Aller au contenu

Réforme de la RRQ? Par l'IEDM et Éric Duhaime


Déchet(s) recommandé(s)

(modifié)

Le sujet est sur le RRQ, pas sur la dette.

Le RRQ est un régime de rente et puis les rendements changent. Les babyboomers ont profité de bons rendements dans le passé, leurs placements ont profité. Les jeunes aujourd'hui vont devoir payer plus pour avoir pareil si les rendements restent bas.

Les taux d'intérêt sont très bas donc le gouvernement à investi dans des placements risqués pour compenser. Cela n'a pas fonctionner et cela a donné des rendements négatifs. Cela peut changer facilement d'ici 20 ans(le temps que le jeune d'aujourd'hui soit en age de prendre sa retraite). La bourse, cela monte, cela descend et puis cela remonte, faut juste pas paniquer.

Modifié par Zipadeedoodah
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

(modifié)

Le sujet est sur le RRQ, pas sur la dette.

Le RRQ est un régime de rente et puis les rendements changent. Les babyboomers ont profité de bons rendements dans le passé, leurs placements ont profité. Les jeunes aujourd'hui vont devoir payer plus pour avoir pareil si les rendements restent bas.

Les taux d'intérêt sont très bas donc le gouvernement à investi dans des placements risqués pour compenser. Cela n'a pas fonctionner et cela a donné des rendements négatifs. Cela peut changer facilement d'ici 20 ans(le temps que le jeune d'aujourd'hui soit en age de prendre sa retraite). La bourse, cela monte, cela descend et puis cela remonte, faut juste pas paniquer.

Selon : http://www.cdhowe.org/pdf/ebrief_78.pdf

Il faut comprendre qu’avec une structure de population vieillissante, se priver de revenus de placement est très

coûteux pour le Régime. Par exemple, des cotisations annuelles d’un peu plus de 5 p. cent du revenu, qui seraient

déposées dans un régime d’épargne-retraite rapportant 6,9% annuellement, pourraient assurer à un nouveau cotisant une rente viagère à 65 ans d’une valeur équivalente aux prestations prévues par le Régime. Cet écart de taux – par

exemple entre 5 et 11 p. cent – s’explique par le faible niveau de capitalisation du Régime combiné aux changements démographiques.

Ce que ça veut dire :

Admettons que la RRQ n'existait pas et que tous les québécois de 18 ans au 1er juin 2010 décidaient de se créer un régime de rente juste pour eux. Ce régime de rentes aurait pour but de donner exactement les mêmes prestations que la RRQ nous promet présentement.

En utilisant des hypothèses semblables à celles utilisées par la RRQ pour son analyse actuarielle, les 18 ans auraient besoin de cotiser 5% de leurs revenus.

Cependant, dans la réalité, les travailleurs de 18 ans devront cotiser 11% de leur salaire (parce que le 9.9% est insoutenable) pour avoir droit aux mêmes prestations.

Ce qui veut donc dire qu'ils paieront 6% de leur salaire à vie pour payer la retraite de ces mêmes baby-boomers qui n'avaient pas assez cotisé pour la RRQ.

EDIT:

Je veux juste dire que la dette du Québec ne me fait pas peur.

Je crois que l'amérique du Nord est beaucoup plus proche d'une deflationary trap et d'une décennie perdue comme le Japon que de la situation de la Grèce.

Je crois donc qu'il est justifié économiquement d'avoir une dette importante pour minimiser le chomage et maximiser la croissance pendant la prochaine décennie.

Modifié par Running With Spoons
  • J'aime! 3
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Vacpower n'a pas dit que c'était une question de chance, il a parlé d'opportunités.

Deux étudiants sortent des HEC, même curriculum et tout. À partir de là un entre dans la multinationale de papa pour aller prendre sa place, l'autre part de zéro et a toutes les misères du monde à avoir un prêt pour démarrer son entreprise. Les mêmes opportunités pour tout le monde? Come on! Et ici on les a fait sortir des HEC les deux: dans la réalité papa #1 va avoir payé les meilleures institutions à fiston, qui ne se sera donc en fait donné que la peine de naître dans l'affaire.

Alors le success story de se bâtir à la force de son ambition faut pas trop charier non plus: c'est souvent une question d'opportunité ou de népotisme.

