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Amour/haine au sein d'une famille


Déchet(s) recommandé(s)

T'as raison sur un plan beaucoup plus large que tu ne le crois probablement. Je crois que je suis trop faible pour arrêter mes mauvaises relations.

C est certain que ça part mal quand dès le départ tu te considères comme trop faible. ça en dit beauoup sur ton estime personnelle aussi.

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Au moins j'en suis consciente, c'est un pas dans la bonne direction.

Ça ne veut pas nécessairement dire que je n'ai pas une bonne estime personnelle, mais que je suis plutôt calme et que je préfère endurer/fuir et non foutre la marde dans ma famille à cause de différents comme ça.

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(modifié)
Haha non je voulais dire \\\\\\\"savoir qu\\\\\\\'on est ensemble\\\\\\\".

C`est à ça que je répondais.

Le t`es viré c`était pour rire et j`ai pris une chance.

Modifié par wieufhiwuh
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Oh cool ça fighte, du sang, du sang, du pain et des jeux.

Je ne pense pas qu'un lien de parenté crée automatiquement de l'amour. C'est même dur à dire mais certains parents n'aiment pas leurs gosses, ou un de leur gosse. Contrairement à ce que j'ai pu lire plus haut, je ne pense pas que l'amour inconditionnel existe. On parle toujours de l'amour inconditionnel de la mere... Fuck, essaye de refuser son manger à ta mere tu verras si elle t'aime toujours.

Je n'ai pas connu beaucoup mes grands parents, ils sont morts quand j'étais enfant et ne les connaissant que peu ça ne m'a fait ni chaud ni froid et je n'en éprouve aucune culpabilité. Me reste une ancetre, qui est mechante, l'a toujours été, et mussolinienne et raciste. Ca va je la deglobille pas trop mais bon, l' a 99 ans, elle a bien vecu, ce sera surtout dur de gerer ma mere (sa fille) au moment du décès.

Toujours eu des relations tres complexes avec ma famille, amour/rejet, coller/repousser, etc, etc.

Mon enseignant de therapie familiale disait que pour qu'il puisse travailler il pensait que "tous les parents aiment leurs enfants, mais il y a des manières d'aimer qui tuent"

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Je crois que des liens familiaux ne crée que des liens. L'amour, on le crée ou pas, c'est du cas par cas.

De ma famille, je n'ai pas de grosses histoires d'amour/haine. Le moment que ma mère est décédée, je me suis éloignée des membres que je n'aimais pas et garder contact avec de TRÈS rares oncles et tantes ainsi que mon grand-père maternel. Le jour ou ce dernier va mourir, c'est certain que toute la famille se sépare et que les frères et soeurs (fils et filles de mon grand-père) vont presque arrêter de ce parler. Cette bande d'hypocrite de garde contact que pour l'héritage et je suis sur de ça depuis des années (ma cousine et moi en parlions souvent v'là 3-4 ans). Et depuis le décès de maman, les commentaires que certains ont fait ont juste confirmé mes dires. Ma marraine n'a jamais voulu affirmer qu'elle avait sauter sur le coffre à bijoux de ma mère à peine une heure après la découverte de son corps sans vie (p.s: à ce moment-là, j'étais encore au courant de rien) et toute la famille a tout organiser les funérailles et la paprasse en me gardant bien à l'écart, chose qui m'a fait freaking chier au point d'aller voir un notaire pour faire certaine de pas me faire jouer dans le dos. J'crois que j'en ai surpris plus d'un quand je leur ai partagé mon idée et agis seule ^^

Des gens hypocrites et avares, mes amis. Je n'aime pas la plupart d'entre eux pour ces raisons-là.

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J'ai une histoire qui ne m'appartient pas qui entre dans le classique des soeurs qui se tirent par les cheveux.

Un de ces soirs, mon copain m'invite à aller à un feu qu'une de nos amies faisait chez ses parents, pendant leur absence. (Je dois ici ajuster un point : Melle fut en appart pendant un an et part pour montréal cet été. Le dernier mois qu'elle passe à Gatineau, elle habite chez ses parents puis que le bail de son appart était à renouveler un mois avant sa date de départ officiel.)

La soirée se passe bien et on répond à la demande de rester dehors. Vers 1h, on se décide à partir, cependant il nous faut passer par l'intérieur pour aller chercher nos affaires. On s'arrête un instant, on "essaie" de finir nos discussion sur tous les sujets possible (vous savez comment c'est, une gang de placoteux) et en même pas 10 minutes, la soeur de Melle (que j'adore appeler la Drama Queen) vient nous engueuler comme du poisson pourris parce qu'on est entré dans la maison.

DQ: MELLE! T'avais dit que tu rentrerais pas! T'as pas l'droit! Tu dérange MA soirée!

Melle: Hey, on partait! Laisse-nous le temps!?

DQ: T'AVAIS DIT QUE TU RESTERAIS DEHORS! J'appelle maman!

La pauvre nouille va dans son coin et appelle ses parents à leur chambre d'hôtel. Je vous rappel: Y'er fucking 1h du matin.

On commence à rire d'elle subtilement, sauf que je crois que j'en ai lâcher une trop forte à un moment XD

DQ: HEY toué! pour qui tu te prends??

Moi (à voix basse): Pour quelqu'un de moins bébé en tout cas

:rire des autres:

DQ: VEUX-TU Y PARLER À MA MÈRE TOUÉ??!

Moi: Euh.... non? J'correct! (tout bas) J'ai pas besoin des commentaires de la mère de la princesse

Drama Queen vient nous voir pour donner (lire ici lancer en pleine face) le téléphone pour que Melle parle à sa mère. Elle y raccroche au nez en 30 secondes et on se décide à partir, moi déclarant que sinon, on allait se faire sortir par la police.

Funny fact: J'ai rencontré la mère 2 semaines après. Bin sympathique, cependant elle a vraiment trop protégé sa dernière-née. (Maladie dès l'enfance, la mère s'en est over-occupé. Ça donne une princesse bougonne qui crache du feu quand elle parle).

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Famille n'égale pas amour à tout coup. C'est dommage, parce qu'il peut s'agir de liens puissants, de gens qui nous aident, nous font grandir, nous aiment profondément. Je me pose une autre question cependant : Peut-on aimer sa famille et ne pas apprécier leur compagnie? Du côté de mon père (incluant le père en question), c'est une gang de fuckés que je n'ai aucun plaisir à fréquenter mais pour qui je n'éprouve ni animosité ni mépris. Ce sont des enfants battus qui ont eu une enfance difficile et qui ont trouvé du réconfort dans l'alcool et les drogues. J'ai un oncle séropositif et un collier de matantes qui alignent les dépressions. Dans tous mes souvenirs de réunions de famille, il y a des engueulades et des chicanes, des clans, des coups bas. Je ne les vois plus car j'étais très mal à l'aise au milieu de tout ça.

Mon père étant davantage excentrique, il cherche un sens à sa vie dans toutes les théories les plus farfelues, la dernière étant l'alchimie. C'est un homme bon et doux, très naïf, sauvé des sectes par sa pauvreté notoire. Je n'aime pas le voir car il est à côté de la track et tient des discours assez étranges. De plus, sa très faible estime personnelle est surcompensée par une attitude narcissique très agaçante. Pourtant je l'aime et j'aimerais l'aider, mais comment aider quelqu'un qui n'admet pas ses problèmes et qui soutient qu'il est très heureux?

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Mon enseignant de therapie familiale disait que pour qu'il puisse travailler il pensait que "tous les parents aiment leurs enfants, mais il y a des manières d'aimer qui tuent"

Justement ... Ahem.

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