Aller au contenu

Que pensez-vous des antidépresseurs?


Déchet(s) recommandé(s)

Je suis sous médication, jtrouve ça intense pour mon âge, mais j'ai pas le choix que jme dis. Et vous, qu'est-ce que vous pensez des antidépresseurs?

Y'a t-il un âge qui devait être minimal selon vous pour prendre ces trucs, ou bien si vous en prenez aussi, depuis quand, est ce que ca a vraiment changé quelquechose à long terme?

Que pensez vous en général de ça. Beaucoup me disent de pas prendre cette merde...

Car dans mon cas, bon ça fait depuis Novembre, et honnêtement, J'trouve que ça changé que dalle pour moi...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Et qu'est-ce que ton médecin a diagnostiqué pour te prescrire des antidépresseurs? Est-ce qu'il t'a proposé d'autres alternatives avant d'en arriver là?

Et tu prends quoi, et quel dosage?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

J'ai un trouble d'anxiété généralisé. J'ai été hospitalisée à HRDP 2 mois pour tentatives puis pensées suicidaires.

J'avais pas vraiment le choix non, dans ce genre de situation. J'dois suivre et c'est tout.

Je prends 50 mg de Zoloft une fois par jour.

J'ai aussi de L'elavil au coucher mais en petites quantités, pour m'aider à dormir.

J'ai aussi un anxiolytique...(Ativan, qqchose de même) en PRN lorsque que je suis sur le bord de la crise d'angoisse là où ça peut pas arriver (ex: lieux publics, en classe, à l'école, etc)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

En général, cela prend entre quatre à six semaines pour qu'un antidépresseur atteigne le maximum d'effet si c'est un nouveau médicament prescrit.

As-tu discuté de tout cela avec le docteur qui t'as prescrit les antidépresseurs ( à l'effet que tu n'avais pas l'impression que ça changeait quoi que ce soit)?

Si oui, est-ce que le dosage a été ajusté? le traitement changé? etc.

Si non, as-tu consulté un autre docteur?

Comme demandé par Et caetera: diagnostique? traitements autres que médication?quel médicament? quel dosage?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

(modifié)

Ben j'ai eu jusqu'à maintenant 2 rencontres avec une psy de HRDP. Avant ça quand j'étais à HRDP hospit. y'en avait pas vraiment. Entre les 2 j'ai vu une psycho-ed mais c'étais plus pour une bonne réintégration scolaire. Jte dirais que ma psy est très Freudienne, elle me fait peur des fois, pis ça fait que jsuis pas super à l'aise. Sauf que bon, jsuis sur la DPJ, donc tout est payé par le gouvernement, j'peux vraiment pas chialer tsey...mais bon, depuis jte dirais que ya pas grand choses qui ont changées malgré tout ça. C'est sûr, j,ai un lourd passé derrière moi comme beaucoup de gens d'ailleurs, et je sais que ça ne peut se régler en quelques mois. Mais tout de même , ne devrais-je pas ressentir au moins une minime différence?

Edit pour throwback: Le psychiatre qui me l'a prescrit c'est celui qui était associé à mon unité à l'hospit. Donc non je ne lui ai pas reparlé. J'en ai une nouvelle mais je ne l'ai vu qu'une fois pour qu'elle m'évalue...

Modifié par La voisine d'à côté
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Beaucoup me disent de pas prendre cette merde...

Si ça peut t'éviter d'autres tentatives et ou pensées suicidaires pourquoi ne pas en prendre ?

...

Ce n'est pas la souffrance de l'enfant qui est révoltante en elle-même, mais le fait que cette souffrance ne soit pas justifiée. La souffrance use l'espoir et la foi.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ben j'ai eu jusqu'à maintenant 2 rencontres avec une psy de HRDP. Avant ça quand j'étais à HRDP hospit. y'en avait pas vraiment. Entre les 2 j'ai vu une psycho-ed mais c'étais plus pour une bonne réintégration scolaire. Jte dirais que ma psy est très Freudienne, elle me fait peur des fois, pis ça fait que jsuis pas super à l'aise. Sauf que bon, jsuis sur la DPJ, donc tout est payé par le gouvernement, j'peux vraiment pas chialer tsey...mais bon, depuis jte dirais que ya pas grand choses qui ont changées malgré tout ça. C'est sûr, j,ai un lourd passé derrière moi comme beaucoup de gens d'ailleurs, et je sais que ça ne peut se régler en quelques mois. Mais tout de même , ne devrais-je pas ressentir au moins une minime différence?