Encore une fois.Deux étudiants sortent des HEC, même curriculum et tout. Un est un homme, l'autre une femme. Un va gagner plus que l'autre. Rien à voir avec les compétences pures.

T'es encore un peu naïf par rapport à la vie, Forbes.

Sans nécessairement vouloir me répéter, rien de ce que tu viens d'écrire ne m'étonne.

Au Québec, les gens pensent que la société est divisée en trois classes (les pauvres, la classe moyenne et les riches). Une extension de cette pensée est que nous que nous sommes attachés de façon permanente à une classe. Étant donné que les gens croient au caractère inné de la richesse, il entretiennent cette conception mentale que les riches ont toujours été riches et qu'ils le seront toujours.

Or, tout ceci est hautement incorrect. Dans la société capitaliste, chacun est libre d'accumuler du capital afin de devenir un producteur et de créer de la valeur économique ajoutée.

C'est facile de dire que seuls les fils de riches peuvent devenir riches à leur tour. Comme je l'ai mentionné plus tôt, c'est un raccourci de l'esprit typique aux Québécois. Avec cette conception, on peut dénigrer les gens fortunés en diminuant le travail requis pour obtenir cette richesse. De plus, on valorise les conditions économiques modestes en allant jusqu'à justifier sa condition économique par celle de quelqu'un d'autre. « C'est parce qu'il vole les honnêtes gens comme moi qu'il est riche! » On peut d'ailleurs observer la dernière citation régulièrement sur ce forum.

Pour ma part, je crois que tout est possible. J'ai la conviction sincère qu'en mettant les efforts nécessaires, j'arriverai à accumuler assez de richesse pour que ma profession devienne une activité que je fais par plaisir et non par obligation. De plus, j'arriverai à faire tout ça en respectant les individus qui m'entourent et en améliorant la situation économique / sociale de mon milieu.

Le capitalisme est une force positive dans notre société.

Non, Forb met le marché et la propriété privée devant tout, incluant l'individu, mais il est intellectuellement trop pauvre pour s'en rendre compte.

Il croit pouvoir mettre au sommet de tout, et à égalité, ces trois principes que sont:

- Le marché 100% libre de toute intervention gouvernementale.

- Le respect absolu de la propriété privée.

- Les droits et libertés de l'individu (autres que le droit à la propriété et la liberté commerciale, qui sont les 2 principes précédents).

Or, Forb ne se rend pas compte que ces trois principes ne sont pas pleinement compatibles et que, par conséquent, il doit hiérarchiser ou compromettre. Alors, quand il parle des principes de justice qu'il défend, il parle de chacun de ces principes comme s'ils étaient au sommet, comme s'il ne mettait rien devant chacun d'entre eux. Cependant, dans ses revendications plus concrètes, il opère inconsciemment une hiérarchie entre ces principes. En effet, il met au sommet la propriété privée et le libre-marché, et en-dessous, il place tous les autres droits et libertés des individus.

C'est pourquoi il revendique toujours le laissez-faire à 100% et c'est pourquoi il s'oppose à toutes politiques de redistribution des richesses, même si cela implique que certains droits et libertés individuelles sont mises en péril par ces principes.

En suivant les revendications de Forb, qui sont aussi les tiennes, on en arrive à une société où les droits et libertés fondamentales de tous ne sont pas également respectées. On en arrive à une société où les droits et libertés les plus fondamentales de certains individus sont bafouées tout simplement parce qu'on refuse de compromettre l'idéal du marché libre à 100% que revendique Forb. Parfois, c'est le plus élevé de tous ces droits qui est mis en péril par le libre-marché: le droit à la vie.

Si ce n'est de l'insulte à mes capacités intellectuelles, c'est une intervention intéressante. Pourrais-tu me donner un exemple de situation où je placerais les droits et libertés de l'individu avant le libre-marché?

  • J'aime! 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

(modifié)

Au Québec, les gens pensent que la société est divisée en trois classes (les pauvres, la classe moyenne et les riches). Une extension de cette pensée est que nous que nous sommes attachés de façon permanente à une classe. Étant donné que les gens croient au caractère inné de la richesse, il entretiennent cette conception mentale que les riches ont toujours été riches et qu'ils le seront toujours.

