

Il serait sans doute plus logique de comparer un indice américain avec le taux directeur. M'enfin.

Si on ajoute donc 18 mois à avril 2024. on peut donc prédire pour octobre 2025, le creux pour cet indice. 

Il est toujours possible de se procurer un fond indiciel à effet de levier inverse pour profiter de cette baisse prévu, mais il semble plus sage de profiter  pour le moment de l'euphorie des marchés jusqu'au début de la baisse des taux.

 

 

 

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  • 5 semaines plus tard...

François Trahan parle d’une « bombe à retardement » en Bourse

François Trahan explique que les titres de croissance (comme les Amazon, Meta et Nvidia) suscitent une forte demande au début d’un ralentissement économique parce que les investisseurs vont craindre les titres cycliques. « Ils se tournent donc vers des entreprises ayant une croissance plus structurelle. Ces titres tiennent le coup jusqu’au jour où ils ne parviennent plus à suivre les attentes du marché, et là, ils brisent », précise-t-il.

« On va peut-être avoir une bombe à retardement dans les marchés avant de réellement observer une réaction dans le marché et l’indice S&P 500. »

Selon François Trahan, il est normal que les investisseurs pensent qu’un atterrissage en douceur de l’économie est un scénario plausible avec la fin probable des hausses des taux par la banque centrale. « On a vu ce phénomène en 2000 et en 2007-2008, mais la Fed [Réserve fédérale américaine] ne veut pas admettre qu’elle a haussé les taux plus qu’elle aurait dû et que le résultat final est une récession. Il faut donc maintenant s’attendre à une baisse des bénéfices des entreprises », a dit François Trahan mardi.

Il rappelle que ça prend presque deux ans avant qu’une hausse des taux d’intérêt ait un impact sur l’économie. Puisque la première hausse de taux a eu lieu en mars 2022, il souligne que si la relation était parfaite, le deuxième trimestre cette année serait le début du véritable ralentissement économique.

Ceux qui croient à un atterrissage en douceur pensent qu’il n’y aura pas de hausse du taux de chômage, mais la plupart des indices précurseurs de l’emploi ont déjà tourné et signalent que le chômage sera à la hausse sous peu. C’est généralement la variable qui pousse la Fed à couper les taux et qui transporte les attentes d’un atterrissage en douceur vers des craintes de récession. 

Il recommande donc aux investisseurs de se réfugier dans des secteurs jugés plus défensifs, comme le secteur de la santé (titres pharmaceutiques) et celui des services publics, où l’on trouve des entreprises ayant des revenus « plus stables ». « La vulnérabilité des titres de croissance provient de leurs multiples d’évaluation élevés », dit-il.

François Trahan avait fait jaser il y a deux ans en disant sur le plateau d’une émission d’affaires publiques à TVA qu’il anticipait une situation « apocalyptique » pour les années 2023 et 2024.

Une « apocalypse économique » se traduit à son avis par un taux de chômage qui monte et probablement une crise financière.

 

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À mesure que les monnaies numériques comme le bitcoin et l’ether se répandent, le secteur des cryptomonnaies s’est heurté à une décision de la Cour suprême de 1946, une analyse juridique qui détermine si un produit financier doit être soumis aux mêmes règles strictes que les actions et les obligations.

 

En réponse, le secteur a fait valoir que les lois régissant les transactions à Wall Street ne devraient pas s’appliquer aux monnaies numériques. Les deux parties ont remporté les premières victoires devant les tribunaux, ce qui a laissé la question en suspens.

Mais ce mois-ci, des juges fédéraux ont tenu des audiences dans deux affaires qui, selon les experts juridiques, devraient être plus décisives : les poursuites engagées par la SEC contre les bourses de cryptomonnaies Coinbase et Binance.

Le projet de la SEC concernant les cryptomonnaies s’inspire d’un arrêt de la Cour suprême de 1946 concernant des investissements dans des orangeraies de Floride. Cette affaire a conduit à la création du test de Howey, une norme juridique permettant de déterminer ce qui doit être fait de ce qui n’est ni une action, ni une obligation, ni une valeur mobilière.

Selon ce cadre, un produit financier devient une valeur mobilière lorsqu’il est possible d’investir dans une « entreprise commune » dans l’espoir de profiter des efforts d’autres personnes.  Certains produits d’assurance et même des contrats de vente de chinchillas sont des exemples de valeurs mobilières au sens du test de Howey.

 

ans des remarques publiques, Gary Gensler, le président de la SEC, a affirmé que la plupart des monnaies numériques étaient considérées comme des valeurs mobilières aux termes du test de Howey, car les gens investissent dans les cryptomonnaies en espérant que les entreprises qui les émettent feront monter les prix. Seul le bitcoin, a-t-il souligné, échappe à la compétence de la SEC, car il n’est supervisé par aucun groupe ou individu central.

En vertu du pouvoir réglementaire de la SEC, M. Gensler aurait pu élaborer de nouvelles réglementations pour le secteur des cryptomonnaies. Mais il a plutôt plaidé que ce secteur devrait être régi par les lois existantes et les décisions de justice établies pour protéger les investisseurs contre la fraude.

Sans un accord contractuel clair entre l’acheteur d’une monnaie numérique et son émetteur, ont plaidé les avocats, une cryptomonnaie n’est pas différente de tout autre « objet de collection » qui pourrait prendre de la valeur au fil du temps, comme les cartes de baseball ou les poupées Beanie Babies.

Lors de l’audience, la juge Katherine Polk Failla a semblé approuver certaines des inquiétudes de Coinbase concernant les excès de la SEC, en déclarant que la Commission pourrait « balayer trop large ».

Dans l’affaire Binance, la juge Amy Berman Jackson, à Washington, a semblé plus sceptique quant à la comparaison entre les pièces de monnaie numériques et les jouets de collection. Elle s’est toutefois inquiétée de la stratégie de la SEC et a pressé les avocats du gouvernement d’expliquer les limites de leur argumentation.

Ces auditions ont eu lieu quelques jours après une victoire majeure pour l’industrie des cryptomonnaies, lorsque la SEC a approuvé un nouveau produit d’investissement en bitcoins pour les transactions à Wall Street. M. Gensler s’était battu pour bloquer l’introduction de ce produit jusqu’à ce qu’un tribunal se prononce contre la SEC en août, forçant ainsi la main de l’agence.

 

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  • 3 semaines plus tard...
  • 4 semaines plus tard...
Le 2018-09-21 à 10:07, Ecce Homo a dit :

pour ceux qui ont du cash à placer (pas moi :'( ) une recommandation des analystes Mediagrif (MDF, 11,31$)  , pour un possible rendement de 20 % vite fait. :party_parrot:

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mdf commerce : elle dit oui au mariage avec KKR

Cette dernière, qui redonnera aux actionnaires 5,80 $ l’action, est une évaluation «raisonnable» de la valeur de l’entreprise, écrit l’analyste. Son propre cours cible était de 4 $ avant l’annonce faite le 11 mars 2024.

Par rapport à sa valeur à la fermeture des marchés le 8 mars 2024, ça correspond à une bonification de 58%, indique-t-il.

 

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il y a 40 minutes, Dark Brandon a dit :

Es-tu un gros mineur ?

non jai tradé pas mal dans le temps, mais la je hold depuis un bout..ca l'avait chuté fort, mais avec le retour de trump vers la présidence, ca pump fort, il inspire la cofinance.

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