Edit pour throwback: Le psychiatre qui me l'a prescrit c'est celui qui était associé à mon unité à l'hospit. Donc non je ne lui ai pas reparlé. J'en ai une nouvelle mais je ne l'ai vu qu'une fois pour qu'elle m'évalue...

Le problème avec les antidépresseurs est le même qu'avec toute autre médication. Certain médicament font des merveilles pour certaines personnes et aucun effet ou des effets négatif pour d'autres. Sans compter qu'avec une même médication, le dosage fait une énorme différence dans l'efficacité du traitement. C'est pour cela que normalement tu devrais avoir un suivi régulier pour pouvoir trouver et ajuster un traitement qui fonctionne pour toi. Je te recommande fortement de prendre rendez-vous et exigé d'avoir un suivi pour ta condition.

De plus, dépendant sur la condition pour laquelle tu reçois un traitement, il est très fréquemment recommandé de suivre une thérapie ou autre traitement associé en combinaison avec la médication. Peut-être pourrais-tu demandé d'autres nom de thérapeutes? C'est certain que si tu trouves un thérapeute avec lequel tu te sens confortable, la thérapie sera probablement beaucoup plus efficace que si tu vois quelqu'un qui te rends inconfortable.

Tout cela dit, l'opinion d'un professionnel de la santé est nécessaire pour t'aider et je ne fais que partager de l'information basé sur mon expérience personnel. Je ne te connais pas, ni ta situation ou ton histoire. J'espère juste que tu iras chercher le soutien professionnel nécessaire et que tu sentiras assez à l'aise pour partager avec ce ou ces professionnels tes inquiétudes pour qu'elles puissent être adressées de façon adéquate.

  • J'aime! 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je ne crois pas à la ''dépression'' comme telle. Je prônerais davantage une approche thérapeutique pour guérir ces maux de l'âme dont tu ne parles pas mais qui doivent être bel et bien présents. On ne ne suicide pas parce qu'on a une maladie mentale, mais parce qu'on souffre. Je pense que c'est sur cette souffrance qu'il faut intervenir.

Prise en charge par la dpj - anxiété généralisée... je suis certaine que tu vis un tas de problèmes dont tu n'as pas parlé ici.

La psychiatrie relève davantage de l'art que de la science. Vous savez, quand ils parlent de ''problème de connexions chimiques dans le cerveau''?!? Hey bien. Ils ne sont jamais allés voir. Ils n'ont aucun moyen de vérifier ce qu'ils avancent. C'est une manière de concevoir la réalité. Aujourd'hui, on crée les maladies en fonction des médicaments qui sont fabriqués. Pas l'inverse.

J'ai observé pas mal de personnes dans mon entourage tomber sous médication et, en bout de ligne, je n'ai jamais constaté de changements notables.

Un documentaire sur le principe de ''vendre des malades'' :

http://www.youtube.com/watch?v=HXJlB7WESmw

  • J'aime! 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Des "maux de l'âme" qui te portent à te suicider, c'est pas mal ça qu'on appelle une dépression.

Oh et en passant:

Abstract:

A new study reveals a novel gene associated with major depression. The research, published in the April 28 issue of the journal Neuron, suggests a previously unrecognized mechanism for major depression and may guide future therapeutic strategies for this debilitating mood disorder.

Aussi dans l'article:

Already nondepressed subjects carrying the risk-conferring genetic variants showed lower expression of SLC6A15 in the hippocampus, a brain region implicated in major depression. Moreover, using human brain imaging, risk variant carriers with a positive life history of major depression showed smaller hippocampi. Finally, in a mouse model, lower hippocampal SLC6A15 expression was linked to the effects of chronic social stress, a proven risk factor for depression.