Ce qui est pratique avec des généralisations comme "les Québécois pensent-ci ou ça" c'est qu'on n'a plus besoin de s'occuper des arguments de son interlocuteurs. Ce que tu fais à merveille puisqu'il est seulement question d'opportunités ici. Elle est bien jolie ta théorie sociale un brin hautaine, mais un fait demeure, éminemment bien exprimé par la formule suivante, éculée au possible: c'est avec de l'argent qu'on fait de l'argent. Et prétendre que tout le monde a les mêmes opportunités dans la vie c'est naïf et un peu risible.

Or, tout ceci est hautement incorrect. Dans la société capitaliste, chacun est libre d'accumuler du capital afin de devenir un producteur et de créer de la valeur économique ajoutée.

Donc, corollaire absolu de ton propos, ceux qui sont pauvres c'est par choix? Ils se sont dit un matin "fuck tout ça, moi je veux être pauvre et me faire chier...". Encore ici Forb, la naïveté de tes propos quand tu régurgites ta théorie libertarienne face à la réalité est... presque charmante. Elle fait sourire. 1000+ te l'a pourtant bien dit de lâcher les marchés parfaits: ça n'existe pas et ça n'existera jamais. Une fois ça compris, on utilise le capitalisme pour ce qu'il peut fournir de meilleur et on en pallie les faiblesses. Parce qu'il a des faiblesses Forb, faut pas en faire une religion.

C'est facile de dire que seuls les fils de riches peuvent devenir riches à leur tour. Comme je l'ai mentionné plus tôt, c'est un raccourci de l'esprit typique aux Québécois. Avec cette conception, on peut dénigrer les gens fortunés en diminuant le travail requis pour obtenir cette richesse. De plus, on valorise les conditions économiques modestes en allant jusqu'à justifier sa condition économique par celle de quelqu'un d'autre. « C'est parce qu'il vole les honnêtes gens comme moi qu'il est riche! » On peut d'ailleurs observer la dernière citation régulièrement sur ce forum.

Tout ton blabla ne sert à rien ici. En quoi tu fais progresser ton argument quand tu parles des "raccourcis de l'esprit" d'une masse (que tu n'as pas évidemment...)? Je réitère: on parle d'opportunités inégales. Et c'est un fait indéniable. Tu peux descendre de ton piédestal maintenant.

Pour ma part, je crois que tout est possible. J'ai la conviction sincère qu'en mettant les efforts nécessaires, j'arriverai à accumuler assez de richesse pour que ma profession devienne une activité que je fais par plaisir et non par obligation. De plus, j'arriverai à faire tout ça en respectant les individus qui m'entourent et en améliorant la situation économique / sociale de mon milieu.

T'as encore de la job à faire quand on te lit.

Le capitalisme est une force positive dans notre société.

Je suis d'accord. Entièrement. Mais d'abord il doit être contrôlé et monitoré. Et ensuite le capitalisme n'exclut pas de facto la possibilité d'une certaine forme de protection sociale: c'est la société qui utilise le capitalisme pour progresser, et non le capitalisme qui utilise la société pour le faire!

Modifié par matante moisie
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ce qui est pratique avec des généralisations comme "les Québécois pensent-ci ou ça" c'est qu'on n'a plus besoin de s'occuper des arguments de son interlocuteurs. Ce que tu fais à merveille puisqu'il est seulement question d'opportunités ici. Elle est bien jolie ta théorie sociale un brin hautaine, mais un fait demeure, éminemment bien exprimé par la formule suivante, éculée au possible: c'est avec de l'argent qu'on fait de l'argent. Et prétendre que tout le monde a les mêmes opportunités dans la vie c'est naïf et un peu risible.

Donc, corollaire absolu de ton propos, ceux qui sont pauvres c'est par choix? Ils se sont dit un matin "fuck tout ça, moi je veux être pauvre et me faire chier...". Encore ici Forb, la naïveté de tes propos quand tu régurgites ta théorie libertarienne face à la réalité est... presque charmante. Elle fait sourire. 1000+ te l'a pourtant bien dit de lâcher les marchés parfaits: ça n'existe pas et ça n'existera jamais. Une fois ça compris, on utilise le capitalisme pour ce qu'il peut fournir de meilleur et on en pallie les faiblesses. Parce qu'il a des faiblesses Forb, faut pas en faire une religion.

Je crois effectivement que la très grande majorité de ceux qui sont pauvre le sont par choix. N'importe qui peut se trouver un emploi au salaire minimum pour commencer à accumuler du capital. À partir de là, la personne peut suivre une formation pour augmenter sa valeur sur le marché du travail. Tant que la personne met les efforts nécessaires, je me vois pas pourquoi un pauvre ne pourrait pas passer à la classe moyenne.

T'as encore de la job à faire quand on te lit.

En fait j'ai peut-être mal formulé ma pensée. Je voulais plutôt parler de respecter les droits et libertés des gens.

Je suis d'accord. Entièrement. Mais d'abord il doit être contrôlé et monitoré. Et ensuite le capitalisme n'exclut pas de facto la possibilité d'une certaine forme de protection sociale: c'est la société qui utilise le capitalisme pour progresser, et non le capitalisme qui utilise la société pour le faire!

Le capitalisme n'est effectivement pas nécessairement attaché au libertarianisme.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

(modifié)
C'est facile de dire que seuls les fils de riches peuvent devenir riches à leur tour. Comme je l'ai mentionné plus tôt, c'est un raccourci de l'esprit typique aux Québécois.

Pour qui est-ce que tu te prends ? tu penses que t'es au dessus de nous autres parce que tu respecte les soit disants "efforts" des Desmarais, Péladeau et ect... Que nous autres on est des gros paresseux qui espèrent que le cash pousse dans les arbres !? tu dis que de penser que l'argent vient d'ailleurs que de l'effort est une pensée typique de Québécois "né pour un petit pain", je te réponds que de penser que la fortune des riches vient NÉCESSAIREMENT de l'effort est une pensée typique de COLONISÉ PAS DE COUILLES

Si t'avais pris la peine de bien lire mon argument, t'aurais remarqué que je n'ai jamais dit que TOUT les hommes fortunés ne doivent leur fortune qu'à la chance. Paul Desmarais (père) est parti de rien du tout (ou en fait pas grand chose) pour devenir riche, ça c'est vrai que c'est du à l'effort. mais qu'est-ce qui en est de ses fils et de sa fille ? est-ce que tu crois que Péladeau (fils) serait tout de même devenu chef de l'empire québécor sans l'appui de son père ? Ça m'étonnerais vu la façon dont il traite ses employés.

Ensuite, discréditer les propos de l'IEDM parce que Hélène Desmarais siège au CA est TRÈS justifié. Vous remarquerez qu'aucun journaliste appartenant à l'empire Gesca (Radio Can, La Presse, Le soleil) ne semble intéressé à dire qui siège au CA de l'IEDM, à la place ils vantent leur rationalisme et leurs "bonnes" idées. mais le fait est que IEDM ne représente que lui même et ses intérêts propres à l'élite dirigeante, et non celui de la population.

Par exemple lisez ça : http://www.iedm.org/uploaded/pdf/aout2007_fr.pdf

Privatiser l'hydro ! en voilà une idée pour "enrichir" le Québec... et de toute façon, avec vandal à HQ et chat-raie à Québec ils ont déjà commencé tranquillement, avec des petites centrales privés qui vendent leur électricité (que HQ est obligé d'acheter) à 20% de profits !

http://www.cese.uqam.ca/pdf/rec_94_analyse_hydro.pdf

Forb semble oublier que le libre marché ne peut pas exister quand on a des conglomérats aussi puissant que PowerCorp qui peuvent influencer autant la politique et les médias que l'économie.

La bulle hypothécaire américaine a été causée par Desmarais? Come on, tu te tiens trop avec Poumon.

encore là tu as ridiculisé mon argument, et fait le lien entre la politique fiscal du Québec et la crise des subprimes que je n'ai jamais insinué, sans même y réfléchir une seconde, bravo pour l'honnêteté intellectuelle Monsieur... Le lien de Tragico explique très bien le processus, le gouverment crée des déficit par le biais de baisses d'impôts, et ensuite utilise ces déficits pour convaincre les gens qu'il faut absolument réduire l'état, le privatiser. Ces stratégies portent sur plusieurs années, voir des Décennies, c'est pourquoi la majorité des gens n'y voient que du feu.