http://www.sciencedaily.com/releases/2011/04/110427131816.htm

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ah oui la DPJ sont si bons pour être pourrits sans des situations comme ton cas. Faut vraiment tomber sur les bonnes personnes et il n'en pleut pas. J'ai essayé plusieurs anti-dépresseurs quand j'avais 15 ans, l'enfer. Certains me rendait carrément zombie et d'autres ne me faisait rien (je prends ici en compte le 1 à 2 mois pour l'efficacité de la médication). Un jour on a trouvé le bon et après 1 an j'en ai eu assez de ne plus rien ressentir alors j'ai arrêté. Mais le mieux que tu puisses faire c'est de trouver le moyen de décrire comment tu te sens avec justesse. Sans cesse et à divers moments de la journée. Je comprends sincèrement dans quel bateau tu es et j'espère que tu es bien entourée. Ce qui m'a beaucoup aidé aussi c'est de commencer à me confier à ma mère et de la faire venir avec moi à mes rendez-vous chez le psychiatre. Comme ça, ça donne un point de vue plus juste sur nos propres agissements.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le problème avec la dépression, c'est que ça peut prendre beaucoup de temps avant de commencer à s'en sortir, donc ça peut être normal que ton humeur ait pas changé depuis novembre. Après, il faut parfois changer de médication souvent avant de trouver la bonne pillule qui change vraiment quelquechose. J'ai été sur Paxil et Zoloft quand j'avais 13 ans pour ma première dépression majeure, et ce fut désastreux. Maintenant (22 ans), j'ai essayé Réméron (tout aussi désastreux) et je suis finalement sur Wellbutrin et je vois une amélioration légère, après deux mois d'utilisation. Au final, si tu pense que tes pillules ne font rien, tu peux toujours en parler avec ton psychiatre pour essayer autre chose. C'est sur que ça fait pas des miracles, mais en général ça te donne plus d'énergie pour revenir à un état plus sain. Bonne chance.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je ne crois pas à la ''dépression'' comme telle. Je prônerais davantage une approche thérapeutique pour guérir ces maux de l'âme dont tu ne parles pas mais qui doivent être bel et bien présents. On ne ne suicide pas parce qu'on a une maladie mentale, mais parce qu'on souffre. Je pense que c'est sur cette souffrance qu'il faut intervenir.

Prise en charge par la dpj - anxiété généralisée... je suis certaine que tu vis un tas de problèmes dont tu n'as pas parlé ici.

La psychiatrie relève davantage de l'art que de la science. Vous savez, quand ils parlent de ''problème de connexions chimiques dans le cerveau''?!? Hey bien. Ils ne sont jamais allés voir. Ils n'ont aucun moyen de vérifier ce qu'ils avancent. C'est une manière de concevoir la réalité. Aujourd'hui, on crée les maladies en fonction des médicaments qui sont fabriqués. Pas l'inverse.

J'ai observé pas mal de personnes dans mon entourage tomber sous médication et, en bout de ligne, je n'ai jamais constaté de changements notables.

Un documentaire sur le principe de ''vendre des malades'' :

http://www.youtube.com/watch?v=HXJlB7WESmw

Il ne faudrait pas tomber dans les extrêmes non plus. La maladie mentale existe depuis toujours, et bien avant la découverte des médicaments.

En ce qui concerne La voisine d'à côté, et du fait qu'elle soit prise en charge par la DPJ, me suggère fortement qu'elle n'a pas dû l'avoir facile et que sa dépression n'est pas une maladie inventée.

Trouver la source de ce qui rend une personne dépressive n'est pas la chose la plus ardue à faire. C'est d'apprendre à vivre le plus sainement possible avec ses propres réalités qui demeure le gros défi.

Dans un cas comme le sien, c'est évident que l'approche thérapeutique est toute indiquée. Mais dans l'approche thérapeutique, la médication est souvent nécessaire aussi.

Personnellement, je ne crois pas que la dépression puisse se guérir uniquement par la prise d'antidépresseurs. C'est un peu comme si on mettait un pansement sur une jambe de bois. Sauf qu'un protocole de médicaments peut s'avérer très utile et bénéfique lorsque combiné à une thérapie psychodynamique/analytique.

Ce qui est déplorable dans le cas des enfants et des ados de la DPJ, c'est qu'ils n'ont pas le loisir de "magasiner" leurs thérapeutes, ils doivent faire avec ce qu'on leur fournit.

Merci beaucoup a vous. Et maudafucka, j'peux malheureusement pas faire ça. mes parents sont a chier c'est pour ça que je suis sur la dpj. malheureusement j'ai personne pour ça...

Je serais curieuse de savoir quel genre de relation tu as avec ta T.S.? Est-ce que c'est quelqu'un en qui tu as confiance? Est-ce que tu l'apprécies en tant que personne? Si oui, lui as-tu parlé de l'inconfort que tu ressens avec ta psychiatre actuelle?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ben en fait depuis bientot 2 ans, j'ai changé 5 fois...donc c'est un peu dur de développé tant que ça une relation de confiance. La seule personne/intervenante en qui j'avais confiance ctait mon Educ à l'école, pis pour des raisons malheureuses, j'peux plus l'avoir comme éduc...je sais pas quoi faire dans ce temps là, jsuis tannée de tout répéter à chaque fois. Et pis je l'ai dis aux éducs de la residence/foyer, que je suis pas bien avec cte psy là...mais bon ils font pas grand chose...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Depuis que je suis toute petite que je suis entourée d'intervenantes, de travailleuses sociales, de psychologues et ect. Je comprend quand tu dis que t'es tannée de répéter et oui c'est difficile de trouver quelqu'un qui convient parfaitement. Premièrement quelqu'un avec qui tu te sens à l'aise et qui t'offre une bonne oreille et ensuite quelqu'un qui reconnait ce qui se passe, parce que je suis déjà tombé sur un psychologue avec qui je m'entendais merveilleusement bien, mais qui me disait constament que je n'avais pas de problème alors que je me sentais clairement mal dans ma peau. Soigner son mal de vivre est un travail continue et pas sans difficultés.En ce qui concerne les antidépresseurs ou les médicaments pour l'anxiété (je ne me rappelle plus si les médicaments que je compte nommer correspondent tous à des anti dépresseurs) , je suis passée par du proxac, du concerta, du cytaloprame(ok je dois l'avoir extrêmement mal écrit) et maintenant je prend du effexor et de la quetiapine,comme dirait Et Caetera, si on se fit juste à la médication, il y aura pas de miracle ni de changements majeurs. Moi ce qui m'aide c'est essentiellement l'environnement dans lequel je me trouve et de toujours dormir 8-9 heures par nuit. Ok là non plus j'ai pas de miracles, je fais encore des crises de temps à autre et je peux avouer que justement ce matin avant d'ouvrir mon ordinateur il s'est passé quelque chose de vraiment pas beau, mais je lâche pas. Avant de déménager à Montréal, je restais chez mes parents dans un trou perdu et c'était de la marde totale. J'avais personne pour m'aider et j'avais vraiment aucun but dans la vie, je bougeais presque jamais de mon lit sinon c'était ... entk mais maintenant je suis mieux entourée et cest moins pire, mais c'est pour te dire voisine d'à côté que même si t'as pas l'entourage pour le moment, ça peut venir. Jte dis pas de pas te fier au moment présent pis de juste attendre. Le mieux que je puisse faire cest au moins de t'offrir que si tes vrm mal prise, tu peux m'écrire et jpense quil y a dautres membres sur le forum qui sont prêts à te supporter aussi.Lâche pas, un jour à la fois.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

l'opinion d'un professionnel de la santé est nécessaire pour t'aider

Je crois plus trop à ça, pour être honnête. Parfois le patient qui se renseigne de fond en comble en sait plus que son médecin sur certains types de médicaments... Ils ont des formations obligatoires pour se mettre à jour mais c'est pas tous les médecins qui prennent la peine de faire autre chose que répéter ce qui est écrit dans le panflet de la compagnie.

Particulièrement quand ça vient aux effets secondaires. Si c'est pas sur le ti-papier, c'est que tu fabules...

  • J'aime! 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

J'suis surpris que personne ne lui ait posé la question la plus importante : POURQUOI t'es déprimé.

J'ai comme le feeling que ça marche pas totalement comme ça. Est-ce que la dépression est dû à des causes, ou bien ces "causes" sont en fait des conséquences de la dépression? (C'est une question sincère.)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Veuillez vous connecter pour commenter

Vous pourrez laisser un commentaire après vous êtes connecté.



Je veux revenir!
 Partager

×
×
  • Créer...