N'importe qui peut se trouver un emploi au salaire minimum pour commencer à accumuler du capital

accumuler du capital au salaire minimum... :soumission: j'abandonne, t'es VRAIMENT un imbécile

Donc, pour revenir sur le sujet original, avec le régime actuel à la RRQ une inégalité entre générations est inévitable, mais de toute façon les babyboomers vont bien finir par crever non ? donc on va avoir une quinzaine d'années difficiles, mais ensuite ça va passer. D'un autre côté, réduire les prestation serait la mesure la "moins injuste" a mon humble avis...

Modifié par El penguin
  • J'aime! 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Donc, corollaire absolu de ton propos, ceux qui sont pauvres c'est par choix? Ils se sont dit un matin "fuck tout ça, moi je veux être pauvre et me faire chier...".

Être pauvre au Québec, c'est un peu comme ceux qui sont obèses. Il y a bien sûr une infime minorité dont la condition découle d'un problème médical réel, mais l'écrasante majorité des obèses l'est à cause d'une longue séries de mauvais comportements et de mauvaises décisions: mal et trop manger, ne pas faire d'exercice, etc. Évidemment, avec de la motivation, cette situation est réversible.

Évidemment, les obèses ne se sont pas dit un matin: "fuck tout ça, moi je veux être obèse et me faire chier..."

Cependant, leur mauvais comportement et leur inaction à pallier à leur sur-poids croissant les ont mené vers l'obésité.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je crois effectivement que la très grande majorité de ceux qui sont pauvre le sont par choix. N'importe qui peut se trouver un emploi au salaire minimum pour commencer à accumuler du capital.

Légèrement antithétique. Quand une personne qui travaille 40 hres/sem au salaire minimum a payé tous ses comptes, son loyer et son épicerie dans le mois et qu'il lui reste une centaine de dollars t'appelles ça accumuler du capital?

À partir de là, la personne peut suivre une formation pour augmenter sa valeur sur le marché du travail. Tant que la personne met les efforts nécessaires, je me vois pas pourquoi un pauvre ne pourrait pas passer à la classe moyenne.

Et sa formation elle la suit quand si elle travaille toute la semaine pour survivre? De fin de semaine? Étalée sur seize ans? La réalité c'est que pour se former quand on est au salaire minimum, c'est en se mettant sur le BS que ça devient possible. Eh oui, cet horrible et atroce concept!

J'adore ça les théories toutes proprettes avec des checklists et des étapes tellement faciles et évidentes que c'est une aberration pourquoi le commun des mortels ne comprend pas et qu'il y ait encore des pauvres. Faut regarder la réalité Forb, faut regarder ce qui se passe ailleur que dans ses livres. Et la réalité c'est que le salaire minimum ça permet de survivre. Point.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

(modifié)

Forb et Sim, peut-être que quand vous aurez quelques minutes vous pourriez expliquer comment vous intégrez ceci dans votre théorie du pauvre qui l'est par (mauvais) choix seulement?

Et peut-être aussi comment vous allez pouvoir continuer de prôner que la pauvreté n'a aucun effet direct sur les gens maintenant? Histoire de pouvoir continuer à dire que tout le monde a les mêmes opportunités?

Modifié par matante moisie
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Forb et Sim, peut-être que quand vous aurez quelques minutes vous pourriez expliquer comment vous intégrez ceci dans votre théorie du pauvre qui l'est par (mauvais) choix seulement?

Et peut-être aussi comment vous allez pouvoir continuer de prôner que la pauvreté n'a aucun effet direct sur les gens maintenant? Histoire de pouvoir continuer à dire que tout le monde a les mêmes opportunités?

Faut vraiment être un nombriliste enragé pour nier la réalité que la pauvreté engendre souvent la pauvreté. Seulement l'environnement et la mauvaise nutrition qui s'y rattache est bien assez pour partir avec deux strikes contre toi dans la vie. Évidemment qu'il y en a quelques uns qui réussissent à frapper l'homerun malgré tout... mais ils sont rare.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Veuillez vous connecter pour commenter

Vous pourrez laisser un commentaire après vous êtes connecté.



Je veux revenir!
 Partager

×
×
  • Créer...